Discussion:Familles subsistantes de la Noblesse de France/Archives-2013

Dernier commentaire : il y a 6 mois par 2A01:CB20:4055:5D00:B1E3:F19:BE52:135E dans le sujet Pillot (famille de Pillot-Coligny)
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Cas particuliers (familles par ordre alphabétique)

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Angot des Rotours, pour un spécialiste des généalogies normandes

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La famille Angot des Rotours, Normandie (d’azur à la bande d’or chargée de 3 ancres de gueules accompagnée de 2 étoiles d’argent, l’une en chef l’autre en pointe) me semble éteinte tant chez les hommes que chez les femmes. La dernière représentante de cette famille semble être Adèle ? Décédée en 1939, elle avait épousé en 1880 Louis d’Anterroches. Valette décompte 7 représentants masculins en 1989 !!? L’autre famille des Rotours, celle de l’ANF (d’azur à 3 besants d’argent) est toujours représentée, mais est bien distincte de la première. Merci pour vos lumières. Fraternellement / Montvallon (d) 19 juin 2013 à 16:16 (CEST)Répondre

Sans objection, de part et d’autre, je vais supprimer cette famille. Je soupçonne notre ami Valette de s’être, une nouvelle fois, fourvoyé. Fraternellement / Montvallon (d) 19 juin 2013 à 18:35 (CEST)Répondre
Il n'est pas impossible que Valette ait confondu Angot des Rotours et des Rotours. C'est à s'y tromper et je n'ai pas manqué de tomber dans le piège! D'autant plus que les familles n'indiquent pas toujours leur nom patronymique. Pour ma part, je conserverais cette ligne en attendant la certitude d'une extinction. (4 des Rotours non catalogués dans le BM dans l'Eure)Cordialement. Entremont (d) 19 juin 2013 à 22:10 (CEST)Répondre
Je pense également que la famille Angot des Rotours est éteinte, en 1925 dans les mâles (avec Marie Prosper André Angot des Rotours 1862-1925) et en 1939 dans les femmes avec sa soeur Marie Anne Adèle Angot des Rotours 1857-1939, comme on l'a dit épouse de Louis d'Anterroches 1851-1926 d.p. De toute façon il n'y a eu aucune naissance dans cette famille en France métropolitaine depuis 1915. Retrait également proposé : créer en tête de la PDD un paragr. "familles éteintes" comme dans la PDD/FSNF/L-Z. Fitzwarin (d) 24 juin 2013 à 22:02 (CEST)Répondre
✔️ Montvallon (d) 25 juin 2013 à 09:47 (CEST)Répondre

Armand de Chateauvieux (d')

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Pourquoi la famille d'Armand de Chateauvieux n'apparaît-elle plus dans la dernière édition (2007) du catalogue de la noblesse française de Régis Valette (Robert Laffont)?

Michel Authier a étudié la famille Armand de Chateauvieux (d’) dans le volume 31 de son État de la noblesse française subsistante.
En ce qui concerne le Valette… !
Fraternellement / Montvallon (discuter) 11 septembre 2013 à 16:47 (CEST)Répondre
Famille Lebel de Chateauvieux...Nom transmis en ligne féminine. (Dioudonnat 2012. Page 488).Entremont (discuter) 11 septembre 2013 à 18:04 (CEST)Répondre
Entre le Dioudonnat et le Valette, nous sommes vraiment gâté !! Montvallon (discuter) 11 septembre 2013 à 19:30 (CEST)Répondre
  • Pierre d'Armand, marquis de Chateauvieux, né le 19 octobre 1691, décédé en 1763 (à l'âge de 72 ans).

Marié avant 1723 avec Catherine-Jeanne Douté, dont

    • Chrétien-Pierre d'Armand, marquis de Chateauvieux, né en 1725, décédé le 24 novembre 1785, Auxerre (Yonne), inhumé le 26 novembre 1785, Chevannes, château de Fontaine-Madame (Yonne) (à l'âge de 60 ans).

Marié le 7 novembre 1767, Coulangeron, avec Antoinette de Moncorps de Chéry, née en 1741, décédée le 24 mars 1806, Chevannes, château de Fontaine-Madame (Yonne) (à l'âge de 65 ans), dont

      • François Joseph Alphonse, comte d'Armand de Chateauvieux, né le 4 septembre 1774, au château de Fontaine-Madame à Chevannes (89, Yonne), dé-cédé le 18 novembre 1815, Bonport (Martinique) (à l'âge de 41 ans), commissaire de la Marine en Martinique..

Marié le 22 frimaire an XI (13 décembre 1802), Tronchoy (89, Yonne), avec Ga-brielle Fayard de Bourdeille, née le 12 avril 1771, Paris, décédée le 10 janvier 1844, Châteaudun (Eure-et-Loir) (à l'âge de 72 ans), dont

        • Sosthènes, marquis d'Armand de Châteauvieux, né le 28 janvier 1804, Chevannes, décédé le 9 janvier 1885, Saint Paul (île de La Réunion, archipel des Mascareignes, Océan Indien), inhumé en 1885, Sacré-Coeur, Les Colima-çons, Saint-Leu (île de La Réunion) (à l'âge de 80 ans).

Marié le 13 janvier 1836, Saint Paul (île de La Réunion, archipel des Masca-reignes, Océan Indien, avec Céline de Villèle, née le 11 avril 1817, Saint-Paul (île de La Réunion), décédée le 15 novembre 1880, Saint-Leu (île de La Réu-nion), inhumée en 1880, Sacré-Coeur, Les Colimaçons, Saint-Leu (île de La Réunion) (à l'âge de 63 ans), dont

          • Léon, marquis d'Armand de Châteauvieux, né le 10 août 1846, Saint-Denis-de-La-Réunion, décédé le 4 février 1877, Saint-Leu, La Réunion (à l'âge de 30 ans).

Marié le 31 janvier 1875, Saint-Denis-de-La-Réunion, avec Lise Hu-reau de Sénarmont, née le 29 janvier 1849, Saint-Denis (La Réu-nion), décédée le 5 mai 1929, Laval (53) (à l'âge de 80 ans), dont

            • Sosthène d'Armand, marquis de Chateauvieux, né le 5 novembre 1875, Saint-Denis (La Réunion), décédé le 21 juin 1940, La Havane (Cuba) (à l'âge de 64 ans).

Marié le 4 septembre 1897, Saint-Leu (La Réunion), avec Yvonne Marie Joséphine Vetch, née le 27 octobre 1878, Pa-ris, décédée le 7 novembre 1933, Laval (à l'âge de 55 ans), dont

              • Léon d'Armand, marquis de Chateauvieux, né le 14 juillet 1898, Saint-Paul (La Réunion), décédé le 21 juin 1976, Rochester, USA (à l'âge de 77 ans).

Marié le 5 septembre 1934, La Havane, Cuba, avec Lucerito Weis y Horstmann, née le 26 mars 1907, La Havane, Cuba, décédée le 11 novembre 1988, Roches-ter, USA (à l'âge de 81 ans), dont

                • Léon Joseph d'Armand de Cha-teauvieux, né le 18 août 1937, La Havane, Cu-ba, décédé le 16 janvier 1986 (à l'âge de 48 ans).

Marié le 22 juillet 1959, La Havane, Cuba, avec Néomi Rodriguez y Fernandez Guitart, née le 2 juillet 1938, La Havane, Cuba, décédée le 3 novembre 1987, Fort-Worth, USA (à l'âge de 49 ans), dont

                  • Alexandre d'Armand de Chateauvieux, né le 25 octobre 1962, Chicago, USA.

Fraternellement / Montvallon (discuter) 11 septembre 2013 à 18:59 (CEST)Répondre

Après nouvel examen, la famille d'Armand de Chateauvieux, originaire du Dauphiné, n'a aucun rapport avec la famille de Girard de Chateauvieux , désormais éteinte et qui fait les honneurs du Dioudonnat ! La source Authier/Galbrun est parfaitement fiable et la famille d'Armand de Chateauvieux, notamment représentée par Jacques de Chateauvieux, mérite de reprendre sa place dans la litanie des FSNF.( Au passage, surprise de constater que Valette attribuait 24 descendants dans le recueil 1989 et que le Bottin Mondain de 2013 en recense plus de 30 en France métropolitaine, sans nécessité de passer par Chicago. Pourtant, je suis intrigué par ce qui semble être une lacune et n'en est peut-être pas. La question reste à creuser ) Merci pour ton intervention . Cordialement. Entremont (discuter) 11 septembre 2013 à 22:53 (CEST)Répondre
Alexandre d’Armand de Chateauvieux, né en 1962 à Chicago, est celui que certains appellent couramment, le chef de famille. J’ai passé sous silence la branche cadette. Valette et Dioudonnat, sont à utiliser avec modération. Fraternellement / Montvallon (discuter) 12 septembre 2013 à 07:59 (CEST)Répondre
Curieusement aucun membre de cette famille, brillamment représentée aujourd'hui, n'a fait ses preuves pour entrer à l'ANF... mais cela ne veut rien dire !
Cela ne me semble pas particulièrement curieux. Il peut y avoir une multitude d’explications ! Fraternellement / Montvallon (discuter) 13 septembre 2013 à 17:46 (CEST)Répondre

Augerot (Famille d’Augerot)

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À Entremont (Annulation des modifications 93577826 de Montvallon (d)Retait famille d'Augerot: éteinte (Valette 2007 P.234 et 236)) : Jacques d’Augerot né en 1926 à Paris, 3 enfants, Florence 1985, Philippe 1962 et Nicolas 1966. Dioudonnat n’a pas mis ce Jacques en liste rouge. Merci de bien vouloir nous faire lecture du Valette 2007 (je n’ai sous la main que l’édition 1989) concernant cette famille, avant probable réintégration sur la liste. Ce n’est pas aux familles de décider si elles veulent ou si elles ne veulent pas être sur cette liste. Ce n’est pas la philosophie de Wikipédia. Il n’y a pas à postuler comme pour la Légion d’honneur ! Fraternellement / Montvallon (d) 4 juin 2013 à 11:27 (CEST)Répondre

Merci de votre message, Montvallon. J'ignorais l'existence de cette famille d'Augerot représentée par Jacques, né en 1926, suivi de Florence, Philippe et Nicolas...Dioudonnat indique seulement que la Famille Fischer, représentée par le docteur Henri Fischer, né en 1903 a demandé de joindre à son nom celui de la famille d'Augerot, pour lui et ses descendants. De son côté, Valette mentionne cette famille d'Augerot (Siros, Béon, Saint-Martin) à l'article Béarn de la page 234 (édition 2007) et la considère comme éteinte au XXI° siècle à la page 236. Merci de m'indiquer vos sources exactes et le lien de filiation de Jacques d'Augerot. Cordialement. Entremont (d) 4 juin 2013 à 11:57 (CEST)Répondre
PS Pourquoi les familles n'auraient-elles pas à postuler leur inscription...Et en quoi cela serait-il contraire à l'esprit de Wikipedia ?C'est la source la plus probable des demandes enregistrées ! Entremont (d) 4 juin 2013 à 11:57 (CEST)Répondre
Jacques fait partie de la branche cadette dite de Siros.
Merci de vos aimables commentaires. Je n'ai pas l'intention de continuer un débat si mal engagé. Toutefois, ayez l'obligeance de nous indiquer vos sources Entremont (d) 4 juin 2013 à 12:41 (CEST)Répondre
  • Le statut nobiliaire et/ou la subsistance de cette famille ne fait pas l'objet d'un consensus.

Je propose de supprimer ce bandeau. Parlement de Navarre, reçu aux États de Béarn en 1743. La famille d’Augerot est subsistante pour sa branche ainée dite de Sedze par Jacques d’Augerot né en 1923 à Bagnères-de-Bigorre, un enfant Jacqueline née en 1961 et pour sa branche cadette dite de Siros par Nicolas d’Augerot né en 1966 à Paris (Nicolas est membre de Copains d'avant et ancien élève de l’École Fondary). Attention : cette famille n’est pas celle citée par Dioudonnat dite Fischer d’Augerot, représentée par Alain et Éric nés en 1935 et 1938. Réf. : Chaix d’Est Ange, ‘’Dictionnaire des familles français’’. Montvallon (d) 5 juin 2013 à 13:33 (CEST)Répondre

Sans contestation sur cette famille, je me permettrais de retirer le bandeau, dans une petite semaine. Merci à tous pour ce nouveau consensus. Montvallon (d) 6 juin 2013 à 13:31 (CEST)Répondre
Bonjour Montvallon, je m'oppose à ce que ce bandeau soit retiré ainsi que tous les autres bandeaux qui portent ce message. En effet, tant que cette famille et les autres concernées ne figureront pas dans l'ouvrage de Régis Valette (la dernière édition en date), ce bandeau est totalement justifié et nécessaire dans le respect de la charte de WP. Cordialement. Iyy (d) 7 juin 2013 à 08:28 (CEST)Répondre
Lyy, je comprends ta position elle est louable, elle part du principe que pour rendre cette liste crédible, il faut que les familles soit dans le Valette. Mais il n’y a pas que Regis Valette comme référence en ce domaine. Jean-Paul Alexis qui n’est pas historien a réalisé un bon coup éditorial avec son catalogue. Toutefois en compilant des sources peu crédibles, il se décrédibilise lui-même auprès des historiens. Il est vrai que ce n’est pas la cible de cet ouvrage, et qu’il est préférable de caresser les familles présentes, dans le sens du poil sur le principe de noblesse. Malgré qu’il se soit mis quelques familles à dos, car malgré toute sa bonne volonté, il ne pouvait pas faire entrer tout le monde, c’est étonnant… il lui en manque, peut-être le plaisir de rééditer ! Robert Laffont n’est pas un gamin en ce domaine. J’ai à ma disposition plusieurs centaines de livres sur le sujet que nous traitons, et certains sont réalisés par des auteurs, qui font référence. En ce qui me concerne, je fais confiance à Authier, Galbrun et Dell’Acqua, mais je pourrais en citer de nombreux autres, Vergnette de Lamotte est un auteur auquel on peut accorder toute sa confiance. En résumé, si pour une famille présente sur cette liste, on ne peut trouver, une référence crédible, il me semble que ce bandeau se justifie, mais les exemples doivent être extrêmement rares. Dans tous les autres cas, le bandeau doit disparaitre, après quelques jours d’observations. Fraternellement / Montvallon (d) 7 juin 2013 à 14:41 (CEST)Répondre
Bonjour Montvallon, pour moi aussi Régis Valette n'est pas une bible infaillible, mais son ouvrage est bien considéré. De toute façon le problème est là : toute famille qui n'est pas à l'ANF est présumée non noble, donc pour ces familles il faut un consensus pour figurer dans cette liste, hors si elles ne sont pas dans le bouquin de Régis Valette ou dans un autre c'est qu'il n'y a pas consensus. Ou alors on part du principe que cette liste n'a aucune crédibilité. Je m'oppose donc à tout enlèvement de ce qui existe pour informer le lecteur. Cordialement. Iyy (d) 7 juin 2013 à 17:11 (CEST)Répondre
Bonsoir lyy, j’ai l’impression que tu ne m’as pas bien compris. Je suis d’accord avec toi pour le bandeau, pour toutes les familles, sur lesquelles on ne peut trouver une source secondaire crédible, mais... (voir ci-dessus) Montvallon (d) 7 juin 2013 à 17:53 (CEST)Répondre
Bonjour Montvallon, j'ai bien compris votre analyse mais je m'oppose toujours au retrait de l'ensemble des précisions concernant ces familles. Je ne saisis pas votre propos sur l'ANF car de ce que j'en sais par mes lectures, toute famille pouvant prouver son ascendance noble est admissible au sein de cette association sans autre formalité. Cordialement. Iyy (d) 10 juin 2013 à 09:01 (CEST)Répondre
Oui, mais c'est une association parisienne, mondaine, et pas mal de familles devenues modestes n'ont jamais demandé leur adhésion. Le fait d'être rejeté par l'ANF est totalement probant (jusqu'à preuve du contraire), le fait de ne pas figurer dans les membres ne prouve rien. -- Heurtelions (discuter) 31 août 2013 à 09:44 (CEST)Répondre

Autret

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Cette mystérieuse famille moyenâgeuse du Trégor dénichée par IP 84 14 214 26 est-elle subsistante ? L'Armorial de Bretagne( Le Borgne-1681) en fait état:

  • 1/ AUTRET: K'rguiabo, Paroisse de Lazret en Bas-Léon, d'argent à quatre faces ondées d'azur, le sieur de Missirien près Kempercorentin, idem.
  • 2/MISSIRIEN: près Quimpercorentin, porte d'argent au chêsne de sinople, englanté d'or, au franc canton de gueules, chargé de deux haches d'arme en pal, adossées d'argentrie, (ne scay s'il écartele les armes que vous trouverez sur Autret Kerguiabo en Léon, comme étant de ce nom).

(Le duché de Bretagne ayant multiplié les actes de noblesse dans chaque paroisse, nous avons à votre disposition un manuel complet de familles éteintes de ce type).

Merci de votre ajout. Nous attendons des précisions. Cordialement.Entremont (d) 18 novembre 2012 à 08:36 (CET)Répondre

  • Autret, extraction chevaleresque, Bretagne (premiers actes retrouvés: évêché de Tréguier avant 1300 [1] - Cornouaille 1349-50 [2]- Léon 1394 [3]- dans les trois évêchés réformation des fouages de 1426/1427 - ordre du roi 1638[4] - maintenue 1669[5]).
Famille inconnue ou éteinte ou à prouver. Iyy (d) 29 novembre 2012 à 13:47 (CET)Répondre
Aucune famille bretonne ni aucun généalogiste breton ni aucune personne qui s'intéresserait à d'Hozier ne pourrait dire "inconnu!". "A prouver" que voulez vous dire? "éteinte" que vous faut-il ?--Jentil (d) 1 décembre 2012 à 19:17 (CET)Répondre
Réponse à Jentil (Le Gentil de Rosmorduc), successeur de l'IP 84 14 214 26 qui n'a pas répondu à notre message du 18 novembre 2012 ci-dessus par lequel lui est signalé l'existence de cette famille Autier et Missirien dans l'Armorial de Bretagne de Le Borgne de 1681. Votre commentaire est donc superfétatoire. Dommage, car la voie à une discussion de bon aloi vous était ouverte ! Votre message a retenu toute notre attention. Sachez que rien ne peut plus satisfaire les chercheurs que de voir exhumer des familles médiévales subsistantees restées inconnues des nobiliaires. Nous avons tous plus ou moins des ancêtres bretons perdus dans la nuit des temps, dans la légion des paroissiens nobles recensés au moyen-âge...Ce phénomène résulte de l'inflation des anoblissements accordés généreusement par les ducs de Bretagne: ce qui devait permettre aux paysans bretons de labourer ,l'épée au côté, moyennant une juste rétribution destinée à renflouer les finances ducales. ! Pour ce qui concerne la famille Autret dont des milliers de personnes portent le nom en France, la tâche semble bien compliquée. Toutefois, vous vous référez à l'article publié à compte d'auteur par le comte Le Gentil de Rosmorduc( Ernest-Adolphe-Georges-Charles-Ange (1859-1941), en 1899 à Saint-Brieuc. Il s'agit de la publication des lettres de Guy Autret adessées à Pierre d'Hozier à propos de tout et de rien et la qualité de ce destinataire n'ajoute rien à l'affaire. Vous devez , en tant que famille alliée, du côté du Roudourou en Finistère, certainement avoir quelques lumières sur le certificat de noblesse qui aurait en toute hypothèse été délivré au sieur de Missirien . (Ou une maintenue de noblesse en Bretagne par arrêt de la chambre de la Réformation ?) Cela, c'est pour la preuve de noblesse. Puis, en seconde phase, il faut remonter la filiation d'un membre vivant de la famille Autret choisi dans la foule existante, filiation en ligne masculine héréditaire , naturelle et légitime, jusqu'au bénéficiaire du certificat de noblesse pour prouver l'existence de la famille subsistante...en imaginant qu'aucune dérogeance n'a eu lieu entre temps. Mais votre famille adhérant à l'ANF peut vous expliquer aisément la façon de procéder. Merci de nous tenir au courant de vos recherches et bon courage, M. de Rosmorduc. Cordialement. Entremont (d) 16 décembre 2012 à 00:15 (CET)Répondre
En définitive, Guy Autret, seigneur de Missirien et de Lezergué (1599-1660), historien et généalogiste breton , n'a pas laissé de descendance de ses deux mariages avec 1/Blanche de Lohéac et 2/ Françoise Le Borgne. Il est surprenant que le comte de Rosmorduc, auteur de l'étude de 1899 imprimée à Saint-Briuec, ne l'ait pas signalé. (Réf. Historial du Grand Terrier). Il s'agirait donc bien d'une branche éteinte de cette famille. Quant à la branche de Kerguiabo, rien n'a été trouvé, sauf autres éléments à nous communiquer. Cordialement. Entremont (d) 17 décembre 2012 à 14:23 (CET)Répondre
Cher Entremont, je vous remercie d'inviter à une "discussion de bon aloi". Il semblait cependant que Iyy avait pris les devants pour y mettre un terme en déclarant "inconnue". Inconnue de lui peut-être, et c'est pourquoi il semblait utile de rappeler que ce terme est impropre pour parler d'un nom porté par un important et utile généalogiste breton.

Permettez moi de vous trouver bien sévère envers la noblesse bretonne qui bénéficie de la plus ancienne "enquête" (la réformation des fouages de 1423/28). Cette réformation devait pourtant paraître assez sérieuse aux commissaires de la réformation de 1668 pour qu'elle leur suffise comme preuve ; restait alors à montrer la filiation et le respect par le demandeur des règles régissant les partage et gouvernement nobles. S'agissant de "dérogeance", je rappelle qu'en Bretagne une famille ne perd pas sa qualité mais ses membres ne peuvent pas en jouir s'ils n'en respectent pas les règles et qu'il leur suffit de déclarer les respecter à nouveau pour reprendre les droits attachés à la qualité de leur famille. Votre commentaire sur la générosité des ducs de Bretagne est curieuse dans la mesure où la réformation de 1423/28 visait précisément à déterminer qui était contribuant et qui ne l'était pas. On pourrait adresser les appréciations personnelles sur l’anoblissement pécuniaire à la robe plutôt qu'au labour. Je passe sur l'impression négative qui émane de votre commentaire sur le fait que des familles aient été suffisamment anciennes et/ou nombreuses pour être présentes dans plusieurs lieux et compter autant de membres et de descendants.

Sur la question particulière des Autret : on ne peut pas dire, aussi péremptoirement que Iyy, "inconnue" et "non prouvée" et faire ainsi l'impasse des réformations des fouages de 1426/27 du Leon, du Trégor et de Cornouaille, de la montre de 1481 en Cornouaille, des archives départementales du Finistère et de la BNF qui indiquent qu'aux XIV, XV, XVI, XVII certains fondaient des chapelles, d'autres témoignaient à des actes , étaient receveurs pour le duc..., un autre était chanoine et prieur conventuel de l'abbaye de Daoulas, premier prieur de Logonna et de Loperhet, faire l'impasse de l'enquête du sénéchal de Cornouaille pour constater les prééminences et les droits de haute justice de la seigneurie de Lezoualc'h du 5 février 1623 (archives Rosmorduc), de la réformation de 1668 (arrêt du 16 février 1669 "d’or à 5 fasces ondées d’azur. M. de Larlan, rapporteur. Ancienne noblesse, a fait voir la réformation de 1427"), des alliances (l'exemple de Missirien est intéressant : il tient Missirien et Lezergué de sa mère Gilette du Plessix dont les armes sont le chêne et les haches décrites par Le Borgne et que vous trouverez sur une belle tombe peinte de la cathédrale Saint Corentin à Quimper, celle du chanoine Pierre du Quenquis, alias du Plessix), des prééminences constatées dans des chapelles de Léon et de Cornouaille, des "armoriaux" établis par Briant de Laubrière, Potier de Courcy, du Refuge, Le Borgne (c'est vous qui le citez), ... La liste des "preuves" existante est longue. Elle pourrait l'être plus si tant d'archives n'avaient pas brûlées (les Autret étaient capitaines du roi au Cap Sizun pendant les guerres de la Ligue ; Lezoualc'h et surtout ses papiers ont été incendiés), si tant de chapelles et manoirs n'avaient pas été détériorés (l'église de Goulien où figuraient partout et exclusivement les ondes de ses fondateurs Autret et ses tombes enlevées avec armes, supports, casques et alliances a été détruite et reconstruite ; celle de Plourin modifiée ; les prééminences dans la chapelle de Lannourec ont été effacées ; l'autel dédié à Saint Goulven dans l'abbaye de Daoulas où figuraient ses armes détruit ; ...). Vous dîtes "moyenâgeuse". En effet, mais pour ne pas subir le reproche de "fantasme" si souvent fait sur cette page, je n'indiquerais pas que les spécialistes de cette période bretonne indiquent que les ondes d'or et d'azur renvoient à l'écartelé d'or et d'azur de Pierre de Dreux dit Mauclerc, duc baillistre en 1213 qui s'opposa à la famille de Léon, et dont les partisans s'identifiaient ainsi sur les champs de bataille, que certains laboureront ensuite car ainsi va la vie et les règles de partage de la coutume de Bretagne.

