Manzat
Manzat (prononcé [mɑ̃.za]) Écouter est une commune française située dans le canton de Saint-Georges-de-Mons[Note 1], dans le massif des monts Dôme (chaîne des Puys), en limite septentrionale du parc naturel régional des Volcans d'Auvergne[Note 2], dans le département du Puy-de-Dôme, en Auvergne-Rhône-Alpes.
Manzat | |||||
Pietà de l'église. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Puy-de-Dôme | ||||
Arrondissement | Riom | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Combrailles Sioule et Morge (siège) |
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Maire Mandat |
José Da Silva 2020-2026 |
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Code postal | 63410 | ||||
Code commune | 63206 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Manzatois ou Manzatous | ||||
Population municipale |
1 408 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 36 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 57′ 42″ nord, 2° 56′ 29″ est | ||||
Altitude | Min. 528 m Max. 979 m |
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Superficie | 39,06 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Clermont-Ferrand (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Georges-de-Mons | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | manzat.fr | ||||
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Elle est également le siège de la communauté de communes Combrailles Sioule et Morge, communauté de communes créée le .
Géographie
modifierManzat est à 10 km du carrefour des axes autoroutiers nord-sud Paris – Béziers (A71 et A75) et transversal est-ouest Lyon – Thiers – Ussel – Brive – Périgueux – Bordeaux (A89).
Communes limitrophes
modifierHuit communes sont limitrophes de Manzat[1] :
Lieux-dits, écarts et villages de la commune
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Liste des volcans de la commune
modifier- Au nord, le puy de Montiroir
- À l'est, le puy de Chalard[Note 4]
- Au sud, le puy Charve, le puy de la Botte, le maar de Laty, la roche Sauterre.
Voies de communication et transports
modifierLa commune est parcourue par l'autoroute A89 appelée aussi La Transeuropéenne. On trouve sur le territoire la sortie 27, à cinq kilomètres en direction de Riom, ainsi qu'une aire de service. L'échangeur entre les autoroutes A89 et A71 est à dix kilomètres, sur la commune de Combronde.
Par ailleurs, la commune est située à quarante minutes de Clermont-Ferrand (23 km en distance orthodromique) et seize minutes des Ancizes-Comps[Note 5] (11 km en distance orthodromique).
Le territoire communal est également desservi par les routes départementales 227 (liaison de Saint-Gervais-d'Auvergne à Riom), 19 (des Ancizes-Comps et Saint-Georges-de-Mons à l'ouest et Combronde à l'est), 50, 413, 416 et 418[1].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 878 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gervais-d'Auvergne », sur la commune de Saint-Gervais-d'Auvergne à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 9,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 825,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Manzat est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (67,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (45,1 %), forêts (31,7 %), zones agricoles hétérogènes (20,7 %), zones urbanisées (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
modifierPréhistoire
modifierManzat est bâtie sur un site peuplé dès le Néolithique.
Le nom de Manzat est probablement d'origine très ancienne, prélatine. Il viendrait du mot Mannius puis Mannicius.
Antiquité
modifierLe bourg de Manzat se trouve sur la voie romaine qui relie Riom à Évaux-les-Bains. Une partie de cette voie est encore visible au milieu du XXe siècle, au hameau du Montel.
Le musée de Clermont possède une bouteille cylindrique gallo-romaine en verre[Note 9] renfermant des ossements calcinés. Au milieu de ces ossements, on a trouvé un moyen bronze de Domitien.
Un texte anonyme du XIXe siècle mentionne qu’un particulier[Note 10] possède une borne milliaire d'époque romaine.
Moyen Âge
modifierEn 1163, Manzat s'appelle Amanziaco puis Manzac en 1392[12].
Guillaume de Manzat, damoiseau et Agnès, sa femme, font une vente à la chartreuse de Port-Sainte-Marie en 1299.
Époque moderne et contemporaine
modifierPremière Guerre mondiale
modifierLa guerre de 1914-1918 fait quatre-vingts victimes, un nombre supérieur à la moyenne française.
Seconde Guerre mondiale
modifierEn 1941, la commune accueille le 662e groupement de travailleurs étrangers (GTE) dirigé par le capitaine Rougier, où sont cantonnés près d'un millier d'Espagnols, exilés républicains venus des camps d'internement du sud de la France. Rougier crée le « groupe artistique de travailleurs espagnols », animé par Julián Antonio Ramírez et Adeilta del Campo.
La circulation de cette troupe, composée principalement d'exilés républicains espagnols mais aussi de juifs cachés par le capitaine Rougier dans le GTE, permet de faire des liens avec la résistance locale.
L'ancien canton de Manzat est une terre de maquis, en particulier pour les Francs-tireurs et partisans sous la direction de Jean Bac.
