Anglars-Juillac

commune française du département du Lot

Anglars-Juillac est une commune française située dans le sud-ouest du département du Lot, en région Occitanie. Elle est également dans le Quercy Blanc, une région naturelle correspondant à la partie méridionale du Quercy, devant son nom à ses calcaires lacustres du Tertiaire.

Anglars-Juillac
Anglars-Juillac
Mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Cahors
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée du Lot et du Vignoble
Maire
Mandat
Francis Laffargue
2020-2026
Code postal 46140
Code commune 46005
Démographie
Population
municipale
331 hab. (2021 en évolution de +3,76 % par rapport à 2015)
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 29′ nord, 1° 12′ est
Altitude 98 m
Min. 81 m
Max. 240 m
Superficie 5,48 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Prayssac
(banlieue)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Luzech
Législatives Première circonscription
Localisation
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Anglars-Juillac
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Anglars-Juillac
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Anglars-Juillac
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Anglars-Juillac

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Lot, le Vert et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Anglars-Juillac est une commune rurale qui compte 331 habitants en 2021. Elle est dans l'agglomération de Prayssac. Ses habitants sont appelés les Anglacois ou Anglacoises.

Géographie

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Commune située dans le Quercy. Ne pas la confondre avec une autre commune du Lot, Anglars. Elle fait partie de l'unité urbaine de Prayssac.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Albas, Bélaye, Castelfranc et Prayssac.

Communes limitrophes d’Anglars-Juillac[1]
Castelfranc
Prayssac Anglars-Juillac[1] Albas
Bélaye

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 855 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 822,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records ANGLARS (46) - alt : 104m, lat : 44°29'35"N, lon : 1°12'29"E
Records établis sur la période du 01-04-1989 au 02-11-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2 1,5 3,8 6,2 9,8 13,1 14,7 14,5 11,2 9 4,9 2,4 7,8
Température moyenne (°C) 6 6,7 9,8 12,4 16,1 19,6 21,5 21,5 18,1 14,6 9,4 6,5 13,5
Température maximale moyenne (°C) 10 11,8 15,9 18,6 22,4 26 28,4 28,6 24,9 20,2 13,9 10,6 19,3
Record de froid (°C)
date du record
−11
13.01.03
−15
06.02.12
−12,2
01.03.05
−4,5
03.04.22
−1,5
06.05.19
2,7
01.06.06
6
15.07.16
5
31.08.10
0,9
25.09.02
−3,9
25.10.03
−9,4
22.11.1998
−11,9
17.12.01
−15
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
19
05.01.1999
26
27.02.19
27,6
29.03.23
30,7
30.04.05
34
22.05.22
41,5
27.06.19
42
30.07.20
42,1
24.08.23
37,5
12.09.16
35,6
01.10.23
26
06.11.15
20
08.12.10
42,1
2023
Précipitations (mm) 75,8 59,3 62,2 78,3 77 67,3 55,3 56,7 66,3 67,5 79,5 77,4 822,6
Source : « Fiche 46005001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/11/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité

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Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[7] : le « cours inférieur du Lot » (1 209 ha), couvrant 25 communes dont 23 dans le Lot et deux dans le Lot-et-Garonne[8].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Anglars-Juillac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Prayssac[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[I 2],[I 3]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 4],[I 5].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (54 %), zones agricoles hétérogènes (15 %), forêts (9,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,8 %), zones urbanisées (6,9 %), eaux continentales[Note 4] (6,7 %)[9]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Anglars-Juillac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[10]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[11].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lot et le Vert. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[12]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1995, 1999 et 2003[13],[10].

Anglars-Juillac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[14].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Anglars-Juillac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des tassements différentiels[15]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 78,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 221 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 145 sont en aléa moyen ou fort, soit 66 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[10].

Risques technologiques

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La commune est en outre située en aval des barrages de Grandval et de Sarrans, des ouvrages de classe A[Note 5] disposant d'une retenue de respectivement 270,6 millions[19] et 296 millions de mètres cubes[20],[21]

Toponymie

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Le toponyme Anglars pourrait sembler être basé sur une forme du type Castrum anglarense qui indiquerait une appartenance aux Anglais. Cependant, Castrum anglarense est mentionné en 926, bien avant les invasions anglaises de la guerre de Cent Ans qui ont débuté en 1337. Anglars est issu de angulus avec le suffixe -arem. Il s'agit d'un lieu en relation avec une pierre de taille angulaire qui faisait partie d'une construction importante[22].

