Charles-Pierre Boullanger
Charles-Pierre Boullanger, né le à Paris et mort dans la même ville le , est un ingénieur géographe français à bord du Géographe au départ de l'expédition Baudin.
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Éléments biographiques
modifierCharles-Pierre Boullanger, né à Paris le [1],[2], est le petit-neveu de Nicolas Antoine Boulanger. Il se présente en 1794 au jury de sélection de la première promotion de l'École polytechnique[3],[4],[5],[Note 1] et est reçu dans la promotion du 28 ventôse an III ()[6],[7]. Il y entre le 2 germinal an III (), et cesse d'en faire partie le 1er nivôse an VI () « y ayant passé le temps prescrit par la loi[8] ». Il s'est présenté en effet avec succès au difficile concours d’entrée à l'École des géographes récemment créée en 1797 que fait passer le mathématicien Laplace.
Les ingénieurs des camps et armées du roi, ou ingénieurs-géographes militaires du Dépôt de la Guerre apparaissent en France à la fin du XVIIe siècle[9]. Les besoins accrus sous la Révolution avec la départementalisation et la création du cadastre font abandonner l'apprentissage sur le tas au profit d'une formation plus conforme à l'évolution du métier. Malgré la suppression du corps des ingénieurs-géographes militaires en 1791, sous la pression du Génie militaire, la Convention les rétablit provisoirement[10]. Lors de la création de l'École centrale des Travaux publics (future École polytechnique), Galon, nommé en directeur du Dépôt général de la guerre de terre et de mer et de la géographie, défend vivement l'autonomie de la formation des ingénieurs-géographes[11].
Le recrutement parmi les polytechniciens, qui est imposé par la loi du 30 vendémiaire an IV ()[12] dans les autres services publics, est ouvertement réclamé sous le Consulat, afin d'élever le niveau théorique des ingénieurs-géographes militaires[13]. Après un projet de cours révolutionnaire, le bureau du cadastre de Prony – service civil employant également des ingénieurs-géographes - s'y rallie. L'École des géographes, créée par la loi du 30 vendémiaire an IV () et l'arrêté du 10 thermidor an IV (), ouvre ses portes au printemps 1797, dans le bureau du cadastre ; associée à l’École nationale aérostatique[14], elle est dirigée par Prony[15],[Note 2].
Boullanger intègre cette nouvelle école le 5 messidor an VI (), en sort après une scolarité de deux ans le 27 thermidor an VIII ()[17], et, deux mois plus tard, le 27 vendémiaire an IX (), il part du Havre à bord du Géographe[18] que commande Baudin pour un voyage de découvertes aux terres australes. Lui et son collègue Faure[19] embarqué sur le Naturaliste sont les deux ingénieurs hydrographes de l'expédition. Prony, nommé le 29 brumaire an IV () dès l'origine[20] membre de l'Institut national et à l'époque secrétaire de l'Académie des sciences[21], n'est sans doute pas étranger à la présence de ses deux anciens élèves de l'école des géographes.
L'expédition est en effet soigneusement préparée et l’Institut, récemment créé en 1795 pour remplacer les anciennes académies supprimées par la Convention, joue un rôle déterminant en créant à cet effet une commission comprenant la fine fleur des savants de l’époque : Lacépède, Jussieu, Laplace, Cuvier, Bougainville, Fleurieu, Bernardin de Saint-Pierre, et quelques autres moins célèbres. C’est la première fois, dans l’histoire des voyages de découvertes, qu’est mis à contribution un tel nombre de sommités scientifiques, chargées de préparer les instructions qui seraient données au chef de l’expédition[22].
Boullanger conduit le petit groupe envoyé le par Baudin sur l'île Maria[23] (Tasmanie). Lorsque Baudin décide à Port Jackson[a 1] de renvoyer en France le Naturaliste et de le remplacer par le Casuarina, Faure rejoint Boullanger sur le Géographe le [19], ce qui permet à ce dernier de passer ensuite à deux reprises sur la goélette le Casuarina, d'abord du 7 au , puis du au [18], afin de cartographier avec L. de Freycinet. C’est lui que l’on peut considérer comme le principal auteur de la carte de la Tasmanie (côte orientale de l’Australie)[24],[25],[26],[27],[28] ; on trouve aussi sa signature sur bien d'autres cartes : Terre Napoléon[29],[30],[31],[32],[33],[34],[35], Terre de Witt[36],[37],[38],[39] et ville de Sydney[40].