Sur votre dernier "en définitive" : Guy Autret de Missirien n'a effectivement pas eu d'enfant mais il n'était pas le seul de son nom. La branche qui s'est éteinte avec lui est celle de Missirien dont les possessions (Missirien, Lezergué, La Villeneuve,...) sont allées en héritage à ses nièces (Lezergué finira dans la famille du cardinal de La Marche ce qui fera que Potier de Courcy écrira "éteinte dans La Marche"). La branche de Kerguiabo ou Kerguialo est celle qui a donné lieu à l'arrêt de réformation du 16 février 1669 et qui, selon vos critères, est donc la mieux "prouvée". En définitive, je vous suis, la seule question est de prouver un lien de filiation entre la "foule existante" et la "légion des paroissiens nobles recensés au moyen-âge". Cette tâche relève de ceux que cela intéressent. Pour ma part, je voulais juste vous signaler qu'il a existé une ancienne et nombreuse famille bretonne et que son nom est toujours porté.

Je vous prie d'excuser cet échange "en définitive" trop long et vous invite à le supprimer car il ne peut rien en sortir.--Jentil (d) 18 décembre 2012 à 21:02 (CET)Répondre

Merci, cher monsieur, de m'avoir ébloui par votre science sur la noblesse bretonne et la famille Autret. Je me garderais bien d'effacer votre commentaire qui peut servir de support pour les prochaines occasions, tant il est vrai que les familles cultivent avec beaucoup de ferveur le souvenir de leurs lointains ancêtres. Et effectivement, on voit de temps en temps surgir du passé des familles totalement inconnues qui font l'objet de l'agrément de la commission des preuves de l'ANF. Dans le cas de Guy Autret, nous avions bien compris que votre famille lui était redevable d'une remarquable généalogie reprise par d'Hozier. C'était donc de votre part un juste hommage rendu à ce généalogiste et historien breton, qui mériterait une biographie plus musclée que l'actuel article de Wikipedia. En tout état de cause, je n'aurais pas l'outrecuidance de contester vos analyses concernant la validité automatique des Réformations du XVème siècle en Bretagne. Le grand nombre des famille bretonnes considérées comme éteintes pose quand même question: elles n'ont pas toutes été décimées à Quiberon ! En outre, l'allusion aux ancêtres laboureurs bretons était bien entendu fantaisiste ! La noblesse terrienne du moyen-âge bénéficiait certes de différents privilèges fiscaux, mais en contrepartie devait entretenir des chevaux et aller à la guerre à la demande des ducs de Bretagne. Enfin, nos méthodes sont un peu drastiques, je le concède, mais l'intervention de Iyy vous a permis de vous exprimer...c'était l'objectif ! Nous pouvons donc classer ce dossier, car il est patent que cette noble famille bretonne est bien éteinte. Merci de votre aimable concours. Bien cordialement. Entremont (d) 18 décembre 2012 à 23:26 (CET)Répondre
Je vous en prie. Notez que quand bien même auraient-elles été toutes décimées il en resterait 90%, ce qui ne serait pas si mal. Je vous propose d'éviter les conclusions définitives et d'indiquer que ce dossier est classé car "la subsistance de cette famille n'est pas établie". Bien cordialement--Jentil (d) 19 décembre 2012 à 10:39 (CET)Répondre
Bonsoir, je constate que chacun à eu une bonne réaction. Lyy de retirer cette famille car "inconnue ou éteinte", Entremont de préciser qu'elle est éteinte en ligne noble, Jentil de nous la faire connaître. Je signale qu'évidemment, plusieurs familles d'ancienne noblesse n'existent plus parfois que dans leur branches roturières, ayant dérogé.... avant 1789. Ces branches ne figurent pas dans les ouvrages faisant autorité sur l'histoire de la noblesse française,et ce n'est que par le biais des recherches locales et la généalogie qu'on peut les connaître. Là aussi, les archives ont leur limites et il est même des cas récents de familles qui ont pu prouver leur rattachement généalogiques par les mâles à d'anciens lignages nobles, et récupérer même une particule oubliée, sans pour autant se voir reconnaître le principe de noblesse (ce qu'aucune cour française ne pourrait reconnaître d'ailleurs, ni aucune association...). Bien cordialement, Fitzwarin (d) 20 décembre 2012 à 22:51 (CET)Répondre
Cher Fitzwarin, vous avez raison. Il y a le cas de la branche aînée de la très ancienne famille auvergnate de Scorailles dont le dernier représentant est devenu au XVIIIe siècle boucher, son fils agriculteur, son petit fils domestique agricole, enregistré à l'état civil Descorailles. Toutefois, je pense que ses descendants si ils existent seraient admis à l'ANF comme nobles, alors qu'ils ne seraient plus considérés comme tels si le statut de la noblesse de l'Ancien régime avait continué. Les règles "républicaines " ou de l'ANF sont moins sévères, parce qu'elles considèrent que la noblesse ne se perd plus par l'abandon de la vie noble pour devenir salarié (domestique) ou commerçant. Il existe aussi des descendants légitimes de la famille de Morlhon, devenus Morlhon sans particule depuis le XVIIIe siècle. -- Heurtelions (discuter) 31 août 2013 à 09:37 (CEST)Répondre
Cher Fitzwarin, je vous signale que votre emploi du terme de "dérogeance" est erroné. En Bretagne, une famille ne déroge pas, elle ne peut jamais perdre sa noblesse. Il n'y a que la personne qui commet un acte dérogeant qui voit suspendus, pour elle seule, les effets et privilèges de la noblesse. On ne peut donc pas écrire "branche roturière car ayant dérogé avant 1789".
Pour information, pourriez-vous m'indiquer quels sont les "ouvrages faisant autorité" ?
Réponse (Merci de signer et de dater vos interventions: on ne sait plus à quel saint se vouer !)Citation extraite de La Messelière: De toutes les provinces de France, la Bretagne est et a toujours été l'une des plus peuplées de gentilshommes. Ils y étaient si nombreux sous les ducs, que la coutume imposait à l'adversaire de prouver , en cas de contestation, la qualité roturière du défendeur. La pauvreté a fait rentrer automatiquement dans la roture , bien que la qualité nobiliaire soit imprescriptible en droit, un grand nombre de gentilshommes incapables, faute de ressources, de supporter les charges de leur état...Depuis la Réformation de 1668, plus des trois quarts des familles nobles en Bretagne se sont éteintes ou sont tombées dans la plus profonde obscurité...Le grand nombre des déboutés supposait , soit une partie de la noblesse ne remplissant pas les obligations de son état, soit l'usurpation pure et simple par des roturiers.
L'une des meilleures analyses-synthèses, sur les Réformations et l'évolution de la noblesse bretonne, réside, à notre avis, dans le recueil des Filiations Bretonnes du vicomte Henri Frotier de La Messelière. La préface de ce volumineux ouvrage (qui n'a pas la prétention de limiter son étude aux seules familles nobles) est datée du 8 septembre 1912 à Saint-Brieuc. C'est la réplique exacte de la thèse de doctorat ès sciences politiques et économiques que l'auteur a présentée en 1899 à l'Université de Rennes sur La Noblesse en Bretagne avant 1789. Nous n'avons pas la possibilité de la reproduire in extenso, mais elle mérite d'être connue des familles bretonnes. Cordialement.Entremont (d) 17 janvier 2013 à 09:57 (CET)Répondre
C'est en effet l'un des ouvrages auxquels je pensais également au Nobiliaire et armorial de Bretagne de Pol Potier de Courcy (1890). Dans le tome I, il écrit (p. 27) : « Autret, sgr de Lesouazle, par. de Goulien, — de Kerguiabo, par. de Larret, — de Lezergué et de Missirier., par. d’Ergué-Gabéric, — de Trémeur, —de Kermabon, — de Landéadec, par. de Crozon. Anc. ext. réf. de 1669, sept gén., réf. et montres de 1426 à 1534, par. de Plourin, év. de Léon. D’or à cinq trangles ondées d’azur. Devise : Dre ar mor (au delà des mers). Yves, sieur de Lesouazle, épousa vers 1440 Isabeau Le Saint ; Guy, chevalier de SaintMichel en 1636, auteur de recherches sur l’histoire de Bretagne. 'Famille éteinte dans la Marche. » Je vous laisse développer ces abréviations... ce genre d'ouvrage n'est pas exempt d'erreurs mais fait autorité en la matière, avec plusieurs dizaines d'autres qui ornent les bibliothèques généalogiques et héraldiques (on les trouve généralement en ligne) et leur liste est trop longue pour être donnée in extenso. Fitzwarin (d) 18 janvier 2013 à 22:05 (CET)Répondre

Barachin

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Quelle source ? Baron Ménard de l'Arnaudière [me parler] 5 mai 2013 à 09:57 (CEST)Répondre
Observation: Aucune trace d'anoblissement de la famille Barrachin, connue par Augustin Barrachin, (1797-1883) Maitre de Forges

− , député de Mézières de 1831 à 1833. Entremont (d) 29 mai 2013 à 00:02 (CEST)Répondre

Barbier - en PDD tant que pas consensus

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  • Barbier de Lescoët, extraction chevaleresque, Pays de Léon en Bretagne, ANF-1953 (Cette famille est représentée aujourd'hui par Jeanne née en 1921, Marie née en 1922 et Henriette née en 1926.). (Seule subsiste de nos jours la descendance féminine de cette famille)
Lyy, si tu contestes cet ajout, propose une suppression en pdd, en argumentant avec sources secondaires de références – Merci – (et signe ton intervention) Montvallon (discuter) 12 août 2013 à 11:52 (CEST)Répondre
Famille absente dans le Valette, vous dites vous-même qu'elle n'est plus représentée qu'en ligne féminine alors que la noblesse en France ne se transmet qu'en ligne masculine ! Iyy (discuter) 12 août 2013 à 12:49 (CEST)Répondre
Les bandeaux explicatifs pour ces familles seront remis le 19 août. Iyy (discuter) 12 août 2013 à 13:00 (CEST)Répondre
Tu le fais exprès ou tu n’as toujours rien compris ? Une famille représentée par des femmes, ou une femme de cette famille est dite subsistante, et ce principe est accepté même à l’ANF. Les femmes ne comptent pas pour du beurre ! N’en déplaise à certains machistes de cette page. Et en ce qui concerne la noblesse, je ne sais pas si tu as remarqué, mais, en France, elle ne se transmet plus, et ceci depuis quelque temps !
Fraternellement / Montvallon (discuter) 12 août 2013 à 22:18 (CEST)Répondre
Je confirme que cette famille n'est pas dans l'ouvrage de Régis Valette édition de 2002. Entremont à son retour en septembre nous confirmera pour l'édition 2007.
Quelques points pour terminer :
  • Je ne vous ai jamais dit que les femmes ne comptaient pas mais alors acceptez que l'on mette un bandeau pour dire que telle ou telle famille n'est plus représentée qu'en ligne féminine
  • Je n'ai jamais dit non plus que la noblesse en tant que corps juridique existait au 21e siècle, simplement quand on travaille sur un article consacré à la noblesse on doit respecter les anciennes règles de cette classe sociale, c'est simple et logique sinon on fait des articles qui ne correspondent pas à la réalité historique
  • Mon compromis avec vous est le suivant :
    • Remise des bandeaux pour les familles citées ci-dessus
    • Passage désormais obligatoire par la PDD avant de mettre une famille dans l'article dès que cette famille ne fera pas l'objet d'un consensus entre nous
      Vous êtes libre de refuser mon compromis mais si nous continuons nos conflits nous finirons tous les deux par être bloqués.
      Iyy (discuter) 13 août 2013 à 09:19 (CEST)Répondre
Valette 2007: La Famille Barbier de Lescoët, d'extraction chevaleresque , originaire de Bretagne, est recensée parmi les familles éteintes de l'ANF à la page 198. Il semble subsister en 2013, en pays de Léon, une descendante en la personne d'Henriette Barbier de Lescoët, veuve du comte Christian de Ganay. Entremont (discuter) 29 août 2013 à 16:33 (CEST)Répondre
Cette famille est représentée aujourd’hui par la descendance d’Alain Barbier de Lescoët (1886-1949) : Jeanne Chantal née en 1921 à Orléans, Marie née en 1922 à Paris, et Henriette née en 1926. Fraternellement / Montvallon (discuter) 2 septembre 2013 à 08:56 (CEST)Répondre

Barrigue (Famille Barrigue de Fontainieu, et de Montvalon, Montvallon)

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Bonjour, cette page concernant les familles subsistantes nécessite beaucoup de doigté, de rigueur et de précision, pour éviter de laisser place aux susceptibilités exacerbées ou aux vanités déplacées. L'orthographe d'un nom est souvent le sujet le plus délicat, et il est préférable de ne pas le modifier au bon vouloir des uns ou des autres. En ce qui concerne les Barrigue : Montvalon ne prend qu'un seul « l », c'est une orthographe bien connue des Provençaux. Il serait donc fort souhaitable de la garder tel quelle. Une des branches porte depuis peu, deux « l », probablement pour mieux voler de ses propres ailes, mais ceci est anecdotique.
Concernant l'anoblissement (c'était un autre temps, mais c'est la raison de cette liste) la rigueur demande qu'elle soit noté de robe pour les Montvallon (ANF 2001) (plusieurs Conseillers au Parlement de Provence). Régis Valette est une très bonne référence, mais c'est un généraliste, et il est souvent préférable de se tourner vers des auteurs plus pointus. Édouard Baratier et Georges Duby sont des auteurs que l'on peut suivre presque les yeux fermés. La commission des preuves de l'ANF fait aussi « preuve » en la matière : « conseiller du roi en la cour du Parlement de Provence ». Je ne vais pas m'étendre sur la savonnette à savon, mais si elle avait été la raison de l'anoblissement des Barrigue, la famille serait de noblesse inachevée et n'aurait plus rien à faire sur cette liste (la charge ayant été revendu peu de temps après son acquisition, business is business !).
Et pour finir en beauté : attention à la fable familiale, reprise par tous les généalogistes des siècles précédents, bien trop préoccupé à satisfaire les vanités des familles en place au Parlement. Les Barrigue ne sont pas issus de la haute noblesse portugaise. Ce sont des néophytes, issus de la communauté maranne.
Merci à tous pour ce travail de fourmis mais il y a encore beaucoup de corrections à effectuer – Ce n'est qu'un début ... - Fraternellement / Montvallon / 2 février 2013

Montvalon

Bonjour lyy, on ne va pas se battre pour un « l », ce serait vraiment dommage, mais pourquoi vous escrimez-vous à écrire Montvalon avec deux « l ». J'avoue que me perds en conjectures ! Vous devez avoir une raison, car vous avez à plusieurs reprises reréverté l'orthographe du nom. Comme vous devez certainement bien maîtriser votre sujet, j'aimerais que vous puissiez éclairer ma lanterne.

Merci et fraternellement / Montvallon (d) 5 février 2013 à 17:07 (CET)Répondre

Barrigue de Montvallon (→ noblesse inachevée)

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Bonjour, Monvallon. S'agissant de la famille de Barrigue de Montvallon (Oh pardon, Montvalon !), qui s'est en effet illustrée de nos jours dans le journalisme et dans le Petit Rapporteur (comme je l'avais relevé en son temps en rédigeant l'article), vous avez fait remarquer que Valette s'est fourvoyé en attribuant son anoblissement à l'acquisition de deux savonnettes à vilains, alors qu'elles furent revendues avant terme ! Parfait ! Mais le 20 juin 2001, le Procès-verbal du 3 septembre 1787 des preuves fournies et de l'admission dans l'ordre de la noblesse de Provence a été homologué par la Commission des Preuves de l'ANF à laquelle cette famille a adhéré , comme vous l'avez justement fait observer. On ne peut à la fois se dire de noblesse inachevée et prétendre à la légitimité d'un anoblissement authentique, sauf à contester les dires de la Commission des Preuves. C'est le motif pour lequel j'avais effacé cet inachèvement en parlant de lapsus. Vous l'avez replacé paradoxalement. De nombreuses familles ont tenté d'obtenir un anoblissement par l'achat de charges qui se sont révélées inachevées...Mais sont toutefois parvenu à la noblesse par une autre voie. Par exemple, dans la noblesse militaire, par la promotion au grade de maréchal de camp . À mon avis, cette inscription paradoxale fait désordre et mérite d'être effacée. Cordialement. Entremont (d) 11 juin 2013 à 09:02 (CEST)Répondre

Bonsoir Entremont, le créateur de la page du Petit Rapporteur, est un certain Howard Drake en 2004, et celui des Barrigue de Montvalon, c’est lyy en 2013, de quel article voulez-vous parler ? Pour le reste il me semble que vous m’avez mal lu. Valette ne s’est pas fourvoyé, cette fois, mais il n’empêche que ladite savonnette à vilains, celle qui concerne la branche des Montvalon, a été revendue très rapidement, comme ce fut souvent le cas. Business is business !
P.-S. Je n’ai lu nulle part, qu’il y avait pour les Barrigue de Montvalon, une affaire de noblesse inachevée, mais pourquoi pas ! Rien n’est impossible !! Ce ne serait pas vraiment un déshonneur, pour les descendants de la Nation juive portugaise que nous sommes. Être juif en Provence fut une rude affaire ! Merci toutefois de ne plus me demander d’intervenir sur cette famille, ce n’est pas mon rôle, ici sur Wikipédia. Fraternellement / Montvallon (d) 11 juin 2013 à 17:34 (CEST)Répondre

Réponse: C'est bien vous qui avez replacé l'expression Noblesse inachevée ( que j'avais supprimée en la qualifiant de lapsus) en nous expliquant que la charge de secrétaire du roi avait été cédée prématurément, à moins qu'il s'agisse de votre double. Je note que vous n'avez plus l'intention d'intervenir dans cet article, tant il est vrai qu'il est préférable d'éviter d'être tiers et partie. Sage décision. Quant à l'article inséré dans FSNF, vous l'avez modifié et enrichi, mais nous l'avions mis en place aux environs de 2009-2010, ce qui semble vous avoir échappé. Pour le Petit Rapporteur, je ne pensais qu'à Piem , le célèbre dessinateur, animateur d'une émission de TV avec Stéphane Collaro, dont un descendant, né en 1955, semble bien démontrer la subsistance de cette famille, sans obliger Iyy à poser un bandeau . (À moins qu'il s'agisse d'un homonyme n'appartenant pas à votre clan). Cordialement. Entremont (d) 11 juin 2013 à 20:53 (CEST)Répondre

Bonsoir Entremont, je vais faire une dernière petite retouche pour la bonne compréhension de la chose. En ce qui concerne le travail fait par lyy sur les Barrigue, il me semble aller dans le bon sens. Pour le reste, je suis d’accord avec vous, oui, je ne peux être tiers et partie. Comme dans toutes familles, je marche sur des œufs ! Fraternellement / Montvallon (d) 11 juin 2013 à 22:19 (CEST)Répondre
Merci pour la dernière petite retouche...qui nous éclaire enfin sur le sort d'une branche éteinte, de noblesse inachevée, sans rapport avec l'ANF. Ouf ! Sur un plan général, notre modeste ambition était d'éviter de surcharger la liste des FSNF de seigneuries tombées en désuétude et de branches éteintes sans notoriété historique: Nous laissons ce soin aux auteurs de Monographies, tout en enregistrant les liens des familles concernées, des personnalités (Nous avions placé Piem, en lien , le 18 février 2012,et il a été effacé ! ), des fiefs et autres lieux en rapport avec les familles... Cordialement. Entremont (d) 13 juin 2013 à 13:54 (CEST)Répondre
Attention, pas de nouveaux quiproquos. La branche des Barrigue de Fontainieu n’est pas éteinte, elle est pétante de vie et d'énergie ! Fraternellement / Montvallon (d) 13 juin 2013 à 14:25 (CEST)Répondre
Autant pour moi. Je n'avais pas remarqué les marquis ( ?) de Fontainieu. Cordialement.Entremont (d) 13 juin 2013 à 18:10 (CEST)Répondre
Cher Entremont, je vois encore de l’ironie de votre part, que puis-je vous répondre ! Voulez-vous que je vous fasse une omelette ? Je vous propose une omelette marocaine, j’espère que vous l’apprécierez. Fraternellement / Montvallon (d) 13 juin 2013 à 18:57 (CEST)Répondre

NB : si votre discussion porte sur une famille dont le nom commence par B ou si elle est de noblesse inachevée, merci de déplacer ette discussion en bonne place : cordialement, Fitzwarin (d) 13 juin 2013 à 22:06 (CEST)Répondre

Bassecourt (famille de Bassecourt)

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Merci, Montvallon, de confirmer la subsistance de cette ancienne famille de l'Artois. Cordialement. Entremont (discuter) 2 septembre 2013 à 07:30 (CEST)Répondre

Pourquoi pas ! Mais il faudrait dans ce cas, instaurer ce système à toutes les familles. Présentement, je vais rajouter une référence dans les notes, car la vie existe, au-delà du BM. Fraternellement / Montvallon (discuter) 2 septembre 2013 à 08:20 (CEST)Répondre

Baude (famille Baude)

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Famille Baude, en PDD tant que pas consensus (lyy)

  • Baude(Famille éteinte dans les mâles.), baron de l'Empire par L.P. du (Jules Villain, La France Moderne, Drome et Ardèche.), Valence en Dauphiné.
Lyy, si tu contestes cet ajout, propose une suppression en pdd, en argumentant avec sources secondaires de références – Merci – (et signe ton intervention) Montvallon (discuter) 12 août 2013 à 11:52 (CEST)Répondre
Famille absente dans le Valette et vous dites vous-même que cette famille est éteinte ! Iyy (discuter) 12 août 2013 à 12:49 (CEST)Répondre
Voir ci-dessous. Montvallon (discuter) 12 août 2013 à 22:18 (CEST)Répondre
Je confirme que cette famille n'est pas dans l'ouvrage de Régis Valette édition de 2002. Entremont à son retour en septembre nous confirmera pour l'édition 2007. Iyy (discuter) 13 août 2013 à 09:19 (CEST)Répondre
Valette 2007:Rien dans l'ordre alpha. Toutefois, à l'article Dauphiné, page 282, la famille Baude est notée comme subsistante. Reste à déterminer les sources. Bonne recherche. Entremont (discuter) 29 août 2013 à 15:58 (CEST)Répondre

Beauquesne (Famille de Beauquesne)

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Famille éteinte dont le nom a été repris par les familles Bouvery, Decaux et Dumont. Le simili-Nobiliaire français, Pierre-Marie Dioudonnat, Sédopols, 2012.

