Discussion:Tycho Brahe/Archives1

Dernier commentaire : il y a 15 ans par GLec dans le sujet Essai 2: Supernova
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Correspond à la section Biographie

Amélioration de l'article modifier

Il reste des choses à faire dans cet article. Par exemple:

  • étoffer des sections et en créer de nouvelles (voir en.WP)

Ajouter:

  • une section Bibliographie,
  • une section Notes et référence,
  • des images.

Un travail est donc à entreprendre. Je m'y attelle

GLec (d) 2 juillet 2008 à 18:56 (CEST)Répondre

Essai 1: proposition de plan sur la base de l'existant modifier

Biographie

  • L'enfance
  • Une vocation
  • Des études chaotiques
  • La consécration
  • La fin de sa vie

Principaux travaux

  • Supernova
  • La grande comète de 1577
  • Les instruments
  • le modèle héliocentrique

L'astronome

Voir aussi

  • Liens internes
  • Liens externes

Bibliographie

Notes et références

Commentaires modifier

Section 2: ajout de la sous-section 3. GLec (d) 3 juillet 2008 à 15:20 (CEST)Répondre

x
Bonjour GLec. Nous devons développer le duo (Brahe - Kepler). Il a permis leurs découvertes. E Bernal 3 juillet 2008 à 21:56 (CEST)Répondre
Bonjour E. Bernal. J'ai prévu la section 3 "L'astronome" (qui peut comporter des sous-sections est être relativement importante et mieux appropriée à mon sens que la section Biographie par exemple), ou cet aspect peut-être largement développé et en aura que plus de portée. Il est vrai que la section "L'astronome" peut-être contenu dans la section 2. En outre et si nécessaire, le duo Brahe - Kepler peut apparaître à différents endroits de "P. t." vu les découvertes avec en plus une sous section plus spécifique. A voir. GLec (d) 3 juillet 2008 à 22:12 (CEST)Répondre
Au fait, avez-vous commencé quelque chose du coté de la section 2 dont le découpage est modifiable. . GLec (d) 3 juillet 2008 à 22:31 (CEST)Répondre
Je me documente pour avoir des références, et aussi je fait un survol sur Brahé et ses contemporains comme sa sœur Sophia Brahé (1556-1643), astronome et chimiste danoise, et le conflit avec Ursus, avant de me lancer dans le détail. J'ai mis quelques liens sur l’article pour chercher du contenu. E Bernal 3 juillet 2008 à 23:08 (CEST)Répondre
Ok. De mon coté, je terminerai demain un premier jet des s-sections "La consécration" et "La fin de sa vie". GLec (d) 3 juillet 2008 à 23:13 (CEST)Répondre

Essai 2: L'enfance modifier

Tycho Brahe est né à Knutstorp, en Scanie (Scania ou Skåne), une province alors danoise aujourd'hui suédoise. Il était l'aîné des garçons d'Otto Brahe et Beatte Bille, tous deux issus de la haute noblesse danoise. La famille était d'origine suédoise, mais son grand-père ainsi que son père appartenait à une branche familiale qui s'était fixée au Danemark[1]. Son frère jumeau est mort avant d'être baptisé. Tycho Brahe avait aussi deux sœurs, dont l'aînée s'appelait Kristine Brahe et la plus jeune Sophia Brahe qui deviendra plus tard astronome et chimiste. Son père, otto Brahé, était un noble et une figure importante de la cour du roi du Danemark. Sa mère était issue d'une importante famille dont la particularité était d'avoir donné des hommes politiques et d'église.

