Discussion:Royal 22e Régiment

Royal

J'ai modifié les renseignements en ce qui concerne le nom Royal.(http://www.r22er.com/fr/22eregiment/r22rfr.html).--BarLaf 3 avril 2006 à 04:32 (CEST)

Retrait

J'ai retiré cette section. Elle ira sur un article Centre d'instruction du secteur Québec de la Force terrestre, pas ici, l'école ne relève pas du régiment. Amqui (d) 29 janvier 2011 à 03:22 (CET)

Le Centre d'instruction du secteur Québec de la Force terrestre (CI SQFT)

Le CI SQFT, anciennement appelé l'École de combat, est le lieu où sont formés, entre autres, les soldats du Royal 22^e Régiment. Celui-là n'est toutefois plus sous le contrôle régimentaire, mais sous le contrôle du secteur du Québec de la Force terrestre et relève du système de doctrine et d'instruction de la Force terrestre. Le Centre d'instruction demeure néanmoins sous le commandement d'un Lieutenant-colonel du Royal 22e Régiment.

L'école est chapeautée par un état-major et est divisée en 4 "compagnies d'instruction", soit :

• la compagnie A : "Cours de fantassin et de leadership";
• la compagnie B : "Cours de base et d'artilleur";
• la compagnie C : "Milice";
• la compagnie de service : "Soutien à l'école".

La compagnie A reçoit les soldats formés de l'armée et les forme au métier de fantassin pendant plus ou moins 90 jours avant de les envoyer au bataillon d'infanterie. De plus, elle reçoit les futurs chefs de l'armée et les forment en ce sens. La compagnie A ou de leadership a pour mission de former les sous-officiers de l'armée. Elle dispense le cours de commandant de section d'infanterie ou de section dans d'autres corps de métiers. En quelques semaines, les candidats apprennent à suivre un plan de cours, donner une leçon théorique, donner une leçon pratique, diriger l'exercice, lancer un assaut, mener une patrouille de reconnaissance, mener une patrouille de combat, etc. Le Canada attend de ses chefs qu'ils puissent commander avec excellence. Enfin, cette compagnie encadre également certains cours tels que le cours de tireur d'élite de base, combat sans arme et instructeur en combat sans arme, etc.

La compagnie B reçoit les recrues de l'armée et les forme à titre de soldats afin qu'ils puissent poursuivre leur formation spécialisée au sein des Forces canadiennes. De plus, cette compagnie forme les futurs artilleurs francophones, et ce, avant qu'ils rejoignent leurs unités. Les cours offerts: mitrailleur, signaleur, chauffeur roues, chauffeur chenilles, recce, mortier, antichars, ne sont donnés qu'à l'extérieur du CI SQFT. L'école de parachutistes (parachute) se trouve à Trenton, l'école de montagne à Trenton (dont une phase du cours se déroule à Banff), et la cellule de sniper à Gagetown. Pour d'autres cours, il faut parfois aller à l'étranger : la Special Warfare School de Fort Bragg aux États-Unis, l'entraînement commando de Givet en France, ou la Jungle Warfare School d'Australie, par exemple, sont fréquentées par les militaires canadiens.

La compagnie de milice forme, entraîne et encadre les cadres et les membres de la Milice. Elle peut au cours de l'année, supporter les deux autres compagnies en conduisant également des cours pour le personnel régulier.

Une nouvelle compagnie a été implantée en 2006 afin de former tous les militaires de l'armée provenant des divers métiers de support au combat en prévision de leurs divers cours spécialisés.

BA

Ça me semble bien, mais après une première lecture rapide, il me semble manquer un truc important (peut-être évident pour un initié mais qui ne l'est pas du tout pour moi, qui pourtant demeure tout près de la BFC Valcartier): le Royal 22e, c'est combien de gens (soldats et officiers), par bataillon / au total? - Boréal (:-D) 1 mars 2011 à 02:57 (CET)

La même question a été posée par Fralambert au sujet du PPCLI, mais il semble que cette information ne soit pas publiée. Il est possible de faire des approximations avec le nombre de soldats par peloton et le nombre de peletons dans le bataillon, mais celà devient du TI. Amqui (d) 1 mars 2011 à 03:06 (CET)

Peut-être est-il possible de sourcer de manière générale qu'un bataillon, dans l'armée canadienne, c'est environ X personnes? (Ou peut-être que ça peut varier beaucoup d'un bataillon à l'autre?) Parce que pour l'instant, je n'ai aucune idée de l'ordre de grandeur, si on parle de 100, 1000 ou 10000 personnes... (je doute de trouver quelque chose de plus que toi, mais je vais quand même jeter un coup d'oeil). Cordialement, - Boréal (:-D) 1 mars 2011 à 17:52 (CET)

Tiens, déjà, ça, ça me semble mieux que rien... - Boréal (:-D) 1 mars 2011 à 17:53 (CET)

(J'imagine que tu connais ce site, même s'il ne donne pas la réponse). - Boréal (:-D) 1 mars 2011 à 17:59 (CET)

Si on parle des bataillons en général, ne serait-ce pas plutôt le rôle de l'article bataillon d'expliquer tout ça ? Je ne connaissais pas le dernier lien, merci, mais contrairement à bien des articles dans ce cas-ci ce ne sont pas les sources qui manquent.