Beauvau-Craon ( Famille de Beauvau-Craon)

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Question pour Montvallon:

Marc de Beauvau-Craon 7e et dernier prince de Beauvau-Craon et du Saint Empire est décédé en 1982.

De son mariage il a eu 2 filles:

1) Minnie, née en 1953, épouse de Javier Botana, de nationalité argentine : leurs enfants portent le nom "Botana-de Beauvau-Craon".

2) Diane, née en 1955, épouse de Ahmed Mohamadial. Leur fils Yunes Mohamadial né en 1980 a été autorisé par décret du 02 05 1997 à s'appeler "Mohamadial de Beauvau".

La famille de l'ancienne noblesse française des princes de Beauvau-Craon sera-t-elle éteinte après Minnie et Diane de Beauvau-Craon?

Note: Même situation pour la famille de Talleyrand-Périgord éteinte, dont le nom est porté aujourd'hui par les familles Gonzalez de Andia et de Pourtales qui en descendent en ligne féminine... Cordialement. IP 71.

Réponse à l'intention de Montvallon (qui a publié les résultats des admissions à l'ANF plus d'une semaine avant l'Assemblée générale du 5 Juin, sans attendre le résultats du scrutin...Sans doute une répétition de certaines primaires connues !):
Ces deux familles sont éteintes en ligne masculine naturelle et légitime. Même en cas d'adoption plénière d'une famille bourgeoise ou noble, française ou étrangère, argentine ou arabe, (Ce type d'adoption a été très à la mode, moyennant le financement de cet acte par de riches bourgeois en faveur de familles nobles désargentées), elles restent éteintes, comme cela est le cas de la famille de Vergennes, nonobstant les allégations relevées ci-dessus. Si vous avez l'intention de les introduire dans la liste des FSNF, il va faloir consulter en détail le Simili-Nobiliaire Français de Jean-Marie Dioudonnat pour repérer les familles héritières de noms célèbres de la noblesse française par voie d'adoption. Cette remarque n'a rien à voir avec les règles d'admission à l'ANF à laquelle vous semblez adhérer et que vous contestez dans vos commentaires, M. de Montvallon, (Nous ne sommes plus à un paradoxe près, si j'en juge par vos interventions!), mais elle correspond à l'esprit et à la lettre de la Liste des FSNF et au catalogue de Régis Valette.
Pour en terminer avec cette question, j'avoue qu'il n'est pas habituel de constater que les descendants légitimes d'une famille noble, aient supprimé purement et simplement leur patronyme à l'état civil, pour adopter celui de leurs ancêtres maternels, qu'ils ont hérité par voie d'adoption. S'agissait-il de présenter une apparence plus brillante ou d'effacer quelques redoutables secrets de famille ? En tout état de cause, s'agissant à l'origine d'une famille noble, il suffit de se reporter à l'article Jourda et d'ajouter entre parenthèses qu'une branche a ajouté, puis substitué à son patronyme celui de Gravier de Vergennes, comme cela s'est déjà pratiqué dans le passé pour un certain nombre de familles . Cordialement. Entremont (d) 3 juin 2013 à 16:34 (CEST)Répondre

J'adhère totalement, car personne aujourd'hui (ni Michel Authier ni même Montvallon...) n'a l'autorité légale de définir de nouvelles règles de transmission ou d'attribution de la noblesse (qui n'existe plus légalement) accordée autrefois en France à des familles sous la monarchie.

Les seules règles légales régissant la transmission de la noblesse et des titres accordés à ces familles sont effectivement celles édictées sous les différentes monarchies françaises jusqu'en 1870.

Donc Montvallon arrêtons les élucubrations, sinon nous allons nous retrouver avec des Douhet de Villosanges "prince de Carondelet" dans la liste FSNF...

(Je me demande d'ailleurs Montvallon les vrais raisons de cette obstination de votre part à nier une évidence...)

Soit dit en passant: je n'ai rien contre le fait (bien au contraire) qu'un descendant en ligne féminine d'une famille de l'ancienne noblesse française en relève le nom pour éviter que celui-ci ne s'éteigne, ou qu'un nom se transmette par les femmes avec les nouvelles règles du Code Civil. Le nom subsiste donc, mais la famille noble est éteinte...

IP71-Gravier marquis de Vergennes-de Bésiade duc d'Avaray

Bésiade (Duc d'Avaray)

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Marie-Bernard Édouard de Bésiade , 7° duc et dernier duc d'Avaray, né en 1884, est mort en 1941. Il ne laisse aucune postérité, ni de collatéraux. Famille éteinte. Entremont (d) 30 mai 2013 à 11:13 (CEST)Répondre

Blandin (Famille Blandin de Chalain)

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Pourquoi la mettre sur la liste si le côté noble vient des femmes et qu`un arrêt leur interdit de porter la qualité de noble?--Givez (d) 17 mai 2013 à 14:34 (CEST)Répondre

Parce que d'une part le principe de leur noblesse est antérieur (lettres de Philippe IV d'Espagne de 1628) et ne vient pas des Vernier, et que d'autre part, Chaix d'Est-Ange recopie une erreur de Roger de Lurion (Roger de Lurion, Nobiliaire de Franche-Comté, 1890, 2e édition, p. 97-98.), lequel affirme qu'un arrêt de 1713 leur interdisait de porter la qualité de nobles (Chaix d'Est-Ange, vol 4, p. 355). Toutefois, dans l'acte de 1713, consultable aux Archives départementales du Doubs (cote 1 B 821), il s'avère que c'est en fait au cocontractant de Charles-Louis Blandin de Chalain, le sieur Girardot, qu'est demandé de "rayer sa qualité de messire".
Ils ont pris part aux assemblées de la noblesse en 1789 dans deux bailliages différents.
Ces recherches qui permettent de rectifier une erreur de Chaix-d'Est-Ange sont très intéressantes, et certainement justes, mais les articles de wikipedia doivent appuyer les informations qu'ils donnent uniquement sur des sources secondaires (imprimées, reconnues et neutres). Il est donc impossible de se fonder sur des documents d'archives (sources primaires) et sur vos recherches personnelles. Il faut un livre comme le Catalogue de Valette ou un autre qui dise positivement que cette famille était noble en France et qu'elle a des descendants masculins légitimes vivants. -- Heurtelions (discuter) 9 novembre 2016 à 21:39 (CET)Répondre
Autre source secondaire mentionnant la noblesse des Blandin de Chalain : le Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou, Tome premier, par M. H. Beauchet-Filleau et Ch. de Chergé (1891). Notice : Ici
Si les sources primaires ne peuvent être utilisées sur Wikipédia (aussi vérifiables soient-elles !) - ce que j'ignorais et avoue trouver surprenant -, voici des sources secondaires attestant de la noblesse de cette famille, à commencer par le Valette que vous mentionnez (2007, notice Blandin de Chalain). Les Blandin de Chalain sont par ailleurs signalés comme nobles dans le Grand Armorial de Franche-Comté de Jougla de Morénas (1938, tome 2, p. 137), dans le Nobiliaire de Franche-Comté de Roger de Lurion qui atteste de leur noblesse en 1750 (1890, p. 97-98), dans le Dictionnaire de la Noblesse française de Séréville et Saint-Simon (notice Blandin de Chalain), dans le Dictionnaire des communes du Jura de Rousset, qui fait référence en matière d'histoire du Jura (tome 3, notice sur Fontenu, p. 131-132), dans le Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou, de Beauchet-Filleau et Chergé comme le mentionne l'intervention précédente (1891, tome 1, p. 546-547), dans Les Titres authentiques de la noblesse en France de La Barre de Raillicourt (2004, notice Blandin de Chalain), dans le Dictionnaire historique et héraldique de la noblesse française, de Mailhol, Paris (1895, tome 1, p. 451), dans l'Annuaire de la noblesse de Borel d'Hauterive de 1898 (tablette p. 283-285), ou encore dans les Etat présent de la noblesse française de 1866, 1869 ou 1887.
Et même si cela n'est pas à soi seul une preuve, rappelons que les trois frères Blandin de Chalain votèrent aux Etats généraux de 1789 dans les rangs de la noblesse de deux bailliages différents (Poligny et Lons-le-Saunier) (voir le Catalogue des gentilshommes de Franche-Comté qui ont pris part aux assemblées de la noblesse pour l'élection des députés aux états généraux de 1789 de La Roque et Barthélémy (1863, p. 12 et 14).

Calouin - Famille Calouin

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Famille Calouin, en PDD tant que pas consensus

  • Calouin de Tréville (de), déchargé du franc-fief par jugement du , maintenue de noblesse du faite par Lamoignon(Vicomte Albert Révérend, Titres anoblissements et pairies de la Restauration (t.II)), La Lande-Patry en Normandie, Anjou, Languedoc(Docteur Paul Laurent, Notes généalogiques sur la famille de Calouin de Tréville, établie en Languedoc depuis 1550, in bulletin de la Société des Études scientifiques de l'Aude, XLVI-année 1943 (p 14-26)).
Lyy, si tu contestes cet ajout, propose une suppression en pdd, en argumentant avec sources secondaires de références – Merci – (et signe ton intervention) Montvallon (discuter) 12 août 2013 à 11:52 (CEST)Répondre
Famille absente dans le Valette, année 2002, pour l'édition 2007 je ne sais pas. Iyy (discuter) 12 août 2013 à 12:49 (CEST)Répondre
Voir ci-dessous. Montvallon (discuter) 12 août 2013 à 22:18 (CEST)Répondre
Je confirme que cette famille n'est pas dans l'ouvrage de Régis Valette édition de 2002. Entremont à son retour en septembre nous confirmera pour l'édition 2007. Iyy (discuter) 13 août 2013 à 09:19 (CEST)Répondre
Valette 2007:La famille de Calouin de Tréville et- de La Calouinière, est recensée en Languedoc, page 310. Toutefois elle est considérée comme éteinte, page 313.D'après le Simili-Nobiliaire français de Dioudonnat de 2012, cette famille est considérée comme éteinte . Le nom est transmis à ses descendants en ligne féminine par Marthe de Calouin de Tréville (1902-1986), épouse du général Pierre Conne. Entremont (discuter) 29 août 2013 à 16:14 (CEST)Répondre
Famille considérée comme subsistante[6] par une source de référence, et pas la moindre : Alain Galbrun in État de la noblesse française subsistante, volume 26 pages 53-58.
Fraternellement / Montvallon (discuter) 3 septembre 2013 à 15:19 (CEST)Répondre

Catheu (de)

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Selon les critères définis par l’ANF, il n’est pas impossible que cette famille ne puisse y adhérer, mais ce n’est pas à nous d’en juger. Cette liste n’est pas la liste de cette association. Nous devons, sur Wikipédia, prendre en compte toutes les sources secondaires, même contradictoires. Cette famille qui a été étudiée par Michel Authier, est présente dans le volume 23 (p.30-46) de l’État de la noblesse française subsistante. Elle est toujours représentée, aujourd’hui, et c’est la raison de sa présence sur cette liste. Charles Claude de Catheu (1739-1806), Conseiller-secrétaire du Roi au bailliage et siège présidial de Beauvais, n’ayant eu que deux filles (Charlotte et Marie), le débat reste ouvert. Fraternellement / Montvallon (discuter) 17 septembre 2013 à 13:13 (CEST)Répondre

Cellès (Famille Cellès (de))

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  • Cellès (de), citoyen noble de Perpignan XVIIIe siècle, Roussillon, ANF-1985. (Au patronyme Celles G. Chaix d'Est-Ange renvoie à une famille de Bedos de Celles de Salelles, en Languedoc (Béziers), maintenue en 1668 sur preuves de 1519. Y a-t-il un lien de parenté ?)

Pour lyy : La famille de Cellès, citoyen noble de Perpignan (ANF 1985) représentée aujourd’hui par Maxence de Cellès est issue de Joseph Celles, docteur en médecine de la ville de Prades en Ardèche, né dans cette ville vers 1620. Elle n’a pas de lien de parenté avec celle des Bedos seigneur de Roqueirols et de Ceilhes au diocèse de Béziers dans l’Hérault (famille éteinte). Amitié et fraternité / Montvallon (d) 12 juillet 2013 à 20:27 (CEST)Répondre

Observations : Prades est situé dans le département des Pyrénées orientales et non en Ardèche. Voir :

  • Dossier ANF.
  • Régis Valette - catalogue de la noblesse française édition 1989 page 58 .
  • Archives des Pyrénées orientales .
  • Philippe de Laserme de Règne

Cléret (Famille Cléret)

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  • Cléret de Langavant, [de la famille Cléret et Crosmier de Langavant (devient Cléret de Langavant)], ancienne extraction (XIIIe siècle) maintenue en 1630 par Louis XIII, Bretagne.
A confirmer. Iyy (d) 16 mai 2013 à 17:03 (CEST)Répondre
Famille d'ancienne bourgeoisie normande. Raphaêl Hyacinthe Cléret relève en 1819 le nom de son épouse Angèle Crosnier de Langavant. (Le Simili-Nobiliaire Français, de Jean-Marie Dioudonnat, édition Sédopols 2012, page 217).Inscription non maintenue. Entremont (d) 16 mai 2013 à 20:42 (CEST)Répondre

Cotten (Famille Cotten de Saint Yvi)

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  • Cotten de Saint Yvi ", olim O'Cotten de Wexford , ancienne extraction irlandaise,lettres de naturalité Etats de Bretagne 1705,une branche ascendance Louis de Ronsart(d)armorial général d'Hozier Orléanais "d'azur au chevron accompagné en chef de 2 étoiles et en pointe d'un trêfle,le tout d'or"

Année 1780:charles Edward O'Cotten de Santivy est inscrit au Rôle de Messieurs de l'Ordre de la Noblesse (Rennes le 30.X.1780)AN Fonds Stuart IV,85 Année 1781: Corentin C. de Saintivy,lieutenant de frégate sur le vaisseau "La Couronne"de l'escadre de La Motte -Piquet pendant la révolution américaine AN fonds Marine c7 1-300

Chebrou (Famille Chebrou de Lespinats)

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  • Chebrou de Lespinats, Empire, chevalier en 1813, Poitou (Niort), Limousin (Jean Victor Chebrou (Branche de Lespinats)). voir Suppléments Jougla, 169 - complément à la notice 8940
Non consensus. Cordialement. Iyy (d) 11 mars 2013 à 12:57 (CET)Répondre
Famille éteinte. Fraternellement. Montvallon (d) 9 août 2013 à 21:42 (CEST)Répondre

Coligny (Famille de Coligny (suite))

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Discussion fusionnée avec cette discussion ayant le même sujet, puisqu'il s'agit de prétentions de la famille Pillot plutôt que Coligny (éteinte 1694). Fitzwarin (d) 7 juillet 2013 à 13:02 (CEST)Répondre

Demont (Famille Demont d'Aurensan et de Lavalette)

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Cette famille est placée en PDD, car on n'en trouve aucune trace dans le Valette et l'on doute de la réalité de sa subsistance...Merci à Montvallon, qui a déniché cette famille de Bigorre de nous apporter des précisions. Cordialement. Entremont (d) 4 juin 2013 à 10:35 (CEST)Répondre

Qui c’est le « On » ? Moi, je ne doute pas (sur cette famille), le Valette n’est pas une bible infaillible. Voir pour confirmation : Chaix d’Est-Ange (tomes XII et XIV) et Révérend Titres et confirmations de Titres. D’où : Jean-Claude né en 1949 à Tarbes, 2 enfants, Aline 1951 et André 1960. Fraternellement / Montvallon (d) 4 juin 2013 à 11:42 (CEST)Répondre
  • Il n’y a pas de « on » sur Wikipédia, il n'existe que des « je » pluriel, qui dans leurs merveilleuses diversités font un « nous » (la communauté wikipédienne),
    qui n’a rien à voir avec le « on » de Son Altesse Sérénissime.
  • Le statut nobiliaire et/ou la subsistance de cette famille ne fait pas l'objet d'un consensus.

Je propose de supprimer ce bandeau. La branche d’Aurensan fut maintenue par jugement de l’intendant de Bordeaux le 15 mai 1716. Cette famille est subsistante pour la branche d’Aurensan par Jean-Claude de Mont d’Aurensan né en 1949 à Tarbes, un enfant Pascal né en 1979. La branche de Lavalette semble éteinte. Réf. : Chaix d’Est-Ange, ‘’Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle’’ (t. XII et XIV), Révérend, ‘’Titres et confirmations de Titres’’ et GeneaNet . Jean-Claude est le petit-fils d’Auguste (1884-1962). Montvallon (d) 5 juin 2013 à 15:29 (CEST)Répondre

Sans contestation sur cette famille, je me permettrais de retirer le bandeau, dans une petite semaine. Merci à tous pour ce nouveau consensus. Montvallon (d) 6 juin 2013 à 13:31 (CEST)Répondre
Bonjour Montvallon, je m'oppose à ce que ce bandeau soit retiré ainsi que tous les autres bandeaux qui portent ce message. En effet, tant que cette famille et les autres concernées ne figureront pas dans l'ouvrage de Régis Valette (la dernière édition en date), ce bandeau est totalement justifié et nécessaire dans le respect de la charte de WP. Cordialement. Iyy (d) 7 juin 2013 à 08:28 (CEST)Répondre
Lyy, je comprends ta position elle est louable, elle part du principe que pour rendre cette liste crédible, il faut que les familles soit dans le Valette. Mais il n’y a pas que Regis Valette comme référence en ce domaine. Jean-Paul Alexis qui n’est pas historien a réalisé un bon coup éditorial avec son catalogue. Toutefois en compilant des sources peu crédibles, il se décrédibilise lui-même auprès des historiens. Il est vrai que ce n’est pas la cible de cet ouvrage, et qu’il est préférable de caresser les familles présentes, dans le sens du poil sur le principe de noblesse. Malgré qu’il se soit mis quelques familles à dos, car malgré toute sa bonne volonté, il ne pouvait pas faire entrer tout le monde, c’est étonnant… il lui en manque, peut-être le plaisir de rééditer ! Robert Laffont n’est pas un gamin en ce domaine. J’ai à ma disposition plusieurs centaines de livres sur le sujet que nous traitons, et certains sont réalisés par des auteurs, qui font référence. En ce qui me concerne, je fais confiance à Authier, Galbrun et Dell’Acqua, mais je pourrais en citer de nombreux autres, Vergnette de Lamotte est un auteur auquel on peut accorder toute sa confiance. En résumé, si pour une famille présente sur cette liste, on ne peut trouver, une référence crédible, il me semble que ce bandeau se justifie, mais les exemples doivent être extrêmement rares. Dans tous les autres cas, le bandeau doit disparaitre, après quelques jours d’observations. Fraternellement / Montvallon (d) 7 juin 2013 à 14:32 (CEST)Répondre
Bonjour Montvallon, pour moi aussi Régis Valette n'est pas une bible infaillible, mais son ouvrage est bien considéré. De toute façon le problème est là : toute famille qui n'est pas à l'ANF est présumée non noble, donc pour ces familles il faut un consensus pour figurer dans cette liste, hors si elles ne sont pas dans le bouquin de Régis Valette ou dans un autre c'est qu'il n'y a pas consensus. Ou alors on part du principe que cette liste n'a aucune crédibilité. Je m'oppose donc à tout enlèvement de ce qui existe pour informer le lecteur. Cordialement. Iyy (d) 7 juin 2013 à 17:09 (CEST)Répondre
Bonsoir lyy, j’ai l’impression que tu ne m’as pas bien compris. Je suis d’accord avec toi pour le bandeau, pour toutes les familles, sur lesquelles on ne peut trouver une source secondaire crédible, mais il me semble que ce cas de figure est extrêmement rarissime. En ce qui concerne toutes les autres familles qui ne sont pas sur le valette, mais qui sont citées par d’autres sources secondaires de référence, et il y en a, je propose que l’on fasse disparaitre le bandeau après quelques jours d’observations. J’ai rentré, dernièrement, la famille Boyer d’Eguille, citée par Antonini, elle n’est pas dans le Valette, et Antonini est à consommer avec modération. Le bandeau est donc souhaitable, pour tenter d’obtenir des informations complémentaires, mais il ne me semble pas souhaitable de le maintenir plusieurs mois. En ce qui concerne l’ANF, je ne vais pas m’étendre sur le sujet, mais c’est une autre démarche, comme pour la Légion d’honneur, il faut postuler et vu l’orientation prise depuis quelques années par l’association, beaucoup de familles sont réticentes. Fraternellement / Montvallon (d) 7 juin 2013 à 17:53 (CEST)Répondre
Bonjour Montvallon, j'ai bien compris votre analyse mais je m'oppose toujours au retrait de l'ensemble des précisions concernant ces familles. Je ne saisis pas votre propos sur l'ANF car de ce que j'en sais par mes lectures, toute famille pouvant prouver son ascendance noble est admissible au sein de cette association sans autre formalité. Cordialement. Iyy (d) 10 juin 2013 à 09:01 (CEST)Répondre
Bonjour lyy, je ne comprends pas pourquoi, nous partons ici, sur une discussion sur l’ANF. Pour en faire partie, il faut postuler, et beaucoup de familles ne le font pas, ou ne le désirent pas, pour de multiples raisons : le fait qu’ils ne connaissent pas l’existence de cette association loi 1901, ou qu’ils ne voient pas l’intérêt d’y adhérer, ou qu’ils trouvent que cela comporte un arrière-gout de vanité, trop typé vielle France rétrograde. Mais la raison qui me semble la plus importante, celle évoquée plus haut, c’est le virage radical, opérer par le nouveau bureau (maintenant il y a plus de dix ans), et qui fait office d’épouvantail, pour les familles ayant le sens commun de la modernité, et de l’humanisme, ou qui désirent rester à une certaine distance des intégrismes. Mais là, je crois que je me suis trop avancé dans mon propos, car ce n’est pas l’endroit d’un tel débat et je me laisse toujours emporter par mon « franc-parler ». Je vais encore me faire taper sur les doigts.
Pour revenir à nos moutons, cette liste de Wikipédia… nous ne devons pas fonctionner de la sorte. Il n’est pas question pour les familles de désirer, ou de ne pas désirer y être ! Elles doivent ou elles ne doivent pas y être, suivant les sources secondaires, qui seules font foi. Ce doit être un travail à faire par des historiens et des sociologues pour la recherche historique et sociologique. La vanité des uns ou les remords des autres n’a pas de place ici.
Et dernière chose, pour ne pas être trop long, la famille Demont d’Aurensan (de Mont d’Aurensan) est citée par une source secondaire de qualité, Michel Authier. Le Valette, ne peut pas, et ne doit pas, être ici la source unique. Cette famille a été étudiée, in État de la noblesse française subsistante (volume 15, page 37) et elle est toujours représentée en 2013 (voir plus haut). Il me semble donc qu’il nous faut, après cette période probatoire, retirer le bandeau. Amitié et Fraternité / Montvallon (d) 10 juin 2013 à 10:55 (CEST)Répondre
Merci Montvallon de votre réponse. Il me semble, sans vous vouloir vous vexer, que vous confondez "admission d'une famille à l'ANF sur des critères exclusivement généalogiques" et politique de cette même association quant à l'admission de personnes à titre personnel. Pour la liste ici présente des FSNF, en effet l'ouvrage de Régis Valette n'est pas la Bible et pour moi Gustave Chaix d'Est-Ange est le meilleur généalogiste français, mais je m'oppose à ce qu'il ne soit pas mentionné pour des familles absentes de cet ouvrage qu'elles ne sont pas consensuelles. Ce n'est pas dégradant mais c'est la charte de WP et sa crédibilité : on doit informer les lecteurs. Pour moi enfin, la liste des FSNF n'est pas une fin en soi car un certain nombre de familles ne pouvant y être ont plus d'histoire que d'autres y étant. La noblesse n'est pas gage d'histoire. Cordialement et estime. Iyy (d) 10 juin 2013 à 12:57 (CEST)Répondre
Lyy, nous nous égarons…
1- Ce n’est pas ici, la liste de l’ANF, si cela était le cas, il nous suffirait de nous référer à la dernière édition de l’annuaire de l’association. Cette association ne représente pas, toutes les familles pouvant y adhérer, pour les raisons que je t’ai indiquées et non pas pour des critères liés aux principes de noblesse. Pour les familles ne désirant pas y adhérer, il ne s’agit pas de politique, mais d’un simple rapport à la vie de tous les jours, la sociabilité avec les autres.
2- Ce n’est pas ici, la liste du Valette, car pour d’autres raisons, des raisons d’ordre éditorial, cette liste n’est pas complète et nous pouvons déjà remarquer qu’entre-le Valette et les familles de l’ANF, il existe une différence.
3- Nous ne pouvons faire ici des recherches inédites sur le principe de noblesse des familles, comme la pratique avec compétence et pertinence, la commission des preuves de l’ANF. Personnellement je n’ai pas cette compétence, mais qu’importe, puisque ce n’est pas le principe de cette page. Cette liste de Wikipédia ne peut se référer, comme tu le sais, qu’à des sources secondaires et en aucune façon être un travail inédit.
4- Il nous faut choisir les sources qui font référence, et il me semble que l'État de la noblesse française subsistante d’Authier, Galbrun et Dell’Acqua édité pour le premier volume, il y a déjà de très nombreuses années, fait référence, et je ne comprends donc pas pourquoi tu t’obstines, à vouloir placer le Valette en référence absolue, pour justifier un bandeau, qui resterait ad vitam aeternam. La présence d’une famille dans le Valette, ne fait pas partie de la charte de cette page, et dans le cas contraire, il faudrait rajouter le bandeau à toutes les familles qui ne sont pas citées dans cette bible. Si tu veux, je m’y applique ? Mais ce serait contraire à la déontologie de Wikipédia, qui nous demande de prendre toutes les références pertinentes comme sources, même contradictoires, car l’universalité est la raison d’être d’une encyclopédie.
Fraternellement / Montvallon (d) 10 juin 2013 à 14:53 (CEST)Répondre
Malgré toute l'estime que j'ai pour vous Montvallon, je ne peux continuer cette discussion car nous ne serons pas d'accord. Mettons aux voix nos avis sur le Bistro par exemple ou ailleurs ex. Discussions spécialisées. Cordialement. Iyy (d) 10 juin 2013 à 16:39 (CEST)Répondre
Pourquoi pas ! Mais il faudrait savoir pourquoi nous votons, et créer des motions. J’aime la démocratie !!! Toutefois, sachons que sur Wikipédia, c’est le consensus, développé par un argumentaire, qu’il nous faut rechercher en amont. L’avons-nous recherché ? Qui pense ici que : pour qu’une famille figure sur cette liste, elle doit impérativement être répertoriée sur le catalogue de Régis Valette (alias Jean-Paul Alexis) ou être membre de l’Association d’entraide de la Noblesse Française (ANF) ? Et que… dans le cas contraire, elle se verra, quelle que soit l’autre source secondaire citée, affublée du bandeau « Le statut nobiliaire et/ou la subsistance de cette famille ne fait pas l'objet d'un consensus » et ceci ad vitam aeternam. Je pense que ce serait en contradiction avec la nécessaire pluralité des sources ainsi qu’avec le reste de l’encyclopédie. Merci à toi, de nous donner ton avis sur le sujet. Toujours en toute amitié et en toute fraternité. Montvallon (d) 10 juin 2013 à 21:34 (CEST)Répondre
La problématique est bien posée. Pour ma part je pense que ce bandeau n'est pas forcément ad vitam aeternam et qu'il respecte la charte de WP qui demande à ce que l'on informe les lecteurs. Donc OK pour la mise aux voix ou comme alternative on peut trouver une formulation plus précise pour notre fameux bandeau : ex. Cette famille est absente du Catalogue de la noblesse de Régis Valette, mais cela n'est pas forcément complet car la famille peut ne plus être représentée. Cordialement. Iyy (d) 11 juin 2013 à 08:45 (CEST)Répondre

