Discussion:Carnoules
Dernier commentaire : il y a 13 ans par Marianne Casamance dans le sujet Histoire à reclycler - copyvio
Autres discussions [liste]
- Admissibilité
- Neutralité
- Droit d'auteur
- Article de qualité
- Bon article
- Lumière sur
- À faire
- Archives
- Commons
Histoire à reclycler - copyvio
modifierJe mets le texte de de la partie Histoire de coté, car je crains un copivyo du site de la commune de Carnoules [1]
- Dès le 7ème millénaire (av JC), tribus et clans s'installent sur les hauteurs de ce qui sera plus tard Carnoules. Au cours des siècles se construit un village fortifié au sommet de la colline de la Vière. Lors de la conquête romaine (IIe siècle av JC), le village est rasé et transformé en oppidum. La population active s'installe dans la plaine au lieu-dit « Carnoulas » (emplacement du village actuel). Après la paix romaine, l'oppidum est rasé plusieurs fois et reconstruit pour devenir un « castrum ».
- À la fin du XIVe siècle le château fort est détruit par la bande armée du cruel Raymond de Beaufort et ne sera plus reconstruit. À la fin du XVe siècle Carnoules se rebâtit et comme toute la Provence est rattaché à la Couronne de France sous Louis XI. Après la succession de guerres et de famines, c'est en 1720 la peste venue de Marseille qui sévit ! La révolution arrive mais sans grande violence pour Carnoules. La chapelle ND de la Vière (ou de Bon Secours) est construite vers 1840 avec les vestiges du castrum. En 1862, autre invasion mais pacifique cette fois, le train fait sa première apparition. Au cours des années, la gare se développe (plus de 80 locomotives à vapeur), ce qui entraîne la venue d'un grand nombre de cheminots. L'importance du dépôt motive le bombardement meurtrier du 25 mai 1944. La deuxième moitié du XXe siècle voit la disparition de la traction à vapeur au profit de la traction électrique ce qui entraîne l'arrêt de l'activité du dépôt. La présence du monument historique qu'est la « 4B9 » à l'entrée du village, rappelle cette activité passée(Résumé inspiré du travail de l'argument de G. Ravel illustré par P. Cèze).
Toute cette partie est à recycler Marianne Casamance (d) 18 juin 2011 à 19:35 (CEST)