Anne-Marie Idrac
Anne-Marie Idrac (née Colin), née le à Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor), est une dirigeante d'entreprises et femme politique française.
Anne-Marie Idrac | |
Anne-Marie Idrac, en septembre 2009. | |
Fonctions | |
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Secrétaire d’État au Commerce extérieur | |
– (2 ans, 7 mois et 26 jours) |
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Président | Nicolas Sarkozy |
Gouvernement | François Fillon II |
Prédécesseur | Hervé Novelli |
Successeur | Pierre Lellouche |
Députée française | |
– (5 ans, 3 mois et 25 jours) |
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Élection | 1er juin 1997 |
Réélection | 16 juin 2002 |
Circonscription | 3e des Yvelines |
Législature | XIe et XIIe (Cinquième République) |
Groupe politique | UDF |
Prédécesseur | Paul-Louis Tenaillon |
Successeur | Christian Blanc |
Conseillère régionale d'Île-de-France | |
– (4 ans, 6 mois et 6 jours) |
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Élection | 15 mars 1998 |
Président | Jean-Paul Huchon |
Secrétaire d’État aux Transports | |
– (2 ans et 15 jours) |
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Président | Jacques Chirac |
Gouvernement | Alain Juppé I et II |
Prédécesseur | Bernard Bosson (ministre) |
Successeur | Jean-Claude Gayssot (ministre) |
Biographie | |
Nom de naissance | Anne-Marie Colin |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor) |
Nationalité | française |
Parti politique | Les Centristes |
Père | André Colin |
Conjoint | Francis Idrac |
Diplômée de | Université Panthéon-Assas IEP de Paris ENA |
Profession | Chef d'entreprise |
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Elle a été notamment secrétaire d'État aux Transports de 1995 à 1997, députée de 1997 à 2002, présidente de la RATP, puis de la SNCF, secrétaire d'État chargée du Commerce extérieur auprès de la ministre de l'Économie, de l'Industrie et de l'Emploi dans le second gouvernement François Fillon du au .
Elle est, depuis 2011, administratrice de sociétés et consultante.
Biographie
modifierFormation
modifierAprès une scolarité au collège Sainte-Marie des Invalides[1] (aujourd'hui lycée Paul Claudel-d'Hulst), elle est élève à l'Institut d'études politiques de Paris (promotion 1971, section Service Public)[2], à la faculté de droit de Paris et à l'École nationale d'administration (promotion Simone Weil, 1972-1974)[3]. Elle a également été auditrice de l'Institut des hautes études de Défense nationale (IHEDN), en 1986-1987 (39e session).
Carrière dans la fonction publique
modifierElle est, de 1974 à 1995, administratrice civile dans divers postes aux ministères de l'Équipement, du Logement, de l'Environnement, de l'Urbanisme et des Transports ; elle est notamment la première femme directrice générale d'un établissement public d'aménagement, celui de Cergy-Pontoise de 1990 à 1993, et directrice des Transports terrestres, de 1993 à 1995.
Carrière politique
modifierElle est membre de Force démocrate, puis de l'UDF (lorsque l'UDF fusionne ses composantes, dont FD).
En 1995, elle intègre le Gouvernement en tant que femme issue de la société civile, au poste de secrétaire d'État aux Transports, qu'elle occupe sous les deux gouvernements Juppé, faisant ainsi partie des « Juppettes ». Elle conduit notamment la réforme législative de 1997 qui a permis le désendettement de la SNCF par la création de Réseau ferré de France (RFF), et l'expérimentation dans cinq régions de la décentralisation des trains express régionaux (TER), généralisée en 2001 par Jean-Claude Gayssot. En 1996, le doublement des pistes de l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle et l'implantation de FedEx sur le site de Roissy sont décidés.
Elle est élue députée UDF de la troisième circonscription des Yvelines en 1997 et réélue en 2002. Elle a siégé également au conseil régional d'Île-de-France (1998-2002) au titre de l'UDF et a été secrétaire générale de la Nouvelle Union pour la démocratie française (UDF), ainsi que porte-parole de François Bayrou lors de sa première campagne présidentielle en 2002.
Le , elle est nommée secrétaire d'État chargée du Commerce extérieur et revient ainsi au gouvernement, alors qu'elle avait affirmé ne pas être « intéressée par le retour dans la vie politique » lors d'une conférence organisée par l'Agora à l'École des hautes études commerciales du Nord (EDHEC), le [4].
Elle s'emploie à Bruxelles et Genève à promouvoir les idées de réciprocité dans le commerce mondial et de lutte contre tous les dumpings[5]. Elle rassemble tous les acteurs du commerce extérieur de la France dans une « Équipe de France de l'export », autour d'un objectif : 10 000 exportateurs de plus d'ici la fin du quinquennat, et assure plus de cent voyages en trente mois de fonctions[6].