Desbiez (Famille Desbiez de Saint Juan)

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  • Desbiez de saint Juan, premier avocat général au Parlement de Besançon en 1736, dispensé comme noble du marc d'or en 1771, baron héréditaire de saint Juan en 1786 par lettres patentes de Louis XVI, Franche-Comté accordées à Claude Alexandre Desbiez sgr de Saint Juan, conseiller au Parlement de Besançon (Roger de Lurion, Nobiliaire de Franche-Comté p 266,1890.)

Question posée à l'auteur de l'ajout sur la famille Desbiez de Saint Juan:

  • La branche bretonne Desbiez de Saint-Juan est éteinte depuis 2006 avec Auguste Desbiez de Saint-Juan. (né à Plonévez-Porzay-en Finistère. Janvier 1921- Mort en 2006, sans postérité)
  • L'hypothétique branche d'Aboutville (Algérie), qui serait représentée par Armand Desbiez de Saint-Juan, né en 1920, est-elle subsistante ? Quelle est sa filiation?

Nous vous remercions de ces renseignements. Cordialement. Entremont (d) 28 mai 2013 à 21:53 (CEST)Répondre

Armand Desbiez baron de Saint Juan (1855-1935) fils du baron Alexandre de Saint Juan (1820-1863) et d’Elisabeth de Jouffroy d’Abbans (1826-1883). Saint-Cyrien (promotion Archiduc Albert en 1875), sous-lieutenant au 10e régiment d’infanterie à Auxonne puis ingénieur des ponts et chaussée en Algérie où il participa à la construction des réseaux de chemin de fer. Dont : 1) louise. 2) Armand Desbiez baron de Saint Juan (né en 1920 vivant en 2013) d’où postérité. 3) Charles Desbiez baron de Saint Juan, d’où postérité. 4) Pierre Desbiez baron de Saint Juan, d’où postérité. 5) Marguerite.

Merci, cher interlocuteur anonyme. Nous replaçons l'article. Cordialement. Entremont (d) 29 mai 2013 à 10:47 (CEST)Répondre

Doudeauville (titre de duc, maison de La Rochefoucauld)

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La maison de La Rochefoucauld peut-elle toujours porter le titre de "Duc de Doudeauville" ? En effet d’après le simili-nobiliaire français de Pierre-Marie Dioudonnat (Sédopols 2002), Armand Charles François Marie de La Rochefoucauld (1902-1995), septième duc de Doudeauville, marié en 1957 à Esther Milicent Clarke n'aurait pas pu transmettre ses titres à son fils Armand Sosthène puisque celui-ci était né hors mariage à Lisbonne, le 23 décembre 1944, de Renée Clémentine Elisabeth Brandt.

Aucune trace apparente d'une résurgence de ce type à travers la multitude des descendants légitimes de la Maison de La Rochefoucauld. Armand Sosthène est-il légitimé? voilà une bonne question ! Nous vous remercions de votre intervention judicieuse et , en attendant une contre-réponse sourcée , nous complétons la ligne dans le sens d'une extinction Doudeauville . Cela ne devrait pas soulever l'indignation de la foule subsistante de la Maison de La Rochefoucauld qui, à juste raison, reste vigilante sur la légitimité de ses branches(d'Estissac, Liancourt, Montbel). Cordialement. Entremont (discuter) 12 septembre 2013 à 23:01 (CEST)Répondre
"Légitimé" !? : Lire la réponse chez Albin Michel, in On ne prête qu'aux riches (2001).
Fraternellement / Montvallon (discuter) 16 septembre 2013 à 17:17 (CEST)Répondre

Dreüille Sénecterre (de)

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Quel lien existe-t-il entre la famille de Dreuille (d'ancienne extraction) et celle de Dreüille Sénecterre? Certains auteurs évoquent le fait que cette dernière serait une branche naturelle de l'ancienne famille de Dreuille. Merci de m'éclairer à ce sujet. Bien cordialement.

Ils sont de la branche des seigneurs d’Avril-sur-Loire et de Lurcy-sur-Abron. Fraternellement / Montvallon (discuter) 13 septembre 2013 à 19:02 (CEST)Répondre

Dubuc (Normandie, Martinique)

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  • Dubuc ou Du Buc, ancienne extraction, 1190, Normandie, berceau : le Buc-Richard à Criquebeuf-la-Campagne (Eure) et le Fontenil (château) à Saint-Sulpice-sur-Risle (Orne); nouvel anoblissement, 1702, Martinique, berceau : La Trinité et Le Marigot de Martinique ; confirmation, 1700, Berry, berceau : Clémont-sur-Sauldre (château de Lauroy) ; maintenues 1666, 1769; baron de Bretagnolles, comte du Buc.

Une famille Dubuc (Normandie, Martinique) (Preuves de noblesse des écoles militaires ?) a été rajoutée sans sources par l’IP 88.172.49.131 25 juin 2013 à 14:52 Une source secondaire, et quelques informations complémentaires seraient souhaitables pour rétablir cette famille sur la liste. La famille du Buc de Marcussy semble éteinte, comme celles des du Buc de Ribery, du Buc de Bellefonds ou du Buc de Sainte-Preuve. Quelle est la branche subsistante ? Merci pour vos lumières.
Fraternellement / Montvallon (d) 25 juin 2013 à 20:58 (CEST)Répondre

Bonjour, Absolument toutes les archives, manuscrits, tableaux et autres sont mentionnées sur le double Tome "La saga des Du Buc" de Messieurs Y.Du Buc de Mannetot et F.Renard-Marlet qui sort la semaine prochaine (juillet 2013 aux éditions Du Buc, Paris). Ce livre relayé par bon nombre de personnalités, fut très demandé par de nombreux historiens dons les recherches amenèrent aux Du Buc.
Je tiens à vous signaler que la famille Du Buc est absolument subsistante par la branche ainée (normande) Du Buc de Mannetot et Sirey Du Buc. La branche cadette partie en Martinique par l'intermédiaire de Pierre Du Buc en 1657 subsistait jusqu'au début du XXe par les Du Buc de Marcussy, de Bellefonds ,de Rivéry (et non Ribéry ! Nous réfutons tout lien d'appartenance avec le joueur de football...).
Aujourd'hui la descendance martiniquaise directe subsiste par les familles Renard-Marlet (branche Du Buc de Rivéry) et Gallet de Saint-Aurin (branche Du Buc de Bellefonds), de Teissières (branche du Buc de Marcussy).
Merci de me contacter pour plus de détails.
Bonjour, La saga des Du Buc est répertoriée à ce jour que sur Wikipédia (avec une multitude d’informations non vérifiées). J’attends avec intérêt la sortie de ce livre, pour me faire un avis sur le sujet. Qui est M. Renard-Marlet ? Et qu’elle est cette maison d’édition : Éditions du Buc ? Dans cette attente, et avec mes remerciements pour cette exclusivité !
Fraternellement / Montvallon (d) 28 juin 2013 à 13:22 (CEST)Répondre

du Lac (famille du Lac)

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A été inséré par une IP la notice suivante : * Lac (du), extraction chevaleresque (XIème siècle), Consul de Narbonne (1257-?), Marquis (1757)

Avec la référence en note : Maison d'ancienne chevalerie du Bas-Languedoc, elle fut connue depuis Roland du Lac, vivant au XI siècle, époque dès laquelle elle subsistait au rang de la haute noblesse. Elle a eu pour berceau une terre de son nom, non loin de la rivière de Berre (dans l'étang de Sigean) où elle fit élever un château. Raymond du Lac fut l'un des seigneurs qui, en 1254, entrèrent dans la ligue conclue entre son oncle Almaric, vicomte de Narbonne, et les habitants de Montpellier. C'est depuis ce seigneur que la filiation de cette maison est établie dans les preuves que ses diverses branches ont faites par-devant M. de Bezons, intendant en Languedoc en 1668,1669 et 1670.
Pour Jougla de Morénas, 4, 386, n° 20682, qui la nomme "du Lac de La Clauze" et branche "du Lac de Montvert", cette famille, bien que connue depuis 1181 (et non le 11e siècle), elle n'établissait sa filiation prouvée que depuis un mariage de 1236. La branche aînée des seigneurs de Boutenac (un consul de Narbonne en 1365 effectivement) disparaît après les maintenues de 1668-1669 ; sa cadette, seigneurs du Prat de Bosc est également maintenue aussi en 1669 se scinda à son tour en deux branches. Celle devenue aînée des seigneurs de la Clauze et de la Brugière, et autres fiefs érigés en marquisat du Lac en juillet 1757 au profit de Joseph-François du Lac (1695-1770), qui s'éteignit avec ses deux fils, l'un marquis du Lac après son père, admis aux honneurs de la Cour en 1785 (Woelmont, Notices, vol. 7, p. 533) et son Emmanuel, chevalier de Malte né en 1761, fut admis aux honneurs de la Cour en 1788. La branche cadette du Lac de Montvert, également maintenue en 1669, repris (de courtoisie) le titre de marquis du lac et fut la dernière de son nom avec Jean-Melchior, marquis du Lac (1806-1872), fils d'un maire de Villefranche, et mort sans postérité (Woelmont, Notices, vol. 7, p. 510, H. de Barrau, Documens historiques, p. 371).
Famille éteinte et donc retirée de la liste des FSNF. Fitzwarin (d) 5 mai 2013 à 15:40 (CEST)Répondre

Quelques confusions de dates en effet. Vous semblez cependant oublier le second mariage de Jacques du Lac avec Béatrix de Montclar qui suivit sa première union avec Marie de Pompadour (en 1539 il me semble, voir M. de Courcelles). C'est de cette première union, donc, que sont issues les branches "du Lac de La Clauze" et "du Lac de Montvert" ainsi que celles des seigneurs de Labruguière, devenus effectivement marquis du Lac. D'une deuxième union descend notamment Ernest Henri du Lac (1805-1902), marié à Elisabeth Henriette d'Andoque en 1832, qui fut conseiller général de l'Hérault. Il eut pour enfants :

  1. Dieudonné, marié à Margueritte Claire de Llobet
  2. Ernestine
  3. Jacques, marié à 1) Claire de Crozals et 2) Marie Thérèse de Llobet d'où :
    1. Marie Henri Roger (1864-1884)
      1. Gaston, marié à Marie Alice de Salvage de Clavières
        1. Odette
        2. Claire
        3. Pierre, marié à Marie Thérèse de Chefdebien-Zagarriga
        4. Joseph, marié à Madeleine Lagarrigue
      2. Claire
    2. Germaine
      1. Albert, marié à Marie Paule de Villèle
      2. Gabrielle

Cette famille existe encore aujourd'hui.


Faute de réponse, voici un précision qui pourrait être utile : le second mariage de Jacques du Lac (nommé ici "Jacques du Lac-Boutenac") avec Béatrix de Montclar est évoqué par François-Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois ("Dictionnaire de la noblesse", X).

Merci de cette précision. Toutefois je n'ai pas vu la même chose que vous chez LaChesnaye, qui parle bien de la famille du Lac de Montvert (tome onzième, col. 237-238), qu'il confond d'ailleurs avec celle de Lacvicvier. Quand il parle de Beatrix de Montclar, à l'article Montclar, il mentionne en effet un Jacques du Lac, seigneur de Boutenac. Ce Jacques du Lac était le fils d'Arnaud du Lac et d'Agnès Dorlan, et le père de Bertrand du Lac, qui épouse en 1577 Marguerite de Saix, et fait son testament en 1608. La généalogie que j'ai résumée plus haut prend bien en compte cette filiation, qui d'après les généalogistes, s'éteint comme je l'ai écrit, et vous le reconnaissez. J'ajoute que, pour les uns, Bertand du Lac est le fils de Marie de Pompadour (qui serait épousée en 1536), pour les autres le fils de Beatrix de "Moncla" (qui serait épousée en 1546). Peu importe à vrai dire, les seigneurs de Boutenac, reconnus nobles, ne subsistent plus.
Intéressante est l'hypothèse d'une descendance d'un éventuel second lit (en fait je doute du mariage A du L, avec Marie de Pompadour, mais admettons). Vous sautez plusieurs générations (deux siècles) pour arriver à Ernest du Lac. Apparemment elle est résumée ici, plus en détail. Il ne m'appartient pas de la vérifier, outre de dire qu'elle n'a fait l'objet d'aucune publication d'autorité. Toutefois, en admettant qu'elle soit correcte, et que par chance, la famille du Lac qui subsiste descendrait d'Arnaud du Lac-Boutenac, je note que certaines générations entre Arnaud du lac et votre Ernest sont considérées comme roturières. Henri du Lac (1683-1762) est considéré comme bourgeois de Cazouls. Un anoblissement par charge de ces du Lac (de Cazouls), et une reconnaissance ANF en 1936 (pour cette anoblissement de 1781) ne fait pas pour autant reconnaître une noblesse ancienne (1236). En d'autres termes, sous l'ancien régime, seules les lettres de relief de dérogeance permettaient de récupérer sa noblesse éteinte. Un roturier anobli par charge, en admettant qu'il serait issu d'une antique famille, ne saurait étendre son principe de noblesse par delà des générations roturières qui n'ont pas relevé leur noblesse. Il existe d'autres familles dans ce cas. Il reste qu'à l'heure actuelle, la filiation n'est pas prouvée exactement jusqu'aux du Lac de Boutenac. Fitzwarin (d) 8 juin 2013 à 01:39 (CEST)Répondre

Merci pour ces informations. On ne peut donc pas affirmer que les du Lac que nous connaissons aujourd'hui soient affiliés aux du Lac de Boutenac. Mais cet anoblissement par charges reconnu par l'ANF n'est-il pas preuve de noblesse ?

Tombé un peu par hasard sur cette page, je me permet d'apporter quelques précisions puisqu'en bon Biterrois ce nom ne m'est pas inconnu. Dans l'inventaire des archives communales de la ville de Narbonne, cinq pages sont consacrées à cette famille (l'une des seules à faire l'objet d'une notice dans cet ouvrage). Les Du Lac tirent leur nom du "Lacus Rubresus", l'actuel étang de Bages-Sigean, qui fut en 737, le théâtre d'un affrontement opposant Charles-Martel et les sarrasins et qui fut le berceau de cette famille, qui "donna des familiers aux comtes de Toulouse et vicomtes de Narbonnes, des chevaliers parmi les premiers du Narbonnais, des légistes [...]" (voir G. Mouynès).
Toujours d'après les archives de la commune de Narbonne (je ne citerai que les personnages qui suceptibles de nous intéresser):
- 1114 : Raymond et Béranger du Lac (frères) assistent à la donation faîte par le vicomte de Narbonne à sa femme de la villa et du terroir du Lac, avec son château
- 1239 : Raymond et son fils Idalguier rendent hommage à Amalric II, vicomte de Narbonne de tous les fiefs qu'ils possèdent aux lieux de Roquefort, St.Broncart, Villar de Fargue
--> Beaucoup de ces premiers Du Lac furent liés à l'administration de la ville de Narbonne, souvent comme consuls.
- Pierre du Lac, consul en 1257, ép. Guillelme de la Voulte
- Raymond du Lac, ép. vers 1300, Emengarde de Boutenac
- Arnaud du Lac, seigneur de Boutenac, ép. Agnès de Dorlans, fait son testament en 1530, d'où
- Jacques du Lac,seigneur de Boutenac, Caraguilhes, Dorlans et de terres à Cazouls (aujourd'hui Cazouls-les-Béziers), ép. en 1ères noces 1577 (au château de Montredon) Marie de Pompadour et ep. 2èmes noces Béatrix de Montcla, d'où :
  1. Bertrand du Lac, ép. 1ère noces Marguerite de Saix, et 2ème noces Diane de Poggio, d'où deux enfants du 2ème lit :
    1. François du Lac, ép. 1610 Françoise de Chambert-Bizanet (branche ainée éteinte en 1733 et la seigneurie de Boutenac est vendue au comte de Fauzières)
    2. Louis du Lac, seigneur de Prat de Bosc et de la Clause, ép. 1 noces 1613 Cécile de Calmels, 2 noces Rose d'Aure 1632 (branche de Castres éteinte au XIXème)
  2. Etienne du Lac (sans postérité)
  3. Marguerite du Lac, ép. François d'Ysarn, Baron de Rieux
  4. Louis du Lac, se convertit à la RPR et épouse un protestante, il est relégué sur des terres ne comportant pas seigneurie, en 1515, il hérite de son père du domaine de Cazouls (d'où la branche subsistante de la Gauphine). La noblesse héréditaire, avec les privilèges y afférents, est à nouveau octroyée à cette branche redevenue catholique en 1630. D'où :
    1. David du Lac, notaire Royal de 1600 à 1614, hérite du Château de la Gauphine apporté par sa femme, Isabeau des Gardies
Je me permets ici de sauter quelques générations par soucis de clarté, je ne citerai que les noms :Henry, Jean, Jehan, et Henry d'où :
- Henry du Lac (1726/1806), Conseiller secrétaire du Roi en la généralité de Montpellier, EP. Anne de la Porte, morte en couches. En 1761, reçoit lettres patentes de Louis XV pour sa charge de Conseiller secrétaire du Roi. Epouse en 1775, Marie Adélaïde de Montlaur de Murles de Restinclières, fille de Joseph de Cambacérès de Restinclières, d'où
  1. Henriette, Ep. Barthélémy d'Andoque de Sériège
  2. Henry du Lac, qui en 1789, assiste à l'assemblée de la noblesse de béziers en vue des etats génrax, d'où :
    1. Marie-Henry du Lac(1779-1851), maire de Cazouls de 1826 à 1832, ép. Jeanne de Serres de Mesplès, d'où effectivement
      1. Ernest (1805-1902), maire de Cazouls et vice-président du conseil général de l'Hérault, Ep Elisabeth d'Andoque de Sériège d'où
        1. Joseph du Lac (1837-1908), Ep 1ères noces Claire de Crozals et 2è noces Marie-Thérèse de Llobet
D'où les Du Lac qui, comme vous l'avez montré, subsistent encore aujourd'hui. A voir : le château de la Gauphine à Cazouls et l'hôtel Du Lac à Bézier, rue du 4 septembre.
Je vous renvoie également à "Les Montlaur Cambacérès" de Marie-José_Guigou (qui contient quelques information utiles mais qui n'est pas sans petites erreurs de dates) et à l'inventaire des archives communales de la ville de Narbonne, quant à lui bien plus sûr évidemment.
A noter qu'il s'agit bien là des Du Lac dont il est question sur la page wiki des familles subsistantes de la noblesse française. Etant donné qu'il y figurent, je ne vois pas bien l'utilité de tout ceci. Peut-être une question de dates ? La noblesse de cette famille remonte en effet à bien avant 1761. J'espère en tous les cas avoir répondu à vos interrogations.
Utilisateur:Quintus G
La famille Dulac d'ancienne noblesse (dite Dulac de Boutenac) et le famille Dulac (ou du Lac) anoblie en 1761 et originaire de Cazouls n'ont aucun rapport entre elles voir Dulac de Boutenac et Dulac--Arnoncourt (discuter) 26 décembre 2015 à 14:01 (CET)Répondre

Gaillard-Michet de Champris

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Famille issue de Paul Gaillard, né vers 1850 et de son épouse , Marie-Louise Michet de Champris, née vers 1855. Leur fils Gabriel Marie Auguste, né le 3 avril 1877 à Saint-Étienne (Loire), décédé le 10 juillet 1956 à Lhommaizé (Vienne), est adopté par Louis Marie Joseph Michet de Champris, en vertu d'un jugement rendu par le tribunal civil de la Seine le 21 octobre 1936, ce qui lui permet de prendre à l'état civil le nom de Gaillard Michet de Champris. (Jean-Marie Dioudonnat,Le Simili-Nobiliaire Français, édition Sédopols 2012, page 337). Cette famille est retirée de la liste des FSNF, car elle ne correspond pas aux critères requis pour son inscription. Entremont (d) 25 juin 2013 à 23:58 (CEST)Répondre

Laire d'Espagny (famille de Laire d'Espagny)

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Merci à Marquisdecarabas91 (discuter) 14 décembre 2013 à 20:08 (CET) de patienter et d'éviter d'appliquer des aller-et-retour à son ajout.Répondre

Les branches Delaire, de Laire ou de Laire de Verdonnet ne sont pas anoblies. Reste la branche de Laire d'Espagny descendant de Jacques-Auguste-Henri de Laire(1831-1931) , adopté par son oncle Bouquet d'Espagny et créé comte d'Espagny en 1870 par réversion du titre de celui-ci. Cette branche semble éteinte en ligne masculine légitime, sauf preuve du contraire; merci, Marquisdecarabas91 (discuter) 14 décembre 2013 à 20:08 (CET) de nous apporter des précisions . Cordialement.Entremont (d) 15 mai 2013 à 18:27 (CEST)Répondre

Marquisdecarabas91 (discuter) 14 décembre 2013 à 20:08 (CET) nous a aimablement présenté la généalogie détaillée de la famille de Laire depuis l'époque de Napoléon III. Il en ressort que la seule branche anoblie de Laire d'Espagny est éteinte en ligne masculine en 1914. C'est, hélas, le cas de nombreuses familles françaises au cours de la Première Guerre mondiale. Nous le remercions de ces précisions et classons le dossier. Entremont (d) 16 mai 2013 à 19:54 (CEST)Répondre

Laffon de Ladebat

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@Entremont : Cette famille est représentée aujourd'hui par Jacques Laffon de Ladébat, né en 1920 à Jouy-en-Josas. À ne pas confondre avec les Peyrouton Laffon de Ladébat. Fraternellement / Montvallon (discuter) 1 octobre 2013 à 08:47 (CEST)Répondre

Merci de votre aide précieuse, Montvallon. Cordialement. Entremont (discuter) 1 octobre 2013 à 12:38 (CEST)Répondre

Lalagade (famille de Lalagade)

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Famille dont un des représentants fait actuellement les unes de la presse à scandale. S'agit-il d'une famille noble ?

