Discussion:Survivalisme

Dernier commentaire : il y a 11 ans par Kõan dans le sujet Définition étriquée du survivaliste
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Ajouts au début de l'article modifier

Slt,

une modification mineure au début de l'article, je rajouterais interruption globale, car certains survivalistes se préparent à un changement de société et à un arrêt brutal et définitif de civilsation (fin de la civilisation), consécutivement à la raréfaction des énergies fossiles (pic de pétrole) ou à une guerre nucléaire majeure (hivers nucléaire), voir à une pandémie.

La phrase deviendrait : "Un survivaliste est un individu qui anticipe une interruption potentielle dans la continuité de la société locale, régionale, nationale ou globale."

"Le survivaliste se prépare selon la situation anticipée:

Catastrophes naturelles (tornades, ouragans, tremblements de terre, blizzards) Conflits humains (Guerres nucléaires, bactériologiques)"

je rajouterais :

- Catastrophes écologiques (réchauffement climatique, montée du niveau des océans, désertification, épuisement des sols, réduction de la biodiversité, pollution nucléaire).

Cordialement,

Kraveunn (d · c · b)

Hello, Je me suis permis d'établir d'avantage de liens, c'est plus joli! Mariner (d · c · b)

Anglicisme ? Doctrine ? Secte ? modifier

On peut s'interroger sur l'usage du mot survivalisme. Je ne suis pas certain qu'il soit facile de définir un mouvement informel lié au choix à toutes sortes de catastrophismes ambiants. Voir par exemple le lien ci-dessous : http://www.davidmanise.com/forum/index.php?topic=1964.0;wap2 hbourj (d) 11 octobre 2011 à 14:24 (CEST)Répondre

Liens entre Survivalisme et Zombie modifier

Il existe tout une culture autour des Zombies. C'est une façon de parler de guerre civile sans en parler directement. Certaine communautés parlent de survivre après le Z day (Zombie Day). Ne doit-on pas inclure les films de Zombies dans la liste des survivaliste? Car les Zombies n’existent pas? Hors la survie reste la même. Les Zombies peuvent alimenter la réflexion du survivalisme. D'ailleur quel limite entre un film de Zombie et le film "Je suis une légende"?

Un gros problème de mélange des genres modifier

A une époque, le survivalisme était peut-être du domaine de la science-fiction. Mais aujourd'hui, c'est une attitude de prudence et de bon sens, de plus en plus répandue, qui fait que des gens normaux se rendent compte qu'il n'est pas du tout raisonnable de vivre au jour le jour, sans se préoccuper de quoi que ce soit, et de tout attendre du Système et de l'Etat-providence. Des ratés plus ou moins graves peuvent se produire dans le fonctionnement du système, et la raison demande d'y réfléchir un peu, et de prévoir des moyens de supporter une crise plus ou moins grave, susceptible d'entraîner une paralysie du système. En 1968, il y a eu en France une grève générale, les magasins d'alimentation n'étaient plus approvisionnés ; mais on était 24 ans seulement après la Libération, les ménages avaient souvent de quoi tenir un mois. Aujourd'hui, les gens n'ont pas de quoi tenir plus de 5 à 7 jours, dans le meilleurs des cas. Le congélateur est certes rempli... de chose qui seront jetées en cas de coupure de courant (grève générale ou panne géante par exemple, due à de nombreux facteurs : surconsommation, tempête de neige, etc.). Cette attitude permet de résister à des petites catastrophes (par exemple on veut prendre sa voiture à 2 heures du matin pour rentrer chez soi, elle ne marche plus : il est nécessaire de prévoir d'avoir toujours de l'argent liquide sur soi pour rentrer en taxi ou se débrouiller !) ou des grandes, telles que l'Etat est débordé : penser aux tempêtes de 2000, ou à la Tempête Xynthia, ou La Nouvelle-Orléans... — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Plijno (discuter)

Faut-il alors créer une page Néo-survivalisme ?... --Plijno (d) 30 janvier 2012 à 18:58 (CET)Répondre

Films survivalistes modifier

Je m'interroge fortement sur la pertinence de faire une liste de films "dits" survivalistes. Il ne s'agit pas d'un genre à part, le mot n'existe d'ailleurs toujours pas officiellement dans la langue française. Les films proposés appartiennent à des genres bien référencés, science-fiction ou post-apocalyptique. Je suis pour supprimer purement et simplement cette liste en l'absence de critères clairs et objectifs permettant de classer un film dans la catégorie "survivaliste". CB (d) 1 août 2012 à 10:24 (CEST)Répondre