Elle apporte son soutien à la candidature de François Bayrou pour l'élection présidentielle de 2012 et fait partie de son équipe de campagne[7].
Le , elle est nommée par Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères et du Développement international, représentante spéciale pour les échanges économiques avec les Émirats arabes unis[8].
Elle soutient Emmanuel Macron, candidat à l'élection présidentielle de 2017[9]. Après l’élection, Anne-Marie Idrac est pressentie pour rejoindre le gouvernement comme Premier ministre ou comme ministre de l'Économie[10],[11].
En , elle est nommée par le gouvernement Haute responsable pour la stratégie nationale de développement des véhicules autonomes[12]. Le , Édouard Philippe a précisé que cette responsabilité est assurée en coordination avec la mission développement des véhicules autonomes, confiée au comité stratégique de la filière automobile[13].
Carrière dans l'entreprise
modifierEn , elle démissionne de ses mandats et fonctions politiques pour assumer la présidence de la RATP, sur proposition du Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, en remplacement de Jean-Paul Bailly, appelé à la présidence de La Poste.
Ses années de mandat à la RATP sont marquées notamment par le lancement de l'automatisation de la ligne 1 du métro parisien, l'instauration d'un service garanti contractuel en cas de grève, la conception du projet de métro circulaire de banlieue à banlieue (reprise par son successeur Pierre Mongin sous le nom de « Métrophérique »), et la conclusion de contrats d'exploitation et de maintenance de réseaux de transport en dehors du réseau « historique » de la RATP, notamment à l'étranger, via sa filiale à 100 % RATP Développement créée en 2002, ce qui constitue une nouveauté pour l'entreprise francilienne.
Elle en démissionne le pour succéder à Louis Gallois à la tête de la SNCF. À ce titre, première femme à présider la SNCF, elle est aussi la première vice-présidente de l'Union internationale des chemins de fer (UIC).
Le classement établi par la revue Fortune des femmes les plus puissantes dans le monde des affaires, à l'exception notable du territoire américain, la positionne alors en 3e position[14],[15].
Au deuxième semestre 2007, dans un contexte de grèves illimitées et reconductibles toutes les 24 heures[16], elle mène à bien la mise en œuvre de la loi sur le « service minimum » puis la réforme du régime spécial de retraites des cheminots par harmonisation avec celui de la fonction publique. Elle intervient en faveur du train en tant que présidente de la SNCF au « Groupe de suivi du Grenelle de l'environnement »[17].
Son bilan compte la réforme du régime spécial de retraites des cheminots, et la mise en place du service minimum, le lancement du TGV Est européen, et le record du monde de vitesse sur rail. Elle assure le début de redressement et d'européanisation de l'activité fret et logistique du groupe SNCF, ainsi que la modernisation du transport régional — TER et Transilien (Île-de-France) — auquel elle consacre un programme appelé « nouvelle dynamique de proximité »[18].
Les résultats 2007 du groupe SNCF atteignent sous sa présidence un montant de plus d'un milliard d'euros, autorisant pour la première fois l'entreprise à verser un dividende à son actionnaire État[19]. Le groupe SNCF a renforcé ses actions de solidarité et d’entreprise socialement responsable[20].
Elle est, depuis 2011, administratrice indépendante de sociétés et consultante.
Elle siège, en 2022, au sein de trois conseils d'administration (cinq en 2019)[21].
Depuis , elle préside l’association France Logistique, dont l’objet est la promotion de cette filière et le dialogue avec les pouvoirs publics pour améliorer sa compétitivité[22],[23]. Elle dispose d'un bureau au sein même du ministère des Transports[21].
Vie personnelle
modifierAnne-Marie Idrac est la fille de l'homme politique André Colin et l'épouse de Francis Idrac, ancien préfet de région, inspecteur général des Finances (qui ne doit pas être confondu avec son homonyme, maire socialiste de L'Isle-Jourdain (Gers)[24]). Elle est mère de quatre filles.
