Discussion:Vol United Airlines 93

Dernier commentaire : il y a 4 ans par 145.242.20.21 dans le sujet Crash
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L'avion n'a pu atteindre sa cible suite à l'intervention de personnes à bord contre le commando,

C'est la version soutenue par le film. D'autres versions sont également avancées, notamment la destruction par la chasse US. L'article devrait au moins présenter le flou actuel sur cause de la destruction de ce vol. Sinon, l'article sera soupçonné de non neutralité. --Mbzt 1 août 2006 à 18:55 (CEST)Répondre


Quelques éléments de réflexion, basées sur les faits connus :
- Au moins avant le premier impact (8 H 46), "l'affaire" est une affaire classique d'avions ne suivant pas leur route prévisionnelle et relève de la seule US Air Force. Celle-ci semble, pour le moins, ne pas avoir réagi correctement, en fonction des procédures applicables à ce genre d'incidents, fréquents, qui en porte presque jamais à conséquence. Il n'est toutefois pas certain que la centralisation des données aériennes et les procédures d'analyse de ces données en vigueur à cette époque (qui n'avaient certainement pas envisagé a priori cette éventualité), lui permettaient de prendre conscience que quatre avions avaient dévié pratiquement SIMULTANEMENT de leur route aérienne normale, ce qui aurait pu permettre au commandement aérien US de comprendre très tôt la gravité de la situation et, peut-être, de réagir correctement pendant qu'il en était encore temps, c'est à dire de faire immédiatement abattre par la chasse les quatre aéronefs.
- Au plus tôt à 8 H 46 et, selon toute probabilité, à 9 H 03 au plus tard, la procédure datant de la guerre froide, et correspondant à une attaque surprise par l'URSS, toujours en vigueur, a été déclenchée. C'est cette procédure et aucune autre qui a été utilisée à cette occasion. Dans ce type de situation, il n'en existe (ou n'en existait) probablement aucune autre. En l'absence du Président des Etats-Unis, en déplacement, c'est, conformément à la procédure, le Vice-Président Dick Cheney qui a pris le commandement des opérations. Il s'est immédiatement rendu dans l'un des abris anti-nucléaires souterrains situés sous la Maison Blanche, ainsi que l'ensemble de de son Etat-Major, qui occupait d'autres abris. Des instructions ont été données pour que le Président George W. Bush se mette "En Sureté" (Il ne jouera aucun rôle, conformément à la procédure, dans un tel cas de figure, pendant toute la durée de la crise - même s'il avait été en désaccord avec les décisions de son Vice-Président, c'est ce dernier, seul , qui aurait continué à prendre seul toutes les décisions incombant au "Commandant des opérations" ), et toutes les liaisons avec les Forces Armées ont été immédiatement activées. L'Etat-Major militaire du Pentagone en a fait, simultanément, de même, ainsi que tous les Commandements militaires et ceux de la Sécurité civile des Etats-Unis. Formellement, les choses se passèrent probablement "très bien", car cette procédure avait été testée de façon particulièrement approfondie, et faisait (et fait toujours) l'objet d'exercices en vraie grandeur, pluriannuels, très réalistes (tout comme en France) ; le Vice-Pésident, comme tous les autres personnels de la Maison Blanche et du Pentagone, de dépit de sa prise de fonction récente, devait y être parfaitement rodé.
- Juridiquement, la situation à ce moment était probablement un "Etat de crise extrême", l'un des états de "l'Etat de Guerre'', et la juridiction de "l'Etat de Paix" ne s'appliquait donc plus. En "Etat de Paix", un aéronef, civil ou militaire, ne peut initialement qu'être déclaré "suspect" (jamais "hostile"), et doit être reconnu "à vue" par un chasseur armé d'un canon ; il ne peut être déclaré "hostile" qu'après un tir de sommation du chasseur, dans le cas où l'avion intercepté n'obtempère manifestement pas aux ordres qui lui sont donnés. En "Etat de Guerre", un aéronef, civil ou militaire, peut d'emblée être