Les dispositions intellectuelles que manifesta Tycho Brahe dès son enfance frappèrent un de ses oncles maternels, Steno Bille, qui se chargea de son éducation. Il lui donna asile dans son domaine de Herritzwart près de Knudsturp où il pu se consacrer à des observation astronomiques ainsi qu'à l'étude de l'alchimie que son oncle affectionnait particulièrement[2]. Il grandit ensuite avec son oncle Jorgen Brahe qui en fit son héritier

Bibliographie

  • Nouvelle biographie générale depuis les temps les plus reculés jusqu'a nos jours. Jean Chrétien Ferdinand Hoefer (Firmin Didot - 1866)

Notes et références

  1. Nouvelle biographie générale depuis les temps les plus reculés jusqu'a nos jours. Jean Chrétien Ferdinand Hoefer, page 764 (Firmin Didot - 1866)
  2. Histoire de l'astronomie moderne. Jean Sylvain Bailly, tome I, page 381 (Debure, Paris - 1779)

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Essai 3: Une vocation modifier

Le 19 avri 1559, Tycho Brahé fut envoyé à l'université de Copenhague. Là, suivant les souhaits de son oncle, il étudia le droit mais également la philosophie et la rhétorique. A Leipzig, il étudia secrètement des études relatives à l'astronomie. Le 21 août 1560, une éclipse de soleil attira son attention sur les phénomènes astronomiques. Dès lors, il se mit à étudier les éphémérides de Stadius et la théorie de la sphère à l'aide de livres tels que ceux de Sacrobosco de Tractatus de Sphaera, Apiono de Cosmographia et Regiomontanus, De triangulis omnimodis. Mais sa vocation ne naîtra qu'à l'occasion d'un autre évènement : lors d'une conjonction Jupiter-Saturne que les meilleures tables astrononomiques à sa disposition avaient prévu avec une erreur de plusieurs jours, cette incertitude le choqua et il prit comme un défi à relever de l'expliquer. Cet évènement qui se produisit le 17 août 1663[1] contribua de manière décisive à sa vocation.

Notes et références

  1. La loi de la gravitation universelle - Newton, Euler et Laplace. Prosper Schroeder, page 14 (Springer - 2007) ( (ISBN 2287720820))

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Essai 4: Des études chaotiques modifier

Le jeune Tycho envisagea très tôt de poursuivre des études scientifiques à l'université de Rostock contre l'avis de son père qui le prédestinait au droit et à la diplomatie. A cette époque, une instruction de base était suffisante pour qu'un membre de la noblesse occupe un emploi public. A l'université de Leipzig, où il recevait une instruction élémentaire, il se livra, à l'insu de son gouverneur, à des études de mathématiques et d'astronomie[1] et aussi à des disciplines plus sulfureuses comme l'alchimie et l'astrologie.

L'instrument avec lequel Tycho Brahe en 1572 suivit la progression apparente de l'étoile dans la constellation de Cassiopée.

Comme les jeunes gens de noblesse de sont temps, il commença à se consacrer aux voyages. C'est ainsi qu'après Leipzig, il partit pour l'Allemagne et fréquenta entre 1565 et 1566, les universités de Wittenberg et de Rostock. Ensuite, il se rendit à Augsbourg puis à Bâle en Suisse oû il rencontra des astronomes réputés.

Durant cette période, Tycho reçoit régulièrement de l’argent pour satisfaire ses plaisirs, il en consacre la totalité à l’achat de livres et d’instruments pour satisfaire ses principaux intérêts : l'alchimie et l'astronomie[2]. S’il se procure alors quantité d’instruments pour l'étude de l'astronomie : quadrant, astrolabe… il sera le dernier des grands astronomes observant uniquement à l'œil nu. Il se mettra également à fabriquer ces propres instruments.

Anecdote assez cocasse, lors d'un duel à Wittenberg en 1566 avec un cousin étudiant, certainement à la suite d'un désaccord mathématique ou astronomique, il perdit le bout de son nez. D'autres historiens rapportent que cette mésaventure se serait produite lors d'un accident. Dès lors, il porta un nez postiche fait d'argent et d'or, ce qui lui vaudra son surnom de L'homme au nez d'or.

