Camille Blanc (maire)
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| Maire d’Évian-les-Bains | |
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| - | |
Jean Léger (d) Jean Combet (d) |
| Naissance | |
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| Décès | |
| Sépulture |
Cimetière d'Évian-les-Bains (d) |
| Surnom |
L’homme des congrès |
| Nationalité | |
| Activités |
Homme politique, cafetier, résistant, directeur d'hôtel |
| Parti politique | |
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| Membre de | |
| Distinctions |
Camille Blanc, né le à Thonon-les-Bains et mort le à Évian-les-Bains, assassiné par l'OAS, est un homme politique et résistant français.
Parcours politique modifier
Membre de la Résistance, il fait partie du comité local de libération[1].
Maire socialiste (SFIO)[2] d'Évian-les-Bains, président de la commission administrative (1945-1961), il avait été élu en 1945 puis réélu en 1947, 1953 et 1959[3]. Selon le site de la ville d'Evian, il était appelé « l’homme des congrès »[4] parce qu'il œuvrait partout pour la renommée de sa ville. Pacifiste convaincu, il a œuvré pour la paix en Algérie.
Il a fait bâtir de nombreux équipements municipaux dont l'hôpital qui porte son nom et le palais des festivités, qui est le palais des congrès d'Évian-les-Bains[5].
Combattant durant la guerre 1939-1945, il avait été affilié à un réseau de résistance[6].
Assassinat modifier
La ville d'Évian-les-Bains a déjà été la ville d'un défi historique : celui de la définition des conditions de paix en Algérie. Camille Blanc est assassiné en 1961 par l'Organisation armée secrète parce qu'il avait accepté que la conférence pour la signature des accords de paix en Algérie ait lieu à Évian-les-Bains[7].
Décorations modifier
Références modifier
Liens externes modifier
- Ressource relative aux militaires :
- Ressource relative à la vie publique :
- Commémoration du cinquantenaire de l'assassinat de Camille Blanc par l'OAS
- Biographie sur Cité d'Evian
