Discussion:Nicholas Georgescu-Roegen

Dernier commentaire : il y a 2 ans par Bastien.Boucherat dans le sujet Phrase fausse
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Il y a beaucoup trop de liens. WP doit fournir quelques liens au lecteur mais pas être exhaustif, surtout quede nombreux articles ne doivent paz apporter grand chose de plus. En attendant, ces liens peuvent servir à améliorer l'article. ~Pyb 7 novembre 2006 à 16:22 (CET)Répondre

  • Borisas Cimbleris, Economy and Thermodynamics (années 80) [1]
  • A. Maneschi et S. Zamagni, S., «Nicholas Georgescu-Roegen, 1906-1994», Economic Journal, 107 (1997), p. 695-707.
  • Andrea Maneschi, Nicholas Georgescu-Roegen and the filiation of Economic Ideas, 2000 [2].
  • Sylvie Ferrari, «Nicholas Georgescu-Roegen, père fondateur d'un nouveau paradigme économique», Les Cahiers du Gratice, Revue de la Faculté de Science Économique et de Gestion, Paris XII, n°11, 1996, p. 143-167.
  • Jacques Grinevald, « La Perspective bioéconomique de Nicholas Georgescu-Roegen », Cahiers du GERMES, Paris, no 4, juin 1980, « Questions à la bioéconomie », p. 27-44.
  • Jacques Grinevald, « Le Sens bioéconomique du développement humain : l’affaire Nicholas Georgescu-Roegen », Revue européenne des sciences sociales et Cahiers Vilfredo Pareto, tome 18, no 51, 1980, p. 59-75.
  • Jacques Grinevald, « Nicholas Georgescu-Roegen : une économiste contre les naufrageurs du temps », CoEvolution, Paris, no 7, Hiver 1982, p. 13-18.
  • Jacques Grinevald, Vernadsky and Lotka as source for Georgescu-Roegen’s bioeconomics, 2nd Vienna Center Conference on Economics and Ecology, Barcelona, 26-29 octobre 1987. (Trad. Espagnole : « Vernadsky y Lotka como fuentes de la bioeconomia de Georgescu-Roegen », Ecologia politica, 1990, 1, p. 99-122.)
  • Jacques Grinevald, « La révolution bioéconomique de Nicholas Georgescu-Roegen : à propos de la première Conférence internationale de bioéconomie à Rome les 28-30 novembre 1991 », Stratégies énergétiques, biosphère & société, Genève, Hygiène et médecine, octobre 1992, p. 23-34.
  • Jacques Grinevald, « Georgescu-Roegen : Bioéconomie et Biosphère », Silence, Lyon, avril 1993, no 164, p. 4-14.
  • Jacques Grinevald, Hommage à Nicholas Georgescu-Roegen, 1995 [3].
  • Jacques Grinevald,« L’Économie de la décroissance (Nicholas Georgescu-Roegen) », L’Écologiste, automne 2002, vol. 3 no 2, p. 69-70.
  • Jacques Grinevald,
  • Pierre Garrouste et Philippe Dulbeco, Théorie de la dynamique économique: une réévaluation de la tentative de Nicholas Georgescu-Roegen, 2000.
  • Heinz D. Kurz et Neri Salvadori, Reflections on Georgescu-Roegen's Contribution. Version révisée d'une conférence prononcée à Strasbourg, 6-7 novembre 1998: «L'œuvre scientifique de Nicholas Georgescu-Roegen».
  • Mayumi, K. 1995. Nicholas Georgescu-Roegen (1906-1994): an admirable epistemologist. Structural Change and Economic Dynamics 6: 115-120.
  • Mayumi,K. et Gowdy, J. M. (eds.) 1999. Bioeconomics and Sustainability: Essays in Honor of Nicholas Georgescu-Roegen. Cheltenham: Edward Elgar.
  • Mayumi, K. 2001. The Origins of Ecological Economcs: The Bioeconomics of Georgescu-Roegen. London: Routledge.
  • L'ouvrage "La décroissance. Entropie - Écologie - Économie", disponible sur le site des classiques des sciences sociales.

Phrase fausse

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"Dans ses articles et ouvrages qu’il a lui-même publiés, on ne trouve pas d’appel catégorique à la décroissance." C'est factuellement faux.

"Cela met en évidence un point important quoique inaperçu jusqu'ici, à savoir que la conclusion nécessaire des arguments avancés en faveur de cette perspective consiste à remplacer l'état stationnaire par un état de décroissance." Energy and Economic Myths. Institutional and Analytical Economic Essays, New York, Pergamon Press, 1976, chap. I, pp. 3-36

"En dernière analyse, c'est cette manie de la croissance que John Stuart Mill et les tenants modernes de l'état stable veulent arrêter. Mais ils ont raisonné un peu comme si la négation de la croissance devait déboucher sur un état stable. Probablement étaient-ils empêchés en tant qu'économistes, de penser aussi à un état de décroissance. 0r, il vaut la peine de relever que la plupart des arguments en faveur de l'état stable militent mieux encore en faveur de cet autre état" « The Steady State and Ecological Salvation : A Thermodynamic Analysis » BioScience, avril 1977, vol. 27, no 4, pp. 266-270 Bastien.Boucherat (discuter) 19 novembre 2022 à 21:34 (CET)Répondre

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