déclaré "hostile", en général par un Commandant de Zone de Défense Aérienne, et doit dans ce cas être abattu, sans sommation, par tous moyens confondus à la disposition de la défense aérienne, y compris par l'emploi des moyens sol-air (La possibilité, ou non, que l'Armée utilise des missiles à tête nucléaire en défense est l'une des dispositions prévues par la procédure ; le Commandant des opérations doit d'emblée prendre position sur cette option, afin que la mise en oeuvre des têtes nucléaires, qui demande des délais, puisse être réalisée à temps ; il peut, à tout moment, changer d'option, mais il est exclu qu'il se décide seulement au moment "crutial" du tir de les utiliser ou non, ou qu'il ait à donner à ce moment là une quelconque ultime autorisation : dès lors que cette option a été validée par le commandant des opérations, il est du seul ressort du commandement des unités opérationelles mettant en oeuvre ces missiles d'utiliser ou non ceux-ci, en fonction de la situation tactique, suivant des procédures d'emploi préétablies et en grande partie automatisées (décision finale prise par des ordinateurs de tir) pour le tir de ces missiles ; le commandant des opération peut éventuellement n'être averti qu'a posteriori qu'un ou plusieur missiles à tête nucléaire ont été utilisés, le temps de réponse des ordinateurs étant très court...). En "Etat de Guerre", le rôle du Commandant des opérations est uniquement de décider du niveau de mise en œuvre des différentes dispositions préétablies prévues dans la procédure relative à cet état, en fonction de l'évolution de la situation. Dans une telle situation, il est exclu que le Commandant "improvise" des actions autres que les actions planifiées dans la procédure (risques d'interférences avec les dispositions préétablies, délais aléatoires...). Il est probable, dans le cas présent et comme la souplesse de la procédure le permet évidemment, que toutes les dispositions prévues dans le cas d'une attaque nucléaire n'ont pas été intégralement mises en œuvre (mise en condition de tir des missiles stratégiques, mise à l'abris des populations, par exemple ; la Garde Nationale était néanmoins sur place, au moins à New York, avec ses vieux blindés... Procédure oblige), bien que tous les moyens prévus aient probablement été, au minimum, "Mis en Garde", donc susceptibles d'être immédiatement activées en cas de besoin.
- Conformément à la procédure, tous les moyens de défense aériennes des USA ont intégralement été mis en œuvre opérationnellement, et tous les avions autres que les avions militaires survolant l'espace aérien des USA ont, en principe, immédiatement reçu l'ordre d'atterrir immédiatement sur l'aérodrome le plus proche. Cela a pris un certain temps, car les bombardiers soviétiques, contre lesquels cette procédure avait été établie, étaient censés mettre plusieurs heures avant d'atteindre le territoire des USA. Il n'y avait donc aucun besoin que la procédure soit faite de telle sorte que l'atterrissage des avions non militaires puisse se faire en quelques minutes. Ceci semble avoir gêné considérablement la chasse US, le ciel n'étant pas vide d'avions pendant un temps certain, ce qui a nécessité de nombreux décollages de chasseurs pour identifications "à vue" d'avions de ligne n'ayant pas été avertis, et poursuivant leur vol sans déviation, et donc classés "suspects".
- Cette procédure prévoit bien évidement, comme toutes les procédures identiques existant dans le monde, que la défense aérienne, dans ce cas de figure, se doit d'abattre tout avion "hostile" sans sommation, ou "suspect" après sommation (en principe, tir au canon à proximité de l'avion, à l'aide d'obus traçants devant être visibles du cockpit de l'avion intercepté ; tout avion ne répondant pas immédiatement au tir de sommation, par radio ou en battant des ailes, devient immédiatement "hostile"). La supposition que le Vice-Président ait "tardé" à donner cet ordre, ou que des officiers ne l'aient pas transmis est absurde : personne