Butry-sur-Oise

commune française du département du Val-d'Oise

Butry-sur-Oise
Butry-sur-Oise
La mairie.
Blason de Butry-sur-Oise
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité CC Sausseron Impressionnistes
Maire
Mandat
Claude Noël
2020-2026
Code postal 95430
Code commune 95120
Démographie
Gentilé Butryots
Population
municipale
2 254 hab. (2021 en diminution de 0,13 % par rapport à 2015)
Densité 867 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 05′ 00″ nord, 2° 12′ 00″ est
Altitude Min. 22 m
Max. 96 m
Superficie 2,60 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Ouen-l'Aumône
Législatives 1re circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Butry-sur-Oise
Liens
Site web https://butrysuroise.fr/

Butry-sur-Oise est une commune française située dans le département du Val-d'Oise, en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Butryots.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune est située sur la rive droite de l'Oise, à environ 30 km au nord de Paris. Elle fait partie du parc naturel régional du Vexin français.

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Butry-sur-Oise
Valmondois L'Isle-Adam
Butry-sur-Oise
Auvers-sur-Oise Mériel

Hydrographie modifier

L'Oise à Butry.

Comme son nom le laisse penser, le territoire communal est limité à l'est par le lit de l'Oise, l'un des principaux affluents de la Seine.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 666 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pontoise à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 666,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Butry-sur-Oise est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[10] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[13],[14].

Occupation des sols simplifiée modifier

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 67 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 4,66 % d'espaces ouverts artificialisés et 28,34 % d'espaces construits artificialisés[15]

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 884, alors qu'il était de 870 en 2013 et de 778 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 93,2 % étaient des résidences principales, 2 % des résidences secondaires et 4,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 87,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 12,5 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Butry-sur-Oise en 2018 en comparaison avec celle du Val-d'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2 %) supérieure à celle du département (1,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,7 % en 2013), contre 56 % pour le Val-d'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 3].

Le logement à Butry-sur-Oise en 2018.
Typologie Butry-sur-Oise[I 1] Val-d'Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 93,2 92,8 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2 1,3 9,7
Logements vacants (en %) 4,8 5,9 8,2

Voies de communication et transports modifier

Voies de communaication modifier

Transports modifier

La gare en 2013.

Butry-sur-Oise est desservie par la gare de Valmondois, située sur son territoire, et par les trains de la ligne H du Transilien. La commune est également desservie par la ligne de bus 95.07 du réseau de bus du Vexin (Cergy-Préfecture - Jouy-le-Comte).

Toponymie modifier

La commune est créée à partir d'Auvers-sur-Oise en 1948[16].

Plaque de cocher, antérieure à la séparation d'avec Auvers-sur-Oise.

Le nom de la commune vient du nom d'un notable romain, Butriacus ou Butriacum[réf. nécessaire].

Histoire modifier

La première mention écrite de Butry, qu'on écrivait Butery ou Buthery, se trouve dans un inventaire des biens de l'abbaye Saint-Martin de Pontoise. Le village en reste pendant longtemps la possession. Le monastère y possède alors la dîme des champs située entre Butry et Hérouville et une grange située au-dessus de Butery, avec les terres et les vignes qui en dépendent. L'abbaye perçoit également, avec le seigneur de Stors, les droits de stationnement et d'amarrage sur le rivage de Stors vis-à-vis de Butry. Le lieu est particulièrement actif et voit transiter de nombreuses marchandises à destination de Paris. En 1239, l'île de Butry, située en face de Stors, est donnée à l'abbaye du Val par Anseau de l'Isle.

Les droits de dîme sur certaines terres font l'objet d'une convention en novembre 1331 entre l'abbaye Saint-Martin et l'abbaye Saint-Vincent de Senlis. En 1522, le nom de Jean Cossart, avocat au Parlement, est cité comme seigneur du lieu[17].