A la mort de son père survenue en 1571, il retourne en Scanie et hérita d'un domaine où il y installa un laboratoire. Il se remet à l'étude et découvre en 1572, une nouvelle étoile dans la constellation de Cassiopée aussi brillante que Vénus (l’étoile du berger) dont il suit la trajectoire apparente à l'aide d'un sextant et crie : « Nova ! Nova !… ». Cette révélation l'aide à s'éloigner de l'alchimie pour se consacrer particulièrement à l'astronomie. Il fit publier l'année suivante De Nova Sella, une nouvelle où il consigne ses conclusions et écrit entre autres que les novas sont des étoiles qui deviennent visibles ou plus remarquables pour les observateurs de la Terre, suite à une augmentation de leur brillance. Aujourd’hui, on appellerait celle-ci une supernova de type I. Cette découverte remit alors en question l’immuabilité des cieux et le rendit célèbre en Europe.

Bibliographie

  • La loi de la gravitation universelle - Newton, Euler et Laplace. Prosper Schroeder (Springer - 2007) ( (ISBN 2287720820))
  • Patrimoine littéraire européenanthologie en langue française. Jean-Claude Polet (De BoeK Université - 1992) ( (ISBN 2804120791))

Notes et références

  1. Œvres complètes de François Arago. François Arago, Pierre Flourens, page 186 (Gide et Baudry - 1855)
  2. Patrimoine littéraire européenanthologie en langue française. Jean-Claude Polet, page 770 (De BoeK Université - 1992) ( (ISBN 2804120791))

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Essai 5: La consécration modifier

Gravure montrant de manière allégorique l'intérieur d'Uraniborg.

En 1574, il donna plusieurs cours et conférences à l'université de Copenhague. Il était convaincu dès cette époque que l'avancement de l'astronomie serait construit grâce à de méticuleuses observations. Après un nouveau tour d'Allemagne pour rencontrer le plus grand nombre possible d'astronomes, Brahe accepta l'offre du roi Frédéric II, qui lui proposa de fonder un observatoire astronomique ainsi qu'une pension annuelle. On lui donna une petite île, Ven (ou Hveen) près de Copenhague qui appartenait à l'époque au Danemark et où il fit construise dans le courant de l'année 1576 Uraniborg (« palais d'Uranie ou Palais des Cieux », Uranie étant la muse de l’Astronomie) qui devint le plus important observatoire d'Europe. Il détenait une autorité suprême sur le domaine et percevait des revenus provenant du travail des habitants de l'île. Il fit également construire un palais dont les travaux furent financés par le roi et durèrent quatre années, de 1576 à 1580. Il s'agissait d'un édifice luxueux qui comprenait un atelier de construction d'instruments pour l'astronomie, une imprimerie destinés à publier ses travaux, un laboratoire d'alchimie.

Uraniborg devint rapidement un centre scientifique important et réputé, qui attirait les étudiants et les astronomes de toute l'Europe. Tycho Brahe était très méticuleux et conservait toutes les données de ses observations; ce qui lui permit d'établir le catalogue d'étoiles le plus complet et le plus précis de l'époque. Il était considéré par ses collègues et contemporains comme le plus exact des observateurs. Il faut noter ici que toutes ses observations furent faites avant l'invention du télescope et de la lunette. Ce fut là aussi que Tycho Brahe imagina son système du monde qui porte son nom est qui est comme une sorte de conciliation entre le système de Ptolémée et celui de Copernic[1].

En 1577, il commença ses observations et le 13 novembre de la même année, il fit la dévouverte de la comète qui fut à la base de son second ouvrage sur les mouvement[2] De Mundi atherei recentioribus Phoenomenus Progymnasmatum publié en 1587[3]. Il fit construire en 1584 un observatoire astronomique enterré qu'il appela Stjerneborg (Palais des étoiles). Celui-ci comportait des chambres souterraines dans lesquelles étaient installés des instruments et dont les toits, ou coupoles, dépassaient du sol.