n'avait pour mission de donner ou de transmettre un tel ordre ; il fait bien évidemment partie la procédure. Même en "Etat de Paix", un Centre de Défense Aérienne est autorisé à abattre de sa propre initiative un avion, civil ou militaire, classé "hostile" (c'est à dire ne répondant pas aux injonctions, dès lors que celles-ci ne peuvent pas ne pas avoir été perçues pas le pilote), sans avoir à en référer au Chef de l'Etat (au Chef d'Etat-Major de l'Armée de l'air, tout au plus, et s'il est disponible...). Si la chasse américaine n'a pas abattu les vols AA11, AA77 et UA175, c'est qu'elle n'a pas été en mesure de le faire.
- Pour ce qui est du vol UA93, la chasse était à proximité de l'avion lorsque celui-ci s'est écrasé, et celui-ci devait, sans l'ombre d'un doute, avoir été classé "hostile", ayant dévié de sa trajectoire planifiée et ne répondant pas aux injonctions du sol à atterrir sans délais. (De plus, il est probable que les conversations téléphonique entre des passagers de l'avion et le sol ont été écoutées en temps réel par la NSA, qui en a les moyens). Il devait donc, conformément à la procédure, sans sommation, être attaqué avec des missiles. La supposition que "les terroristes ont provoqué le crash pour empêcher la prise de contrôle par les passagers" avancée par la commission d'enquête est, par ailleurs, peu vraisemblable : on voit mal pourquoi les terroristes n'auraient pas tenté, coûte que coûte, jusqu'au bout de remplir leur "mission" probable, à savoir s'écraser sur la Maison Blanche. Dans leur optique, ils n'avaient rien à perdre mais au contraire, tout à gagner, à tenter de le faire, même si, l'avion ayant eu un retard au décollage de 41 minutes, les terroristes savaient certainement dès leur décollage qu'ils menaient leur "mission" en "mode dégradé", car ils ne pouvaient plus espérer que le Président Bush (ou le Vice-Président, les terroristes devant savoir qu'en l'absence du Président, le Vice-Président se trouvait nécesssairemet à la Maison Blanche, pour des raisons de "Sécurité Nationale"), qui était censé se trouver à la Maison Blanche, n'aurait pas le temps de se mettre à l'abri (tout comme en France, en l'absence du Président et du Premier Ministre, c'est le Président du Sénat (actuellement, Christian Poncelet), qui doit être en mesure de prendre, à tout moment, immédiatement, le "Commandement des opérations" si nous nous trouvions dans un état quelconque de "l'Etat de Guerre"). Néanmoins, les terroristes n'avaient aucun contact avec un quelconque centre de commandement susceptible de leur donner des informations en temps réel sur la situation des autres avions, et n'avaient d'autre choix que de mener leur action en fonction du planning qui leur avait été communiqué, quelque temps auparavent, pour cette opération.
- Le témoignage téléphonique de 9 H 58 du passager se trouvant dans les toilettes, dernière communication en provenance de l'avion, "qui rapporta une explosion, aperçu de la fumée blanche et signala que l'avion était en train de descendre" laisse penser qu'au moins un missile fut tiré en direction de l'avion, et que la charge militaire de ce missile explosa normalement, à proximité de l'avion. Le fait que l'un des moteurs ait été retrouvé à 600 environ de l'impact principal laisse penser que le missile air-air utilisé était à guidage infra-rouge (et non à guidage électromagnétique ou à système de guidage à radar actif), le missile tiré, de type "Fire and Forget", s'étant dirigé sur la chaleur dégagée par le jet principal de l'un des réacteurs de l'avion, et ayant explosé à proximité de celui-ci, voire en impact sur ce moteur ; s'il en est bien ainsi, ceci devait être parfaitement visible lors de l'expertise des débrits de l'avion, et en particulier lors de l'expertise de l'un de ses réacteurs. Très souvent, la procédure de destruction d'un aéronef par un avion de chasse prévoit l'utilisation de deux missiles, le premier à guidage infra-rouge, le second à guidage électromagnétique ou à