Définition étriquée du survivaliste modifier

Suite à une discussion sur l'article de McCandless, je rapporte ici un de mes commentaires, pour suggérer une amélioration du contenu : Le problème est sans doute plus profond : la référence à l'article anglais (et donc au français, son clone) n'est pas adaptée, la définition du survivalisme réduite à la préparation à une menace n'est pas conforme, une source rapide ici si les Américains assument pleinement le fait de se préparer à d’hypothétiques catastrophes, s’ils affirment fièrement vouloir faire partie des derniers survivants de cette Terre en cas d’apocalypse, le survivaliste français a, à la base, tendance à définir les choses un peu différemment,En effet, il présente cela plutôt comme un art de vivre, un retour aux sources, un mode de vie similaire à celui de l’homme qui ne bénéficiait pas encore du confort moderne : apprendre à chasser, à vivre de la nature, à se protéger contre les menaces diverses, tout cela est presque présenté comme un sport, un retour aux valeurs fondamentales. Le courant est différent dans sa diversité de la définition donnée sur Wikipédia, ce qui fait par exemple, comme je le disais ci-dessus, que tous les forums et débats dits "survivalistes" évoquent McCandless est bien d'autres (en France, plusieurs amateurs de la nature sont dits survivalistes). K õ a n--Zen 1 août 2012 à 13:19 (CEST)Répondre

Je trouve ça curieux de plaider pour une définition large du survivalisme et de le joindre en même temps au portail Religions et Croyances. CB (d) 1 août 2012 à 13:36 (CEST)Répondre
Koui² (d · c · b) vient d'introduire ce portail, ce que je n'approuve pas. Je ne vois pas le rapport. K õ a n--Zen 1 août 2012 à 13:38 (CEST)Répondre
Désolé j'avais confondu les deux pseudos. Pour revenir au débat, c'est assez ironique de donner une définition typiquement française à un anglicisme récent. A part ce passage, la chronique du Nouvel Obs citée relie bien le survivalisme à la définition donnée actuellement par WP (se préparer à une catastrophe) et les premiers résultats donnés par une requête Google vont également dans ce sens. En l'absence de définition "officielle" de ce néologisme, puisqu'il n'apparait dans aucun dictionnaire, c'est l'acceptation actuelle donnée par les médias qui prime. Et c'est bien ce qui figure dans l'article actuellement. Quiconque a des bougies en cas de coupure de courant n'est pas un survivaliste. CB (d) 1 août 2012 à 13:49 (CEST)Répondre
Il faudrait éviter le sophisme. Personne ne dit qu'utiliser des bougies fait de quelqu'un un survivaliste. Les Stroud est l'exemple de quelqu'un qui donne des informations pour survivre dans des situations dangereuses (isolement dans la nature, pour une raison ou pour une autre, qui n'est pas nécessairement rattachée à une catastrophe de l'ampleur évoquée dans l'article). Il est désigné comme un "survivaliste" (c'est justement de l'acception donnée par les médias dont je parle, et par les usages dans le courant survivaliste). L'article dans l'état actuel est approximatif et fait la part belle au sensationnnel. Même si un certain "survivalisme" a pu se fonder sur le catastrophisme, ce n'est simplement plus vrai aujourd'hui, et le terme, par abus de langage ou par extension, ne désigne plus seulement ceux qui ont construit des abris anti-atomiques au XXe siècle. C'est ce qui devrait être rendu dans un article encyclopédique... K õ a n--Zen 1 août 2012 à 14:12 (CEST)Répondre
J'attends toujours de voir où vous avez vu que Les Stroud se définissait comme survivaliste. Et après votre apport ça donne : "Le survivalisme est un terme qui désigne les méthodes utilisées par certains groupes ou individus qui veulent se préparer (...) à survivre face aux dangers de la nature", à ce moment là autant fusionner avec l'article Techniques de survie. Et je suis désolé mais les médias donnent bien un sens restreint au terme, ce que disait d'ailleurs la chronique du Nouvel Observateur. CB (d) 1 août 2012 à 15:12 (CEST)Répondre
Pour Stroud, en vrac : «  survivaliste expert » sur cette revue de sauvetage canadienne, « célèbre adepte du survivalisme surnommé « Survivorman » sur discovery Channel, « survivalist » sur son site. une définition ici qui confirme que le survivalisme n’est pas réduit à la question de catastrophe nucléaire ou apparenté "fin du monde". Les techniques de survie sont clairement définies comme des outils du survivalistes, mais elles ne sont pas les seules (de plus, un article sur des techniques n'est pas la même chose qu'un autre sur un courant ou une sorte d'état d'esprit). Et non, les médias ne donnent pas un sens restreint au terme, pour l'instant je suis seul à fournir des sources dans cette discussion. K õ a n--Zen 1 août 2012 à 15:34 (CEST)Répondre
Sur son site, il s'agit juste du titre de l'article que vous avez mis en référence, que j'ai d'ailleurs supprimé pusiqu'il s'agit d'un article perso d'adolescent, et ce n'est donc pas du tout une référence acceptable. Discovery Channel ne fait que reprendre la définition de wikipedia et le site qui définit le survivalisme s'appelle quand même survivre-2012.com... De toute façon, c'est même pas ce que je demandais, je parlais de ce que dit Stroud lui-même. CB (d) 1 août 2012 à 15:46 (CEST)Répondre
Ce n'est pas à Stroud de se définir lui-même (vous éludez les sources secondaires, sans raisons valables), ni même à vous de le faire à partir de vos conceptions. D'autres éléments : Le survivalisme est une discipline ou une vigilance orientée vers la vie ou la survie dans des conditions hostiles de la part d'un survivaliste français qualifié de "référence" dans le domaine", voir aussi l'interview et les orientations évoquées du survivalisme actuel [1], on y parle même de "survivalisme" face à la crise économique voire même face à une pénurie d'essence ! et d'une quête de "niveau d'indépendance". Bref, du travail en perspective pour un article encyclopédiquePour l'article, je vais laisser couler puisque vous êtes dans une dynamique négative de reverts, mais il ne s'agit pas d'un "article perso d'adolescent" (la méchante ségrégation), mais d'un article sur un magazine en ligne pour les adolescents.. K õ a n--Zen 1 août 2012 à 15:52 (CEST)Répondre
Un petit zapping peut-être pour la définition donnée par les médias : TF1 http://videos.tf1.fr/jt-we/survivaliste-une-vie-a-attendre-le-pire-7429725.html , Radio Television Suisse http://www.youtube.com/watch?v=4d-UcY9v8Ks , France 2 http://www.la-fin-du-monde.fr/2011/12/envoye-special-apocalypse-now/ , M6 http://www.youtube.com/watch?v=LJxJKrJ819o CB (d) 1 août 2012 à 15:54 (CEST)Répondre
Ce tri sélectif n'est pas exclusif des sources que je donne plus haut. Il est question d'élargir un article, qu'est-ce qui vous motive à vouloir le conserver en l'état actuel à part une irritation apparente devant mes interventions ? K õ a n--Zen 1 août 2012 à 15:57 (CEST)Répondre
On parle de médias nationaux, pas de blogs persos. Je n'ai pas fait de tri sélectif, à part une chronique dans la version web du Nouvel Observateur vous n'avez donné aucune source valable à l'appui de vos propos. Je trouve même que vous vous enfoncez entre un article pour la libre circulation des armes et un site appartenant à la "fachosphère", mais ceci dit chacun ses idées. CB (d) 1 août 2012 à 16:10 (CEST)Répondre