Je vais ajouter des explications allant de le sens de ce que vous demandez sans tomber dans le TI. Amqui (d) 1 mars 2011 à 22:04 (CET)

Une petite recherche en dehors des outils de recherche m'a permis de trouvé exactement ce vous recherchiez, c'est un très bon ajout à l'article, merci de m'avoir pousser à chercher plus creux. Les chiffres précis pour les unités régulières ont été ajoutés. Amqui (d) 1 mars 2011 à 22:22 (CET)

Super! - Boréal (:-D) 2 mars 2011 à 03:12 (CET)

Déplacement d'un paragraphe de TI de l'article

Je déplace ce texte ici en attendant que l'on puisse le sourcer.

En fait, la majorité du personnel est composée d'étudiants du cégep, de l'université et même de l'école secondaire pour les recrues. Néanmoins, plusieurs réservistes sont envoyés en mission outre-mer au sein des bataillons réguliers de manière volontaire. L'organisation interne des bataillons de réserve diffère de celle des bataillons réguliers. Les bataillons de réserve comprennent un état-major, une compagnie de fusiliers, une compagnie d'instruction et une compagnie de services. L'état-major des bataillons est organisé et fonctionne de la même façon que les bataillons réguliers. Les bataillons de réserve ne comprennent qu'une seule compagnie de fusiliers qui est organisée comme les compagnies de fusiliers régulières. Les compagnies d'instruction sont en charge du recrutement et de l'entraînement élémentaire des recrues ainsi que de dispenser des cours de spécialisation d'infanterie au personnel déjà qualifié du bataillon. Les ressources étant réduites, ces cours se limitent aux cours de mitrailleurs, de signaleurs et de chauffeur de véhicules sur roues auxquels on ajoute parfois un cours de reconnaissance. La compagnie de services regroupe tout le personnel administratif et de soutien logistique du bataillon quoique ce soutien soit plus virtuel qu'autre chose étant donné que la compagnie ne dispose pas de moyens propres. En tout, les bataillons de réserve du Royal 22^e Régiment peuvent compter près de 200 soldats de tous grades.

Amqui (d) 26 février 2011 à 01:35 (CET)

Une autre section qui attend des sources :

=== Timor Oriental ( 1999-2000) ===

En août 1999, la population du Timor oriental décide, lors d'un référendum organisé par l'ONU, de se séparer de l'Indonésie. En réaction, des forces anti-indépendance lancent une campagne de terreur. Le Conseil de sécurité autorise la création d'une force internationale. Face à cette crise le Canada engage des troupes pour se joindre à cette force et c'est le 3e Bataillon qui est choisi pour partir. Les troupes seront amener au sol de façon amphibie ce qui en fait le premier débarquement amphibie depuis la fin de la 2e guerre mondiale.

Amqui (d) 7 mars 2011 à 18:06 (CET)

Lieutenant-Colonel Thomas-Louis Tremblay

Une page sur Thomas-Louis Tremblay serait plus qu'appropriée! On parle du même lieutenant-colonel qui a été décrit par Georges Vanier comme "le plus grand militaire canadien-français depuis Salaberry". La récente publication de son journal par Marcelle Cinq-Mars devrait fournir une solide base pour l'article.

Wikipédia:N'hésitez pas !. Amqui (d) 22 juin 2011 à 02:36 (CEST)

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil

Une proposition d'anecdote pour la section « Le Saviez-vous ? » de la page d'accueil, et basée sur cet article, a été proposée sur la page dédiée.
N'hésitez pas à apporter votre contribution sur la rédaction de l'anecdote, l'ajout de source dans l'article ou votre avis sur la proposition. La discussion est accessible ici.
Une fois l'anecdote acceptée ou refusée pour publication, la discussion est ensuite archivée là.
(ceci est un message automatique du bot GhosterBot le 22 janvier 2018 à 11:46, sans bot flag)

Commandants vs pas de commandants vs liste des commandants

Allo l'équipe, d'abord un gros bravo pour le travail. Ça fait déjà un bout que cet article fait ish dans ma tête et je suis content que quelques contributeurs s'intéressent à cette page. Je me questionne sur la difficulté de garder à jour les noms des commandants. Difficultés d'avoir des contributeurs qui sont vraiment au courant des changements et la difficulté d'avoir les informations à jour sur le site web de la défense. Mon choix premier serait d'avoir une liste de commandants avec les dates (difficile à trouver?) pour faciliter une idée d'un article pas à jour au lieu d'un article erroné. Mais cela prend de la place. Je pense aussi à la pertinence d'avoir le nom du commandant actuel pour chaque bataillon. Je n'ai pas d'idées arrêtés. Je cherche une meilleure solution. Merci de vos idées. Et bravo pour votre travail. Beeper (@) 18 février 2018 à 05:06 (HNE)

22e bataillon d'infanterie royale

Le nom "22e bataillon d'infanterie royale" apparait dans le reportage Apocalypse 1ère Guerre Mondiale (38e min). Peut-être serait-ce utile de le mentionner ? --French Jo (discuter) 24 août 2020 à 16:29 (CEST)

Malheureusement ce vidéo est bloqué au Canada, les lecteurs canadiens ne pourront pas le voir ni ceux de plusieurs autres pays probablement. Si cette émission fait plus que mentionner le bataillon, mais décrit ses actions ou son importance, vous pouvez utiliser les informations fournies pour enrichir l'article. Une source écrite équivalente me semblerait préférable cependant. Bonne continuation ! --Cortomaltais parloir ➔ 25 août 2020 à 04:39 (CEST)