système de guidage à radar actif, tirés à quelques secondes d'intervalle ; le second se dirige normalement en direction du fuselage de l'avion hostile, et explose, soit en impact, soit à proximité de celui-ci. Si un second missile fut tiré, et s'il atteint sa cible, le passager réfugié dans les toilettes fut certainement tué sur le coup par l'explosion de la charge du second missile, ce qui expliquerait qu'il n'ait pas continué à transmettre des informations pendant la chutte de l'appareil, qui dura plusieurs minutes. Si les chasseurs utilisés étaient bien de type F16 "Falcon", le premier missile tiré fut, selon toute probabilité, de type AIM-9 "Sidewinder" à guidage infra-rouge, et le second, normalement, de type AIM-120 AMRAAM "Slammer" à système de guidage à radar actif, lui aussi de type "Fire and Forget" (l'utilisation d'un missile de type AIM-7 "Sparrow", prédécesseur de l'AIM-120 AMRAAM "Slammer", surtout en situation "d'Etat de Guerre", compte tenu de la vétusté de ce missile, est peu probable, sauf si le chasseur ayant effectué les tirs se trouvait en exercice quand le pilote reçut l'ordre d'intercepter et d'abattre le Vol UA93). En l'état actuel des faits connus, on ne peut savoir si un second missile fut effectivement tiré et, si oui, s'il atteint sa cible, bien que cette hypothèse soit relativement probable. Dans l'hypothèse où l'avion ne se serait pas écrasé par suite d'un tir de la chasse US, il est certain qu'il l'aurait été, de cette façon, quelques minutes plus tard.
- En aucun cas, cette analyse des faits connus ne remet au cause, de quelque façon que ce soit, la seule responsabilité d'AL-QAÏDA dans l'organisation des attentats du 11 septembre 2001.
- Il est rare qu'une armée, en temps de paix, reconnaisse avoir abattu un avion civil, volontairement ou par erreur. Le cas du 747 coréen abattu par la chasse russe, qui l'avait peut-être confondu avec un RB47 (ou un RC 135) de reconnaissance électronique US qui volait à proximité et qui enregistrait peut-être les allumages radar que provoquait le passage du 747 au dessus de cette zone ultra-sensible au point de vue militaire, au dessus du Kamtchatka donc, vers la fin des années quatre-vingt, est une exception. Un autre cas est celui d'un avion civil abattu par erreur par l'US Navy, pendant la Guerre du Golfe si je me souviens bien, ou plus tard. (Un jour, un chasseur américain manqua de peu de percuter un Concorde d'Air France sur la ligne Paris-New York, au dessus de l'Atlantique, alors que le Concorde, "joué hostile", volait encore à très haute altitude, à plus de Mach 2, en direction de New York, lors d'un exercice d'interception de l'US Air Force "pas très légal". Les deux avions se croisèrent à Mach 4 en vitesse relative, à distance "létale". Il faut reconnaître que ce genre d'exercice est très difficile à monter, et qu'il coute très cher. Si le chasseur avait effectivement percuté le Concorde, aurait-on jamais connu les causes réelles de cette catastrophe aérienne, même si des langues de pilotes se seraient sans doute alors déliées ? Je ne sais pas si d'autres Armées de l'air se sont amusées à ce genre d'accrobatie avec le Concorde, acrobaties que la plupart des compagnies aériennes apprécient en général fort peu...). Par exemple, l'Armée française n'a jamais reconnu avoir abattu par erreur, au dessus de la Méditerranée, non loin du polygone de tir anti-aérien de l'Ile du Levant (au moyen d'un missile mer-air MASURCA de la Marine), une Caravelle Ajaccio-Nice (en retard sur son horaire, l'absence d'avion dans le ciel au moment du tir n'ayant pas été correctement vérifiée, celle-ci se serait trouvée un instant en alignement radar avec l'engin cible Nord CT 20 utilisé pour cet exercice ; le radar de poursuite, calé auparavent sur l'engin cible, se serait, à partir de cet instant, calé sur la Caravelle, dirigeant le missile sur celle-ci) au milieu des années soixante (fait possible, mais actuellement invérifiable).
Jrl133 (d) 4 mai 2008 à 02:20 (CEST)Répondre