Deux résistants de la commune sont fusillés, l'un par la Milice, l'autre par les Allemands. Ainsi, deux stèles sont élevées en leur honneur ; l'une au village de la Bessède, l'autre sur le bord de la route qui va à Châteauneuf-les-Bains[Note 12]. Un camp d'internement est installé à Manzat durant une partie de cette guerre.
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune de Manzat est membre de la communauté de communes Combrailles Sioule et Morge un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont elle est le siège. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[13]. Elle était jusqu'en 2016 le siège de la communauté de communes Manzat communauté[14].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Riom, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes. Jusqu'en , elle était chef-lieu de canton[15].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Georges-de-Mons pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015, et de la deuxième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010 (sixième circonscription avant 2010)[15].
Élections municipales et communautaires
modifierÉlections de 2020
modifierLe conseil municipal de Manzat, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[16], pour un mandat de six ans renouvelable[17]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15[18]. Les quinze conseillers municipaux, issus d'une liste unique, sont élus au premier tour, le , avec un taux de participation de 40,75 %[19].
Trois sièges ont été attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes Combrailles Sioule et Morge[19].
Chronologie des maires
modifierJumelage
modifierManzat a développé des actions de jumelage avec Saint-Crespin-sur-Moine depuis le 15 juillet 2000. La commune, aujourd'hui commune déléguée de la commune nouvelle de Sèvremoine, est située dans le département de Maine-et-Loire, à 396 kilomètres.
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].
En 2021, la commune comptait 1 408 habitants[Note 13], en évolution de +3,07 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Éducation
modifierOn trouve à Manzat :
- une école maternelle
- une école primaire
- un collège public
- une médiathèque[27]
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierPatrimoine civil
modifier- Deux fontaines jumelles[Note 14] en pierre de Volvic, séparées de quelques dizaines de mètres.
- La tour médiévale du Montel, datant du XIIe siècle[28].
Patrimoine religieux
modifier- L'église Notre-Dame-de-l'Assomption de Manzat
L'église de Manzat est de style gothique. Elle est consacrée le par l'abbé Guillaume Chardon et remplace une église du XIe siècle, plus petite, fortifiée et de style roman, dont il n'est parvenu aucune représentation, mais qui devait ressembler à l'église Saint-Léger de Royat avant sa restauration du XIXe siècle.
L'église actuelle contient plusieurs éléments remarquables :
- Une pietà en bois de noyer, du XVIIe siècle, donnée par la famille de Pontgibaud et provenant de la chapelle dite de Pontgibaud à la chartreuse de Port-Sainte-Marie.
- Le chœur de l'église est orné de stalles en bois du XVIIe siècle qui proviennent de l'église conventuelle de la chartreuse de Port-Sainte-Marie.
- L'église renferme aussi deux bas-reliefs en bois ; l'un, du XVIIe siècle, représente saint Pierre ; l'autre figurant saint Paul est daté du XVIIIe siècle.
- La grotte-de-Lourdes
Elle est consacrée en 1946.
Patrimoine naturel
modifier- Le volcan du Chalard ou puy de Chalard.
- La cheire du puy de Chalard.
- La roche Sauterre, point culminant de la commune et de la région naturelle des Combrailles, atteignant 977 mètres d'altitude.
- L'étang de Lachamp et les sources de la Morge.
- La source de l'Ambène, au pied de la roche Sauterre.
- Le tilleul du hameau des Taravelles.
- La mare du village des Cheix.
- Le ruisseau-chaud, source d'eau tiède où on lave le linge jusqu'au XXe siècle lorsque l'eau du lavoir est gelée[Note 17].
Personnalités nées à Manzat
modifier- Pierre de Manzat, troubadour[29],[Note 18].
- François Delarue (1788-1842), médecin et auteur de nombreux ouvrages sur la médecine.
Héraldique
modifierBlason | D’argent à la branche de genêt de cinq rameaux de sinople, fleuris d’or de 30 pièces |
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Détails | Ce blason, adopté par le conseil municipal en délibération du 15 mars 1959, est composé à partir du genêt, plante présente sur le territoire de la commune et qui fait allusion au nom du patron de la paroisse de saint Genêt. Le saint patron de la commune est saint Roch, représenté par un pèlerin accompagné d'un chien. Blason officiel de la commune. |
Divers
modifier-
Jeu ancestral du cou de l'oie.
Annexes
modifierBibliographie
modifier- Histoire littéraire des troubadours - Leurs vies, les extraits de leurs pièces, et plusieurs particularités sur les mœurs, les usages, et l'histoire du douzième et du treizième siècles, 1802, Artaud, Paris.
- F. C. Busset, Atlas topographique, statistique et géologique du Puy-de-Dôme, document cartographique, [s.n.], 1827-1829
- Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie nord-occitane, Éditions Sud Ouest, Collection Sud Ouest Université, Bordeaux, 2003 [une illustration cartographique de Manzat fait d'ailleurs la couverture de l'ouvrage].