Le toponyme Anglars provient très exactement d'une ancienne forme angularis avec un suffixe collectif -aris, « les terres de l'angle »[23].

Le toponyme Julliac (en occitan Julhac) est basé sur l'anthroponyme gallo-romain Jullius avec la terminaison -acum. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes. C'est le nom du domaine de Jullius[22].

Histoire

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Issue de la volonté de Joseph Bonafous-Murat, châtelain d'Anglars et de Jean Louis Salbant, maire de Bélaye, la naissance de la commune d'Anglars-Juillac date de la loi du [22].

Elle fut formée de l'imputation des terres et du village d'Anglars appartenant alors à Albas, ainsi que des terres du village de Juillac, ces dernières étaient alors rattachés à Bélaye.

Politique et administration

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Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
1853 1864 Joseph Bonafous-Murat    
1864 1883 Jean Louis Salbant    
1883 1921 Frédéric Capt Aladel    
1921 1925 Abel Combarieu    
1925 1931 Henri Maurel    
1931 1944 Gaston Vinel    
1944 1947 Augustin Bouysset    
1947 1977 Raymond Philip    
1977 2001 Jean Laffargue    
2001 2014 Pierre Souques    
2014 Fin= En cours Francis Laffargue    

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

En 2021, la commune comptait 331 habitants[Note 6], en évolution de +3,76 % par rapport à 2015 (Lot : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
120475503557564567520459443
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
449433401394385361342411394
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006
410377392340369329331342334
2009 2014 2019 2021 - - - - -
349321333331-----
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Revenus

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En 2018, la commune compte 151 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 336 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 430 [I 6] (20 740  dans le département[I 7]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 8] 3,9 % 7,8 % 8,2 %
Département[I 9] 7,3 % 8,9 % 9,6 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 180 personnes, parmi lesquelles on compte 74,7 % d'actifs (66,5 % ayant un emploi et 8,2 % de chômeurs) et 25,3 % d'inactifs[Note 8],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 11]. Elle compte 73 emplois en 2018, contre 90 en 2013 et 76 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 123, soit un indicateur de concentration d'emploi de 59,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,3 %[I 12].

Sur ces 123 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 32 travaillent dans la commune, soit 26 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 83,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,8 % les transports en commun, 2,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Activités hors agriculture

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23 établissements[Note 9] sont implantés à Anglars-Juillac au [I 15]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,4 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 23 entreprises implantées à Anglars-Juillac), contre 13,5 % au niveau départemental[I 16].

Agriculture

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1988 2000 2010 2020
Exploitations 31 19 17 7
SAU[Note 10] (ha) 316 273 279 222

La commune est dans la vallée du Lot », une petite région agricole s'étendant d'est en ouest et de part et d'autre du cours du Lot, particulièrement réputée pour ses vignes, celles du vignoble de Cahors plus précisément[29]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la viticulture[Carte 4]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (31 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 222 ha[31],[Carte 5],[Carte 6].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Vie pratique

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Service public

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Enseignement

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Culture

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Dans la salle de fête, face à la mairie se trouve une grande fresque "a la tempera" réalisée par le célèbre peintre hollandais Ruudt Wackers.Quatre murs de 10x4 m tempera sur panneaux. les titres ''fête de confetti'.''le miracle dans la vigne'' et '' Repas de Dionysius ''

Chaque année, à la mi-juillet, se déroule à Juillac la plus grande bataille de confettis de France. À l'occasion de cette fête, ce ne sont pas moins de deux tonnes de papier qui sont déversées sur la place du village.

Activités sportives

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Écologie et recyclage

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Prayssac comprend une ville-centre et trois communes de banlieue.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[18].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[30].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Prayssac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Anglars-Juillac » (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  8. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Anglars-Juillac » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Anglars-Juillac » (consulté le ).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Anglars-Juillac » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Anglars » (commune de Latronquière) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Anglars » (commune de Anglars-Juillac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Anglars-Juillac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  8. « ZNIEFF le « cours inférieur du Lot » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  10. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Anglars-Juillac », sur Géorisques (consulté le ).
  11. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  12. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
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Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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