Dans leur pratique géographique, Boullanger et Faure intégrèrent les méthodes tout récemment mises au point par l’ingénieur-géographe Beautemps-Beaupré, mais en utilisant parallèlement les méthodes de relèvement plus traditionnelles, à la boussole notamment, multipliant par là-même les mesures. À la manière de Beautemps-Beaupré, ils relèvent avec le cercle à réflexion la position et la route de l’expédition ainsi que les points remarquables des côtes. Ils font leurs mesures conjointement avec l’astronome de l’expédition, Bernier, et certains officiers, particulièrement les frères Louis et Henri de Freycinet.
Dès le retour du voyage de découvertes aux terres australes, Boullanger, qui souffre déjà d'une fort mauvaise vue[17], est le premier polytechnicien à intégrer en le dépôt des cartes et plans de la Marine[41],[42]. En 1811 on le trouve sous les ordres de Beautemps-Beaupré pour l'établissement des cartes des bouches de l'Escaut et de la Meuse[17]. Ingénieur hydrographe de 2e classe, il meurt en activité le [2],[43], sa santé étant mauvaise depuis le retour de l'expédition Baudin[17].
Cartographie
modifierSur les cartes de l'Australie, Boullanger a laissé son nom :
- à la baie Boullanger (en)[44],[45], dans le détroit de Bass[a 2] entre le Victoria et la Tasmanie dans le sud-est de l'Australie, qui fait face aux îles Hunter[44],[a 3] ;
- au cap Boullanger[46],[24],[a 4], à l'extrémité nord de l'île Maria[47],[44],[a 5], une île montagneuse située dans la mer de Tasman au large de la côte est de la Tasmanie ;
- au cap Boullanger[48], le point le plus septentrional de l'île Dorre[a 6],[49] situé face au cap Couture de la pointe sud de l'île Bernier[a 7], deux îles qui ferment la baie Shark[a 8], sur la côte ouest de l'Australie-Occidentale ;
- au cap Boullanger à la pointe la plus méridionale de l'île Rottnest[50],[35],[a 9] au large de l'Australie-Occidentale ;
- à l'île Boullanger (en) [a 10],[51] au large des côtes de l'Australie-Occidentale, où vit une espèce de souris marsupiale endémique, Sminthopsis boullangerensis.
Bibliographie
modifierBibliographie
modifier- Expédition Baudin
- François Péron, Voyage de découvertes aux Terres Australes, exécuté par ordre de sa Majesté, l’Empereur et Roi, sur les corvettes le Géographe, le Naturaliste et la goëlette le Casuarina, pendant les années 1800, 1801, 1802, 1803 et 1804 : Livre I, de France à l'Île-de-France, inclusivement, t. 1er, Paris, Imprimerie impériale, , 1re éd., 496 p. (lire en ligne).
- François Péron et Louis Claude de Saulces de Freycinet, Voyage de découvertes aux Terres Australes, exécuté par ordre de sa Majesté, l’Empereur et Roi, sur les corvettes le Géographe, le Naturaliste et la goëlette le Casuarina, pendant les années 1800, 1801, 1802, 1803 et 1804 : Livre I, de France à l'Île-de-France, inclusivement, t. 1er, Paris, Arthus Bertrand, , 2e éd., 400 p. (lire en ligne).
- François Péron et Louis Claude de Saulces de Freycinet, Voyage de découvertes aux Terres Australes, exécuté par ordre de sa Majesté, l’Empereur et Roi, sur les corvettes le Géographe, le Naturaliste et la goëlette le Casuarina, pendant les années 1800, 1801, 1802, 1803 et 1804 : Livre III, de Timor à Port Jackson inclusivement, t. 2e, Paris, Arthus Bertrand, , 2e éd., 532 p. (lire en ligne).
- François Péron et Louis Claude de Saulces de Freycinet, Voyage de découvertes aux Terres Australes, exécuté par ordre de sa Majesté, l’Empereur et Roi, sur les corvettes le Géographe, le Naturaliste et la goëlette le Casuarina, pendant les années 1800, 1801, 1802, 1803 et 1804 : Livre IV, de Port Jackson à la Terre d'Arnheim, t. 3e, Paris, Arthus Bertrand, , 2e éd., 432 p. (lire en ligne).
