Discussion utilisateur:Airelle~frwiki/notafish

Dernier commentaire : il y a 17 ans par Notafish dans le sujet En passant

Guilt is a wasted emotion
— Paul, via Cécile —
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SCANDALEUX ! IN-ADMIN-SSIBLE !

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[Discussion déplacée du bistro]

Je remplis toutes les conditions sauf une. Celle de Redmond. Je trouve pathétique que l'on puisse ostraciser de cette façon une partie majoritaire de la population informatisée. Je me plaindrai. notafish }<';> 14 jan 2005 à 15:30 (CET)

RL : Nous sommes en démocratie, très cher : vous êtes libre de m'envoyer des fichiers dans un format propriétaire. Simplement, votre candidature risque de ne pas retenir mon attention. Ou, plus exactement, elle retiendra mon attention de la façon suivante : « voilà un énergumène qui ignore ce qu'est le respect d'autrui (et l'interopérabilité) ». Remarquez que je peux lire de tels fichiers — j'utilise OpenOffice.org —, mais je ne le souhaite pas. Question de principe.

Très cher, très cher... Je rêve. J'ai bien dit que je remplissais TOUTES les conditions, y compris celle de "mignonne" donc (oui, bon, au moins sur le genre, sinon sur le fond). Je serai donc très chèrE, pour vous servir ;-). notafish }<';> 15 jan 2005 à 12:36 (CET)

RL : Madame, je vous prie de bien vouloir m'excuser. J'ignorais que vous fissiez partie de la gent féminine et rien dans vos écrits ne m'a permis de le deviner, d'autant qu'il m'a semblé que vous disiez parfois n'importe quoi, caractéristique évidemment masculine. A posteriori, je m'aperçois que vos propos ont toujours été agréables, sensés, pertinents, en un mot : remarquables ! Comment ai-je été à ce point stupide ? Sans doute votre beauté m'aura-t-elle aveuglé. Veuillez me pardonner : je suis infini dans ma bêtise, borné dans ma nature ; en un mot, je ne suis qu'un homme. Votre serviteur, Madame.

Je suppose que c'est le titre et le format à utiliser, puisqu'il s'agit là de ma première bafouille, non ?

RL : ça peut aller. ;) Pour vous remercier, je n'ai pas mis de majuscule à votre nom.

Je réitère ici mon acceptation de vos excuses.

RL : je vous en sais gré.

Pour la photo, bien sûr, voyez donc par ici, il y en a plusieurs qui me ressemblent ;-). Je suis en revanche fort étonnée que compte tenu de vos accointances avec notre envoyé spécial chez Gali et Pas de vue, images d'un monde, vous ne soyez pas plus au courant du fait que je suis déjà casée.

RL : apparemment, il n'a pas estimé que ça me concernait, ce qui est le cas. Hélas !

Je tenais cependant par la présente à vous remercier de vos compliments qui me touchent et que je prendrai au premier degré car je suis une éternelle optimiste. Venant d'une personne dont la prose est si brillante, cet éloge de mes propos me va droit au coeur. ;-) notafish }<';> 16 jan 2005 à 01:39 (CET)

RL : madame, ma prose vous doit son éclat et demeure bien pâle face à votre lumineuse présence.

Merci pour cela. notafish }<';> 26 jan 2005 à 19:46 (CET)


RL : Madame, je vous prie de bien vouloir me pardonner mes frasques, mais, lorsque j'ai voulu vous écrire, lorsque j'ai vu quel odieux personnage avait noirci votre page presque immaculée, je n'ai pu résister ! Oui, je sais : qu'il est puéril d'ainsi vouloir se venger des misères qu'autrui me fait subir. Que voulez-vous, je découvre que Wikipédia héberge des êtres que je pensais moins réceptif à l'informatique, des êtres fragiles et attachants, dont les hommes se gaussent si souvent parce qu'ils ont honte de ne point les encenser. Cela perturbe quelque peu mon équilibre endocrinien et vous savez combien le cerveau des hommes n'est pas toujours la merveille qu'on imagine.

Monsieur, je dois avouer que tout non-poisson que je sois, je navigue ici en eaux troubles et ne comprends rien à vos excuses. A vrai dire, je suis en train de devenir chèvre, un comble pour un dauphin. Je vous en supplie, éclairez ma lanterne, qui est donc l'odieux personnage auquel vous faites référence ? Serait-ce notre ami commun tueur de petits-déjeuner ? Ou quelque autre personne dont j'ignore tout ? Êtes-vous Goufifi ? Je suis désemparée et en appelle à votre sagacité légendaire, la mienne laisse ce soir à désirer. notafish }<';> 26 jan 2005 à 19:46 (CET)


Quel honneur

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RL : Oui, j'ai bien vu que vous conserviez parmi vos trésors, quelques mots de votre serviteur.
Ah ! Madame, vous ne pouvez pas savoir le mal que vous auriez pu faire : j'ai failli me pâmer, avoir une attaque même ! Bien sûr, j'aurais pu n'y voir qu'un trait d'humour, un relent d'ironie, mais je vous connais trop bien pour douter de votre bonté et pour imaginer que le mal puisse se cacher en vous. Alors, madame, que vous dire ? J'aurais aimé vous dédier un acrostiche, déclamer au monde entier combien vous êtes merveilleuse, réinventer Wikipédia ! Mais ma gorge est trop sèche et mes yeux trop humides... Aussi, je n'ai trouvé qu'un maigre mot : merci.