Non, monsieur. Et même si tel était le cas, nous n'avons pas pour habitude de nous vautrer dans ce type de scoop malsain qui fait le malheur des familles, pour le plus grand plaisir de certains journalistes en mal de sensations. Cordialement. Entremont (d) 11 juin 2013 à 06:05 (CEST)Répondre

Famille de Lanchy

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Cette famille, originaire du Laonnais (Aisne-Picardie), est considérée comme éteinte. Par extension toponymique, la famille de Lancy (dérivée de Lanchy) est elle aussi éteinte. (Charles de Lancy, marchand bourgeois de Laon, vicomte de Laon en 1556). Toutefois, elle a suscité l' appétit des familles Boillot et Guillot qui ont demandé l'autorisation de joindre à leur nom celui de: de Lancy (Simili-nobiliaire français de Dioudonnat. édition Sedopols 2012. page 465).Entremont (discuter) 8 octobre 2013 à 09:49 (CEST)Répondre

Larquier

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  • Larquier Rochefort (de), maintenues de noblesse par Pellot en 1666 (A.D. Gironde C.339 f° 5 et 14), Malaussanne en Gascogne (Beauchet-Filleau, Dictionnaire des familles du Poitou (t.V)).

A confirmer Iyy (d) 4 juin 2013 à 08:52 (CEST)Répondre

À lyy : Pourquoi à confirmer ? J’aimerais bien connaitre ton avis sur le sujet ! Réverter pour un oui ou pour un non, sans discernement, cela finit par être fatigant. Il y a parfois de bonnes corrections, mais il semblerait que sur cette page cela devienne systématique. Amitié et fraternité / Montvallon (d) 4 juin 2013 à 15:35 (CEST)Répondre
Je ne vois pas d’adoptions dans cette famille qui pourraient choquer certains, peut-être un mariage civil qui n’aurait pas été confirmé par la Sainte Église catholique, apostolique et romaine, mais non… même pas ! Cette famille me semble bien… sous tous rapports :-)). D’une main je déréverte le revers et je monte au filet. En toute fraternité / Montvallon (d) 4 juin 2013 à 16:59 (CEST)Répondre

Laurens de Saint-Martin

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  • Honoré Laurens, fils d’un certain Gaspard sur lequel on ne sait rien, dit écuyer dans son contrat de mariage en 1628, épouse Isabeau de Demandols.

Voilà ce que nous dit notre regrettée Monique Cubells in La noblesse provençale, Les usurpations de la noblesse sous l’Ancien Régime, dans le chapitre : Familles entrées dans la noblesse de 1716 à 1789, aux pages 54, 55 et 56. Publication de l’Université de Provence.

Ici, les prétentions sont anciennes, le désistement de 1667 en témoigne. La possession de seigneuries, dès le XVIIe siècle, et au XVIIIe, est le fondement le plus solide que l'on puisse supposer pour la réussite de l'usurpation. Mais celle-ci est lente. Les alliances, un moment de bonne noblesse, redeviennent bourgeoises après le rejet momentané dans la roture. La décharge de franc-fief de 1738 est le premier signe d'une situation nobiliaire qui se consolide, et elle est confirmée en 1789 par l'entrée aux États de Provence.

Certains me diront peut-être, que ce n’est nullement en contradiction avec le Valette, qui nous dit lui : Provence ; ancienne extraction 1493 ; marquis en 1671.

P.-S. Monique Cubells, une très grande spécialiste de la noblesse provençale, était une ancienne élève de l'École Normale Supérieure de Sèvres, Agrégée d'histoire, ancienne Attachée de recherches au C.N.R.S., elle enseignait à la Faculté des Lettres d'Aix en Provence. Spécialisée dans l'histoire sociale du XVIIIe siècle provençal, elle a publié des études sur les parlementaires d’Aix, sur les usurpations de noblesse en Provence, sur les lettres d'anoblissement dans la province de 1715 à 1789, et sur la Franc-Maçonnerie aixoise. Elle est décédée en 2011.

Fraternellement à tous / Montvallon (d) 15 juin 2013 à 11:08 (CEST)Répondre

  • Est-il bien nécessaire de faire des ravages dans votre troupeau provençal à partir de ce type d'observation ? : La dérogeance est compensée par une décharge de franc-fief... et alors?
  • Pierre-Joseph de Laurens de Saint-Martin, président à mortier du Parlement de Provence en 1694 a-t-il un rapport avec cette famille ?
  • On se perd en conjectures sur les motivations de vos érudits du CNRS. De là à confondre dérogeance et usurpation, il me semble qu'il y a un grand pas, le titre de l'ouvrage est réducteur! S'agit-il de donner une mauvaise conscience rétrospective aux descendants de ces familles subsistantes ? On aimerait savoir. Cordialement. Entremont (d) 15 juin 2013 à 15:14 (CEST)Répondre
Il ne me semble pas, qu’il y ait là lieu à s’enflammer ! Essayons-nous de faire, ici, un travail d’historien, en toute objectivité possible ? Pourquoi vouloir remettre en cause, le travail des doctorants et des chercheurs au CNRS ? Ils sont infiniment plus fiables, sur le principe de noblesse, que le Valette ! La qualité des sources secondaire est primordiale sur Wikipédia. Fraternellement / Montvallon (d) 15 juin 2013 à 15:47 (CEST)Répondre
La filiation des Laurens est suivie depuis Jean, cordonnier, puis marchand et trésorier de la communauté de Draguignan en 1560. Je n’ai pas l’impression que ce peut être compatible avec une extraction en 1493, mais je peux me tromper ? À vous de m’expliquer. Les officiers au Parlement de Provence, de cette famille, semblent être une autre branche que celle descendante de Gaspard, mais là aussi je peux me tromper ! Je n’ai en ce qui me concerne aucune certitude. Je cherche ! Amitié et fraternité / Montvallon (d) 15 juin 2013 à 17:44 (CEST)Répondre
Il est bien possible que Valette se soit laissé abuser, mais nous restons sur notre faim. La branche aînée descendant de Scipion , auteur présumé de l'état de noblesse immémoriale, qui épouse le 7 novembre 1493 Catherine d'Apremont par contrat, est tombée deux fois en quenouille , mais elle fut relevée chaque fois par une branche cadette. Il serait utile pour parfaire vos démonstrations de nous indiquer l'origine de celui qui serait considéré comme un usurpateur et sa filiation. Tel devrait être le reflexe naturel de l'auteur des révélations dont vous bénéficiez. Faites nous participer à cette saga ! Cordialement. Entremont (d) 15 juin 2013 à 19:21 (CEST)Répondre
Pour la filiation établie par « mes érudits du CNRS », je vous renvoie à la page 56 du Cubells. Pour le reste, cette affaire d’un Scipion et d’une Catherine d’Apremont, cela ressemble fort à du Artefeuil ou à de La Chesnay-Desbois et Bardier et je n’ai pas vraiment envie de ressortir ces choses, d’une de mes malles de mon grenier. Je ne sais vraiment plus ou j’ai bien pu les cacher, ils doivent être enfouis avec mon Magny ! Fraternellement / Montvallon (d) 15 juin 2013 à 23:01 (CEST)Répondre

Léotard (famille de Léotard)

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En attente de vérifications. Iyy (d) 28 février 2013 à 09:18 (CET)Répondre
Vérification: Famille de Léotard, originaire de Guyenne, anoblie en 1582, 10 représentants mâles en 2007. (Régis Valette, Catalogue de la Noblesse Française,- Alliance: de Tricornot de Rose- Robert Laffont, Paris, 2007, page 125) Entremont (d) 28 février 2013 à 11:02 (CET)Répondre

Limesle (famille de Limesle)

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  • Limesle (de), extraction chevaleresque, maintenue 1667, 1715, Anjou (Catalogue des gentilhommes d'Anjou, Voisin de la Noirais, 1666 ; Acte de la Généralité de Tours du 25 avril 1715).
Non connue. Cordialement. Iyy (d) 7 janvier 2013 à 08:50 (CET)Répondre
La famille Delimesle, originaire d'Anjou, ne correspond à aucun titre de noblesse, en l'état actuel des nobiliaires. Entremont (d) 30 mai 2013 à 13:33 (CEST)Répondre

Lord de La Ragotière

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Je suis surpris de constater que cette famille authentiquement noble ne figure pas dans la liste. Elle a été maintenue noble par arrêt de la Chambre des Réformations le 30 septembre 1669 et est aujourd'hui représentée par Jacques Lord de La Ragotière, 4ème duc d'Escoublant. La généalogie de cette famille est disponible ici : sites.google.com/site/lamaisonloredelaragotiere/

Réponse: Nous remercions le contributeur rédigeant sous le N° IP 80 14 175 194 de son message du 5 janvier 2013. Au passage, pour une intervention plus efficace, il est préférable d'adopter un site WP avec un pseudonyme de son choix, plutôt que de rester dans l'anonymat, surtout lorsqu'il s'agit d'identifier une famille subsistante inconnue qui se réclame de la noblesse française.
  • 1/ Nous pouvons déjà vous confirmer que la noblesse pontificale n'est pas prise en compte dans la présente liste. À cet égard le titre de duc d'Escoublant, héréditaire par ordre de primogéniture, décerné par le bref pontifical du pape Léon XIII le 16 octobre 1895 à Jean Baptiste Joseph Lord de La Ragotière, ne peut être retenu. Sans doute peut-il être classé dans la liste de la noblesse pontificale qui existe par ailleurs.(Seules sont actuellement retenues les 23 Maisons ducales françaises inscrites dans le Catalogue de la Noblesse Française de Régis Valette. Vous observerez par exemple que le titre de duc de Lévis-Mirepoix n'est pas pris en compte, car d'origine étrangère).
  • 2/ La famille Lord ou Lore ou Loré ou Laure etc... ne nous est pas connue.
  • 3/ L'auteur de l'intervention, ( ou le généalogiste Jacques Lord de La Ragotière, duc d'Escoublant lui-même), aurait-il l'obligeance de nous apporter des précisions sur l'origine exacte de cette famille et sur sa filiation.

Nous l'en remercions. Bien cordialement. Entremont (d) 8 janvier 2013 à 11:20 (CET)Répondre

Intervention de Raoul 9863 le 9 janvier 2013: Personnellement, je pense que la noblesse française de cette famille ne fait guère de doute. Croyez-vous vraiment que le Pape aurait accordé le titre de duc héréditaire (très rare) à une famille qui n'aurait pas été déjà noble dans son propre pays ? Tous les autres titres de duc héréditaire accordés l'ont été à des familles déjà nobles en France.
Bonjour Raoul 9863. Vous venez de vous présenter comme passionné d'histoire et de généalogie et nous ne pouvons que vous en féliciter. Pour notre part, nous nous contentons , dans le domaine restreint de cette liste, de déterminer quelles sont les familles subsistantes de la noblesse française, suivant les critères mentionnés en exergue. Nous vous confirmons que la noblesse pontificale ne rentre pas en ligne de compte dans notre étude . L'accès aux titres de la noblesse pontificale n'était pas limité aux membres de la noblesse française authentique, contrairement à votre supposition. Certaines familles bourgeoises, moyennant finances, ont obtenu un titre au Vatican. Le titre de duc était monnayé à hauteur de Cent Mille francs de l'époque, suivant les auteurs compétents. Nous pouvons vous citer comme exemple la famille Féry d'Esclands, d'ancienne bourgeoisie provençale, qui reçut du pape en 1898 le titre de duc romain et qui s'est éteinte en 1969. Ne nous décourageons pas pour autant! Nous ne pouvons donc que réitérer les questions posées quant à l'origine , aux preuves de noblesse et à la filiation de la famille Lord, Lore ou Laure ...etc, sans vous référer à la noblesse du Vatican qui n'a rien à faire dans notre échange. Nous vous en remercions. Bon courage dans vos recherches. Cordialement. Entremont (d) 9 janvier 2013 à 10:11 (CET)Répondre

Bonjour Monsieur Entremont, merci de me contacter .Je vous communiquerai tout ce qui peut vous intéresser sur ma famille. Jacques LORD de LA RAGOTIERE

Mabille de Poncheville

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  • Demande de renseignement sur Ajout

J'ai pris bonne note de votre message, pour souvenir : "La famille Mabille de Poncheville, honorablement connue à Valenciennes, n'a jamais demandé à être inscrite indûment sur cette liste. Merci d'en prendre bonne note-le 16 février 2013]]" Les familles noble inscrite sur la page "Nom subsistant de la noblesse Française", ne figue que celles qui donne leur accord ? C'est pour mon information personnelle ne le sachant pas et au vu de votre note, je pensais qu'il fallait inscrire chaque famille noble française, que veut dire famille hors liste par ailleurs, merci pour votre réponse.(2A01:E35:2F4D:74C0:3107:6CAF:6659:38CB (d) 18 février 2013 à 03:17 (CET))Répondre

Réponse à l'IP X X X. Cette famille bourgeoise ne peut à aucun titre figurer sur la liste des Familles subsistantes de la noblesse française. Elle n'est pas auvergnate, mais alliée par deux fois à une famille noble d'Auvergne. Entremont (d) 18 février 2013 à 23:50 (CET)Répondre

Michet de Varine-Bohan

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Michet de Varine: famille de notaires à Trévoux (Ain) anoblie en 1740 par charge de conseiller au parlement de Dombes. Francisque-Jean Michet de Varine (1859-1920) fut autorisé en 1915 à ajouter à son nom celui de Bohan ( sa mère était née Loubat de Bohan).

IP71

Monchy (famille de Monchy)

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Selon Valette la famille de Monchy actuelle descend simplement d'un chevalier d'empire de 1808. Or dans le Bottin mondain, tous les membres de cette famille portent un titre de comte. Ce titre est-il également un titre d'Empire, a-t-il d'autres origines (pontificale par exemple) ou est-il fantaisiste? Merci d'éclairer ma lanterne. Cordialement.

Les titres, le Bottin mondain, tout ceci n’a pas grand-chose à voir avec cette liste… et Valette est fort peu recommandable en ce qui concerne le principe de noblesse. Les Monchy, portent tous à l’ANF le titre de Comte, c’est très courtois de leur part. Fraternellement / Montvallon (discuter) 16 septembre 2013 à 18:40 (CEST)Répondre
En ce qui concerne l'Empire, les titres sont essentiels. En effet, Napoléon n'anoblissait pas ceux qu'il honorait d'un titre. Il leur donnait seulement une décoration qui rappelait les titres de l'Ancien régime (moins ceux de vicomte et de marquis, plus celui de prince). La famille de Monchy a bien reçu en 1808 un titre de chevalier mais pas de titre de comte. Cordialement.--Stan49 (discuter) 18 septembre 2013 à 17:14 (CEST)Répondre
C'est donc bien seulement le titre de chevalier qui permet à la famille de Monchy de figurer dans cette liste. Merci de votre réponse.--2A01:E34:EE3B:F7F0:402F:D659:1E33:D32B (discuter) 18 septembre 2013 à 19:28 (CEST)Répondre
Chevalier Demonchy (puis de Monchy et de l'Empire), par L.P. du 20 juillet 1808. Il fut confirmé dans le titre de chevalier héréditaire par L.P. du 23 novembre 1814, puis anobli le 10 juillet 1824.
Montvallon (discuter) 18 septembre 2013 à 22:17 (CEST)Répondre
Merci de vos précisions.--2A01:E34:EE3B:F7F0:EDD7:3073:41FD:7DB6 (discuter) 19 septembre 2013 à 08:57 (CEST)Répondre

Mortemard ou Mortomard de Boisse

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Cette famille anoblie sous le Ier Empire a eu maille à partir avec le duc de Mortemart dont elle avait repris le nom et la particule...en toute simplicité! Les différents actes de procédures engagées depuis la fin du XIX° siècle ont permis de remettre les pendules à l'heure.(ref: Jean-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire français, édition Sédopols, page592-2012). Entremont (d) 20 juin 2013 à 22:08 (CEST)Répondre

La forme actuelle est bien : Mortemard de Boisse (la famille actuelle descend d'un frère du chevalier de l'Empire Marc Mortemart de Boisse (1756-1842) (LP du 22 mars 1814) et n'est donc pas d'ascendance noble.
Pour la petite histoire, évoquée ci-dessus, la fille de Marc, Virginie Mortemart de Boisse (1804-1857) avait épousé le 3 août 1826 Hippolyte Baudoüin (1795-1868), imprimeur à Sceaux, dont le fils Paul Baudoüin (30 mai 1827-4 avril 1886) a été adopté en 1864 par son grand-oncle maternel, Marc-Jean Mortemart de Boisse, avec le nom Baudoüin-Mortemart (mais usant du nom Baudoüin de Mortemart de Boisse). La procédure engagée par le [[maison de Rochechouart|duc de Mortemart) se termina par le jugement du tribunal civil de la Seine du 19 juin 1878 qui modifia Mortemart en Mortemard, et interdit l'emploi de la particule devant ce nom. L'appel (CA PAris, 30 mai 1879) fut également en faveur de la maison ducale, obligeant les Mortemard à revenir à l'ancienne graphie "Mortomard" (ce qui n'a presque pas été suivi bien sûr) et pour les Baudoüin-Mortemard à changer en Baudoüin-Mortomard (ce qui n'a peut-être pas été suivi non plus) : TC Seine, 30 avril 1888 (Chaix-d'Est-Ange, à "Boisse"). Il faudrait vérifier sur l'état-civil, Paul Baudouïn-« Mortomard » (officier de la Légion d'honneur) ayant par exemple épousé Lucy Cosnier à Angers le 30 avril 1874. Son dossier d'officier de la LH (Arch. nat., LH/142/53, cf. base Léonore, en ligne) mentionne le nom "Baudouin de Mortemart de Boisse", mais les pièces sont antiérieures aux jugements cités.
Le nom "Mortomard de Boisse de Marle" a été inscrit dans deux actes d'état-civil de naissance entre 1891 et 1914, puis dans quatre à la même époque (mais disparition du "de Marle") : en l'absence de jugement, il y a donc probablement eu modification non autorisée. Le nom "Mortemard de Boisse" est celui qui a figuré à l'état-civil depuis ce temps (4 naissances en 1916-1940, 14 entre 1941 et 1965, 19 entre 1916 et 1990).
Le procès a cependant repris pour usurpation de nom, pour se finir par un arrêt de la CA du 17 mai 1966 (confirmant l'interdiction de la particule usurpée [de], mais confirmant le "Mortomard", puis un second procès, terminé en cassation le 31 janvier 1978 à reconnu l'usage civil du nom « Mortemard de Boisse ». On en est là aujourd'hui.
Famille non noble quand même. Fitzwarin (d) 24 juin 2013 à 12:48 (CEST)Répondre

Nau

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A confirmer. Cordialement. Iyy (d) 29 mai 2013 à 09:05 (CEST)Répondre
Réponse:La Branche Nau de Champlouis semble éteinte, jusqu'à preuve du contraire . Le Simili-Nobiliaire français de Jean-Marie Dioudonnat, édition Sedopols 2012, fait état de 3 familles bourgeoises Nau: de Lespinasse, de Maupassant et de Neufville (cette dernière ne porte à l'état civil que son seul patronyme Nau. Elle est connue sous le patronyme de Neufville en France et aux Etats -Unis). La famille Nau est représentée par plus de 2000 descendants en France sur 80 départements et a constitué une puissante association familiale aux Etats-Unis. Wikipédia cite John-Antoine Nau (1860-1918), poète symboliste américain, mort en Bretagne en 1918. Entremont (d) 30 mai 2013 à 09:47 (CEST)Répondre
Question:Qui connait la date de décès de Claude Nau de Champlouis née en 1920 à Vitry-le-François ? Montvallon (d) 4 juin 2013 à 16:09 (CEST) En 2003 elle était toujours de ce monde, merci de ne pas nous enterrer trop vite !Répondre

Nompère de Champagny

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À IP 71.130.218.160 : Avant de supprimer cette famille, merci de nous confirmer le décès de : Alliette née en 1923, Anne née en 1925, Marie-Antoinette née en 1927, Yveline née en 1930 et Yolande née en 1933. Dans le cas contraire, il serait fort aimable de bien vouloir nous laisser finir nos jours tranquilles ! Fraternellement / Montvallon (d) 20 juin 2013 à 07:53 (CEST)Répondre

Confirmation: Sont subsistantes: Aliette, épouse Lalande de Calan... Anne, épouse Huon de Penanster...Yveline, épouse de Langle. Cordialement. Entremont (d) 20 juin 2013 à 10:17 (CEST)Répondre
Merci pour elles ! Fraternellement / Montvallon (d) 20 juin 2013 à 12:46 (CEST)Répondre

Exact, mea culpa. IP71

Nompère de Champagny (titre de duc de Cadore)

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Le titre de duc de Cadore s'est éteint en 1893 avec le 5e duc de Cadore.

La famille de Nompère de Champagny de cadore s'est éteinte en 2010 avec Henri de Nompère de Champagny de Cadore (fils de Yves de Nompère de Champagny de Cadore (1895-1969) qui a porté le nom "de Cadore" par adoption en 1919 par sa lointaine cousine fille du 5ème et dernier duc de Cadore).

Pierrepont (famille de Pierrepont)

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  • Famille de Pierrepont, -et de Pierrepont de Saint-Marcouf, -et de Pierrepont de Feugères-et David du Mutel de Pierrepont -et Garaby de Pierrepont, extraction chevaleresque ca1054, maintenue de manière continue par les Recherches de noblesse jusqu'à la Révolution, honneurs de la cour 1787.

