Discussion:Roger Guérillot/Bon article

Dernier commentaire : il y a 11 ans par Udufruduhu
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Udufruduhu (d) 9 janvier 2013 à 06:30 (CET)Répondre

Roger Guérillot

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Proposé par Polaert (d) 26 décembre 2012 à 13:51 (CET).Répondre

Rédacteur de cet article, Roger Guérillot est la première proposition de labellisation d'une série d'articles sur le monde politique de l'Oubangui-Chari devenu en 1958 la République centrafricaine.

Format : Motivation, signature.

Bon article

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  1.  Bon article Gemini1980 oui ? non ? 28 décembre 2012 à 14:46 (CET)Répondre
  2. --Kimdime (d) 2 janvier 2013 à 20:45 (CET)Répondre
  3.  Bon article Article instructif. Pensez aux ISBN pour la suite de la série. --Ange Gabriel (d) 4 janvier 2013 à 17:46 (CET)Répondre
  4.  Bon article Bon article, ça sent le bon thème pour plus tard, cette série :) Xentyr (d) 5 janvier 2013 à 20:15 (CET)Répondre
  5.  Bon article Est, après les modifications faites que j'avais demandé, au niveau BA. — Σtiennekd (d6 janvier 2013 à 00:31 (CET)Répondre

Attendre

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Il faudrait ! Attendre, car je pense que le modèle {{Harvsp}} est à insérer pour les références, mais également pour se faire les modèles {{Article}} et {{Ouvrage}} dans la section Bibliographie.Σtiennekd (d5 janvier 2013 à 14:01 (CET)Répondre
Transformations effectuées. Par contre je ne comprends pas pourquoi dans l'article lorsque je clique sur un lien {{Harvsp}}, je ne suis pas renvoyé à l'ouvrage dans la bibliographie... J'ai du oublier une manoeuvre Polaert (d) 5 janvier 2013 à 18:05 (CET)Répondre
J'ai corrigé. En fait, en simplifiant, quand on utilise le modèle Harvsp, il ne faut mettre que les noms des auteurs dans l'ordre (pas leur prénom), et si pas d'auteur, regarde mes diffs, c'est plus compliqué, il faut lier avec des ID l'ouvrage/article à ses références Harvard. Xentyr (d) 5 janvier 2013 à 20:12 (CET) ✔️ collégialementRépondre
Je trouve cet article beaucoup mieux comme ceci. Je change donc mon vote à présent… — Σtiennekd (d6 janvier 2013 à 00:30 (CET)Répondre

Neutre / autres

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Discussions

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Remarque de Gemini1980 (d · c · b)

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J'ai un problème avec le plan actuel : annexes mis à part, l'article ne comporte qu'une section principale. La section « Biographie » serait parfaitement acceptable si, à côté de cela, il y avait une section « Analyse » (ou équivalent), qui pourrait notamment se conclure par une sous-section « Postérité ». Est-il possible d'approfondir ce point ? Salutations. Gemini1980 oui ? non ? 27 décembre 2012 à 17:49 (CET)Répondre

J'aime beaucoup l'idée, je viens d'ajouter une (courte) section 'Analyse et impact' afin d'y remédier. Dîtes-moi si elle mérite d'être développée. Polaert (d) 28 décembre 2012 à 01:55 (CET)Répondre
C'est déjà très bien comme ça (après que j'ai corrigé le niveau de titre de la section), ça équilibre parfaitement l'article, et en tout cas amplement suffisant à mes yeux pour le BA. Merci et bravo. Gemini1980 oui ? non ? 28 décembre 2012 à 14:46 (CET)Répondre

Remarque de xentyr (d · c · b)

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Encore une fois, on sent que le sujet a été travaillé, mais j'ai un petit souci. D'abord évacuons quelques doutes ponctuels :