- François Péron et Louis Claude de Saulces de Freycinet, Voyage de découvertes aux Terres Australes, exécuté par ordre de sa Majesté, l’Empereur et Roi, sur les corvettes le Géographe, le Naturaliste et la goëlette le Casuarina, pendant les années 1800, 1801, 1802, 1803 et 1804 : Suite du Livre IV, de Port Jackson à la Terre d'Arnheim, inclusivement retour en Europe, t. 4e, Paris, Arthus Bertrand, , 2e éd., 356 p. (lire en ligne).
- Charles Alexandre Lesueur et Nicolas-Martin Petit, Voyage de découvertes aux Terres Australes, exécuté par ordre de sa Majesté, l’Empereur et Roi : Atlas par MM. Lesueur et Petit, Paris, Langlois, , 96 p. (lire en ligne).
- Louis Claude de Saulces de Freycinet, Voyage de découvertes aux Terres Australes, historique : Atlas, deuxième partie, Paris, Langlois, , 42 p. (lire en ligne).
- Louis Claude de Saulces de Freycinet, Voyage de découvertes aux Terres Australes, historique : Atlas, t. 3e, Paris, , 32 p. (lire en ligne) sur Bibliothèque nationale d'Australie.
- « Illustrations de Voyage de découvertes aux terres australes, exécuté sur les corvettes le Géographe, le Naturaliste et la goëlette le Casuarina, pendant les années 1800, 1801, 1802, 1803 et 1804 » lire en ligne sur Gallica
- Louis Claude de Saulces de Freycinet, Voyage de découvertes aux Terres Australes, exécuté par ordre de sa Majesté, l’Empereur et Roi, sur les corvettes le Géographe, le Naturaliste et la goëlette le Casuarina, pendant les années 1800, 1801, 1802, 1803 et 1804 : Navigation et géographie, Paris, Imprimerie royale, , 2e éd., 576 p. (lire en ligne).
- Louis Claude de Saulces de Freycinet, Voyage de découvertes aux Terres Australes, exécuté par ordre de sa Majesté, l’Empereur et Roi, sur les corvettes le Géographe, le Naturaliste et la goëlette le Casuarina, pendant les années 1800, 1801, 1802, 1803 et 1804 : Navigation et géographie, Paris, Imprimerie royale, , 2e éd., 576 p. (lire en ligne) lire en ligne sur Gallica.
- Louis Claude de Saulces de Freycinet, Voyage de découvertes aux Terres Australes, exécuté par ordre de sa Majesté, l’Empereur et Roi, sur les corvettes le Géographe, le Naturaliste et la goëlette le Casuarina, pendant les années 1800, 1801, 1802, 1803 et 1804 : Navigation et géographie, Paris, Imprimerie royale, , 2e éd., 576 p. (lire en ligne).
- Ouvrages contemporains
- Jean Bourgoin et Étienne Taillemite (article publié dans la revue trimestrielle XYZ de l'Association Française de Topographie), « L'expédition Baudin en Australie 1800 - 1804 », Revue XYZ, no 91, (lire en ligne)
- Dany Bréelle (Flinders University, Adélaïde, Australie) (vol. composé et éd. par Michel Jangoux), Portés par l'air du temps : les voyages du capitaine Baudin (Études sur le XVIIIe siècle), Bruxelles, Éditions de l'Université de Bruxelles, , 289 p. (ISBN 978-2-8004-1486-7 et 2-8004-1486-3, OCLC 778760607, présentation en ligne, lire en ligne), chap. XXXVIII (« Les géographes de l’expédition Baudin et la reconnaissance des côtes australes »), p. 213-223.
Articles connexes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- « On les avait cherchés dans toute la France, presque toute la France d'alors, sauf quelques territoires comme la ville de Lyon jugés trop réactionnaires pour qu'on puisse avoir confiance en leurs enfants. On avait envoyé dans un pays déchiré et affamé des examinateurs choisis parmi les savants les plus reconnus pour vérifier quels candidats étaient dignes d'entrer dans une école conçue par des savants encore plus éminents. Cette institution révolutionnaire – comme tout ce qui se pensait et se faisait en cette époque ! – serait chargée de préparer les futures élites de la nation. Son premier nom : l'École centrale des travaux publics.