Une source de sciences humaines de qualité qui analyse bien l’évolution que je tente de souligner : [2] si au départ l’on pouvait dire qu’il existe une unique population survivaliste qui pouvait se définir racialement, politiquement, économiquement et autres, aujourd’hui le mouvement est protéiformes, multiple, trans-générationnel. Tout le monde peut, un jour, devenir survivaliste (hommes, femmes, individus isolés, famille, immigrés, etc.). et « Le « prepper », s’il ne diffère pas du survivaliste quant aux pratiques mises en œuvre pour la survie (réserves de nourriture, de matériel médical, de moyen de défense, construction d’abris, préparation physique ou spirituelle, etc.) et qu’il demeure toujours une réaction à l’anxiété ambiante, au contraire, pour le « prepper » la préparation au pire se présente plutôt comme un mode de vie, une attitude quotidienne que comme un moyen de survie (...) visant à apprendre ensemble à « répondre aux besoins de base (un toit, à boire et à manger) » dans un monde « sans pétrole, sans eau courante, sans magasins parfaitement achalandés. Où tant d’objets qui nous entourent aujourd’hui pourraient devenir absolument inutiles, alors que d’autres, souvent simples, comme ceux dont l’homme se servait depuis des siècles, deviendront indispensables à notre (sur-)vie ». L’analyse mentionne également le survivaliste Vol West que je citais plus haut «  Quand je stocke six mois de nourriture comme le faisaient nos ancêtres, ce n'est pas dans l'anticipation de la fin du monde, mais bien dans une intention d'indépendance face à un système juste-à-temps. » comme l’écrit volwest. + Pour les « preppers » : l’autonomie ou l’autosuffisance passent par le recouvrement du mode de vie de nos ancêtres, idéalisation de nos grands parents qui vivaient dans un "c'était mieux avant" K õ a n--Zen 1 août 2012 à 16:12 (CEST)Répondre

Sauf que dans le passage cité l'auteur distingue bien survivalistes et "preppers", l'introduction est d'ailleurs sans ambiguïtés : "les survivalistes croient fermement en l’imminence de désastres d’ampleur cataclysmique, d’une gigantesque récession économique, d’une méga-pandémie à l’échelle mondiale, d’un tsunami d’amplitude planétaire, du Big One, de l’extinction massive de notre espèce, de fin du monde du 21 décembre 2012, etc. Bien plus encore, ils anticipent l’effondrement de notre civilisation moderne et urbaine, de notre mode de vie actuel et de ses adjuvants (la domination étatique, « l’agri-business », l’économie globalisée, le pétrole, l’électricité, l’informatique, la ville, la relative paix entre les nations, la sécurité, etc.) et se préparent (tant physiquement, que spirituellement ou économiquement) au pire… qui va nécessairement advenir." CB (d) 1 août 2012 à 16:20 (CEST)Répondre
Lisez correctement en essayant d'abandonner cette attitude d'opposition constante qui devient lassante. Il ne distingue rien, il explique clairement une évolution qui doit être restituée dans l'article, ne vous en déplaise. Merci de votre compréhension. K õ a n--Zen 1 août 2012 à 16:29 (CEST)Répondre
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