  • Lors de la loi-cadre Deferre, on parle de gouvernement local, suivi d'un Conseil, sans faire de lien entre eux. Est-ce la même chose ou bien ce sont deux entités distinctes ? (l'info est présente plus bas bien sûr, mais au moment de la lecture, le doute est permis)
C'est la même chose, la loi-cadre Defferre met en place localement des « Conseils de gouvernement ». J'ai rectifié ✔️ Polaert (d) 4 janvier 2013 à 11:33 (CET)Répondre
  • L'exigence de faire tampon entre Boganda et les autres ministre se fait-elle à l'insu de Boganda ou avec son accord ?
« Guérillot nous avait même empêché, nous, ses collègues ministres africains, de voir directement Boganda, sans passer par son canal : ‘l'ordre est parvenu de Boganda lui-même’, nous avait-il dit. Mais, Boganda avait démenti cette affirmation de Guérillot lorsque je lui en avais parlé pour justifier la rareté de mes visites, comme je l’ai souligné dans ma lettre de novembre. L’affaire avait pris une allure si aiguë que, nous, les cinq ministres ministres africains, étions obligés de demander à rencontrer directement le président Boganda en lui adressant la demande d’audience du 24 novembre 1957 en ces termes : ‘ Nous avons l’honneur de vous demander de bien vouloir nous accorder une audience particulière ce jour, dimanche 24 novembre 1957 à 21 heures, de préférence au bureau du MESAN (carrefour de La Kouanga). Nous ne saurions trop insister sur le caractère urgent et impérieux de cette entrevue Veuillez agréer…’. La demande était signée de Backo, Mamadou, Willickon, Gbaguidi, et moi-même (Cf. lettre d’audience en annexe 16). Evidemment, le président Boganda a confirmé sa pleine disponibilité vis-à-vis de tous les ministres et de tous les membres du parti, au cours de cette entrevue. » (extrait p.97-98 du tome 1 des mémoires de Goumba.)

En analysant cet extrait, on peut relever que Guérillot s’imposait à l’insu de Boganda. On peut émettre l’hypothèse que les requêtes étaient adressées oralement à Guérillot qui les transmettait ensuite à Boganda. Enfin on peut conclure que ce système prend fin en novembre 1957. Polaert (d) 4 janvier 2013 à 11:33 (CET)Répondre