Détail des mandats et fonctions
modifierFonctions gouvernementales
modifier- Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Aménagement du territoire, chargée des Transports, dans le gouvernement Alain Juppé I (du au )
- Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Équipement, du Logement, des Transports et du Tourisme, chargée des Transports, dans le gouvernement Alain Juppé II (du au )
- Secrétaire d’État chargée du Commerce extérieur, auprès de la ministre de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi, dans le gouvernement François Fillon II (du au )
Autres postes
modifierSecteur économique
modifier- Administratrice indépendante d'Air-France-KLM (depuis novembre 2017)[25] ;
- Administratrice indépendante de Bouygues (2012-2021)[26] ;
- Administratrice de Total depuis le [27] ;
- Administratrice de Saint-Gobain (2011-2022) ;
- Senior advisor de Sia Partners depuis le ;
- Senior advisor de Suez Environnement (2011-2018) ;
- Présidente du conseil de surveillance de la société concessionnaire de l'aéroport de Toulouse-Blagnac du [28] jusqu’au ;
- Administratrice de Mediobanca (Italie) (2011-2014) ;
- Membre du conseil de surveillance de Vallourec (2011-2015)[29] ;
- Administratrice de Dexia (2002-2007).
Secteur public ou associatif
modifier- Présidente de la Fondation ALIMA, abritée par la Fondation de France, créée le 17 novembre 2020 ;
- Présidente de France Logistique, association créée le [30] ;
- Présidente du Mouvement européen - France (2000-2004) ;
- Vice présidente de la Fondation Robert-Schuman ;
- Membre de l'Advisory board d'HEC
- Membre du conseil d'orientation du think tank En temps réel[31] ;
- Présidente du « Club Administrateurs RSE » (responsabilité sociétale des entreprises) de l’Institut français des administrateurs (IFA) (2013-2017)[32] ;
- Présidente du conseil stratégique de l'École d'affaires publiques de Sciences Po, depuis le [33] ;
- Elle devient, en , la première présidente de l'organisme de recherches « Océanides »[34],[35].
Publications
modifierOuvrages
modifier- Nous sommes tous des « hommes » politiques, Plon, , 170 p. (ISBN 978-2-259-19608-6)
- Chapitre « La compétitivité internationale de l’économie française » in Dominique Paillé, La République des solutions : l'état de la France, Saint-Malo, Pascal Galodé Editions, , 251 p. (ISBN 978-2-35593-182-6)
Préfaces
modifier- Matthieu Courtecuisse, La fabrique du conseil : Consultant, un métier d’avenir, Montreuil, Pearson, coll. « Village mondial », , 192 p. (ISBN 978-2-7440-6537-8)
- Jean-Pierre Corniou, 1,2 milliard d’automobiles, 7 milliards de terriens, la cohabitation est-elle possible ?, Tapa Blanda, , 150 p. (ISBN 978-2-915752-93-9)
- Jean-René Brunetière, Véronique Chanut et Serge Vallemont, L’imagination managériale des cadres publics : Un talent à cultiver, Futuroscope, Canopé – CRDP, coll. « Profession cadre service public », , 211 p. (ISBN 978-2-240-03353-6)
- FNEP, Oser innover : Pour construire une société d’innovateurs, Paris, La Documentation française, , 147 p. (ISBN 978-2-11-145219-0)
- Francis Massé, Urgences et lenteur : quel management public à l'aube du changement de monde ?, Paris, Fauves éditions, , 270 p. (ISBN 979-10-302-0065-2, lire en ligne)
Décorations
modifier- Officière de la Légion d'honneur. Elle est faite officière par le ministre de l'Économie et des Finances Michel Sapin en [36]
- Chevalière de la Légion d'honneur par décret du 25 septembre 2003
- Grande officière de l'ordre national du Mérite. Décoration remise par Édouard Philippe le 23 novembre 2021[37]
- Commandeure de l'ordre national du Mérite. Elle est décorée[38] par Pierre Moscovici, ministre de l’Économie et des Finances[39], le .
- Officière de l'ordre national du Mérite par décret du 23 décembre 2006
- Chevalière de l'ordre national du Mérite par décret du 7 février 1990
Notes et références
modifier- Ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie – Comité d'histoire, « Les directions d'administration centrale, des origines à nos jours : Anne-Marie Idrac », sur histoire-dac.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- Alumni Sciences Po, « l'Association des Sciences-Po - Fiche profil », sur sciences-po.asso.fr (consulté le ).
- Consulter l'article qui lui fut consacré lors du remaniement ministériel du gouvernement Fillon en mars 2008, sur Actu.cci.com, le site de la revue portant sur l'actualité des Chambres de Commerce et d'Industrie.
- Vidéo du débat : Anne Marie Idrac et la vie politique, L'Agora EDHEC sur Dailymotion, 19 avril 2008
- Anne-Marie Idrac, « La politique commerciale européenne : vers moins de naïveté [1] », sur robert-schuman.eu (Centre de recherche et d'études sur l'Europe), (consulté le ).
- Carte des déplacements d'Anne-Marie Idrac
- Bayrou dévoile son équipe de campagne, article du 7 décembre 2011, consulté le 15 décembre 2011.