Pierrepont (de) : Très répandu en Basse-Normandie, ce nom y a été celui de deux familles de l'ancienne noblesse qui sont aujourd'hui éteintes. in Le simili-nobiliaire français, par Pierre-Marie Dioudonnat (Sedopolis, Paris 2002). Montvallon (d) 14 juillet 2013 à 18:04 (CEST)Répondre

Pillot (famille de Pillot-Coligny)

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(discussions développées sur deux PDD et fusionnées ici seulement : vedette "Pillot" et non "Coligny" / Fitzwarin (d) 7 juillet 2013 à 13:00 (CEST) / )Répondre

Bonjour,
Lorsque je lis votre article, je suis outrée: la famille "de Coligny" n'est pas éteinte" , elle se continue par les "de Pillot de Coligny" et votre article arbitraire, est ramassis de mensonges. Pourquoi dénigrer une famille illustre, au service de la France depuis ses origines?
Anne et Yves de Coligny 2A01:CB14:B4D:C00:D5F9:FFD2:76D4:6F56 (discuter) 28 février 2024 à 09:45 (CET)Répondre

Besoin d'aide pour faire rectifier les pages Wikipédia sur une prétendue principauté de Coligny et des prétendus princes souverains de Coligny sur la page "famille de Coligny". Merci IP71

La famille de Pillot (et la branche de Pillot-Coligny) originaire de Besançon et qui fut maintenue noble en 1494 par Charles Quint n’a aucune origine commune ni aucun principe de noblesse commun avec l'illustre famille de Coligny éteinte en 1694.

Branche de Pillot-Coligny:

En 1747, Thomas de Pillot seigneur de Chenecey épousa Anne Elisabeth de Sandersleben-Coligny-Chatillon, dont l’arrière-grand-mère était née de Coligny-Chatillon. Il fut titré en 1761 comte de Pillot-Coligny et du Saint Empire par l’Empereur d’Autriche. Ils ne sont ni marquis ni comte de Coligny.

Enfin pour éviter toute confusion, contrairement à plusieurs articles que l'on retrouve sur Wikipédia sur la famille éteinte de Coligny, il n'y a jamais eu de "prince de Coligny" ni de "principauté de Coligny", il s'agit d'une fantaisie d'un membre actuel de la famille de Pillot-Coligny qui n'utilise que le nom de Coligny ce qui ajoute à la confusion avec la subsistance possible d'une famille éteinte depuis près de 320 ans...

IP71

Bonjour IP71, le problème, s’il y a, serait à étudier avec IP21.
Fraternellement / Montvallon (d) 27 juin 2013 à 16:47 (CEST)Répondre
Bonjour,
J'ai besoin de votre participation pour donner votre avis sur la suppression demandée de la page "principauté de Coligny" Pseudo principauté qui n'a jamais existée et créée à des fins d'autopromotion familiale.
IP71 (27 juin 2013 à 17:13‎ 71.130.210.193)
  • Parfaitement d'accord sur cet historique. Vous observerez que, loin de s'accorder avec la légende des pseudo-princes de Coligny dont se réclame (outrageusement !) aujourd'hui un descendant Pillot, féru d'histoire et d'incunables, l'ajout du lien sur la ligne des FSNF s'est contenté de la famille de Pillot et ne s'est pas paré des fausses plumes princières de la famille de Coligny . Pour l'article WP , vous êtes le mieux placé pour faire descendre de son estrade le texte contesté qui est non sourcé.
  • Question accessoire: La famille de Pillot a été admise à l'ANF en 1938 pour 2 branches: Les Pillot-Chantrans et les Pillot de Coligny. Or depuis cette date, la branche de Pillot de Coligny semble avoir ajouté Chatillon pour devenir la famille de Coligny-Chatillon .(En toute simplicité et sans crainte d'une nouvelle Saint-Barthélémy !). Elle conserve toutefois entre parenthèses le nom patronymique de Pillot, sans l'avoir supprimé, comme l'avait fait de son patronyme une branche Jourda en lui substituant la Famille Gravier de Vergennes ,pour laquelle vous étiez intervenu vigoureusement. Cet ajout Chatillon est il consigné à l'état civil et depuis quand ? Cordialement. Entremont (d) 27 juin 2013 à 11:15 (CEST)Répondre
Bonjour Entremont et aux autres (Montvallon, Lyy, Fitzwarin etc) Je suis nouveau sur Wikipédia et je ne maîtrise pas du tout la procédure de demande de suppression d'une page (d'autre part étant une addresse IP avec moins de 50 participations mon avis ne compte pas). C'est pour cela que je demande la bonne volonté des participants à cette page pour m'aider à faire supprimer cette fable prétentieuse et ridicule de principauté et de prince de Coligny à l'intiative d'un membre actuel de la famille de Pillot-Coligny (qui de plus ne craint pas d'affirmer que la famille de Pillot (marchands de Besançon, avec une "maintenue" de noblesse de Charles Quint en 1494 à la même origine que les Coligny... Merci à vous IP71
Selon Henri Jougla de Morenas, Léopoldine Eberhardine von Sponeck, grand-mère de Charles de Pillot (1761-1799), fut créée en 1718, comtesse et marquise de Coligny, par Lettres Patentes de Louis XV, avec transmission à ses enfants des titres et nom de la Maison de Coligny, dispositions dont bénéficièrent ses deux filles alliées dans les Maisons de Pillot et de Faucigny-Lucinge, ou pour Dominique de La Barre de Raillicourt, elle fut créée comtesse de Coligny avec transmission à ses héritiers "mâles et femelles" par diplôme du 7 septembre 1718 avec confirmation du 11 novembre 1747.
Il n’y a donc là, rien de très surprenant dans cette affaire. Ils ont récupéré tout ce qu’ils pouvaient trouver dans le trousseau de la mariée et le sac de la grand-mère et pourquoi pas une petite principauté de Coligny ou de Carabas ? En ce qui me concerne, je n’ai pas compétence pour me prononcer et intervenir sur la page de la famille de Coligny, désolé ! Fraternellement / Montvallon (d) 28 juin 2013 à 17:35 (CEST)Répondre

Pseudo principauté de Coligny au XIe siècle
La pseudo principauté féodale de Coligny au Xe siècle a été frauduleusement créée par le généalogiste Jean du Bouchet auteur en 1662 de "l'Histoire de l'illustre maison de Coligny" avec mention d'une charte de 974 dont on n'a conservé ni original ni copie (voir Poupardin René: Xavier Brun. La vérité sur le « Pagus Reversimontis », sur la sirerie de Revermont et sur les Manassès, ancêtres des Coligny, Bibliothèque de l'école des chartes, 1907, vol. 68, n° 1, pp. 340-341.
Ce faux explique pourquoi on ne trouve nulle trace de cette pseudo principauté de Coligny au cours des siècles.
Plus récemment un descendant de la famille de Pillot-Coligny (famille n'ayant strictement aucune origine commune avec la maison de Coligny éteinte en 1694 - contrairement à ce qu'il écrit ici ou là ) et qui ne se présente que sous le seul nom de Coligny a repris cette fable pour créer de toute pièce une lignée de "princes de Coligny" qu'il a abondamment cités dans toutes les pages Wikipédia relatives à la famille de Coligny.
IP71 30 juin 2013 à 02:53‎ 71.130.215.81

Il semble désormais que nous avons tous bien assimilé l'historique de la famille de Pillot de Coligny (Chatillon ?), dont les descendants sont honorablement connus et ne méritent pas d'être accablés outre mesure ! En effet, cette famille est concurrencée sur le plan homonymique par la famille Rouault de Coligny (corsaire de Saint-Malo), qui elle aussi apparaît au BM sous le seul nom de Coligny, et se contente de placer entre parenthèses le nom de Rouault. Nous sommes donc en présence de deux familles distinctes portant légitimement le nom de Coligny, sans afficher ostensiblement leur nom patronymique originel: ce n'est qu'un effet de mode dénué de modestie dans un monde plein de vanité, mais ce n'est qu'un péché véniel au regard des usurpations du Simili-Nobiliaire Français de Dioudonnat. Je remercie IP 71 de sa mise au point et pour ma part, je classe le dossier , à l'instar de Montvallon . Cordialement. Entremont (d) 1 juillet 2013 à 08:23 (CEST)Répondre
Salutations rendues à IP71 et aux quelques autres Émoticône : quand même on s'amuse bien avec tous ces faux-titres !! Bon je vais partir du principe que les Pillot disent juste, et y regarder de près. Il n'y a toutefois dans les ouvrages anciens de « principauté de Coligny » qu'à Coligny (Ain), ce qui correspond certes à la seigneurie de Coligny comme http://books.google.fr/books?id=LLU5AQAAMAAJ&pg=PA26&dq=%22principaut%C3%A9+de+coligny%22&hl=fr&sa=X&ei=rUXTUYPgPMv07Aby44HYDQ&ved=0CFAQ6AEwBQ#v=onepage&q=%22principaut%C3%A9%20de%20coligny%22&f=false ici] ou mais les uns et les autres se rapportent aux environs de l'an mil, ce qui laisse peu de crédit à l’existence réelle du titre de prince : Colligny était avant tout une seigneurie avant d'être un marquisat et un duché. Il y a bien eu une princesse de Coligny mais el fait elle avait épouse le prince d'Orange-Nassau, d'où son titré mêlé à son nom (Louise de Coligny fille de Gaspard II : cf. ceci. Sinon aucun livre antérieur au 19e siècle ne parle de "prince de Coligny" : l'affaire est donc réglée, ce titre n'existe pas.
Quant à l'article comté de Coligny et ce qui en est dit, effectivement il n'est pas sourcé et ces familles diverses qui se retrouvent co-comtes, c'est très bizarre. Bon une famille de Pillot (et non "maison") revendique un titre, à priori, s'il est authentique (le titre de "comte de Pillot-Colligny", pourquoi pas), il est aussi « du saint-Empire », et donc étranger. Je le retire de la FSNF pour cette raison là, quant au titre de marquis, il est de courtoisie... Fitzwarin (d) 2 juillet 2013 à 23:57 (CEST)Répondre
Bonjour,
petite mise au point concernant ma famille Roüault de Coligny. Nous n'avons jamais prétendu descendre de la famille de Coligny. Au début du 18ème siècle, les enfants de Pierre Roüault, sieur de la Ville-ès-Sauvé à Pleurtuit, Ille-et-Vilaine, et de Louise Des Marays, ont souhaité, comme cela se faisait à l'époque, différencier leur branche en ajoutant à leur nom patronymique, le nom d'une des terres appartenant alors à leur famille. Il se trouve que l'une de celle-ci avait appartenu à l'amiral de Coligny et c'est ainsi que François Roüault 1724-1799, ajouta Coligny à son nom patronymique Roüault. Je vous joins quelques extraits des tribulations diverses qui s'en suivirent :
"En avril 1860, une famille Rouault, domiciliée à Saint-Servan (Ille-et-Vilaine), tentait d'obtenir de M. le garde des sceaux l'autorisation d'ajouter à son nom patronymique le nom de Coligny qu'elle prenait déjà dans ses relations privées depuis plusieurs années, en séparant ces deux nom par le particule de ...
Prévenu à temps des ces prétentions par l'insertion obligatoire enregistrée au Bulletin des lois, le chef de nom et d'armes de la maison de Coligny-Châtillon, fit auprès de M. le Ministre de la justice une opposition motivée, à la suite de laquelle la famille Rouault vit sa demande rejetée.
Quelques mois après cet échec, des pourparlers furent entamés et des correspondances échangées entre les mandataires de la famille Rouault (1) et M. Louis de Pillot de Chenecey, Marquis et Comte de Coligny. Ce dernier consentit à se désister de son opposition, à la condition, toutefois, que MM. Rouault se borneraient à solliciter l'addition du nom de Coligny par la particule du, au lieu de la particule de ... et s'engageaient à ne jamais employer isolément ces deux noms.
Dans ces conditions, le chef de la maison Coligny consentit à appuyer la demande des Rouault, comme en fait preuve sa lettre du 3 juillet 1864 conservée aux archives de Sceau.
Présentée sous cette nouvelle forme, la famille Rouault voyait bientôt cette seconde demande échouer comme la première. C'est alors que, conseillés par des gens mieux avisés, les Rouault, pour arrivés à leurs fins, se servirent d'un autre moyen moins bruyant, mais plus sûr.
En effet, le 22 juin 1892, MM. Louis André Rouault, percepteur des contributions de Plancoët (Côtes-du-Nord), Paul Marie Rouault, propriétaire à Saint-Servan (Ille-et-Vilaine) et Alfred Marie Rouault, receveur de l'enregistrement à Ecoché (Orne), agissant tant en leur nom que pour leurs enfants mineurs, s'adressaient au tribunal de la 1ère instance de St-Malo, pour obtenir de lui par jugement, ce qu'ils n'avaient pu obtenir de M. le garde des sceaux, mais alors sous forme de rectificatif d'acte d'état civil.
Là, un troisième échec leur était réservé, et il nous a semblé intéressant de reproduire les considérants de ce jugement rendu le 13 août 1892.
"Attendu que les requérants demandent la rectification de divers actes de l'état civil les concernant et concernant leur père ainsi que leur aïeul Jean Noël Rouault par la raison que, dans lesdits actes, ils auraient été inscrits à tort sous le nom de Rouault au lieu de Rouault de Coligny qui serait le nom de leur famille.
"Attendu qu'en admettant, ce qu'ils n'allèguent même pas, que l'addition du nom de Coligny à celui de Rouault, qui est leur nom patronymique, fut motivée par la possession d'une terre, les requérants ne pourraient encore, aux termes d'une jurisprudence aujourd'hui certaine, s'en prévaloir utilement qu'à la condition de justifier d'une possession publique, longue, constante, uniforme et non interrompue, témoignant de l'intention persistante de leurs auteurs d'incorporer définitivement de nom de Coligny à leur nom patronymique.
"Attendu que l'appellation dont s'agit apparait pour la première fois dans un acte de mariage du 10 août 1762 applicable au bisaïeul des requérants et où celui est dénommé François Marie Rouault, sieur de Coligny, fils de feu Pierre et de Louise Marais, sieur et dame de la Ville-Sauvée.
"Attendu que dans l'acte de naissance de l'un des enfants issus de ce mariage, Jean Noël, né à St-Servan le 24 décembre 1769, on constate que ledit enfant a reçu les noms de Jean Noël Rouault, fils légitime du sieur François Marie et de dame Olive Nicole Bodinier, et qu'il y a lieu de remarquer qu'encore que l'acte soit signé Rouault de Coligny, ce dernier, père de l'enfant, ne figure point dans le corps de l'acte sous le nom de Coligny.
"Attendu que cette constatation est d'autant plus importante qu'elle porte sur un acte concernant l'aïeul même des requérants, Jean Noël Rouault, dont on demande la rectification de l'acte de mariage.
"Attendu qu'en dehors des actes de naissance produits, et dont le dernier porte la date du 21 juin 1783, ce nom revendiqué, ne figure dans aucun autre acte de l'état civil, même dans un acte de décès du 21 juin 1783.
"Attendu que si l'appellation Rouault de Coligny se trouve orthographiée tantôt avec une L tantôt avec deux L dans différents actes passés devant notaires ou sous seings privés, s'échelonnant de 1764 à 1781, ainsi que dans les rôles de capitation, extraits des archives de l'Ille-et-Vilaine, cette application ne peut être considérée comme constante, puisque ces derniers documents, notamment ceux qui sont relatifs à la ville de St-Servan, portent tantôt : Colligny Ruaut, tantôt de Coligny Rouaux, tantôt de Coligny, tantôt Raoult de Coligny ... tantôt Coligni Rouault, etc ...
"Attendu encore que dans l'une des deux commissions de guerre délivrées pour l'armement de l'équipement du navire Le Many, le même François Marie est inscrit simplement sous le nom de François Marie Rouault.
"Attendu que dans ces circonstances la possession invoquée par les requérants ne réunit pas les conditions de durée, d' uniformité et de continuité suffisantes pour constituer un titre en leur faveur ... et que quant à l'interruption signalée dans l'acte de naissance de Jean Noël Rouault du 24 décembre 1769, ne saurait évidement le considérer comme une conséquence possible de la défaveur attachée aux titres nobiliaires pendant la période révolutionnaire, puisque l'acte dont s'agit est antérieur de plus de vingt ans à cette époque.
Par ces motifs :
Dit qu'il n'y a pas lieu d'ordonner les rectifications demandées, déboute en conséquence les consorts Rouault des fins de leur requête et les condamne aux dépens .. etc., etc.
Battus dans cette troisième tentative, les consorts Rouault ne perdirent pas courage, et (puisse leur exemple servir à d'autres !) leur persévérance fut enfin récompensée par la Cour d'appels de Rennes, qui, par un arrêt du 9 janvier 1893, les autorise à faire figurer désormais le nom de Coligny à côté de celui de Rouault, en séparant ces deux noms par la particule DE.
En voici les considérants :
"Attendu que si l'article 1er de la loi du 6 fructidor an II défend au citoyen de porter aucun nom ou prénom autre que ceux exprimés dans leur acte de naissance, ordonne à ceux qui les auraient quittés de les reprendre, et fixe ainsi d'une manière définitive pour l'avenir, l'état civil de chacun, ces dispositifs ne portent point atteinte aux errements antérieurs et suivant lesquels, sous l'ancienne législation, les membres d'une famille, soit noble, soit roturière étaient dans l'usage d'adjoindre le nom d'une terre (2) à leur nom patronymique et de l'incorporer à celui-ci ...
"Attendu qu'une jurisprudence unanime décide que lorsque cette volonté d'incorporer un nom nouveau au nom ancien a été attestée par une possession constante, manifestée par de nombreux actes de l'état civil ou d'autres documents probants ; il y a ainsi constitution et attribution d'un nom patronymique nouveau qui devient une propriété ayant tous les caractères d'un droit pouvant être invoqué à toute époque : que d'ailleurs les conditions de cette possession constituent une question de fait laissé à l'appréciation des tribunaux.
"Attendu d'autre part, que l'art. II de la loi précitée dispose qu'il est défendu d'ajouter aucun surnom à son nom propre à moins qu'il n'a servi à distinguer les membres d'une même famille, sans rappeler les qualifications féodales ou nobiliaires.
"Attendu que pour qu'il y ait lieu à l'application de cette dernière disposition législative, il n'est pas nécessaire que le surnom soit un nom de terre et qu'il ait été incorporé au nom patronymique par une possession uniforme, constante et prolongée constituant une sorte de prescription, mais qu'il suffit qu'il ait servi à distinguer les membres d'une même famille ; qu'il ne rappelle aucune qualification féodale ou nobiliaire, et qu'il suffit qu'il ait été réellement possédé et en usage au moment de la loi de fructidor an II.
"Attendu que dans l'espèce les consorts Rouault établissent par des documents multiples, que depuis 1762, leurs auteurs s'attribuent le nom de Rouault de Coligny ... que notamment dans l'acte de mariage de François Marie Rouault, leur auteur commun, célébré à St-Malo le 10 août 1762, ce dernier est dénommé au corps de l'acte Rouault sieur de Coligny et qu'il a signé Rouault de Coligny ... que dans l'acte de publication qui a précédé ce mariage le même est désigné Rouault sieur de Coligny ... que de 1766 à 1783 dans les sept actes de naissance concernant les enfants du précédent, celui-ci a toujours, sauf un seul cas, été désigné sous le nom de Rouault de Coligny, ou Rouault sieur de Coligny, et qu'il a toujours signé ses actes Rouault de Coligny ... qu'un de ses enfants étant décédé à la date du 22 octobre 1783, il en a été de même dans cet acte de décès ... que de très nombreux documents émanant, soit du pouvoir royal soit de l'autorité maritime, d'un très grand nombre de pièces administratives, d'actes authentiques, d'extraits de minutes de notaires ou de registres de l'enregistrement, de correspondance ou d'actes privés, il résulte que les auteurs des appelants se sont toujours attribués la même dénomination étant ainsi manifesté clairement jusqu'à période révolutionnaire, l'intention d'incorporer à leur nom patronymique celui de Coligny ... Qu'en admettant que cette dernière appellation ne fut pas en réalité un nom de terre et qu'il n'y eut pas une possession suffisamment constante et uniforme pour arriver à une appropriation du nom de Coligny, il résulte tout au moins indiscutablement des documents fournis, que le nom de Coligny a été ajouté à titre de surnom au nom patronymique de Rouault, pour distinguer, dès 1762 François Marie Rouault des autres membres de sa famille, lesquels, pour les mêmes motifs, portaient les noms de Rouault de la Ville-Sauvée, Rouault de la Poquinière, Rouault du Domaine, Rouault de la Charlais, et que ce surnom conservé par lui lors de la loi de fructidor an II, lui est définitivement acquis à titre de nom patronymique, ainsi qu'à ses descendants aux termes de cette même loi.
"Attendu d'ailleurs que la particule DE n'implique aucune qualification nobiliaire et que de son emploi dans un surnom ne saurait faire obstacle à l'application de l'article de la loi précitée.
La Cour, etc, etc ... infirme le jugement dont est appel, etc ..., alloue leurs conclusions aux consorts Rouault, etc ..., etc ..."
Notes :
(1) : les lettres du mandataire de la famille Rouault ont été déposées au bureau de l'enregistrement de Gy (Haute-Saône). Ce mandataire, M. Achille Delabarre, référendaire au sceau de France, habitait alors 3, rue Blanche, à Paris.
(2) : il est piquant de remarquer que les Rouault n'alléguaient même pas la propriété d'une terre ... le tribunal de St-Malo l'avait constaté. Ce considérant ne s'explique donc pas en l'espèce dont s'agit.
Auteur : Baron de Beaupont, retranscrit par LRC"
Bon, je ne remonterais pas jusqu'au XIIIème siècle où je trouve pour ascendant Marguerite de Coligny, dame de Coligny-le-Vieux, ca 1265-1318, fille de Guillaume III de Coligny, Seigneur de Coligny-le-Vieux 1247-1275/,et épouse en 1280 de  Guy II de Montluel, Seigneur de Montluel ca 1260-/1304 ....
Bien cordialement
Laurent Roüault de Coligny 2A01:CB20:4055:5D00:9D4D:D4F:6A21:403C (discuter) 16 décembre 2023 à 19:49 (CET)Répondre
Bonjour, pour votre information (nous sommes bien des Roüault de Coligny) :
Le nom de Coligny
En avril 1860, une famille Rouault, domiciliée à Saint-Servan (Ille-et-Vilaine), tentait d'obtenir de M. le garde des sceaux l'autorisation d'ajouter à son nom patronymique le nom de Coligny qu'elle prenait déjà dans ses relations privées depuis plusieurs années, en séparant ces deux nom par le particule de ...
Prévenu à temps des ces prétentions par l'insertion obligatoire enregistrée au Bulletin des lois, le chef de nom et d'armes de la maison de Coligny-Châtillon, fit auprès de M. le Ministre de la justice une opposition motivée, à la suite de laquelle la famille Rouault vit sa demande rejetée.
Quelques mois après cet échec, des pourparlers furent entamés et des correspondances échangées entre les mandataires de la famille Rouault (1) et M. Louis de Pillot de Chenecey, Marquis et Comte de Coligny. Ce dernier consentit à se désister de son opposition, à la condition, toutefois, que MM. Rouault se borneraient à solliciter l'addition du nom de Coligny par la particule du, au lieu de la particule de ... et s'engageaient à ne jamais employer isolément ces deux noms.
Dans ces conditions, le chef de la maison Coligny consentit à appuyer la demande des Rouault, comme en fait preuve sa lettre du 3 juillet 1864 conservée aux archives de Sceau.
Présentée sous cette nouvelle forme, la famille Rouault voyait bientôt cette seconde demande échouer comme la première. C'est alors que, conseillés par des gens mieux avisés, les Rouault, pour arrivés à leurs fins, se servirent d'un autre moyen moins bruyant, mais plus sûr.
En effet, le 22 juin 1892, MM. Louis André Rouault, percepteur des contributions de Plancoët (Côtes-du-Nord), Paul Marie Rouault, propriétaire à Saint-Servan (Ille-et-Vilaine) et Alfred Marie Rouault, receveur de l'enregistrement à Ecoché (Orne), agissant tant en leur nom que pour leurs enfants mineurs, s'adressaient au tribunal de la 1ère instance de St-Malo, pour obtenir de lui par jugement, ce qu'ils n'avaient pu obtenir de M. le garde des sceaux, mais alors sous forme de rectificatif d'acte d'état civil.
Là, un troisième échec leur était réservé, et il nous a semblé intéressant de reproduire les considérants de ce jugement rendu le 13 août 1892.
"Attendu que les requérants demandent la rectification de divers actes de l'état civil les concernant et concernant leur père ainsi que leur aïeul Jean Noël Rouault par la raison que, dans lesdits actes, ils auraient été inscrits à tort sous le nom de Rouault au lieu de Rouault de Coligny qui serait le nom de leur famille.
"Attendu qu'en admettant, ce qu'ils n'allèguent même pas, que l'addition du nom de Coligny à celui de Rouault, qui est leur nom patronymique, fut motivée par la possession d'une terre, les requérants ne pourraient encore, aux termes d'une jurisprudence aujourd'hui certaine, s'en prévaloir utilement qu'à la condition de justifier d'une possession publique, longue, constante, uniforme et non interrompue, témoignant de l'intention persistante de leurs auteurs d'incorporer définitivement de nom de Coligny à leur nom patronymique.
"Attendu que l'appellation dont s'agit apparait pour la première fois dans un acte de mariage du 10 août 1762 applicable au bisaïeul des requérants et où celui est dénommé François Marie Rouault, sieur de Coligny, fils de feu Pierre et de Louise Marais, sieur et dame de la Ville-Sauvée.
"Attendu que dans l'acte de naissance de l'un des enfants issus de ce mariage, Jean Noël, né à St-Servan le 24 décembre 1769, on constate que ledit enfant a reçu les noms de Jean Noël Rouault, fils légitime du sieur François Marie et de dame Olive Nicole Bodinier, et qu'il y a lieu de remarquer qu'encore que l'acte soit signé Rouault de Coligny, ce dernier, père de l'enfant, ne figure point dans le corps de l'acte sous le nom de Coligny.
"Attendu que cette constatation est d'autant plus importante qu'elle porte sur un acte concernant l'aïeul même des requérants, Jean Noël Rouault, dont on demande la rectification de l'acte de mariage.
"Attendu qu'en dehors des actes de naissance produits, et dont le dernier porte la date du 21 juin 1783, ce nom revendiqué, ne figure dans aucun autre acte de l'état civil, même dans un acte de décès du 21 juin 1783.
"Attendu que si l'appellation Rouault de Coligny se trouve orthographiée tantôt avec une L tantôt avec deux L dans différents actes passés devant notaires ou sous seings privés, s'échelonnant de 1764 à 1781, ainsi que dans les rôles de capitation, extraits des archives de l'Ille-et-Vilaine, cette application ne peut être considérée comme constante, puisque ces derniers documents, notamment ceux qui sont relatifs à la ville de St-Servan, portent tantôt : Colligny Ruaut, tantôt de Coligny Rouaux, tantôt de Coligny, tantôt Raoult de Coligny ... tantôt Coligni Rouault, etc ...
"Attendu encore que dans l'une des deux commissions de guerre délivrées pour l'armement de l'équipement du navire Le Many, le même François Marie est inscrit simplement sous le nom de François Marie Rouault.
"Attendu que dans ces circonstances la possession invoquée par les requérants ne réunit pas les conditions de durée, d' uniformité et de continuité suffisantes pour constituer un titre en leur faveur ... et que quant à l'interruption signalée dans l'acte de naissance de Jean Noël Rouault du 24 décembre 1769, ne saurait évidement le considérer comme une conséquence possible de la défaveur attachée aux titres nobiliaires pendant la période révolutionnaire, puisque l'acte dont s'agit est antérieur de plus de vingt ans à cette époque.
Par ces motifs :
Dit qu'il n'y a pas lieu d'ordonner les rectifications demandées, déboute en conséquence les consorts Rouault des fins de leur requête et les condamne aux dépens .. etc., etc.
Battus dans cette troisième tentative, les consorts Rouault ne perdirent pas courage, et (puisse leur exemple servir à d'autres !) leur persévérance fut enfin récompensée par la Cour d'appels de Rennes, qui, par un arrêt du 9 janvier 1893, les autorise à faire figurer désormais le nom de Coligny à côté de celui de Rouault, en séparant ces deux noms par la particule DE.
En voici les considérants :
"Attendu que si l'article 1er de la loi du 6 fructidor an II défend au citoyen de porter aucun nom ou prénom autre que ceux exprimés dans leur acte de naissance, ordonne à ceux qui les auraient quittés de les reprendre, et fixe ainsi d'une manière définitive pour l'avenir, l'état civil de chacun, ces dispositifs ne portent point atteinte aux errements antérieurs et suivant lesquels, sous l'ancienne législation, les membres d'une famille, soit noble, soit roturière étaient dans l'usage d'adjoindre le nom d'une terre (2) à leur nom patronymique et de l'incorporer à celui-ci ...
"Attendu qu'une jurisprudence unanime décide que lorsque cette volonté d'incorporer un nom nouveau au nom ancien a été attestée par une possession constante, manifestée par de nombreux actes de l'état civil ou d'autres documents probants ; il y a ainsi constitution et attribution d'un nom patronymique nouveau qui devient une propriété ayant tous les caractères d'un droit pouvant être invoqué à toute époque : que d'ailleurs les conditions de cette possession constituent une question de fait laissé à l'appréciation des tribunaux.
"Attendu d'autre part, que l'art. II de la loi précitée dispose qu'il est défendu d'ajouter aucun surnom à son nom propre à moins qu'il n'a servi à distinguer les membres d'une même famille, sans rappeler les qualifications féodales ou nobiliaires.
"Attendu que pour qu'il y ait lieu à l'application de cette dernière disposition législative, il n'est pas nécessaire que le surnom soit un nom de terre et qu'il ait été incorporé au nom patronymique par une possession uniforme, constante et prolongée constituant une sorte de prescription, mais qu'il suffit qu'il ait servi à distinguer les membres d'une même famille ; qu'il ne rappelle aucune qualification féodale ou nobiliaire, et qu'il suffit qu'il ait été réellement possédé et en usage au moment de la loi de fructidor an II.
"Attendu que dans l'espèce les consorts Rouault établissent par des documents multiples, que depuis 1762, leurs auteurs s'attribuent le nom de Rouault de Coligny ... que notamment dans l'acte de mariage de François Marie Rouault, leur auteur commun, célébré à St-Malo le 10 août 1762, ce dernier est dénommé au corps de l'acte Rouault sieur de Coligny et qu'il a signé Rouault de Coligny ... que dans l'acte de publication qui a précédé ce mariage le même est désigné Rouault sieur de Coligny ... que de 1766 à 1783 dans les sept actes de naissance concernant les enfants du précédent, celui-ci a toujours, sauf un seul cas, été désigné sous le nom de Rouault de Coligny, ou Rouault sieur de Coligny, et qu'il a toujours signé ses actes Rouault de Coligny ... qu'un de ses enfants étant décédé à la date du 22 octobre 1783, il en a été de même dans cet acte de décès ... que de très nombreux documents émanant, soit du pouvoir royal soit de l'autorité maritime, d'un très grand nombre de pièces administratives, d'actes authentiques, d'extraits de minutes de notaires ou de registres de l'enregistrement, de correspondance ou d'actes privés, il résulte que les auteurs des appelants se sont toujours attribués la même dénomination étant ainsi manifesté clairement jusqu'à période révolutionnaire, l'intention d'incorporer à leur nom patronymique celui de Coligny ... Qu'en admettant que cette dernière appellation ne fut pas en réalité un nom de terre et qu'il n'y eut pas une possession suffisamment constante et uniforme pour arriver à une appropriation du nom de Coligny, il résulte tout au moins indiscutablement des documents fournis, que le nom de Coligny a été ajouté à titre de surnom au nom patronymique de Rouault, pour distinguer, dès 1762 François Marie Rouault des autres membres de sa famille, lesquels, pour les mêmes motifs, portaient les noms de Rouault de la Ville-Sauvée, Rouault de la Poquinière, Rouault du Domaine, Rouault de la Charlais, et que ce surnom conservé par lui lors de la loi de fructidor an II, lui est définitivement acquis à titre de nom patronymique, ainsi qu'à ses descendants aux termes de cette même loi.
"Attendu d'ailleurs que la particule DE n'implique aucune qualification nobiliaire et que de son emploi dans un surnom ne saurait faire obstacle à l'application de l'article de la loi précitée.
La Cour, etc, etc ... infirme le jugement dont est appel, etc ..., alloue leurs conclusions aux consorts Rouault, etc ..., etc ..."
Notes :
(1) : les lettres du mandataire de la famille Rouault ont été déposées au bureau de l'enregistrement de Gy (Haute-Saône). Ce mandataire, M. Achille Delabarre, référendaire au sceau de France, habitait alors 3, rue Blanche, à Paris.
(2) : il est piquant de remarquer que les Rouault n'alléguaient même pas la propriété d'une terre ... le tribunal de St-Malo l'avait constaté. Ce considérant ne s'explique donc pas en l'espèce dont s'agit.
Auteur : Baron de Beaupont 2A01:CB20:4055:5D00:B1E3:F19:BE52:135E (discuter) 16 mai 2024 à 19:39 (CEST)Répondre
Bonjour,
Précisions pour les deux branches de la famille de Pillot:
Il s'agit à l'origine d'une famille de marchands de Besançon agrégée à la noblesse au 15e siècle.
- La branche de Pillot-Chantrans a bien reçu en août 1780 de louis XVI le titre de marquis de Pillot-Chantrans (sans érection de terre) (cf: Louis Pierre d' Hozier, Armorial général de la France (1800) pages 442-443)
- La branche de Pillot-Coligny est comte du Saint Empire (1767) donc effectivement titre étranger. Ils ont été autorisés au 18e à relever les noms et armes de Coligny (mais non leurs titres...) et s'intitulaient parfois de leur propre chef et sans aucune légitimité marquis et comte de Coligny. Depuis la fin du 19e siècle certains membres de cette branche ont l'habitude d'oublier par étourderie "Pillot" et de rajouter "de Chatillon" (sans doute à cause de la station de métro) sans qu'il y ait eu d'autorisation ni de légitimité quelconque à ce dernier nom (confusion bien involontaire avec l'ancien titre de duc de Coligny-Chatillon créé pour la famille de Coligny et éteint au 17e siècle...).
Cordialement, IP71-prince de Coligny, duc de Chatillon et autres lieux à venir (3 juillet 2013 à 17:41‎ 71.130.214.178)