Notes et références

  1. Encyclopédie, ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers. Denis Diderot, Jean Le Rond d' Alembert, tome 36, page 27 (Pellet - 1779)
  2. Astronomie. Joseph Jérôme Le Français de Lalande, page 1161 (Dessaint et Saillant, Paris - 1764)
  3. Memoires pour servir a l'histoire des hommes illustres dans la republique. Jean-Pierre Niceron, page 172 (Briasson - 1731)

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GLec Uraniborg, peut etre mis plus en évidence dans consécration ? E Bernal 4 juillet 2008 à 04:11 (CEST)Répondre

Bonjour E Bernal. Pas de problème, cette sous-section est en cours. Cependant, j'émets une réserve concernant des sources intéressantes et en français que vous avez placées en section "Liens externes". Je crois qu'il sera préférable par la suite de les déplacer vers la section "Notes et références": la section "Liens externes" étant plus sujette à des modifications de la part du "tout venant"... .GLec (d) 4 juillet 2008 à 10:13 (CEST)Répondre
Bonjour GLec. Absolument, j'ai mis ces sources françaises ici, pour avoir du contenu prés à l'emploi. Vous pouvez vous en servir comme références, la plupart de ces sources sont publics. E Bernal 4 juillet 2008 à 18:19 (CEST)Répondre

Attention! L'article "Sophia Brahé" que vous avez créé dans son état actuel risque de passer à la trappe rapidement à l'aide d'une SI. Il faut du contenu... .Émoticône GLec (d) 4 juillet 2008 à 10:58 (CEST)Répondre

Oui. Merci. E Bernal 4 juillet 2008 à 18:19 (CEST)Répondre

Aussi: Curriculum vitae of Tycho Brahe comme source ? E Bernal 5 juillet 2008 à 00:57 (CEST)Répondre

Essai 6: La fin de sa vie modifier

(En cours)

Autre portrait de Tycho Brahe

En 1588, Tycho Brahe, à la mort du roi Frédéric II, perd ses mécènes. Comme il était un piètre administrateur et plein de dureté pour les habitants de l'île dont il monopolisait les ressources, il perd le soutien du roi Christian IV ainsi que la pension que le roi précédent lui avait octroyé. En 1597, à la suite de la destruction de son domaine par ses détracteurs, il prend tous ses biens et fait équiper un bateau pour lui, sa femme, ses enfants et ses quelques disciples fidèles, puis quitte l'ile de Ven[1]. Il voyagera pendant quelques années, puis, en 1599, s'installa dans le chateau de beneteck près de Prague où il travaille en tant que mathématicien Impérial de la cour de l'empereur Rodolphe II. Il y mourra dans la ville de Prague en 1601. Ses instruments y furent conservés un long moment, mais seront finalement perdus.

Il serait mort à la suite d'un calcul ou d'une septicémie, ce qui aurait été le résultat de s'être retenu trop longtemps d'uriner pendant un trajet de plusieurs heures en carrosse avec l'empereur Rodolphe II ou un long repas. Sa mort inspira une expression tchèque : « Je ne veux pas mourir comme Tycho Brahe », prétextant une envie pressante. Il est aussi possible que Tycho Brahe ait été empoisonné selon d'autres sources. Après la mort de Tycho Brahe, Rodolphe II, acheta ses instruments pour les faire renfermer à l'hôtel de Curzt à l'abri des convoitises.

Comme la plupart des astronomes avant lui, Tycho Brahe croyait en l'astrologie. Il calcula d’ailleurs lui-même son propre thème astral : « Tycho Brahe, né le 14 décembre 1546 à 10h47 de Greenwich à Scania (Danemark). Soleil en 2°07 Capricorne, AS en 16°38 Verseau, Lune en 23°11 Vierge, MC en 15°19 Sagittaire. »

Il est enterré dans l'église de Notre-Dame de Týn, près de l'Horloge astronomique à Prague.