Dans les villes et les campagnes, officiels et colporteurs faisaient l'article : on recherchait jeunes gens doués et remplis d'amour pour la patrie ! Des garçons, évidemment, la question de l'admission des filles ne se posait même pas. Enseignants, précepteurs de bourgeois, prêtres constitutionnels ou réfractaires, officiers responsables de leur régiment et capables d'y repérer des têtes bien faites ou bien pleines les avaient envoyées à ces jurys mobiles venus à Clermont-Ferrand comme à Bordeaux, à Mézières comme à Dun-Libre, le nouveau nom laïcisé de Dun-Église, ou Dunkerque. Et c'est ainsi que se firent, dans vingt deux centres d'examen, des sélections défiant toutes les traditions en vigueur de tri des responsables : le mérite et le savoir commençaient à remplacer les titres et la fortune[4]. » - Durant sa brève existence, de 1797 à 1802, l'école des géographes bénéficie, théoriquement du moins, d'un niveau plus homogène et plus élevé que le dépôt de la Guerre. Mais le problème des débouchés s'y pose avec plus d'acuité encore, malgré la loi censée assurer aux sortants une place tant au cadastre qu'au dépôt de la Guerre. La fusion des deux cursus, par l'intégration du dépôt au système polytechnicien, et un véritable statut d'ingénieur-géographe semblent la seule issue. Après l'échec d'une première tentative en 1802-1803, le dépôt général de la guerre en récupère l'héritage lors de la création de l'École impériale des ingénieurs-géographes en 1809[16].
Références
modifier- « Acte de naissance (vue 9/21) », sur Archives de Paris
- Guillaume de Tournemire, « Charles Pierre BOULLANGER », sur le site de généalogie Geneanet (consulté le ).
- « Des débuts révolutionnaires », sur Bibliothèque centrale - École polytechnique
- « Les conscrits de l'An 4 », sur SABIX (société des amis de la bibliothèque de l'X)
- « Boullanger, Charles Pierre (X 1794 ; 1772-1813) », sur École polytechnique
- Correspondance sur l'École impériale polytechnique sur Google Livres
- Ambroise Fourcy, « Histoire de l'École polytechnique, promotion de 1794 (An III) (p. 392) », sur Gallica
- Patrice Bret, « Le Dépôt général de la Guerre et la formation scientifique des ingénieurs-géographes militaires en France (1789-1830) », sur HAL archives-ouvertes
- Ambroise Fourcy, « Histoire de l'École polytechnique (p. 11) », sur Gallica
- Ambroise Fourcy, « Histoire de l'École polytechnique (p. 30) », sur Gallica
- « L’ingénieur-savant, 1800-1830 », sur Bibnum
- Patrice Bret, « L'autonomisation d'une profession : de l'ingénieur surnuméraire à l'Ecole d'application des ingénieurs-géographes (1763-1809) »
- Ambroise Fourcy, « Histoire de l'École polytechnique (p. 135) », sur Gallica
- Ambroise Fourcy, « Histoire de l'École polytechnique (p. 380) », sur Gallica
- Jean-François Brun, « Les ingénieurs géographes : la science au service de l'Empire », sur NAPOLEON.org,
- À la mer comme au ciel (p. 778) sur Google Livres
- « Voyage de découvertes aux terres australes (Tome 5 : Navigation et géographie, 1815) p. 16/604 »
- « Voyage de découvertes aux terres australes (Tome 5 : Navigation et géographie, 1815) p. 19/604 »
- « Les membres du passé dont le nom commence par P », sur Académie des Sciences
- « Secrétaires de la 1re classe de l’Institut (Académie des sciences) [an IV (1795) - an XI (1803)] », sur Académie des Sciences
- L'expédition Baudin en Australie 1800 - 1804, p. 37
- Dany Bréelle, « Les géographes de l'expédition Baudin et la reconnaissance des côtes australes »
- Boullanger, Faure et H. et L. Freycinet, « Carte générale de la côte orientale de la Terre de Diemen », janvier, fevrier et mars 1802