Mystère-Falcon

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Six témoins ont rapporté aux médias locaux avoir vu un petit bimoteur, un Mystère-Falcon

Peut-être un simple problème de rédaction, mais les Mystère-Falcon sont des bi-réacteurs.--Mbzt (d) 13 décembre 2007 à 15:54 (CET)Répondre

Pas de source et l'article d':en n'en parle pas. Barraki Retiens ton souffle! 13 décembre 2007 à 16:14 (CET)Répondre


Les témoins ont-il vu un "Mystère-Falcon" ou un "F16 Falcon" ? Là est le "Mystère"... A moins que ça n'ait été un "Mirage" !
POST SCRIPTUM : On ne peut qu'être émerveillé par les connaissances des paysans américains en matière d'aéronautique, qui sont proprement stupéfiantes, les six témoins ayant tous été capables de préciser que l'appareil qu'ils avaient vu était un Mystère-Falcon ; pour ma part, je suis incapable de distinguer en vol un Mystère-Falcon d'un Cessna Citation" ou d'un Gulfstream, également très répandus aux Etats-Unis ; il est vrai que je ne travaille dans l'industrie aérospatiale que depuis trente-cinq ans ; néanmoins, le fait qu'ils aient parlé d'un "bimoteur" et non d'un "biréacteur" montre que leurs connaissances en matière d'aéronautique civile ne sont peut-être pas aussi grandes qu'il n'y parait au premier abord ; peut-être n'ont-ils pas tout retenu des explications qu'on leur a peut-être donné peu après les interviews qu’ils avaient accordé aux médias locaux. D'ailleurs, on peut se demander ce que faisait encore ce Falcon dans cette galère, à cet endroit, à cet instant. Par contre, tous connaissaient bien évidemment parfaitement le Falcon, qu'ils ont ingurgité jusqu'à indigestion depuis la Guerre du Golfe et même après : tout enfant américain, de plus de trois ans et normalement constitué, sait reconnaître, au premier coup d'œil, un Falcon d'un Fulcrum ; il serait d'ailleurs intéressant de visionner l'intégralité des interviews que les témoins ont donné juste après le crash, pour noter les termes exacts qu'ils ont employé, à ce moment là, pour relater ce qu'ils avaient vu, à moins que ces enregistrements n'aient été égarés : car, pour ma part, quand je vois un Falcon, je dis : "C'est un Falcon", et non pas : "C'est un Falcon".
Jrl133 (d) 6 mai 2008 à 03:48 (CEST)Répondre


Tir ukrainien sur avion russe fin 2001

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Un Tupolev Tu-154 de la compagnie russe Sibir, reliait Tel Aviv à Novossibirsk à abattu par un SAM ukrainien lors d'exercice le 4 octobre 2001; Après enquéte, l'Ukraine à bien reconnut les faits L'amateur d'aéroplanes (d) 4 mai 2008 à 19:32 (CEST)Répondre

Autre appareil abattu : Vol 800 TWA ?

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Encore de nombreuses incertitudes sur les causes réelles de l'explosion de cet appareil.--Mbzt (d) 4 mai 2008 à 20:48 (CEST)Répondre

Liens qui n'aboutissent plus

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Je trouve en référence de Heure de la chute>Les témoignages locaux recueillis par la presse, deux liens qui n'aboutissent plus* ([1] et news/local/2001/11/15/SHOT 15c.htm). Je les remplace donc par deux autres qui aboutissent.Les voici avec les extraits concernés (pour qu'il en reste une trace...):

[2] (Pittsburgh Post-Gazette du 13 Septembre 2001):

"Workers at Indian Lake Marina said that they saw a cloud of confetti-like debris descend on the lake and nearby farms minutes after hearing the explosion that signaled the crash at 10:06 a.m. Tuesday."


[3](London daily mirror du 12 Septembre 2002):

"Lee Purbaugh, 32, was the only person to see the last seconds of Flight 93 as it came down on former strip-mining land at precisely 10.06am - and he also saw the white jet." et "UA93 was identified as a hijack at 9.16am. At 9.35am three F-16s were ordered to "protect the White House at all costs" when it turned towards the capital. At 10.06am it crashed at Shanksville, less than 10mins flying time from Washington"

--Blogbreather (d) 5 mai 2008 à 15:54 (CEST)Répondre

*du moins avec mon ordinateur...

"dispersion des débris"

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Je lis dans ce chapitre que "deux ensembles de débris situés au sud de l'Indian Lake et à New Baltimore, à 3 et 12 km de l'impact, se trouvent alignés avec un moteur (unique pièce de taille notable retrouvée, à 600 m de l'impact). L'impact ne se trouve pas sur cet alignement, signalant une dérive de l'avion suite à la séparation d'avec ce moteur et ces débris".

