Discussion:Le Rapport de Brodeck

Dernier commentaire : il y a 7 ans par Lolo101 dans le sujet Résumé
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Résumé modifier

Le résumé présenté ici est un simple copier-coller du texte indiqué dans Source. Mais je ne suis pas du tout d'accord avec ce résumé. "Le rapport de Brodeck" se passe en un lieu et à une époque indéfinie. Le dialecte est fictif. Évidemment le parallèle avec le nazisme est évident, mais pas explicite. C'est là AMHA un trait essentiel du roman et je trouve que cet article ne lui fait pas honneur. Je me propose donc de supprimer dans le résumé tout ce qui fige le roman dans un contexte historique. --Lolo101 (d) 8 juin 2012 à 19:08 (CEST)Répondre

Pas d’accord avec cette analyse. Certes, il m’apparaît évident que Claudel veut généraliser, mais franchement, est-t-on obligé sur Wikipédia de respecter les choix de l’auteur ? Il est évident que l’histoire prend place dans les années 1930, pendant la Guerre et immédiatement après, ce serait idiot de ne pas le préciser.
Au passage, il y a un point que je n’ai toujours pas réussi à comprendre, c’est : dans quel pays se trouve le village, et quelle est la ville dans laquelle Brodeck va faire ses études ?
Cordialement --Pic-Sou 9 juin 2012 à 00:08 (CEST)Répondre
Hé oui c'est normal que vous n'arriviez pas à situer le village et la ville où Brodeck fait ses études : comme j'ai dit plus haut, l'histoire se passe en un lieu et à une époque indéfinie. D'ailleurs je ne vois pas comment vous arrivez à la situer dans les années 30. Cdt --Lolo101 (discuter) 29 décembre 2016 à 17:58 (CET)Répondre

J'ai retiré le passage suivant, car TI modifier

L'auteur fait de nombreux emprunts aux témoins de la Shoah. Ainsi la fin du chapitre X, il aborde le thème de la déshumanisation: « Nous n'étions plus nous-mêmes. Nous ne nous appartenions plus. Nous n'étions plus des hommes. Nous n'étions qu'une espèce. » L'allusion au livre de Robert Antelme, L'espèce humaine est à peine voilée. Cette déshumanisation est telle que Brodeck pour survivre accepte de devenir le « chien Brodeck » et d'être promené en laisse comme un animal. La culpabilité du survivant est aussi évoquée. Brodeck et son ami Kelmar ont volé dans le train ce qu'il restait d'une bouteille d'eau d'une autre déportée, la condamnant à mort et sauvant ainsi leur vie. Dans de nombreux récits de déportés, il est fait mention des compromissions faites, des petites « bassesses » commises pour sauver sa vie, ce que Primo Levi appelle la « zone grise » qui, selon lui rapproche la victime de son bourreau.

Dans les chapitres xxvi et xxvii il est fait clairement allusion à la Nuit de cristal (nommée ici Pürische Nacht) à la suite de laquelle Brodeck quitte la « Capitale » en emmenant Emélia.

Mes apports modifier

Je suis en train de lire Le rapport de Brodeck. Merci pour ce que vous avez indiqué dans la discussion. En lisant le livre je vais apporter des corrections et ajouts en tenant compte de ce que vous avez déjà signalé ici. Après ma lecture de l'ouvrage je vais regarder ce qui a été publié sur celui-ci afin notamment d'enrichir le résumé et les analyses qui en sont faites. N’hésitez donc pas à continuer à apporter vos remarques. Elles me seront utiles.

Suppression modifier

Salut ; Je me suis permis de supprimer les longues listes de personnages, de lieux et d’expressions, qui me paraissent peu pertinentes et n’apportaient pas tant, au contraire, à une lecture de l’article. Les références directes à l’Allemagne ou à la seconde guerre mondiale ne sont également que des interprétations. ~ nicolas (discuter) 9 avril 2016 à 11:02 (CEST)Répondre

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