Me voilà à mon tour prise de diarrhée wikiale, ce va et vient entre nos pages de discussion me donne le tournis. Je me trouve cependant à sec (et cela, vous en conviendrez pourrait être fatal au mammifère marin que je suis) et ne sais que répondre à tant de compliments. Je pourrais prosaïquement répondre "de rien" à votre merci qui me va droit au cœur. Sachez que j'aime les mots et que nos joutes verbales me réjouissent. Quant à ma prose, ou ma poésie, vous la trouverez en un autre lieu aux paysages plus propices. Je vous recommande la "page au hasard", car cette antre poétique est truffée de trésors plus précieux les uns que les autres. notafish }<';> 26 jan 2005 à 20:30 (CET)

RL : je m'en voudrais que vous eussiez le tournis. Peut-être vais-je l'avoir en visitant le site que vous me conseillez. Si je vous y retrouve parmi tous les trésors qu'il semble receler, ce vertige ne sera pour moi qu'un réconfort.

Mauvais jour

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Et voilà que vous trollez et que le jour devient plus gai :). Merci. notafish }<';> 13 fev 2005 à 00:35 (CET)

+---------------+
|  ATTENTION !  |
|  VOUS ENTREZ  |
| DANS UNE ZONE |
|  DE SOURIRE   |
|   PROTEGEE    |
+---------------+
      |  |    
      |  |    
    .\|.||/..
RL: comment ça, je trolle ? J'ai dû louper un épisode. :) Si le jour devient plus gai, cela n'est dû qu'à votre présence, très chère et j'aimerais que ce jour fût sans fin...

Ah pardon, j'oublie toujours que vous prétendez trop souvent oublier les historiques qui vous trahissent plus vite que votre ombre (ici un clin d'oeil complice). Je regrette fort la suppression rapide de votre bafouille sur les trolls et surtout de sa mention de copyright qui valait son pesant de cacahuètes au chocolat. Merci encore pour le rire et pour vos incessantes tentatives de déméler des quiproquos tenaces (voir plus haut). Je souris et c'est à vous que je le dois. notafish }<';> 13 fev 2005 à 20:38 (CET)

RL: palsembleu, je suis découvert ! :) Vous me voyez flatté que mon commentaire vous ait plu : nous sommes au moins deux qui nous contentons de joies simples... Quant à mes tentatives de médiation, j'essaie de faire en sorte qu'elles soient en nombre supérieur à mes trolls ;). Toujours charmé par vos visites, votre fervent admirateur demeure, Madame, votre humble serviteur.

Et zut...

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Et moi qui voulais partager ceci avec vous, voilà que vous partez en vacances, sans même me prévenir. Ne restez pas trop loin trop longtemps. Je ne sais si vous parlez la langue de Shakespeare, mais l'article sus-cité est une perle. Voir ici pour plus d'explications notafish }<';> 15 fev 2005 à 20:43 (CET)

RL : bien que je manie mal la langue de Shakespeare, suivre votre fanal sera un vrai plaisir.

Juste envie de...

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...dire bonjour, remercier votre alter ego de ses mots gentils, vous confirmer que mes jambes sont on ne peut plus banales, vous dire que je viens de finir un recueil de nouvelles fort agréable par Tonino Benacquista (Tout à l'ego), qu'il neige à Paris mais que ça ne tient pas, soumettre à votre œil critique un truc, pour lequel j'aurais besoin de votre adresse email, que vous pouvez m'envoyer si vous le souhaitez à delphine (at) notafish (point) com, parce que j'ai envie de me remettre à écrire. Voilà, en passant. notafish }<';> 3 mar 2005 à 17:15 (CET)

RL : juste envie d'exprimer la joie que votre retour m'apporte, de vous dire combien votre prose ensoleille ma triste journée d'hiver — la neige, hélas !, a fondu (peut-être en vous voyant...) —, de vous dire que je pourrais devenir jaloux de mon alter ego, de vous dire que vos jambes sont sûrement parfaites si elles vous permettent de marcher, de vous dire que je viens de relire avec autant de plaisir Le Prophète de Khalil Gibran, de vous dire que mon adel figure dans Wikipedia (en tout cas, notre faucheur a su la trouver ! ;) Pour le reste, je vous laisse imaginer ce que je pourrais encore vous dire mais que je n'ose coucher sur cette page... ;)