Pougnet

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  • Pougnet de Bois-vert, Etat du Poitou sous Louis XIV, rapport au roi et mémoire sur le clergé, la noblesse, la justice et les finances, par Charles Colbert de Croissy ; catalogue alphabétique des nobles, dressé par Jacques-Honoré Barentin ; liste des condamnés comme faux nobles, mémoire statistique de Maupeou d'Ableiges, et autres documents officiels annotés et publiés par Charles Dugast-Matifeux (1865 - Pierre Robuchon Librairie Editeur) - p. 337-338
A confirmer. Iyy (d) 4 juin 2013 à 12:36 (CEST)Répondre

Préaulx (famille de Preaulx)

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Je fais appel à Fitzwarin, Iyy, Montvallon et à tous les généalogistes de bonne volonté ! En parcourant les familles de la lettre P, je tombe sur cette famille médiévale originaire de Normandie puis de Touraine, dont Valette nous dit à la page 159 (Edition 2007) qu'il resterait 27 descendants mâles. J'ai beau scruter le BM et les pages blanches, cette famille semble évanouie dans la nature. Plus précisément, le Dioudonnat 2012, ( page 183), nous explique que Sylvain Carlo, né le 19 août 1946, a été adopté par la deuxième femme de son père, Guislaine de Préaulx, devenant ainsi à l'état civil, Carlo de Preaulx. La famille de Preaulx qui appartenait à la noblesse d'ancienne extraction de Touraine et du Berry, s'est éteinte dans les mâle avec Amaury, marquis de Preaulx (1906-1971)...Merci de votre concours. Entremont (d) 17 juin 2013 à 08:33 (CEST)Répondre

Trois femmes de cette famille sont toujours avec nous, dont Ghislaine née en 1933 à Luçay-le-Mâle, qui reçut l’Oscar, en 1958… de la meilleure hôtesse de l'air décerné par la compagnie TWA. Dans le High-Life cette famille n’est représentée que par Ghislaine. Fraternellement / Montvallon (d) 17 juin 2013 à 11:53 (CEST)Répondre
Selon le site Géopatronyme.com, seulement 2 naissances sous ce nom ont eu lieu entre 1891 et 1915, et 2 autres naissances entre 1916 et 1940. Par conséquent, les chiffres de Monsieur Valette sont apparemment très inexacts. Cordialement. Lexus Markus.
En ce qui me concerne, je compte 4 naissances entre 1916 et 1940 : Isabelle 1928, Nicole 1930, Ghislaine 1933 à Luçay-le-Mâle et Marie-Christine en 1935 à Paris. Fraternellement / Montvallon (d) 17 juin 2013 à 17:29 (CEST)Répondre
Merci, messieurs. Et bravo à Ghislaine pour sa qualification de meilleure hotesse de l'air, qui démontre une fois de plus que les familles subsistantes peuvent être très dynamiques. Entremont (d) 17 juin 2013 à 21:39 (CEST)Répondre

Quiqueran de Beaujeu

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Famile non éteinte, revenue en France - voir recueil des familles nobles subsistantes au XXIe siècle, tome 5 - Patrice Du Puy, Paris 2009 - page 1693 (CET)--92.158.168.214 (discuter) 15 novembre 2013 à 16:55 (CET)François de Quiqueran Beaujeu.Répondre

Bonjour, Elisabeth-Joséphine de Quiqueran de Beaujeu, née en 1841 à Paris, est décédée en 1920. Famille à ne pas confondre avec les Dupuy (de Quiqueran-Beaujeu, par alliance du 8 mai 1860), famille originaire de Parnay en Maine-et-Loire. Fraternellement / Montvallon (discuter) 15 novembre 2013 à 18:37 (CET)Répondre

Rasque de Laval

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Bonjour Entremont, si nous renvoyons le commentaire de Roure en référence, il serait souhaitable de supprimer cette « extraction en 1559 ». Qu’en penses-tu ? 188.73.38.201 (d) 5 juin 2013 à 12:18 (CEST)Répondre

En apparence, aucune contradiction: à la fin du XVI° siècle (dixit du Roure par approximation), cette famille passe de l'état roturier( en tant que notaire) à l'état de noblesse. Sans doute deux branches parallèles ... D'où l'extraction de 1559 relevée par Valette dans son catalogue. Cordialement. Entremont (d) 5 juin 2013 à 12:47 (CEST)Répondre
Finalement, je préfère remplacer les plumes acérées d'Henry du Roure et de son transcripteur, comme tu peux le constater en référence Entremont (d) 5 juin 2013 à 14:47 (CEST)Répondre
  • Merci, Montvallon, de m'avoir aimablement remis sur le droit chemin. J'enlève Henry qui n'en peut mais, et le remplace par Host Jérôme Théodore Scipion , mais je maintiens mon observation. Connaissez-vous beaucoup de familles roturières ayant survécu sans exercer de métier avant leur aggrégation à la noblesse, au Moyen-Âge ou sous la Renaissance ,( en dehors de celles pratiquant le métier des armes ou titulaires d'une charge anoblissante)?Dans le cas des familles de Rafélis et de Laval, les métiers de laboureur, de marchand et de notaire furent exercés en Provence. La belle affaire ! Il, s'agit de déterminer à quelle époque furent exercés ces métiers et de déterminer à quelle date est fixée conventionnellement leur noblesse immémoriale, confirmée par une maintenue ultérieure. Une autre remarque en passant: les généalogistes d'aujourd'hui sont à la recherche des antécédents des familles anoblies et de leurs alliances roturières, à la demande des familles elles-même, curieuses de connaître la vie de leurs ancêtres roturiers, que les généalogistes d'autrefois ont si longtemps dissimulée: là était la vanité ! Mais pas au point de supprimer dans nos articles leur date d'anoblissement reprise par les nobiliaires. J'attends votre avis motivé et vous en remercie. Cordialement. Entremont (d) 11 juin 2013 à 08:28 (CEST)Répondre
Bonjour Entremont. « Connaissez-vous beaucoup de familles roturières ayant survécu sans exercer de métier… » Ma réponse tardive c’est : connaissez-vous des familles non roturières ? Qui que nous soyons, nous sortons, tous de la roture ! L’extraction 1559 citée par Valette, qu’il a copiée sur Atefeuil, suivant des lettres de réhabilitations du 17° siècle, sont en vérité, comme nous le dit du Roure, un anoblissement pur et simple, revêtu à la demande de l’impétrant, de la forme de lettres de réhabilitation. Cette procédure permettait aux familles de vieillir leur noblesse, sans produire de preuves généalogiques. Bien heureusement, comme vous le dite justement, aujourd’hui, nous avons tendance, à rechercher nos origines dissimulées, un besoin d’authenticité ! Fraternellement / Montvallon (d) 13 juin 2013 à 12:06 (CEST)Répondre

Théorie:

  • La noblesse d'extraction, aussi appelée immémoriale,comprend des familles d'état noble du Moyen-Âge et de la Renaissance, dont la source ancienne d'anoblissement est inconnue. En cas de maintenue, au XVII° et XVIII°, la date théorique d'anoblissement initial est confirmée. Elle correspond à la date d'aggrégation probable d'un roturier à la noblesse, souvent par voie de mariage. Là est le principe même de cette catégorie nobiliaire.
  • Les lettres de réhabilitation concernent seulement les familles nobles ayant fait acte de dérogeance. Ces lettres de réhabilitation sont souvent doublées en tant que de besoin,(c'est à dire , en cas de doute ), de lettres d'anoblissement: Bonne précaution , car les lettres de réhabilitation pouvaient être révoquées, faute de preuves fiables sur la filiation des impétrants !Nous assistons encore de nos jours aux prétentions d'ancienneté de certaines familles, à partir de lettres de réhabilitation non validées, Valette n'ayant retenu que la date d'anoblissement de la lettre de rattrapage en tant que de besoin.
  • Telle est, me semble-t-il la théorie. Cordialement. Entremont (d) 13 juin 2013 à 22:36 (CEST)Répondre
Remarque sur cette théorie. La noblesse immémoriale est précisément celle des familles dont le principe de la noblesse est si ancien qu'il se confond quasi avec les débuts de la féodalité, et ses épisodes liés que sont la castralisation et manorialisation des fiefs nobles. C'est pourquoi c'est familles sont les plus anciennes parmi celles qu'ont dit d'extraction chevaleresque. La noblesse d'extraction comprend en revanche ces familles mais également celles dont l'anoblissement n'est pas connu par un acte d'anoblissement (lettres patentes ou anoblissement par charge, daté) les faisant passer d'un statut de roture à la noblesse. Ainsi plusieurs reconnaissance de noblesse ne sont que la validation par écrite d'un principe ancien de noblesse (notamment grâce aux recherches de noblesse des 15e 16e et surtout 17e siècle (1666-1669). La date d'extraction retenue par les généalogistes du roi puis par les érudits spécialisés est souvent celle d'un traité de mariage authentique (fourni aux d'Hozier ou Chérin) marquant le port de la qualité d'écuyer (noble homme ne suffisait pas). Les réhabilitations ont également été de plusieurs typologies (lettres d'honneur ou lettres de relief de dérogeance...). A cela s'ajoute bien des cas particuliers, qui sont régionaux. Sans compter les édits d'annulation de noblesse quand l'argent manquait dans les caisses royales... Souvent, il vaut mieux conserver l'acte le plus récent qui certifie ainsi la filiation noble sans interruption, et donc le principe de noblesse. Fitzwarin (d) 13 juin 2013 à 23:23 (CEST)Répondre
Pour ne pas tourner autour du pot… ce que nous dit du Roure, c’est que cette famille est passée de la roture à la noblesse par des lettres de réhabilitation ! Fraternellement / Montvallon (d) 14 juin 2013 à 11:42 (CEST)Répondre

Rafélis (famille de Rafélis de Broves)

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  • Rafélis de Broves (de), ils étaient cultivateurs, ensuite marchands à Draguignan (Histoire Véridique de la Noblesse de Provence, par le baron du Roure (Bergerac, 1912)), maintenues de noblesse par Belleguise le 12 janvier 1669 et Le Bret le 9 juillet 1697 à l'intendance de Provence, Draguignan en Provence.

A confirmer. Iyy (d) 4 juin 2013 à 08:56 (CEST)Répondre

À lyy : Pourquoi à confirmer ? J’aimerais bien connaitre ton avis sur le sujet ! Réverter pour un oui ou pour un non, sans discernement, cela finit par être fatigant. Il y a parfois de bonnes corrections, mais il semblerait que sur cette page cela devienne systématique. Amitié et fraternité / Montvallon (d) 4 juin 2013 à 15:36 (CEST)Répondre
Merci, M. de Montvallon, de nous avoir rappelé que les ancêtres des familles d'origine noble sont tous d'origine roturière... Votre ajout didactique est superfétatoire et a entrainé la réaction que vous contestez, surtout lorsqu'il s'agit de la version péjorative d'Henry du Roure. Je passe votre transcription du Roure à la trappe. (Idem que pour l'ascendance de Pépin le Bref, ne vous en déplaise !). Cordialement. Entremont (d) 5 juin 2013 à 08:30 (CEST)Répondre
  • Je ne sais pas de quoi vous parlez avec votre ascendance de Pépin le Bref, mais il me semble que vous commencez à disjoncter sérieusement. Je subodore que IP71 et Entremont ne font qu’un ? Voir si c’était le cas, la charte de Wikipédia, pour régler ce cas, malheureusement courant. Montvallon (d) 7 juin 2013 à 12:20 (CEST)Répondre

Montvallon, même si vous semblez confondre en un seul les différents contributeurs aux avis divergents du votre, je vous confirme que j'existe bien et ne suis pas un artefact d'Entremont (si à un moment donné vous voyez des moulins aux ailes menaçantes, n'hésitez pas à consulter...) Je suis néanmoins aussi désolé d'apprendre que vous avez décidé de ne plus contribuer à cette page pour allez "fouetter des chats" (sic) (attention à la cruauté sur animaux !!! article 521-1 du code pénal...), car à défaut d'être souvent judicieuses vos interventions étaient distrayantes... Bonne continuation

IP71

À IP71.130.218.8 - Vos interventions le sont beaucoup moins, et sont, ce que l’on appelle sur Wikipédia, du vandalisme, mais pour vous… probablement de l’humour. Je laisse, à la communauté wikipédienne, le soin de l’apprécier à sa juste valeur. Vous êtes peut-être un habitué de la chose sur d’autres IP. Bien à vous / Montvallon (d) 8 juin 2013 à 17:04 (CEST)Répondre


"Montvallon de Provence":

Exception faite de ce malheureux trait d'humour en réaction à vos nombreuses contre-vérités et inexactitudes ( et que je me serai bien-sûr empressé de retirer moi-même de la liste si un autre ne l'avais pas fait), j'essaie toujours d'être objectif et précis dans mon humble contribution à la liste FSNF. Peut-être est-ce là une de nos différences...

"Vandalisme...", "Je laisse la communauté wikipédienne le soin de l'apprécier...":

Que d'effets... que de grands mots... Fouquier-Tinville n'était pourtant pas de Marseille...