- L. Freycinet, H. Freycinet, Faure et Boullanger, « Carte particulière de la côte sud-est de la Terre de Diemen »,
- L. Freycinet, Faure et Boullanger, « Carte d'une partie de la côte orientale de la Terre de Diemen »,
- Boullanger et Faure, « Plan de l'Île Maria sur la côte orientale de la Terre de Diemen », février 1802, décembre 1803
- L. Freycinet et Boullanger, « Carte des Îles Hunter »,
- Boullanger, Faure, H. Freycinet et Bernier, « Carte d'une partie de la Terre Napoléon (à la Nouvelle-Hollande) », mars, avril et décembre 1802
- H. Freycinet, Bernier et Boullanger, « Carte d'une partie de la Terre Napoléon (à la Nouvelle-Hollande) », mars et avril 1802
- L. Freycinet et Boullanger, « Carte de l'Île Decrès (à la Terre Napoléon, Nouvelle-Hollande) », avril 1802 & janvier 1803
- L. Freycinet, Boullanger, H. Freycinet et Bernier, « Carte d'une partie de la Terre Napoléon (à la Nouvelle-Hollande) », avril 1802 & février 1803
- L. Freycinet, Boullanger, H. Freycinet et Bernier, « Carte d'une partie de la Terre Napoléon (à la Nouvelle-Hollande) », avril 1802, janvier & février 1803
- L. Freycinet, Boullanger, H. Freycinet et Bernier, « Carte d'une partie de la Terre Napoléon (à la Nouvelle-Hollande) », mai 1802 & février 1803
- L. Freycinet, H. Freycinet, Heirisson et Boullanger, « Carte d'une partie des Terres de Leuwin et d'Edels (a la Nouvelle Hollande) »,
- L. Freycinet, Boullanger et Ronsard, « Carte d'une partie de la Terre de Witt (à la Nouvelle-Hollande) », années 1801 & 1803
- L. Freycinet, Boullanger et Ronsard, « Carte d'une partie de la Terre de Witt (à la Nouvelle-Hollande) », années 1801 & 1803
- L. Freycinet, Boullanger et Ronsard, « Carte d'une partie de la Terre de Witt (à la Nouvelle-Hollande) », années 1801 & 1803
- L. Freycinet, Boullanger et Ronsard, « Carte d'une partie de la Terre de Witt (à la Nouvelle-Hollande) », années 1801 & 1803
- Lesueur et Boullanger, « Plan de la ville de Sydney : (Capitale des colonies Anglaises aux Terres Australes) », novembre, 1802
- À la mer comme au ciel (p. 578) sur Google Livres
- Olivier Chapuis, « Une filière prometteuse », sur SABIX (société des amis de la bibliothèque de l'X)
- « Acte de décès (vue 39/51) », sur Archives de Paris
- « Voyage de découvertes aux terres australes (Atlas, deuxième partie, 1811) p. 18/42 »
- L. Freycinet, « Carte trigonométrique des Îles Hunter »,
- « Voyage de découvertes aux terres australes (Atlas, deuxième partie, 1811) p. 14/42 »
- (en) « Cap Boullanger (24°59′48"S 113°06′54″E) », sur Google Maps
- « Voyage de découvertes aux terres australes (Atlas, deuxième partie, 1811) p. 34/42 »
- (en) « Île Boullanger (30°18′55″S 115°00′13″E) », sur Google Maps
Références dans l'atlas
modifier- (en) « Atlas », sur tageo.com (consulté le ).
- (en) « Port jackson (Oceania/Australia/New south wales) »
- (en) « Bass strait (Oceania/Australia/Victoria) »
- (en) « Hunter island (Oceania/Australia/Queensland) »
- (en) « Cape boullanger (Oceania/Australia/Tasmania) »
- (en) « Maria island (Oceania/Australia/Tasmania) »
- (en) « Dorre island (Oceania/Australia/Western australia) »
- (en) « Bernier island (Oceania/Australia/Western australia) »
- (en) « Shark bay (Oceania/Australia/Western australia) »
- (en) « Rottnest island (Oceania/Australia/Western australia) »
- (en) « Boullanger island (Oceania/Australia/Western australia) »
Liens externes
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- Ressource relative aux beaux-arts :
- « L’École Polytechnique et les hydrographes de la Marine », sur SABIX (société des amis de la bibliothèque de l'X)
- Margaret Sankey, Les journaux de l’expédition scientifique de Nicolas Baudin (1800-1804) et la construction du savoir scientifique (lire en ligne).