L'astéroïde 1677 Tycho Brahe a été nommé en son honneur, de même un cratère lunaire et un cratère martien.

Notes et références

  1. Encyclopédie méthodique. Tome III, page 488 (Panckoucke, Paris - 1788)

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Résultat modifier

Un aperçu synthétique du travail en cours (sur section "Biographie").

J'ai fait une édition premier jet de la section 1 que l'on peut retoucher, modifier ou améliorer. J'ai aussi archivé les travaux de la partie I. GLec (d) 5 juillet 2008 à 16:12 (CEST)Répondre

Archives de la partie II modifier

Correspond à la section Principaux travaux

Essai 1: plan de la section "Principaux travaux" modifier

Principaux travaux

  • Supernova
  • La grande comète de 1577
  • Les instruments
  • le modèle géo-héliocentrique

Commentaires modifier

Bonjour E Bernal. Je propose ce plan pour la section 2. Qu'en pensez-vous... .GLec (d) 5 juillet 2008 à 15:01 (CEST)Répondre

Bonjour GLec. Pour le plan de la section 2, je suis d'accord. .E Bernal 5 juillet 2008 à 19:42 (CEST)Répondre
Bonjour E Bernal. J'ai refais l'introduction de l'article en terminant par le duo Brahe-Kepler. Ainsi en troisième section, il est possible d'avoir un début de plan comme suit:
>
L'astronome
<---->
  • Tycho Brahé et Johannes Kepler
<---->
>
A voir par la suite.GLec (d) 5 juillet 2008 à 19:52 (CEST)Répondre
Oui, les autres très petites sections :

Sa famille

Les Tables Rudolphines.

Sa mort (comment il est vraiment mort)

Son œuvre littéraire.

Sa rencontre avec Kepler.

E Bernal 5 juillet 2008 à 20:31 (CEST)Répondre

Vu sous cet angle, c'est à étudier (plusieurs possibilités de plans s'offrent) mais peut-être plus tard en partie III. Pour, l'instant, il s'agit de débuter le travail de la partie II (section Principaux travaux ). GLec (d) 5 juillet 2008 à 20:59 (CEST)Répondre

Petite correction en s-section . GLec (d) 5 juillet 2008 à 22:39 (CEST)Répondre

Essai 2: Supernova modifier

La Supernova de 1572 après plus de quatre siècles prise avec le télescope à rayon X du satellite Chandra. Voir aussi [1]

SN 1572 (ou Nova de Tycho) est une supernova survenue dans la constellation de Cassiopée, et l'une des rares à avoir été visible à l'œil nu. Elle fut observée le 11 novembre 1572 par Tycho Brahe, depuis Herrevad Abbey[1][2], alors qu'elle était plus brillante que Vénus, avec une magnitude apparente de -4. À partir de mars 1574, sa luminosité était tombée en dessous du seuil de visibilité à l'œil nu.

En fait il semble que Brahe ne soit pas réellement le premier à l'avoir observée, elle aurait été vue par Wolfgang Schuler dès le 6 novembre 1572, par John Dee et son disciple Thomas Digges, puis par l'astronome italien Francesco Maurolico. Mais Brahe est bel et bien le premier à l'avoir décrite et étudiée en détail. Depuis l’antiquité le monde au-de-là de l’orbite lunaire était éternellement immuable selon un axiome aristotélicienne sur la vision du monde. D’autre contemporains disaient que l’objet se trouvait entre la Lune et la Terre.

Toutefois, dans un premier temps Tycho Brahé a fait observer que l'objet n'a pas de parallaxe diurne dans le contexte des étoiles fixes d’arrière plan. Ce qui implique qu'il était au moins plus loin que la Lune et les planètes, qui elles montrent de telles parallaxes. En outre, il a également constaté que l'objet n'a même pas modifié sa position par rapport aux étoiles fixes sur plusieurs mois, comme le font les planètes. Cela lui donna à penser que l’objet céleste n'était pas une planète, mais une étoile fixe dans le domaine stellaire au-delà de toutes les planètes.