IP 71-Varig de mon Ballon (je me permets de relever ce nom éteint)

« Varig de mon Ballon » : Permettez-moi, cher IP71, de m’esclaffer devant ce nouveau jeu de mots, mais vous n’arrêtez pas, vous êtes un véritable boute-en-train, tant d’esprit me laisse pantois ! Mais permettez-moi aussi de prendre quelques reculs sur ce débat de haut niveau, moral, culturel et intellectuel. Je vais retourner vaquer à mes occupations. Merci / Montvallon (d) 8 juin 2013 à 21:40 (CEST)Répondre
  • Décidément, M. de Montvallon, en votre qualité de provençal de noblesse inachevée, vous avez décidé de mettre systématiquement en doute la véracité de certains articles originels concernant les familles de votre belle région. Sans aucune justification, vous indisposez les auteurs de ces articles et ne respectez pas la déontologie wikipédienne que vous osez invoquer à chaque occasion en supprimant les sources indiquées, telles celles de Valette que chacun s'accorde à considérer comme crédible. Examinons, s'il vous plait, aussi objectivement que possible, la situation de cette famille , objet de votre vindicte:
  • En quoi Henry du Roure, auteur romancier, adepte du Sillon en 1912, est-il plus crédible qu'Artefeuil auteur du XVIII° dont vous qualifiez la citation d'absurde ? (Merci au passage de nous abreuver de vos élogieux qualificatifs ).
  • Puisque vous êtes versé dans l'histoire de cette famille provençale, avez-vous cherché sa date d'anoblissement? Vous mentionnez pourtant deux dates de maintenue, alors que l'auteur que j'ai cité donne une généalogie complète de la famille Rafélis depuis son extraction de 1557. Il n'est d'ailleurs pas le seul, rejoint en cela par La Chesnaye-Desbois, puis par Valette dans son catalogue de la Noblesse française de 2007. Pouvez-vous nous expliquer pourquoi vous contestez la noblesse immémoriale de 1557, alors que les deux maintenues semblent démontrer cette antériorité?
  • Comme indiqué ci-dessus, toutes les familles nobles ont des ancêtres roturiers. En quoi la citation d'Henry du Roure sur l'exercice du métier d'agriculteur ou de marchand constitue-t-elle un scoop digne de remplacer le texte initial référencé? Pouvez-vous nous transcrire le texte exact de du Roure, pour savoir au moins à quelle époque se situe l'exercice de ces activités dérogeantes? Ce serait un début d'explication digne d'intérêt. Entremont (d) 6 juin 2013 à 10:54 (CEST)Répondre
Le « provençal de noblesse inachevée » (ANF-2001), vous salut bien bas, Monseigneur d’Entremont. Nous ne sommes de toute façon que des vagabonds, juifs, marranes immigrés, venant d’un autre rivage. Une population que vous semblez exécrer. Et, puisque vous préférez référencer Artefeuil à du Roure, en méconnaissance totale de l’histoire de la Provence (tous les historiens et généalogistes sérieux, savent que presque tous les premiers degrés de cette « Histoire héroïque… » sont traficotés ou totalement inventés, je préfère prendre un certain recul, sur la page dite « Familles subsistantes de … », car nous ne sommes plus à l’époque des duels, et j’ai bien heureusement, d’autres choses à faire, et d’autres chats à fouetter. Cette page n’a plus, grâce à vous, cher Monsieur, qu’une seule raison d’être « la Vanité ». Veuillez recevoir, Votre Majesté, les salutations républicaines, d’un inachevé, qui a donc, Dieu merci, tout l’avenir devant lui. / Montvallon (d) 7 juin 2013 à 11:48 (CEST)Répondre
  • P.-S. En ce qui concerne du Roure, il s’agit bien sûr : d’Host Jérôme Théodore Scipion du Roure de Beaujeu, un érudit de la Provence, ce qui ne semble pas être le cas de tout le monde ! / Montvallon (d) 7 juin 2013 à 11:48 (CEST)Répondre
  • Réponse à M. de Montvallon. Je vous salue à mon tour et vous prie de m'excuser d'avoir confondu le baron Host Jérome Scipion du Roure de Beaujeu (1858-1924) avec son homonyme Henry du Roure de Beaujeu (1883-1914). Il est vrai que tout le monde n'est pas aussi érudit que vous pour ce qui concerne l'histoire régionale de Provence.
  • S'agissant de la mention Noblesse inachevée que j'avais effacée en regard de votre famille anéfiée, vous venez de la replacer et indiquez en invoquant votre adhésion à l'ANF en 2001! Nous ne sommes plus à un paradoxe près!
Je préfère ne pas relever la teneur de vos propos qui frisent, hélas, une attaque personnelle , contraire à la déontologie wikipédienne.
  • En revanche, j'attends toujours une réponse aux questions que j'ai posées concernant cette famille, dont vous avez effacé la date d'anoblissement de 1557: En quoi le fait pour cette famille d'avoir exercé les métiers d'agriculteur et de marchand s'oppose-t-il à l'anoblissement de 1557 que vous avez effacé? Quels sont les termes utilisés par le baron du Roure?.
  • Enfin, je note que vous avez la louable intention de vous éloigner de la rédaction de cet article dont vous devez considérer le caractère vaniteux comme contagieux. Cette vanité, teintée de suffisance, risque en effet d' atteindre certains rédacteurs qui se piquent d'érudition régionale. Merci de votre aimable participation. Entremont (d) 7 juin 2013 à 15:18 (CEST)Répondre

Raulin et Raulin de Gueutteville de Réalcamp !

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Famille de Raulin de Gueutteville de Réalcamp : Voici ce qu'écrit Jacques Margerand (dont la mère est une Raulin de Gueutteville) : """""""""""Qui est donc Jean RAULIN : pourquoi remplace-t-il Jacques de RAULIN de Gueutteville ?

Jusqu'à la fin de 1998, nous ne connaissions le maillon Jacques de RAULIN de Gueuteville , époux de Madeleine de la FONTAINE que par le "Jugement" qui nous disait que l'acte de décès de Joseph Ange André à Juvigny, dans la Manche, en date du 8 Février 1856, spécifiait que ce dernier était fils de Jacques de RAULIN de GUEUTTEVILLE et de Madeleine de la FONTAINE. Le paragraphe suivant cite l'acte de partage des consorts de RAULIN de GUEUTTEVILLE passé devant Maître SAFFREY, notaire à Baon-le-Comte, Yvetot, en date du 21 Avril 1742, où figurent les deux frères Jacques et Jean-Baptiste de RAULIN de GUEUTTEVILLE fils de leur père & mère David Joseph de RAULIN, Sgr de Gueutteville, & Madeleine de BOURDAINVILLE.

Hors, fin 1998, notre cousin Yves ARTUR, ne ménageant pas sa peine, faisait une découverte époustouflante : l'acte de mariage de Madeleine de la FONTAINE avec ... Jean RAULIN, tout simplement !!! Cet acte de mariage est enregistré au Mesnil-Tôve, à trois kilomètres au Nord de Juvigny-le-Tertre dans la Manche !!!

Et les parents de ce Jean RAULIN sont, non moins simplement, Julien RAULIN, teinturier, originaire de Juvigny, & Françoise GESBERT, originaire du Mesnil-Rainfray à trois kilomètres au Sud-Ouest de Juvigny !!! D'ailleurs pour aller de Juvigny au "méni" Rainfray, on quitte la D5 pour la D595, à mi-chemin, à la Croix Gesbert !!!

Pour l'instant je tairai mes commentaires, mais il apparait que notre maillon entre nos ancêtres "certains", pour lesquels nous avons des actes sûrs, et les RAULLIN du Pays de Caux, nous fasse défaut !!!

Notre grand-père et ses frères ont dû rèver trop fort !!! Exit les RAULLIN du Pays de Caux !!! D'une manière identique, on ratachera la documentation sur la famille de Nicolas ROLIN à l'histoire de la grande Bourgogne, ce personnage n'ayant très probablement aucun lien avec les RAULLIN DU pAYS DE cAUX;

j'ai regroupé tout ce que j'ai trouvé sur les RAULLIN du Pays de Caux dans les pages RAULLIN, avec deux "LL", conformément à l'écriture du document de la Bibliothèque Nationale, et sans particule "de" avant. Ceci permet de les distinguer !""""""""""""""""

Cette filiation est prouvée par les actes d'Etat civil (de nos jours, en ligne), et contredit sans aucun doute possible le jugement, très léger, du tribunal civil de Mayenne en 1905, et les rectifications dont a bénéficiées cette famille, cependant très honorable.

Bonjour. Quel rapport avec l'article FSNF/L-Z ??? Raulin/Raullin et Rollin tout comme Delafontaine/De La Fontaine sont des noms assez courants, et la probabilité d'homonymie existe. Il faut encore creuser. En revanche, extraction 1418 ? est-ce sûr ? Fitzwarin (d) 17 avril 2013 à 23:17 (CEST)Répondre

Bonjour, le rapport ? Cette famille a bénéficié d'un jugement du TC de Mayenne en 1905, qui fait de Joseph Ange André Raulin (1770-1856), auteur des subsistants, le fils de Jacques de RAULIN de Gueutteville ( fils de David Joseph de RAULIN de Gueutteville de Réal-Camp, écuyer et "damoiselle" Madeleine de BOURDAINVILLE), écuyer, originaire de Fontaine-le-Dun (76), et de Madeleine de la FONTAINE... hors Joseph Raulin, comme le prouve les registres d'état civil, est originaire comme sa famille de Juvigny-le-Tertre dans la Manche, non fils d'écuyer mais de teinturiers, pour plus d'infos : http://roglo.eu/roglo?lang=fr;i=1797790

OK, mais reste-t-il d'autres branches Raulin de Guetteville ? Fitzwarin (d) 21 avril 2013 à 22:55 (CEST)Répondre

Une trentaine de descendants de Joseph Raulin, portent actuellement à l'état civil "de Raulin de Gueuteville de Réal Camp" (suite au jugement de 1905), hors ils ne descendent pas des "Raulin de Gueuteville", originaire de Fontaine-le-Dun, mais d'une famille "Raulin", originaire de Juvigny-le-Tertre dans la Manche. Voir les recherches de M. Margerand (dont la mère est une Raulin) publiées sur internet, et certains détails sur http://roglo.eu/roglo?lang=fr;i=1797790

Le jugement de 1905 n'en fait donc pas des personnes d'ascendance noble. ->fausse noblesse donc. Fitzwarin (d) 5 mai 2013 à 15:40 (CEST)Répondre

Rouault (famille de Rouault)

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Odette de Rouault, vicomtesse Jacques de Chabot, fille du comte de Rouault et de la comtesse née des Nouhes, décédée à la Cacaudière, Pouzauges (Vendée) le 21 février 1991, me semble être la dernière représentante de cette famille. Cordialement.--Stan49 (discuter) 20 octobre 2013 à 19:04 (CEST)Répondre

C’est très juste ! Odette a survécu quelques années à sa cousine germaine Solange. Merci pour l’information corrective. Fraternellement / Montvallon (discuter) 22 octobre 2013 à 10:13 (CEST)Répondre

Saint Mauris-Montbarrey (famille de)

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Décès à Marseille le 18.10.1956 de Louis Alfred "de Saint-Mauris-Montbarrey", officier de marine, né le 25.11.1876 à Varennes Saint-Sauveur (71) alors que le prince de Montbarrey, ministre de la guerre de Louis XVI, prince du saint Empire (1774) et grand d'Espagne (1780) est mort à Constance le 05.05.1796 dernier de son nom... Qui aurait une explication sur la subsistance de ce nom?

Nom existant actuellement porté par une autre famille. Cet officier descendait lui aussi d'une branche de la famille. 26 juillet 2013 à 21:08 - IP 2A01:E35:2F35:D4C0:300B:2185:E593:144C
Demande de précisions: Merci à IP 2A01:E35:2F35:D4C0:300B:2185:E593:144C de préciser ce qu'il entend par "nom existant porté par une autre famille"? Quelle famille?
En ce qui concerne Louis de Saint-Mauris décédé à Marseille en 1956 il n'appartenait pas à la famille des comtes et princes Saint-Mauris-Montbarrey mais à une autre branche dite de Saint-Mauris-Augerans, séparée depuis le 16e siècle de la famille de Saint Mauris et fixée au 19e siècle au château du Bouchat à Varennes saint Sauveur (Saône et Loire). Vers 1880 cette branche ajouta de son propre chef sans droit ni légitimité à son nom de Saint Mauris celui de "Montbarrey" alors qu'elle ne descendait pas des Saint Mauris-Montbarrey.
7 août 2013 à 17:08‎ 85.171.161.144 (discuter)‎ . . (284 586 octets) (+122)‎ . . (descendance de Saint-Mauris-Montbarrey subsiste à l'étranger) - Dans l'attente de quelques précisions, concernant cette intéressante information. - Merci / Montvallon (d) 7 août 2013 à 18:25 (CEST)Répondre
Preuve ? Fitzwarin (d) 9 août 2013 à 01:10 (CEST) (et merci de signer vos interventions)Répondre

Famille subsistante à l'étranger sous le nom de Montbarrey. le titre de prince de Montbarrey n'est apparemment plus porté. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 85.171.161.144 (discuter)

Bonjour IP 85, cette famille ne figure pas dans les ouvrages cités en référence au début de cet article et vous n'apportez aucune source(s) vérifiable(s). C'est tout simple. Cordialement. Iyy (d) 8 août 2013 à 13:33 (CEST)Répondre
Même si elle ne figure pas dans les ouvrages qui vous servent de référence la noblesse de la famille de Saint Mauris-montbarrey est prouvé par les lettres de noblesse qu'elle reçut de Charles Quint en 1537. Le titre de prince de Montbarrey a été reconnu par Louis XVI en 1774 en faveur d' Alexandre Marie Eléonor de Saint-Mauris, comte de Montbarrey puis prince de Montbarrey et du Saint-Empire, grand d'Espagne de première classe (1780), chevalier du Saint-Esprit et ministre de la guerre. Que vous faut-il de plus? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 85.171.161.144 (discuter)
Des sources vérifiables et la preuve que cette famille subsiste en 2013 en ligne masculine sans adoption. Cordialement. Iyy (d) 8 août 2013 à 15:16 (CEST)Répondre
Roger de Lurion, Nobiliaire de Franche-Comté page 710 (Besançon, 1890) — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 85.171.161.144 (discuter)
Cette source ne prouve rien sur la subsistance de cette famille en 2013 en ligne masculine sans adoption. Cordialement. Iyy (d) 9 août 2013 à 08:29 (CEST)Répondre

Le prince de Saint Mauris-Montbarrey (1732-1796), ministre de la guerre de Louix XVI épousa le 29 octobre 1753 Françoise Parfaite Thais de Mailly-Nesle (1737-1819). Ils eurent deux enfants: 1) Louis Marie François Stanislas prince de Saint-Mauris, né en 1756, mort guillotiné à Paris le 17 juin 1794, sans postérité de son mariage le 25 novembre 1789 avec Geneviève Andrault de Langeron 2) Maximilienne Françoise, princesse de Montbarrey (1759-1840) , épouse du dernier prince régnant de Nassau-Sarrebruck.

Mais de Louise Adrienne Cantagrelle il eut un fils légitimé : François Maurice de Saint Mauris-Montbarrey né à Paris (paroisse de Saint-Eustache) le 19 octobre 1789 (Comte de Chastellux, Notes prises aux archives de l'état civil de Paris, page 549 (Paris, Dumoulin, 1874)

Trouvé: Alex de Montbarrey sur Facebook...
IP71 (21 août 2013 à 22:57‎ 71.130.222.24)
Ya plus qu’a… mais avec une source secondaire de référence pour faire le lien entre roglo et Alex.
Fraternellement / Montvallon (discuter) 23 août 2013 à 14:29 (CEST)Répondre
Il y a une erreur dans la généalogie Saint Mauris-Montbarrey trouvée par Montvallon: (merci de son apport)
Les deux enfants de Jeanne Catherine Delachaux (épouse du peintre François Casanova, frère du célèbre Casanova) ne sont pas ceux de Stanislas prince de Saint Mauris (1756-1794) mais de son père: Alexandre de Saint Mauris prince de Motbarrey (1732-1796), ministre de la guerre de Louis XVI. Jeanne Catherine Delachaux fut pendant huit ans (de 1767 à 1775) la maîtresse en titre du prince de Montbarrey avant qu'ellle n'épouse François Casanova qui reconnu les deux enfants comme les siens. Cf : Mémoires du prince de Montbarrey (1848 /Emery).
Des deux fils naturels de Jeanne Catherine Delachaux et du prince de Montbarrey, reconnus par François Casanova, l’un fut connu sous le nom d’Alexandre Benoît Jean Dufay-Casanova (né à Paris le 22.03.1770, décédé à Paris le 19.04.1844). Il fut l’élève de David, mais ne connut pas un grand succès. À la fin de sa vie, il prit le titre de peintre du roi d'Aoudh (Inde) pour avoir été peintre officiel de ce monarque à Lucknow de 1834 à 1837. Son frère (lui aussi fils naturel du prince de Montbarrey) émigra et rejoignit l'armée des princes à l'étranger avant de revenir vivre à Paris où il mourut avant 1817. On ignore si les deux fils naturels du prince de Montbarrey et de Jeanne Catherine Delachaux eurent des descendants. Toute information sur ce point serait la bienvenue.
IP 71 (23 août 2013 à 17:01‎ 71.130.214.217)
Cette question est à poser sur le forum de Roglo, à l’attention de M. Jean-Baptiste de La Grandière.
Forum de Roglo
Fraternellement / Montvallon (discuter) 23 août 2013 à 18:42 (CEST)Répondre
Je confirme... — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Montbarrey (discuter) 2 septembre 2013 à 20:53‎
Pour Montbarey et IP71 : Merci de bien vouloir signer vos interventions. Montvallon (discuter) 3 septembre 2013 à 09:23 (CEST)Répondre
Merci à Montbarrey de bien vouloir m'indiquer son lien (éventuel?) avec la famille des princes de Saint-Mauris-Montbarrey. Cordialement, IP 71

Famille Tassin de Charsonville

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  • Tassin de Charsonville, secrétaire du roi en 1781, Orléanais (Prosper Augustin Tassin de La Renardière, capitaine des chasses de Sologne du duc d'Orléans et fils de Joseph Tassin du Chesne, branche aînée des Tassin, racheta en 1782 les terres de Charsonville à son cousin Charles François Tassin de Charsonville, branche Tassin de Montaigu, et la branche aînée prit ensuite le nom de Tassin de Charsonville. (Anne-Cécile Hodeau, "La famille Tassin au XVIII° siècle", Archives municipales d'Orléans, Faculté d'Orléans. Mémoire, 1994).).
En attente de vérifications. Cordialement. Iyy (d) 27 février 2013 à 08:48 (CET)Répondre
Vérification: Famille déplacée le 8 août 2012 à la rubrique Noblesse et titres inachevés , par BdeBoysson, avec la mention charge graduelle interrompue par la Révolution de 1789. Entremont (d) 27 février 2013 à 11:40 (CET)Répondre

Vial (famille de Vial)

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Famille de Vial (du Forez)|Vial (de), ancienne extraction 1490, Forez

Sources ? Iyy (d) 3 décembre 2012 à 15:06 (CET)Répondre
  • Vial (de): Cette famille, originaire d'Auvergne ou du Forez, ne présente pas les caractéristiques de nature à la faire inscrire dans la liste des famille subsistantes de la noblesse française. Nous remercions M. Arnaud de Vial, qui réitére sa demande, de nous faire part de ses arguments. Le 4 décembre 2012.

Vomécourt (famille de Vomécourt)

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Vérification: La famille de Crevoisier de Vomécourt, seconde branche après celle d'Hurbache, est enregistrée sur la première partie de la liste FSNF. (Membre de l'ANF depuis 1943). Entremont (d) 29 mai 2013 à 20:00 (CEST)Répondre

Diverses questions (familles : Geffroy ; de Ravel ; de Robillard ; de Robin de Barbentane

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Bonjour, y aurait-il un lien entre Geffroy de Villeblanche et Geffroy de Lesteno? Idem pour de Ravel d`Esclapon et de Ravel de l`Argentiere? Idem pour de Robillard et de Robillard de Beaurepaire? Idem pour Robin de Barbentane et la Marquise Berthe de Barbentane (decedee autour des annees 1970-80). Merci,--Givez (d) 21 mars 2013 à 15:13 (CET) Bonjour,Répondre

  1. GEFFROY : Pour Jougla de Morenas,il y a (eu) sept familles de ce nom, aux armes différentes, dont six originaires de Bretagne. Il ne connaît pas Geoffroy de Lesteno. A juste titre car, d'après cette généalogie amateur, ce nom a été adopté par Louis Geoffroy, né après 1797, d'une famille originaire de Pont-Scorff et Auray. Son père était notaire royal, sieur (et non seigneur) de Lesténo, tenure roturière située à Saint-Nolff (Morbihan). En revanche la famille Geffroy de Villeblanche a été anoblie en 1653, maintenue en 1669, titre authentique de vicomte en 1816, ANF en 1978 (Jougla, 4, 131, n° 17202).
  2. de RAVEL : il y a eu deux familles nobles "de Ravel", établie en Provence et probablement originaires d'Italie (Ravelli, en Toscane, mêmes armes que R. d'Esclapon, chez Rietstap). Les Ravel d'Esclapon sont, selon eux, d'ancienne extraction (1430), selon les généalogistes du roi d'extraction récente (1621 pour Chérin). Noblesse reconnue en 1700 (lettres d'honneur), titre de comte accordé par lettres impériales en 1860. Les de Ravel de l'Argentière sont originaires du Diois, le premier connu est François de Ravel, né à Die en 1663, d'après [cette généalogie en ligne] et sa descendance s'est établie à l'île Maurice, Flacq, comme les Geoffroy de Lesténo d'ailleurs. Même s'il y avait un lien généalogique entre ces deux familles Ravel (à confirmer par des recherches généalogiques aux archives de la Drôme, il n'y a en tout cas aucune transmission de noblesse).
  3. de ROBILLARD : vous donnez peu d'indication sur vos Robillard, mais j'en déduis qu'ils sont aussi de Flacq, à l'île Maurice. Une autre généalogie (dont vous êtes peut-être l'auteur, fait remonter cette famille à Jean de Robillard, bourgeois de Caen (paroisse Saint-Pierre), vers 1600. Il y avait trois familles de Robillard en Normandie, dont celle de Robillard de Beaurepaire (d'azur à trois fasces d'argent), à laquelle appartenait Charles de Robillard de Beaurepaire, historien normand. Cette famille s'était installée dans l'Avranchin au XVIIIe siècle (Saint-Martin-des-Landelles et Saint-Brice-de-Landelles) et obtint des lettres d'honneur comme secrétaire du roi le 16 mai 1729. Il n'y a donc aucun lien apparemment avec les Robillard de l'île Maurice, qui pourrait plutôt être apparentée avec les de Robillard du Boismancelet, de la Reillerie, de la Coudray, de Saint-ouen, etc, (Jougla, 6, 21, n°29355), maintenue en 1669 et aujourd'hui éteinte.
  4. de ROBIN de BARBENTANE : Berthe de Rochecouste avait épousé Gontran de Robin, 3e marquis de Barbentane (1881-1947), maire de Saint-Jean-le-Priche. Le titre de marquis est reconnu depuis 1862, confirmé à une branche cadette en 1879. En 1947, il passe à un rameau puîné (à Roland de Robin de Barbentane, 1892-1970), grand-père d'Etienne de Robin, actuel et 6e marquis de Barbentane (depuis 1995).

Cordialement, Fitzwarin (d) 8 juin 2013 à 00:20 (CEST)Répondre

  1. Catherine Autret, demoiselle de Ploujean, miraculée de Saint Yves, mère de Even Bégaignon, évêque de Tréguier, cardinal, pénitencier d'Innocent VI
  2. Fondation de la chapelle du château (Saint Tudy) et de Saint Jean à Pont-l'Abbé - Hervé Autret de Kerouant, Henry Kerautret et Gueguen Autret
  3. Bénéfice à la collation de l'évêque et du chapitre de Léon
  4. Guy Autret de Missirien http://fr.wikipedia.org/wiki/Guy_Autret_de_Missirien
  5. Autret de Kerguiabo
  6. Adoption plénière
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