Alexandra Miller
Alexandra Natasha Miller, également connue sous son nom d'épouse Alexandra von Fürstenberg, est née le 3 ou le à New York, aux États-Unis. Fille du millionnaire Robert Warren Miller, c'est une designeuse de mobilier et une socialite anglo-américaine.
| Naissance | |
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| Nom de naissance |
Alexandra Natasha Miller |
| Nationalité | |
| Formation | |
| Activité | |
| Famille | |
| Père | |
| Mère |
María Clara Pesantes (d) |
| Fratrie |
Pia Getty (en) Marie-Chantal Miller |
| Conjoints | |
| Enfants |
Talita von Fürstenberg Tassillo Egon Maximilian Prinz zu Fürstenberg (d) |
Biographie
modifierTroisième et dernière des « sœurs Miller » (telles que les surnomme la presse anglo-saxonne)[1],[2], Alexandra naît le le 3[3] ou le [4],[5], à New York, aux États-Unis[3],[4]. C'est cependant à Hong Kong (où certaines sources lui font voir le jour[6],[7]), que la petite fille passe ses premières années avec sa famille.
Après des études en création de costumes et en histoire de l'art à la Parsons School of Design et à l'Université Brown[8], Alexandra attire l'attention de la presse du cœur en suivant les pas de ses sœurs Pia (en) et Marie-Chantal, qui ont toutes deux épousé des personnalités de la jet set internationale, à savoir Christopher Getty et le diadoque Paul de Grèce[9]. Le , Alexandra s'unit, à l'église Saint-Ignace-de-Loyola de New York, au prince Alexander von Fürstenberg (en), fils d'Egon et de Diane von Fürstenberg. Célébrée par le nonce apostolique Renato Martino, la cérémonie réunit 650 invités, parmi lesquels l'ancienne reine des Hellènes Anne-Marie, le prince Alexandre de Russie et Leah Boutros-Ghali, épouse du secrétaire général de l'ONU[9],[10].
Après son mariage, Alexandra rejoint DvF, la société de sa belle-famille, d'abord en tant que directrice de la création puis en tant que directrice de l'image[8]. Elle persuade alors Diane de Fürstenberg de relancer sa « robe-enveloppe », ce qui aboutit à un succès commercial[11],[12]. Parallèlement à sa carrière dans la mode, Alexandra donne le jour à deux enfants, Talita (1999) et Tassilo (2001)[13]. Cependant, le mariage de la jeune femme s'effondre du fait du tempérament volage de son époux et le couple divorce finalement en 2003[14].
En 2005, Alexandra quitte DvF. Deux ans plus tard, elle fonde sa propre compagnie[8]. Nommée AvF, pour Alexandra von Fürstenberg, il s'agit d'une marque de mobilier et d'accessoires de maison fabriqués à base d'acrylique[8],[15].
Le , Alexandra se remarie, à Los Angeles, à l'architecte Dax Miller (de)[16], avec lequel elle est en couple depuis 2008[17]. En 2022, Alexandra fête ses 50 ans en compagnie de nombreuses personnalités de la jet set[18].
Titulature
modifier- 1995-2003 : Son Altesse Sérénissime la princesse Alexandra von Fürstenberg[19].
Lien externe
modifierRéférences
modifier- (en) Laura Jacobs, « The Millers' Tale », Vanity Fair, (lire en ligne).
- (en) « Miller Time », W, (lire en ligne).
- (en) Darryl Lundy, « Alexandra Natasha Miller », sur The Peerage (consulté le ).
- (en) « Mediatised House of Furstenberg », sur Almanach de Gotha, 1995-2023 (consulté le ).
- (en) Julie Helen Otto et William Addams Reitwiesner, « Some ancestry of the Miller sisters », sur Wargs (consulté le ).
- (en) Andre Neveling, « Meet Hong Kong’s heiress ‘princess’ Alexandra von Furstenberg: how the daughter of duty free billionaire Robert Warren Miller married Diane von Furstenberg’s royal son Prince Alexander », South China Morning Post, (lire en ligne).
- (en) Yale Breslin, « Furniture Designer Alexandra Von Furstenberg Speaks About Her Namesake Brand », Life + Times, (lire en ligne).
- Yasmine Maggio, « Alexandra von Furstenberg fait l'éloge de la couleur », L'Officiel, (lire en ligne).
- (en) Aileen Mehle, « Inside the Second Glamorous Miller Wedding This Year », W, (lire en ligne).
- (en) Bob Colacello, « Dynasty & Destiny », Vanity Fair, (lire en ligne).
- Irène Mosalli, « Confort et glamour dans la robe-enveloppe Diane Von Furstenberg », L'Orient-Le Jour, (lire en ligne).
- (en) Elisabeth Bumiller, « Wrap Dress Reviver Who's a Jet Set Star », The New York Times, (lire en ligne).
- Gabriel de Penchenade, « Talita von Fürstenberg, la mode dans le sang », L'Express, (lire en ligne).
- (es) Silvia Vivas, « Marie-Chantal de Grecia y Alexandra von Fürstenberg: cómo las hermanas Miller pasaron de ser las it girls en los 90 a las princesas más admiradas de la realeza europea », Mujer Hoy, (lire en ligne).
- (en) Blue Carreon, « A Conversation With Designer Alexandra Von Furstenberg », HuffPost, (lire en ligne).
- (en) Erica Tempesta, « Diane von Furstenberg's former daughter-in-law marries her longtime love in intimate ceremony at their sprawling LA home - but where were the bride's children? », Daily Mail, (lire en ligne).
- (en) Mayer Rus, « Look Inside the Lavish Los Angeles Residence of Alexandra Von Furstenberg and Dax Miller », Architectural Digest, (lire en ligne).
- (en) Erica Tempesta, « Billionaire heiress Alexandra von Furstenberg rings in her 50th birthday with an over-the-top 'futuristic' party attended by socialite family and friends - including her fashion star daughter Talita, niece Princess Olympia of Greece, and pal Kathy Hilton », Daily Mail, (lire en ligne).
- (es) Nuria Hernández, « La vida de lujo de las hermanas de Marie-Chantal Miller: una productora y una diseñadora de muebles que reinan en la alta sociedad de Estados Unidos », Vanity Fair, (lire en ligne).