- « Mme Anne-Marie Idrac, représentante spéciale pour les échanges économiques avec les Emirats arabes unis », sur ambafrance-eau.org, article du 14 octobre 2014 (consulté le ).
- François-Xavier Bourmaud, « Anne-Marie Idrac, ex-ministre de Jacques Chirac, rallie Emmanuel Macron », lefigaro.fr, 31 janvier 2017.
- Qui est Anne-Marie Idrac, potentielle future ministre de Macron, Le Figaro, 8 mai 2017
- Présidentielle : pourquoi le nom d'Anne-Marie Idrac revient souvent pour Matignon, Le Parisien, 17 mai 2017
- « Anne-Marie Idrac chargée de piloter la stratégie nationale sur le véhicule autonome - Bus&Car - Connexion Transports Territoires », Bus&Car - Connexion Transports Territoires, (lire en ligne, consulté le )
- « Discours d'Édouard Philippe au Conseil National de l’Industrie », sur gouvernement.fr, (consulté le ) : « C’est pour cela que nous avons nommé Anne-Marie Idrac haute responsable au véhicule autonome ».
- « Anne Marie Idrac raconte… », sur blog212.dauphine.fr (Blog du Master 212 « Affaires internationales »), (consulté le ) : « Nommée 3e femme la plus puissante du monde par le magazine Fortune en 2006, Anne Marie Idrac a su mener… ».
- « Mmes Lauvergeon, Russo et Idrac distinguées par le magazine "Fortune" », sur lemonde.fr, (consulté le ).
- Christophe Gracieux, « Grèves contre la réforme des régimes spéciaux de retraite en 2007 », sur fresques.ina.fr, (consulté le ).
- « Groupe de suivi du « Grenelle de l’environnement », sur assemblee-nationale.fr, (consulté le ).
- Fabrice Amedeo, « Le Transilien retarde 450 000 personnes par jour », sur lefigaro.fr, (consulté le ) : « En juillet 2007, Anne-Marie Idrac [...] avait lancé le programme Nouvelle dynamique de proximité. ».
- [PDF] « Rapport d'activité de l'EPIC SNCF – Exercice 2007 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur sncf.com (consulté le ), p. 6 et 7.
- [PDF] « Résultats 2006 – Communiqué de presse »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur sncf.com, (consulté le ), p. 2.
- « De Pepy à Veolia-Suez, de Mitterrand à Macron : voyage au cœur de la "Mafia d'Etat" », sur LExpress.fr, (version du sur Internet Archive), p. voir le paragraphe « Anne-Marie Idrac, la lobbyiste du ministère ».
- Marie-Noëlle Frison, « Top départ pour l'association France Logistique », sur lemoniteur.fr, (consulté le ).
- Marc Fressoz, « La filière française de la logistique veut obtenir rapidement des mesures de compétitivité », sur usinenouvelle.com, (consulté le ).
- « L'Isle-Jourdain. Francis Idrac pour succéder à Tourné », sur ladepeche.fr (consulté le )
- « Quatre nouveaux administrateurs au Conseil d’administration d’Air France-KLM »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur airfranceklm.com, (consulté le ).
- « Bouygues : Document d'enregistrement universel 2020 » [PDF], sur bouygues.com, (consulté le ) : « Anne-Marie Idrac, administratrice de société », page 12 du document PDF.
- [PDF] Communiqué de presse de l'entreprise Total du 11 mai 2012 relatif à l'assemblée générale 2012. Consulté le 26 mai 2012.
- « L'ancienne ministre Anne-Marie Idrac à la tête de l'aéroport Toulouse-Blagnac », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
- [PDF]Communiqué de presse de Vallourec du 27 avril 2012.
- « Lancement de France Logistique », sur e-tlf.com, (consulté le ).
- Composition du conseil d'orientation
- « Club RSE : Président : Anne Marie Idrac »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur ifa-asso.com (Institut français des administrateurs) (consulté le ).
- « SciencesPo - École d'affaires publiques - Notre équipe », sur sciencespo.fr (consulté le ).
- Océanides : Un projet international de recherche en histoire maritime et navale
- DCNS, initiateur d’Océanides : cinq millénaires d’histoire sur cinq continents.
- « Décret du 30 décembre 2016 portant promotion et nomination », legifrance.gouv.fr, (consulté le ).
- Décret du 21 mai 2021 portant élévation aux dignités de grand'croix et de grand officier dans l'ordre national du Mérite.
- Décret du 2 mai 2012 portant promotion et nomination
- Communiqué de presse du ministre de l'Économie et des Finances no 273 du 8 décembre 2012. Consulté le 14 décembre 2012.
Voir aussi
modifierArticle connexe
modifierLiens externes
modifier- Ressources relatives à la vie publique :