Discussion:Éructation

Les phrases suivantes n'ont pas leur place dans "Description physiologique". Il s'agirait de trouver autre chose.

"Le record du monde du rot le plus fort est attribué à Paul Hunn, de Londres (Royaume-Uni), ayant atteint 118,1 décibels soit l'équivalent d'une tronçonneuse en fonctionnement. Des sons artificiels comme ceux survenant lors de la fermeture des Tupperwares peuvent avoir une signature auditive très proche."

Mir (locution interjective et nom de l'association)

Je ne suis pas d'accord avec le retrait de la phrase suivante : "La plupart des enfants et un nombre croissant d'adultes considèrent cependant le rot avec humour et défi. Un usage récent, se rapprochant des souhaits adressés aux personnes qui éternuent, consiste à conclure par la locution interjective Mir une éructation de son interlocuteur." En effet, j'ai moi-même à de nombreuses reprises constaté cet usage, variant il est vrai selon les régions. Quant au lien vers l'association défendant l'éructation, il n'a pas moins sa place ici que les nombreuses associations listées dans cet article par exemple (utiles pour ceux souhaitant approfondir le sujet). Je les réinsère donc, dans l'attente d'une éventuelle discussion. Mayerwin 13 novembre 2007 à 10:58 (CET)

Avaler trop rapidement n'est pas une cause valide...

Je ne sais pas d'où cette "information" sort, mais on "avale" pas suffisamment d'air pour éructer, c'est physiologiquement très improbable pour commencer. Ce passage relève de la légende passée de génération en génération pour éviter que les enfants ne se goinfrent et finissent par être nauséeux, puisque manger trop vite a tendance à faire passer outre le déclenchement du seuil de satiété.

Les boissons gazeuses surchargées en dioxyde de carbone et autres bricoles vont par contre après ingestion produire du gaz dans l'estomac (le bicarbonate de sodium va notamment réagir avec l'acide chlorhydrique avec production de dioxyde de carbone, eau et "sel de table" ) , ce qui va provoquer une surpression et entraîner l'éructation. Il va sans dire que tout le processus de décomposition (estomac) puis de fermentation/dégradation (intestin) produira également du gaz, dont une partie remontera.