Les habitants ont des seigneurs spéciaux et un rôle d'imposition à part, distinct de leurs voisins d'Auvers. C'est pour cela qu'ils tiennent leur assemblée indépendamment, où sont nommés les syndics et où sont délibérées les affaires en cours. Elle se tient devant la porte de l'église d'Auvers, mais séparément de celles de la paroisse d'Auvers, et à une date différente. Quand en 1704 la chapelle Saint-Claude est édifiée à Butry[18], l'assemblée se tient devant celle-ci évitant un long détour par Auvers. Les deux seigneuries sont séparées par la croix Hubert. Celle d'Auvers mesure 2 688 arpents, et celle de Butry 355 arpents et sept perches. Le 7 octobre 1783, le prince de Conti revend tous ses domaines dont Butry et Auvers à Monsieur, futur Louis XVIII[19]. En 1790, Butry est rattaché à Auvers, contre la volonté de ses habitants qui demandaient la création d'une commune indépendante.

Monument à une victime civile de l'occupation nazie en 1944.

Le chemin de fer traverse la commune depuis 1846 mais la gare de Valmondois qui la dessert n'est ouverte qu'avec la ligne Ermont - Valmondois en 1876, qui est mise à double voie en 1889. L'île de Butry disparaît lors du chantier de construction du nouveau pont routier et ferroviaire de Mériel. Butry devient au XIXe siècle et début du XXe siècle un lieu de sortie des Parisiens, offrant guinguettes et activités de canotage. Elle accueille à cette époque Robert de Flers et Aristide Bruant. Une auberge fameuse, le Brochet d'Oise, a vu notamment passer durant les années folles Maurice Chevalier, Cécile Sorel (résidente de Mériel), Mistinguett (venue d'Enghien-les-Bains), Yvonne Printemps (résidente de la commune) et Jean Gabin (attaché à Mériel)[réf. nécessaire].

Resté un hameau dépendant d'Auvers-sur-Oise durant 158 ans, elle est devenue une commune indépendante le , la plus jeune de l'actuel Val-d'Oise. Butry a ainsi fait édifier en quelques années durant les années 1950 tous les bâtiments nécessaires à une commune : la mairie, les écoles, l'église, la salle des fêtes et la poste. Autrefois groupée à flanc de coteau, l'urbanisation a progressivement conquis la plaine alluviale de l'Oise. Des lotissements pavillonnaires ont été édifiés durant les années 1970, surtout grâce à la proximité de la gare qui a vu sa desserte améliorée avec l'électrification des lignes qui la desservent en 1969 et 1970. Depuis, Butry-sur-Oise demeure une petite commune à vocation résidentielle.

Politique et administration modifier

La commune est rattachée à l'unité urbaine de L'Isle-Adam.

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[20], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise après un transfert administratif effectif au .

Butry-sur-Oise faisait historiquement partie du canton de la Vallée-du-Sausseron[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Elle fait partie de la juridiction d’instance et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[21],[22].

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Ouen-l'Aumône

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Val-d'Oise.

Intercommunalité modifier

La commune était membre de la communauté de communes de la Vallée de l'Oise et des impressionnistes, créée le 25 novembre 2004.

Toutefois, dans le cadre de l'achèvement de la coopération intercommunale prévue par la loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles, cette intercommunalité a disparu en 2016 et la commune a intégré la communauté de communes Sausseron Impressionnistes[23],[24],[25].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1990 mars 2008 Philippe Legrand DVD  
mars 2008[26] mars 2014 Jacques Derue   Vice-président de la CC de la Vallée de l'Oise et des impressionnistes
mars 2014[27] mai 2020[28] Daniel Desfoux DVG Commercial
mai 2020[29] En cours
(au 11 juillet 2020)
Claude Noël SE Chef d'entreprise retraité
Vice-président de la CC Sausseron Impressionnistes (2020 → )

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1954. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

En 2021, la commune comptait 2 254 habitants[Note 3], en diminution de 0,13 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011
7848188839971 6461 8781 9691 9872 057
2016 2021 - - - - - - -
2 2652 254-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

On peut notamment signaler :