Il a publié un petit livre, De Stella Nova (1573). Ce qui frappe est le terme "nouvelle étoile", maintenant nous la classons dans les supernovas et nous savons qu'elle se trouve à 7500 années-lumière de la Terre. Cette découverte a été décisive pour lancer la profession d'astronome.

L'apparition de la supernova de 1572 est l’un des deux ou trois événements les plus importants dans l'histoire de l'astronomie. La «nouvelle étoile» a contribué à briser les anciens modèles des cieux et d'inaugurer une révolution en astronomie. Cette découverte qui a permis de réaliser de meilleurs classifications astrométriques cataloguées (et donc la nécessité d'une plus grande précision des instruments d'observation astronomique). La Supernova de 1572 est souvent appelée "la supernova Tycho", en raison du vaste travail que Tycho Brahe a accompli.

Notes et référence


Commentaires modifier

Il serait peut-être intéressant de développer cette s-section sur la base de l'article anglais et d'étoffer à l'aide des sources... .GLec (d) 5 juillet 2008 à 21:21 (CEST)Répondre

Nous pouvons compléter la partie en fr.

avec

Devons nous réécrire ? Qu'en pensez vous. E Bernal 5 juillet 2008 à 21:33 (CEST)Répondre

Je dirais peut-être sur la base de la s-section de l'article anglais + éléments provenant de sources + éléments des parties historiques des deux articles que vous citez sans reprendre bien sûr des détails techniques qui relèvent de données du XX et XXI siècle (j'ai noté que d'autres auraient observés cet objet céleste avant lui). Peut-être pourriez-vous vous charger de l'élaboration de cette s-section. De mon coté je peux prendre en charge la s-section "La grande comète de 1577"... .GLec (d) 5 juillet 2008 à 21:52 (CEST)Répondre
D'autre part, je pense que l'article "SN 1572" en français est à étoffer sur la base de l'article anglais si on veut ajouter un lien "Article détaillé" avec cette article dans la s-section... .GLec (d) 5 juillet 2008 à 21:58 (CEST)Répondre

Voici un premier jet E Bernal 6 juillet 2008 à 00:01 (CEST)Répondre

Bonjour E Bernal. Un premier jet éditable dès maintenant. J'ai fais quelques petites retouches.GLec (d) 6 juillet 2008 à 08:11 (CEST)Répondre

Remarque

Je trouve que la section "Liens externes" est trop fournies. Il faudrait placer certaines sources en lien bleu dans la section "Notes et références" ou "Bibliographie". D'autre part, pour ce personnage historique d'importance, je ne suis pas très partisan de cautionner des liens vers l'astrologie. En effet, à cette époque on sortait à peine de l'obscurantisme et de plusieurs siècles de vision cosmogonique transmise en partie par les écrits de Ptolémée (avec ses deux volets: cosmogonie, astronomie - astrologie) et l'astrologie n'était plus vraiment une science de la divination au service du "prince" et un moyen de gagner sa vie et se faire une réputation mais plutôt une mode chez la gente savante et les gens influents de l'époque. Beaucoup de lecteurs n'ont pas forcément la culture suffisante dans ce domaine pour faire le distinguo... .GLec (d) 6 juillet 2008 à 08:33 (CEST)Répondre

Il faudrait peut-être créer un article sur le personnage historique "Wolfgang Schuler" pour ne pas laisser un lien rouge... .GLec (d) 6 juillet 2008 à 09:30 (CEST)Répondre

Finalement, comme je serais absent une partie de la semaine qui vient, j'édite et j'archive cette s-section qui est pas mal. GLec (d) 6 juillet 2008 à 11:41 (CEST)Répondre

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