Discussion:Réduction du paquet d'onde
Je crois qu'il faudrait relier cette article à ceux sur l'expérience d'Alain Aspect sur le paradoxe Einstein Podolski Rosen.
Comme l'expérience à tranché, on ne devrait pas mettre en balance le point de vue d'Einstein qui n'est plus soutenable scientifiquement avec les autres hypothèses.
Il faudrait un article qui exprime clairement que les théories à variables cachés visant à ré-introduire le déterminisme et la localité ne sont plus tenable.
plutôt de dire qu'il n'est pas intéressant de se poser la question, il vaudrait mieux simplement montrer comment la nature fonctionne et dire que son fonctionnement est incompatible avec nos croyances sur la matière.
Bernard d'Espagnat qui a travaillé aux aspects théoriques de l'expérience d'Aspect, a mentionné clairement avant l'aboutissement de l'expérience que si l'expérience confirmait la théorie quantique ce qui a été le cas, l'un des principes qui sont les piliers de nos croyances sur la matière devrait être remis en cause.
Cet article est assez incorrect effectivement, voir l'article sur le paradoxe EPR qui traite cette question fondamentale entre les 2 interpretations de la physique quantique. Des expérimentation réelle qui confronte les 2 théories ont pu être mené grace aux inégalité de Bell qui prennent comme hypothèse l'interprétation d'einstein. Le nombre de ces expérimentations et leurs résultat semble absolument impossible a contredire : il n'y a pas de valeur cachée locale aux photons qu'on apprend que plutard. Du moins c'est ce que j'en ai compris.
variables cachées locales ou non locales ?
modifierUne ambiguïté est entretenue sur ces variables cachées et la rédaction de cet article trahit la gêne liée à cette ambiguïté. La clé du problème est dans le critère de LOCALITÉ et le rédacteur cache cette clé fondamentale dans des parenthèses. Mais il y a pire car d'aucuns oublient carrément de citer Bell en entier : "il n'y a pas de variables cachées LOCALES". La gêne se retrouve dans les diverses interprétations des expériences de monsieur ASPECT. Il faut lire MERMET et BRICMONT sur ce sujet ! Leurs écrits montrent à quel point le sujet de la LOCALITÉ est éludé par beaucoup ! Même ceux qui l'admettent font l'erreur de poser cette naïve dualité : localité / non localité. Ce terme de non localité implique une vitesse infinie ! Entre nier ou admettre une vitesse infinie (s'agissant de la conservation de l'intrication des spins au delà de l'horizon de la vitesse de la lumière), il y a un terme plus raisonnable : il existe une dualité de localité ayant deux échelles de vitesses finies. A cette ambiguïté se rajoute celle concernant la dualité des zéros. Avec MAGNAN nous dénonçons cette grave erreur d'appliquer le zéro et l'infini des math, à la physique. Le zéro absolu ne concerne que le dénombrement et surtout pas les paramètres physiques. Une troisième et grave erreur consiste à faire l'amalgame entre décrire et expliquer. Dans ce même WIKIPÉDIA on peut lire : " Maxwells à complétement expliqué l'électromagnétisme ". Non il l'a parfaitement décrit ! Il utilise la notion de "champ" pour décrire (très bien d'ailleurs) les transferts de flux électromagnétiques et de forces. Mais cette notion de "champ" est un être mathématique qui n'explique en rien comment et pourquoi ces flux de propagent. On vénère BELL au détriment de BOHM ! Mais on n'oublie souvent de citer BELL qui déclare de regretter fortement ne pas avoir pris connaissance de l'onde pilote de BOHM. Et pourtant tout est là. La 5emme dimension de BOHM est l'accès à l'échelle subquantique de l'espace-temps. Ce dernier est non pas formé de petits oscillateurs stochastiques (ils existent mais ne sont que la traduction de couplage Q/S, à la marge) mais de bosons oscillateurs dipolaires synchronisés formant des BECs enchevêtrés. On montre que la vitesse de la lumière est totalement induite par cette célérité 10^33 fois plus grande, propre à ces oscillateurs ayant une très grande amplitude spatiale. Ce ne sont pas des variables cachées locales mais des variables cachées non locales (ou plutôt à localité élargie). Encore qu'elles ne sont pas si cachées que cela ! Ce sont ces oscillateurs dipolaires qui portent (à vitesse co >> c) le message du spin des particules intriquées. L'expérience est là pour le rappeler. Le zéro physique est la somme algébrique des deux pôles contraires dans chaque référentiel dipolaire (hors perturbation). Dans le cas de l'espace-temps couplé avec les corpuscules quantiques, les perturbations des particules (même au repos) déforment légèrement l'amplitude spatiale des dipôles qui réagissent en émettant une masse (habillage virtuel) aux particules quantiques. C'est la forme canonique de la dualité onde-corpuscule soit à cette échelle : ML = Cte). Si les particules se déplacent alors la déformation des dipôles s'accentue (déformation espace-temps) et la masse émise augmente. La notion de "champ" est tellement pratique pour "décrire" qu'elle en devient un grave frein pour expliquer. En résumé les 4 graves erreurs du modèle standard sont commises par les amalgames principaux suivants : 1/ confondre le zéro absolu (math) et le zéro physique ; 2/ éluder la dualité de localité ; 3/ confondre décrire et expliquer ; 4/ éluder la structure de l'espace-temps en utilisant la vague notion de "champ". Il y en a d'autres comme par exemple, comparer un électron avec un proton (même charge ± mais 1836 fois plus massique). Ce faisant on rate un ratio fondamental (sachant que la notion de ratio évite l'arbitraire des unités physiques). Dominique MAREAU