Ce musée initié et entretenu par des bénévoles abrite la collection la plus importante de France sur le thème des chemins de fer secondaires à voie métrique. Elle se compose notamment de dix locomotives à vapeur, trois locotracteurs, trois autorails, vingt-sept voitures voyageurs dont onze restaurées, vingt-huit wagons de marchandises et quatre fourgons. L'essentiel de ce matériel est plus que centenaire, et trente-sept véhicules sont classés ou inscrits comme monuments historiques au titre des objets. Les pièces les plus intéressantes sont exposées dans la halle de quatre voies, qui comporte également une salle d'exposition.
À l'arrière, l'ancien dépôt de la ligne de Valmondois à Marines fermée en 1951 a été restauré et sert de nouveau à la restauration et à l'entretien du matériel. Une courte ligne de démonstration a par ailleurs été reconstruites partir de 1985, sur l'ancien tracé de cette ligne. Les trains y circulaient le premier et le troisième dimanche de chaque mois de début mai à début octobre. Depuis 2017, la ligne a de nouveau disparu, déposée et remplacée par une voie verte. Le Musée reste ouvert pour les groupes et lors des journées européennes du patrimoine ;
  • l’église du Cœur immaculé de Marie, rue de la Division-Leclerc.
Édifiée en 1959, elle possède un chemin de croix, œuvre du graveur Albert Decaris, une Vierge à l'enfant de la fin du XVe siècle ou/et du début du XVIe siècle et une mosaïque de chœur réalisée par l'artiste hollandais J.-B. Sleper[33] ;
  • le pont ferroviaire sur l'Oise.
Il est édifié en métal en 1877 pour permettre à la ligne d'Ermont - Eaubonne à Valmondois de franchir la rivière. L'ouvrage est détruit en juin 1940 par le Génie français afin de ralentir l'avancée des troupes allemandes, puis reconstruit sous l'Occupation par l'armée allemande en raison de sa valeur stratégique. Pendant les combats de la Libération de la France, les forces alliées veulent le détruire de nouveau sans y parvenir, et ce seront finalement les troupes allemandes en retraite qui le font sauter une deuxième fois[33] ;
  • l’hostellerie du Moulin-à-Vent, 13 rue des Rayons.
C'est l'un des plus célèbres hôtels des rives de l'Oise à la fin du XIXe siècle. Pastiche de château fort médiéval en 1845, dans un style troubadour très en vogue à l'époque, il accueillit à la Belle Époque de grands noms de la haute société, baigneurs, canoteurs, venant profiter aux beaux jours de « Butry-Plage ». Une éolienne fournissait de l'eau à l'édifice et alimentait les cascades et étangs des jardins. Le bâtiment est toujours visible aujourd'hui depuis la promenade des berges de l'Oise[33] ;
  • la croix de Butry, rue de Parmain.
Donnée par le propriétaire du château M. Badeuil, cette croix est érigée en 1868 au croisement de plusieurs voies. La croix proprement dite est en fonte et caractéristique de la production en série de l'époque, ajourée et avec une riche ornementation sur la base de motifs végétaux. Le socle octogonal repose sur un soubassement de trois degrés[33] ;
Visible depuis le sentier qui suit les anciennes voies de chemin de fer, il date de la fin du XIXe siècle et se distingue par son élégance, avec un rez-de-chaussée carré en pierre de taille avec des chaînages d'angle, et un premier étage rond entouré d'un balcon, orné de bandeaux horizontaux de briques rouges. En haut, le réservoir métallique se situe à l'air libre. Ce château d'eau servait à alimenter la maison de maître de style Empire appelée château de Butry ;
  • le club d'aviron, 63 rue des Îles.
Face au château de Stors, la maison du club d'activités nautiques de 1949 offre ses services sur l'Oise. Le club est cependant plus ancien que la commune, où le canotage et la natation se pratiquent de bien plus longue date[33].

Personnalités liées à la commune modifier

  • Guillaume Edinger (1850-1926), éditeur français, avait sa résidence de campagne à Butry.
  • Aristide Bruant (1851-1925), chansonnier et écrivain français, habita la commune.
  • Arthur Bernède (1871-1937), écrivain et romancier populaire français, habita également Butry.
  • Robert de Flers (1872-1927), et autres fameux clients réguliers de l'auberge du Brochet d'Oise, ont fréquenté les guinguettes de Butry.
  • Yvonne Printemps (1894-1977), soprano lyrique et actrice dramatique française, y résida dans sa jeunesse et y revint par la suite régulièrement.
  • Dominique Marcas (1920-2022), actrice française, a résidé rue de Parmain à Butry.