Avant de préciser dans l'article un éventuel "(a priori) à son insu", dans le jeu d'alliances, n'y a-t-il aucune raison de croire à un double-jeu de Boganda ici, à l'insu de son plein gré ? (Car pour le coup, attendre une année complète pour sortir RG après un autre paquet de manigances me semble un peu bisounours.) Xentyr (d) 4 janvier 2013 à 16:38 (CET)Répondre
Possible en effet que Boganda est utilisé Guérillot. Avantager un ministre blanc aux détriments de ses collaborateurs noirs lui paraissait moins dangereux pour son assise politique. Ensuite Boganda, à l'instar du général de Gaulle avec Maurice Papon, avait besoin d'hommes d'action ayant un certain « savoir ». Bref on entre là dans des TI. On laisse donc la phrase en l'état ? Polaert (d) 4 janvier 2013 à 21:19 (CET)Répondre
Mmmh, c'est dommage, car là j'en ai appris plus avec cet extrait par rapport au texte, non seulement « il essaie », mais « il a réussi (a priori) à l'insu de Boganda jusqu'à la découverte de sa manoeuvre lors d'une confrontation globale ». C'est pas primordial, mais ça permet d'éclairer le personnage peu scrupuleux (et pas simplement paternaliste). Xentyr (d) 5 janvier 2013 à 13:48 (CET) ✔️Répondre
  • La disgrâce me semble construite de manière bancale. Chronologiquement, en 1958, il crée sa milice (mais on ne sait pas quand, ce qui handicape la compréhension), un audit découvre à l'automne qu'il a failli doublement (caisses vides alors que trésorier et trafic d'armes). Or en automne, il s'est à ce moment-là déjà fait virer du gouvernement au cours de l'été après ses manigances du printemps. Enfin c'est sur les doutes de Gouma (alors que la taxe date aussi du printemps 1958) que se termine cette section, nous laissant un peu sur notre faim. Il faudrait peut-être re-rédiger cette partie mais sans l'info sur la création de la milice, ni la succession précise entre celle-ci, l'élection, la taxe, il est difficile de le faire sans se planter.
Chronologiquement, la disgrâce n'est pas facile à établir. Avant toute chose, je dois préciser que je crois avoir décelé chez les auteurs une confusion entre les « contrôleurs du Comité de salut économique » qualifiés de miliciens, et les membres du « service d’ordre du MESAN » évoqués comme tels uniquement dans le tome 1 de La décolonisation de l'AEF selon Foccart : entre stratégies politiques et tactiques sécuritaires (1956-1969), thèse soutenue en 2011 par Jean-Pierre Bat. J’aurais tendance à me fier plus volontiers à Jean-Pierre Bat qu’aux autres. Malheureusement de sa thèse, je n’ai pris que quelques notes : à la page 201 il était indiqué que le service d’ordre du MESAN était mieux connu sous le signe SOM et qu’il avait eu une courte existence.
J'ai fait un rapprochement du SOM avec ce que relate Abel Goumba, à la page 117 du tome 1 de ses mémoires : « En sa double qualité de trésorier du MESAN et de ministre de l’Intérieur, responsable de la sécurité du territoire, Guérillot utilisera les fonds du MESAN pour mettre en place une milice privée parallèle, composée d’une soixantaine de mercenaires, payés mensuellement sur la trésorerie du parti. Il dissimulera l’opération sous le couvert du Comité de salut économique, contrôlée et dirigée par des hommes de main à sa dévotion, comprenant en presque totalité des rebus de la société européenne ayant trouvé refuge en Oubangui-Chari et disponibles pour tous les mauvais coups. Ces mercenaires ainsi recrutés à l’insu du gouvernement, par un membre dit du gouvernement, de surcroît membre dirigeant du MESAN, étaient entretenus dans un lieu reculé de la périphérie du quartier de Mamadou Mbaïki. »
Abel Goumba poursuit p. 118 : « Ce n’est que lorsqu’un beau jour, un de ces fameux mercenaires musulmans s’est présenté pour réclamer son salaire de deux ou trois mois auprès du ministre des Finances que j’étais, que je pris soudain conscience de la gravité de cette inquiétante affaire et que j’essayais de me remémorer ces étranges paroles de Guérillot: ‘en cas de n’importe quel danger, chaque ministre sera mieux défendu par mes hommes que par les agents de la force publique. Si en France, l’on continue à s’amuser à renverser le gouvernement tous les jours, comme c’est le cas en ce moment avec Guillard et Marius Moutet, nous n’hésiterons pas à nous proclamer en une république indépendante. En politique, on ne fait pas de sentiments. Si le gouverneur s’agite, nous l’enfermerons.’ Il ressort des renseignements que j’ai pu tirer de ce musulman, qu’il y a une histoire d’armes (de mitraillettes) venant du Nigeria, de relations de quelques Blancs de Bangui avec l’Afrique du Sud via le Katanga, etc… Le tout sous la direction de Guérillot. Décidé à prévenir les mauvais coups possibles, j’informais immédiatement le président Boganda de cet événement insolite. En réalité, nombre de ces hommes qu’on entraînait vers la périphérie de la ville n’avaient pas perçu leurs salaires depuis plus de deux ou trois mois, malgré les promesses ou les explications dolosives de Guérillot. Après enquête sommaire, on s’aperçut qu’il n’y avait plus aucun sou dans la caisse du MESAN gérée par Guérillot » (Je ne sais pas pourquoi il est évoqué Marius Moutet, depuis 1947 il n'a plus occupé un ministère dans le gouvernement. Je ne sais pas qui est Guillard)
En complément, je note que Yarisse Zoctizoum affirme qu’ « une véritable milice dotée d’uniformes verts fut mise sur pied en entraînée pour l’encadrement des paysans sous le couvert du salut économique. Mais déjà à N’Garaba dans un des quartiers de Bangui où étaient installés les bureaux du ministre territorial Guerillot, les nouveaux boys-coton du salut économique se révoltèrent contre leurs ‘capita’, c’est-à-dire leurs chefs, les ‘chômeurs blancs’ engagés pour l’encadrement de cette milice. » (http://books.google.fr/books?id=KF3RBCabB0sC&pg=PA207&dq=gu%C3%A9rillot+milice+ch%C3%B4meurs&hl=en&sa=X&ei=qbHmUOeJEYmXhQel1IHQBA&ved=0CC8Q6AEwAA#v=onepage&q=gu%C3%A9rillot%20milice%20ch%C3%B4meurs&f=false)
Pierre Kalck lui aussi dans Histoire centrafricaine évoque qu’« en février 1958, une certaine tension régnait à Bangui. Un Européen était assassiné en plein jour dans un magasin de la ville, plusieurs étaient blessés. Les nouveaux ‘boy-cotons’ recrutés par le ministre Guérillot provoquaient une émeute à Ngaraba, réclamant les hauts salaires promis. » (http://books.google.fr/books?id=7zuWIOt9s1kC&pg=PA296&dq=gu%C3%A9rillot+tchad&hl=en&sa=X&ei=OJ_mUO-DJ9S7hAeW5IHwBA&ved=0CDwQ6AEwAg#v=onepage&q=gu%C3%A9rillot&f=false)
En fait chronologiquement parlant tout ce dont je suis véritablement certain c’est que Guérillot lorgnait sur le fauteuil de sénateur d’Hector Rivierez qui finalement le 8 juin 1958 échoit à Etienne N’Gounio (http://www.senat.fr/senateur-4eme-republique/n_gounio_etienne0429r4.html). En juillet 1958, Guérillot se voit retirer le portefeuille des Affaires administratives mais conserve jusqu’en décembre 1958 celui des Affaires économiques. J’en ai déduit que le scandale relatif au SOM datait donc d’automne 1958, d’autant que Pierre Kalck rapporte que Guérillot est muté en métropole afin de rassurer Boganda qui craint pour sa vie. Ce qui semble logique quand on pense au trafic d’armes qu’évoque Abel Goumba.
Enfin en ce qui concerne le projet de taxe, seul Abel Goumba en fait mention : « j’ai demandé au ministère des Travaux publics chargé de mener les négociations relatives à la fourniture du carburant par la dite société unique, de bien étudier le dossier et de soumettre le problème au gouvernement avant de passer aux actes. Il s’avère par la suite, que mes réserves étaient parfaitement fondées, les révélations sur les dessous de cette affaire menée tambour battant par Guérillot nous ayant appris que ce dernier devait percevoir, secrètement bien sûr, une certaine commission sur les quantités de l’essence livrée au pays. » (p.113). L’annexe 15 dudit livre qui est une photocopie de la lettre du 9 novembre 1957 envoyée par Goumba à Guérillot dans laquelle Goumba prévient qu’il a chargé le ministre des Travaux publics d’étudier le projet de contrat avec la Compagnie française des pétroles africains (CFDPA) que soutient Guérillot. Polaert (d) 4 janvier 2013 à 14:08 (CET)Répondre
Merci pour la réponse avancée, ATTENTION - TI si pas de sources - une autre interprétation serait p-e qu'il perd son 1er mandat suite aux milices (en lui accordant une 2e chance) mais qu'il perd tout après le résultat de l'enquête sur la commission occulte qui confirme qu'il s'est foutu d'eux depuis 18 mois alors que Boganda l'avait choisi à ses côtés parmi les différents métropolitains ? Xentyr (d) 4 janvier 2013 à 16:38 (CET)Répondre
Je m'attèle à la réécriture de cette section. Polaert (d) 4 janvier 2013 à 21:19 (CET) ✔️Répondre
  • Qui devient simple attaché commercial délégué ? Monin ou Guérillot ? Car on se retrouve avec uniquement des pronoms à la 3e personne avec malheureusement deux possibilités sur cette phrase-là.
Celui qui devient un simple attaché commercial délégué est Guérillot. Polaert (d) 4 janvier 2013 à 14:08 (CET)✔️ai levé l'ambigüité potentielleXentyr (d)Répondre

