Discussion:Fantasiestücke opus 73 de Schumann
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Bonjour Clarioio :
Ces derniers jours, j'ai préparé des textes se rapportant aux opus 12 et 73 de Schumann. Je viens de renommer la page Fantasiestücke en [[Fantasiestücke opus 12 de Schumann]], avant de développer l'ébauche.
En ce qui concerne l'opus 73, je pensais créer l'article plus tôt, mais un problème d'ordinateur m'a retardé et n'ai donc pu publier avant vous, qui m'avez devancé aujourd'hui même (certains appellent cela "coïncidence"). Je ne publierai donc pas le texte tel que je l'ai rédigé, que je copie-colle ci-dessous. Comme vous l'avez fait, j'ai traduit l'article de la wiki en anglais, auquel j'ai rajouté quelques éléments et références.
Je ne vous propose pas d'en discuter car je n'envoie pas de message et ne répond à aucun. C'est un engagement à titre personnel. Je fais une exception aujourd'hui, sur cette cette page de discussion, dans le cadre du Projet Wiki. Peut-être à cause, ou grâce à, ladite "coïncidence".
Je vous remercie pour votre compréhension.
- Début du copié-collé:
Titre: Fantasiestücke opus 73 de Schumann
Les Fantasiestücke (ou Phantasiestücke) opus 73, pour piano et clarinette, ont été écrites en 1849 par Robert Schumann, qui a indiqué que la partie de clarinette pouvait également être jouée à l'alto ou au violoncelle.
Trois autres œuvres du compositeur porte le titre Fantasiestücke : les opus 12, 88 et 111, écrites respectivement en 1837, 1842 et 1851.
Titre
modifierFantasiestücke ou Phantasiestücke, est un titre qui tenait à cœur à Robert Schumann, puisqu’ il l’a utilisé pour quatre œuvres:
- - Fantasiestücke opus 12, pour piano, 1837[1] ;
- - Fantasiestücke opus 73, pour piano et clarinette (ad.lib alto ou violoncelle), 1849[2] ;
- - Fantasiestücke opus 88, pour piano, violon et violoncelle, 1842[3] ;
- - Trois Fantasiestücke opus 111, pour piano, 1851[4].
Il s'inspire des pièces de fantaisie à la manière de Callot d'Ernst Theodor Amadeus Hoffmann publiées en 1814-1815, tant pour le titre que pour le sens du fantastique sombre propre au célèbre graveur du XVIIe siècle[5]. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Contributeur2019 (discuter), le 10 janvier 2022 à 16:56.
- Bonjour Contributeur2019
- Je partage vos commentaires. Vous pouvez intégrer ou substituer vos différents chapitres à la page existante sans aucun souci de ma part. Vos connaissances sur les Schumann sont plus grandes que les miennes. En plus j'ai effectué rapidement la traduction rapidement ce matin dans les transports communs, sans référence bibliographique française hormis un renvoi à une page de concert de Radio France. Clarinettistiquement votre :Clarioio (discuter) 10 janvier 2022 à 18:39 (CET)
Histoire
modifierRobert Schumann a écrit ces pièces en deux jours seulement, en février 1849. Il les a d'abord intitulées «Soiréestücke» (Pièces de soirée) avant de choisir le titre définitif «Fantasiestücke» (Pièces de fantaisie)[6],[7], auquel Schumann tenait beaucoup, puisqu'il l'a utilisé pour plusieurs œuvres, notamment son opus 12, composé en 1837. Ce titre poétique met en avant la notion romantique fondamentale, selon laquelle l'expression créative est le produit de l'imagination sans limite de l'artiste. En outre, la connotation de «fantaisie» annonce et justifie les changements d'humeur imprévisibles et soudain, « passant de l’ombre à la lumière et de la réflexion intérieure à l’exubérance extravertie[6] ».
Structure
modifier- Zart mit Ausdruck (Délicat avec expression), en la mineur.
Le début de la pièce est empreint de mélancolie rêveuse, mais la fin exprime résolution et espoir, annonçant le mouvement suivant. - Lebhaft, leicht (Vif, léger), en la majeur.