Butry-sur-Oise dans les arts et la culture modifier

Charles-François Daubigny : Butry-sur-Oise, Coll. Galerie nationale de Finlande.

Héraldique modifier

Blason de Butry-sur-Oise Blason
D’azur à la crosse et à l’épée d’argent passées en sautoir, chargées d’une cloche d’or bataillée d’argent, accompagnées de trois fleurs de lys aussi d’or, deux aux flancs et une en pointe ; à la champagne ondée d’argent chargée d’un brochet de sable.
Écu timbré de la couronne murale d'or, soutenu par deux gerbes de blé d'or liées d'azur en point
Détails

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Collectif, Butry l’indépendante, Éditions du Valhermeil, 1998, 63 p. (ISBN 2905684895)
  • M. Amiot, Yves Breton, Jean-François Humbert, Amélie Marty et Laure Schauinger, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Butry-sur-Oise », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II,‎ , p. 879-882 (ISBN 2-84234-056-6)
  • Catherine Crnokrak, Agnès Somers et Jean-Yves Lacôte (photographies), La vallée du Sausseron : Auvers-sur-Oise — Val d'Oise, Cergy-Pontoise, Association pour le patrimoine Île-de-France et Conseil général du Val d'Oise, coll. « Images du patrimoine / Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France », , 84 p. (ISBN 2-905913-09-6), p. 27-28
  • Nouveau Guide du Vexin Français, Éd. du Valhermeil, 2002, 363 p. (ISBN 2-913328-30-X)

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Butry-sur-Oise » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Butry-sur-Oise - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Butry-sur-Oise - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Val-d'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Butry-sur-Oise et Pontoise », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Pontoise -Ville » (commune de Pontoise) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Pontoise -Ville » (commune de Pontoise) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. [PDF]Fiche communale d'occupation des sols en 2017 sur le site cartoviz.iau-idf.fr
  16. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Henri Mataigne, Histoire d'Auvers-sur-Oise, Saint-Ouen-l'Aumône, Éditions du Valhermeil, 1985 (première édition : 1906), 256 p. (ISBN 978-2-905684-61-5 et 2-905684-61-5), p. 94.
  18. Fiche de l'Église du Père Théo Mettes sur Topic-Topos.
  19. Henri Mataigne, Ibid., p. 96-97.
  20. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  21. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
  22. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
  23. Arrêté du Préfet de la région Île-de-France n°2015063-0002 du 4 mars 2015.
  24. « Compte-rendu sommaire du conseil communautaire du 14 octobre 2014 » [PDF], sur ccvoi.fr (consulté le ).
  25. « L'agglo de la Vallée de l'Oise vit ses derniers mois », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
  26. Site officiel de la préfecture du Val d‘Oise-liste des maires, 3 août 2009 [PDF]
  27. « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, (consulté le ).
  28. Marie Persidat, « Val-d’Oise : la municipalité de Butry-sur-l’Oise paralysée : Privé de ses délégations par une partie de sa propre équipe, le maire ne peut plus engager la moindre dépense sans passer par le conseil municipal. Trois conseils ont eu lieu en une semaine », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Val-d’Oise : les nouveaux maires enfin installés : Élus dès le premier tour des élections municipales, les nouveaux maires ont dû attendre deux mois pour être intronisés », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ « C'est Claude Noël (SE) qui a pris la tête de la commune, succédant à Daniel Desfoux (SE). Ce dernier, avait connu une fin de mandat pour le moins houleuse (...) Il a préféré jeter l'éponge, sans amertume au vu de la dernière lettre publiée ».
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. a b c d et e M. Amiot, Yves Breton, Jean-François Humbert, Amélie Marty et Laure Schauinger, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Butry-sur-Oise », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II,‎ , p. 879-882 (ISBN 2-84234-056-6).