Parmi les premiers dendromètres, « on trouve, entre autres, la célèbre croix du bûcheron, le dendromètre de Franck et le dendromètre de Christen, mais ils ont tous été progressivement supplantés puis remplacés par les seconds, au sein desquels se distinguent notamment le Blume-Leiss, le Suunto, le Haga, le relascope de Bitterlich et surtout, aujourd’hui, des dendromètres intégrant les technologies ultrasoniques (Forestor vertex) ou laser (Criterion, Forestor vertex laser, LaserAce, par exemple)[2] ».
Il est associé au compas forestier qui permet de déterminer la diamètre d'un tronc, pour estimer le volume des arbres sur pied et, par extrapolation statistique, le volume de bois d'une parcelle ou d'une forêt[3].
↑Manuel d'inventaire forestier avec références particulières aux forêts tropicales hétérogènes, Food and Agriculture Organization of the United Nations, , p. 104-108.
Jacques Rondeux, La mesure des arbres et des peuplements forestiers, Presses agronomiques de Gembloux, (lire en ligne), p. 53-77
Jean Prioton, Jean Pardé. Un nouveau dendromètre français : l’altamètre. Revue forestière française, 1959, 2, pp.104-106. 10.4267/2042/27471. hal-03382097 https://hal.science/hal-03382097/document