Le rythme est ludique, enjoué et énergique, en la majeur au début, modulation en fa majeur dans la partie centrale, avec des triolets chromatiques établissant un dialogue entre la clarinette et le piano. - Rasch mit Feuer (Rapide avec du feu), en la majeur.
La cadence se transforme en une frénésie passionnée débordante d’énergie, à la limite de l’irrationnel. Le mouvement pousse les musiciens à leurs extrèmes limites, car Schumann indique, sur deux des trois dernières mesures de la coda: « Schneller » (Plus rapide). Le mouvement se termine de façon exubérante et triomphale.
Discographie sélective
modifier- Ophélie Gaillard, «Robert Schumann (1810 1856). Phantasiestücke» - Ophélie Gaillard (violoncelle), Olivier Peyrebrune (piano), Éric Speller (hautbois), 2006. (Ambroisie, AMB 9903).
- Nash Ensemble , Fantasiestücke, Op. 73.2011, Richard Hosford (clarinette) et Ian Brown (piano) ( Hyperion Records , réf : CDA67923). Présentation PDF [1].
Notes et références
modifier{{Traduction/Référence| en| Fantasiestücke, Op. 73| }}
- Sur IMSLP, lire: Fantasiestücke,_Op.12_(Schumann,_Robert). Consulté le .
- Sur IMSLP, lire: Fantasiestücke,_Op.73_(Schumann,_Robert) . Consulté le .
- Sur IMSLP, lire: Phantasiestücke,_Op.88_(Schumann,_Robert). Consulté le
- Sur IMSLP, lire: 3_Fantasiestücke_Op.111_(Schumann,_Robert), il est précisé : «Première publication 1863 (Flaxland) ou plus tôt». Le «plus tôt» est justifié, car effectivement, la 1re publication date de 1851. Consulté le .
- François-René Tranchefort 1987, p. 721.
- Gustavo Dudamel. Fantasiestücke,op.73: FastNotes.
- Robert Schumann: Fantasy Pieces for clarinet and piano op.73.
Sources
modifier- Gustavo Dudamel, (en) « Fantasiestücke,op.73: FastNotes », sur laphil.com (consulté le )
- (en) « Robert Schumann :Fantasy Pieces for clarinet and piano op. 73 », sur Universal Edition (consulté le ).
Bibliographie
modifier- Brigitte François-Sappey, Robert Schumann, Paris, Fayard, , 154 p. (EAN 9782213617305).
- (en) David Ewen, The complete Book of Classical Music, Prentice Hall, , 946 p. (ISBN 978-0131560420). L’Université de Californie à numérisé l’ouvrage le .
- (en) Eric Frederick Jensen, Schumann, Oxford, , 408 p. (ISBN 9780195346060, lire en ligne) .
Liens externes
modifierVidéos
- Version piano et clarinette
- Paul Meyer, clarinette et Éric Le Sage, piano, durée 9 :44 minutes. Trois Phantasiestücke pour clarinette et piano, Op 73, écouter: [2]. Consulté le .
- Version piano et violoncelle
- Ophélie Gaillard (violoncelle) et Cédric Pescia (piano), durée 8:40 minutes. Fantasiestücke op. 73 enregistré le 23 avril 2018 à 18h45, au studio 106 de la Maison de la radio dans le cadre de l'émission Chambre Classique, écouter: [3]. Consulté le .
- Modèle
{{IMSLP2}}
: identifiant non ou mal spécifié
{{portail|musique classique|Allemagne}} [[Catégorie:Œuvre de Robert Schumann]] [[Catégorie:Œuvre pour piano|Schumann]] [[Catégorie :Œuvre pour clarinette]] *Fin du copié-collé.
Ce texte ne m'appartient pas, il est donc libre de droits. Si je ne devais faire qu'une suggestion, ce serait de renommer l'article "Fantasiestücke opus 73 de Schumann", car il reste potentiellement 2 "Fantasiestücke" à créer, et cela faciliterait les recherches des futurs lecteurs. À vous de voir et décider.
Merci une fois encore pour votre compréhension. Musicalement vôtre. Contributeur2019 (discuter) 10 janvier 2022 à 16:56 (CET)