- Guillaume Maury, Atlas du département du Puy-de-Dôme par cantons, document cartographique, 12e feuille, 1844
- Eugène Tallon, Chemin de fer de Montluçon à Clermont par Saint-Eloi, Manzat et Volvic, Versailles, 1874
- G. Garde, Les anciens volcans de la région de Manzat (Puy-de-Dôme), Tome 22, 1922, dans le Bulletin de la Société Géologique de France
- Notre clocher : Bulletin paroissial de Manzat- L'Ave manzatois, 1946
- Madeleine Ameil, Les Tufs viséens et les mirogranites de la région de Manzat (Puy-de-Dôme), Paris, 1963
- Manzat : célébration du centenaire de la Mairie, 13, 14, , Mairie de Manzat, 1984
- Michel Provost, Christine Menessier-Jouannet, Le Puy-de-Dôme, Académie des inscriptions et belles-lettres, Paris, 1994
Articles connexes
modifier- Roche Sauterre
- Liste des communes du Puy-de-Dôme
- Liste des anciennes communes du Puy-de-Dôme
- Région naturelle des Combrailles
- Volcans d'Auvergne
Liens externes
modifierNotes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Le canton de Saint-Georges-de-Mons, officiellement créé depuis le 22 mars 2015, date des premières élections départementales suivant le décret du 21 février 2014, regroupe les anciens cantons de Manzat, Combronde et Menat.
- Manzat n'est plus adhérente du parc naturel régional des volcans d'Auvergne depuis 2012.
- Vue sur le village des Vaudelins.
- Jusque dans les années 1970, avant que le boisement n’envahisse son sommet, le volcan du Chalard possédait un remarquable belvédère qui permettait de voir son cratère typique en fer à cheval ainsi qu'une vue sur l’ensemble du Parc des Volcans, la plaine de Limagne, les monts du Forez et les Combrailles.
- Chiffres calculés d'après le site mappy.com.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Localisation : muséum de Toulouse – (82 × 51 × 19 mm) – numéro d'inventaire : MHNT PRE.2009.0.218.1
- Hache conservée au Muséum d'histoire naturelle de Toulouse
- Recueillie en 1880.
- Monsieur Vallet
- La tour médiévale de Montiroir a aujourd'hui disparu.
- Un monument aux morts commémore le souvenir des Manzatois morts pour la France. Voir les noms des victimes inscrites sur le monument aux morts de la commune de Manzat.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Ces deux fontaines sont semblables, jusque dans leurs décorations. Malheureusement, l'une d'elles a perdu deux de ses éléments sur le fût central.
- aujourd'hui disparus
- Ce manoir a laissé place à l'actuel collège René Cassin.
- Cette source est canalisée depuis la seconde moitié du XXe siècle.
- Certains biographes le font naître à Mainsat en Creuse.
- prononcée [ ʒɑ̃.blɛt]. En raison de la forme de ce gâteau rappelant une petite jambe, le mot « jambelette » est formé du préfixe « jambe » et du suffixe diminutif « elette ». (À l'image du mot « côtelette » composé de « côte » et du suffixe diminutif « elette »
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de la mairie
modifier- « Maires de Manzat » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Carte de Manzat sur le site Géoportail de l'IGN (consulté le 26 janvier 2017).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Manzat et Saint-Gervais-d'Auvergne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Gervais-d'Auvergne », sur la commune de Saint-Gervais-d'Auvergne - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Gervais-d'Auvergne », sur la commune de Saint-Gervais-d'Auvergne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie nord-occitane Périgord, Limousin, Auvergne, Vivarais, Dauphiné, Sud Ouest, Luçon, 2003. (ISBN 978-2-87901-507-1). Référence à la page 50.
- « CC Combrailles Sioule et Morge (No SIREN : 200072098) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
- « CC Manzat Communauté (No SIREN : 246300834) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
- « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
- Loi no 2013-403 du relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51, et son décret d'application no 2013-938 du .
- « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL.
- Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
- « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], sur mairesruraux63.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ), p. 5.
- Supplément « Annuaire des maires Puy-de-Dôme », La Montagne, , p. 29 (édition du Puy-de-Dôme).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- http://www.manzat.fr/pp_rub.asp?ref_rubrique=12
- René Bouscayrol, « Sous l'œil de Couthon : le recensement des tours et châteaux-forts dans les cantons d'Artonne, Combronde et Manzat », Brayauds et Combrailles, no 37, 1983
- Histoire littéraire des troubadours - Leurs vies, les extraits de leurs pièces, et plusieurs particularités sur les mœurs, les usages, et l'histoire du douzième et du treizième siècles, 1802, Artaud, Paris.