Le reste est plus global, par ordre d'importance décroissant :

  • A la lecture de l'article, j'ai l'impression (car ce n'est jamais explicitement mentionné, abordé seulement dans l'analyse mais sans prendre parti) que ses différentes actions n'ont été menées que par pur opportunisme (passant de pro-colon à pro-RCA sans problème, anti-Boganda, puis s'allie, de projets en projets dont le seul but - attention TI :D - semble être le maintien du pouvoir). Ce n'est pas explicite mais c'est en filigrane, il n'y a pas de "motivation" à sa versatilité. Du coup, est-ce que ça représente le personnage ? Sinon, il manque des informations pour écarter cette hypothèse (au-moins à certains moments de sa vie) et ça empêcherait le BA pour moi.
Des sources que j'ai consultées il apparaît en effet que Guérillot était un homme peu scrupuleux. Je peux indiquer éventuellement en introduction qu'il est controversé mais la lecture de l'article suffit pour se faire une opinion du personnage. Polaert (d) 4 janvier 2013 à 21:19 (CET)Répondre
si on peut le faire de manière neutre, je pense que ça vaut le coup dans le résumé introductif. Xentyr (d) 5 janvier 2013 à 13:48 (CET) ✔️Répondre
  • Lorsqu'on parle de francs, certains fois, on précise métropolitains, d'autres CFA, et (mon problème) rien également :/ du coup, doute il y a.
Je vais regarder ceci de plus près. Polaert (d) 4 janvier 2013 à 21:19 (CET) ✔️Répondre
  • La désignation d'"Européen" mérite également une note ici (en partant de la Loi Lamine Guèye par exemple). N'étant justement pas familier avec cette terminologie et la notion du double collège, je n'ai pas envie d'écrire des bêtises, je ne sais pas si on l'utilise en référence au collège (et en extension sémantique ensuite), ou comme synonyme de métro, ou bien encore de blanc. :/
Je vais essayer de clarifier cela. Polaert (d) 4 janvier 2013 à 21:19 (CET) ✔️Répondre
  • Il y a beaucoup de conditionnels, est-ce dû à un effet de style ou bien à de réels doutes des sources ?
A des doutes sur les sources, il arrive parfois qu'avec le temps, les acteurs réinterprètent les événements historiques auxquels ils ont participé. Polaert (d) 4 janvier 2013 à 21:19 (CET)Répondre
  • Bonus : Les réf et biblio n'étant pas obligatoirement nickels en BA, on y échappe (par contre pour l'AdQ, faudra s'y coller).
Je prends note, mais il est peu probable qu'un jour il soit présenté en AdQ. Polaert (d) 4 janvier 2013 à 21:19 (CET) ✔️ en tout cas, c'est fait maintenant ;)Répondre

Xentyr (d) 4 janvier 2013 à 03:43 (CET)Répondre

Remarque de Ange Gabriel

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Bonjour, comme il s'agit du début d'une série d'article, il serait bon d'améliorer la partie bibliographie car il est probable qu’elle va être utilisée dans d'autres articles (ISBN par exemple). --Ange Gabriel (d) 4 janvier 2013 à 17:45 (CET)Répondre

Je m'y attèle. Polaert (d) 4 janvier 2013 à 21:22 (CET) ✔️Répondre
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