Tout cela est cohérent avec cette carte [4] (qui vient de l'excellent 911Research), à une nuance près: la distance crash-engine étant faible devant les autres, on peut dire qu'il y a en gros alignement, et s'il y a une chose qui a pu "dériver", ça n'a pas été l'"avion", mais plutôt les nuages de débris au cours de leur descente. Je corrige donc la formulation dans ce sens. --Blogbreather (d) 11 mai 2008 à 11:02 (CEST)Répondre

On peut remarquer aussi cette étrangeté que les débris se sont portés en avant dans le sens de marche supposé de l'avion. Ce qui a pu venir du sens du vent ce jour-là (à vérifier).--Blogbreather (d) 11 mai 2008 à 11:25 (CEST)Répondre

Tout ça ressemble à un travail inédit, une analyse personnelle fondée sur une image trouvé sur un site perso, il faut une source pertinente pour ce genre d'avis. –Akeron (d) 19 mai 2008 à 13:45 (CEST)Répondre
Je relance le sujet sur ce point: il s'agit d'un travail inédit (et diffusé sur un site conspirationniste), mais cette information se trouve néanmoins dans l'article. Il est clair que la source utilisée est une source "peu fiable" selon la définition acceptée sur Wikipédia. Cet extrait est donc à mon sens à retirer. --Monstroglandul (discuter) 30 septembre 2019 à 11:23 (CEST)Répondre
Notification Monstroglandul : En effet. Vous pouvez le retirez si vous le désirez. L'amateur d'aéroplanes (discuter) 30 septembre 2019 à 20:24 (CEST)Répondre

Réseau Verizon Airphone

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Les passagers aurait pu téléphoner avec leur portable grâce au réseau Verizon Airphone. La description donnée du réseau Airphone (http://en.wikipedia.org/wiki/Airfone) laisse penser qu'en 2001, il s'agit plutot d'un telephone "classique". Impossible donc de discuter dans les toilettes.

Liens externes

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Le lien vers la liste des passagers ne fait mention que de trente-trois passagers et sept membres d'équipage, en omettant de citer que quatre autres passagers étaient présents à bord de cet appareil : les quatre terroristes responsables de l'attentat. Faut-il conserver ce lien ?

Mise en page des citations

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La mise en page des citations est confuse, on a l'impression qu'elle se mettent n'importe où; on ne sait pas où est le texte associé, peut-être faudrait-il mettre toutes les citations à gauche. --Io Herodotus (discuter) 13 septembre 2018 à 08:29 (CEST)Répondre

Il y a à peu près deux ans une IP s'est mise en tête d'encadrer toutes les citations dans l'article consacré au Vol 93 et aux autres vols détorunés le 11 septembre 2001. Je n'ai pas eu le courage de réagir immédiatement à l'époque et de révoquer massivement tout ça. En fait j'aurais dû parce que résultat est tout simplement désastreux. --Lebob (discuter) 13 septembre 2018 à 10:59 (CEST)Répondre
Est-ce mieux comme ça? --Io Herodotus (discuter) 13 septembre 2018 à 12:07 (CEST)Répondre
C'est déjà plus lisble c'est donc un progrès. Il reste à se demander si cette accumulation de citations est réellement intéressante pour la lecture de l'article et la compréhension des événements. --Lebob (discuter) 13 septembre 2018 à 12:32 (CEST)Répondre
Personnellement, si le texte est densifié, l'utilisation de {{Citation bloc}} me semble plus agréable. — Like tears in rain {-_-} 13 septembre 2018 à 14:06 (CEST)Répondre

Crash

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Autant certains anglicismes sont des fautes (comme décade au lieu de décennie, digital quand il ne s'agit pas de doigts ou à éviter comme se crasher, autant crash est un mot précis et utile de la langue française. Même si d'autres mots plus ou moins synonymes (accident aérien, écrasement d'avion, atterrissage très brutal) peuvent être employés en fonction du contexte, c'est le droit et le choix du rédacteur quand il l'est. En aucune manière le fait que ce soit un mot emprunté à l'anglais ne justifie un remplacement systématique, pas plus qu'il ne faudrait remplacer addiction par assuétude ! --Df (discuter) 23 janvier 2020 à 11:54‎ (CEST)Répondre


Quelqu'un pourrait corriger le fait que le cadre qui devrait suivre "Ed Ballinger envoya au vol 93 un dernier message ACARS à 10 h 10 :" n'est pas au bon endroit ? (il apparait trop loin...) — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 145.242.20.21 (discuter), le 11 septembre 2020 à 10:56 (CEST)Répondre

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