Voyons un peu si je sais suivre le Fil d'Ariane. Mie Hendaye

Me, myself and I

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Titre=Indice n°1. Je ne vous en dis pas plus. Hmm. Dois-je conclure de votre silence que l'expérience filaire n'a pas été concluante ? Peu importe, je continue mon usage de mots, histoire (encore une fois) de vous remercier pour vos interventions au zinc qui sont autant de flocons légers soulevés par une brise d'hiver courant sur les rayons pâles d'un ciel gris, bas et lourd. L'atmosphère dans ces lieux devient presque... puante, même le maux me fait mal. On ose parler des t.o.n.s.i.r.i.s.e.s en usant de paroles diffamatoires grâce à des botanistes épris de flore et al., on parle de poursuites rocambolesques devant les justices de France et de Navarre, de bloc d'âge divers et voilà que tel La Fontaine vous vous faites tortue, courrez plus vite et n'arrivez jamais. Rien ne sert de courir, il faut partir à point. Je ne dis rien, je n'ai pas votre verve et votre imagination, mais soyez assuré que celles-ci me réjouissent encore en ces jours où la fatigue s'attarde en vérole mal guérie. Bonne nuit. Mie Hendaye

RL : Ariane, ma sœur Ariane, n'as-tu rien vu venir ? Non, je n'ai vu que le ciel qui rougeoit et la neige qui blanchoit. D'avoir suivi votre fil, sans à-coup, m'a rappelé l'indicible plaisir avec lequel je vous ai donné un coup... de fil. Ah ! Chère Mie, longtemps je conserverai le souvenir de votre voix, la chaleur de votre accueil et la finesse de votre esprit ! Hélas, comme vous le soulignez, force est de constater qu'il n'en est pas toujours ainsi sur des lieux plus fréquentés. Combien j'aimerais que vos commentaires, qui rejoignent mes pensées, fussent dénués de vérité ! Faisons fi de ces mauvaises langues, madame, ignorons ces esprits chagrins et persévérons dans notre lutte. Que ce soit une dure lutte ne me fait pas peur ; comment le pourrait-elle, puisque vous en êtes l'instigatrice ? Que ces quelques mots, qui ne sont que l'ombre de ma flamme, vous apportent un peu d'énergie et contribuent à votre rétablissement. Un seul hêtre vous manque et tout est des peupliers...

Ah ben ça alors, j'étais sûre d'avoir laissé un message ici, qui disait en substance ceci... "Myrtille Toubo a encore frappé.". Faut croire que non. Suivez donc le fil d'Ariane. ;-)

RL : encore ! Pfft ! Comme si j'avais que ça à faire ! Et puis, c'est sûrement du fil à retordre ! ;-)

Zut de zut de zut

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J'ai raté à l'époque le cacaprout népalais, que j'ai retrouvé je ne sais comment (les méandres de Wikipédia sont parfois dignes du labyrinthe de Dédale). Ceci dit, du coup, je retombe sur votre page et me paie (vous excuserez mon expression triviale) une tranche de rire grandiose. Étonnant que la même jeunesse qui compte en tout et pour tout moins de 250 contributions puisse s'énorgueillir de manier avec adresse la langue de Molière sans en saisir les nuances. Quant à l'humour, nous ne devons, lui et moi, pas avoir le même. J'aime assez l'idée que certaines personnes, aux ailes du nez encore laiteuses, puissent croire encore que la science est infuse, alors qu'elle n'est pour nous, vieux de la vieille, (tiens d'ailleurs, d'où vient cette expression ?) que confuse. Bref. J'en profite pour vous demander de vos nouvelles, car ayant raté l'épisode népalais, je me demandais si vous n'aviez point déserté les lieux, qui me sembleraient alors bien ternes. Myrtille Hendaye.

RL : Très Chère,
Quand bien même pourrais-je invoquer l'atmosphère de plus en plus sinistre, la propension malsaine qu'ont certains d'agonir autrui, une désillusion et un désintéressement croissants ou tant d'autres raisons pour justifier ma relative désaffection du moment, vous savez qu'il n'en est qu'une de fondée : votre absence rend cette communauté si fade ! Mon fonds de sympathie dût-il en souffrir ;-), force m'est de reconnaître que je ne trouve personne capable d'illuminer mes journées comme vous le faites, grâce à votre finesse, votre humour, votre intelligence.
Qu'importe alors l'intermède himalayen, fût-il népalais (donc beau), même si, comme vous, j'ai apprécié le satisfecit auto-décerné, d'autant plus délectable qu'il s'accompagne de phrases pour le moins confuses ; mais, vous l'avez si joliment dit, « confus » rime bien avec « infus » !
Ainsi, il peut se trouver un érudit freluquet à la rhétorique balbutiante pour me faire sourire, pour peu qu'il s'essaie à l'éristique, mais comment cette distraction pourrait-elle compenser une absence qui me peine tant, celle d'un être plein de grâce, qui toujours me charme et jamais ne me lasse. Cela faisait si longtemps que je n'avais point de vos nouvelles ! Je craignais que vous fussiez contrariée et n'osais vous déranger. Une fois de plus, votre douce présence a ensoleillé ma journée ; grâce à vous, très Chère, ce jour restera dans mon cœur comme un doux moment de bonheur et longtemps je me souviendrai de la joie de vous avoir retrouvée.

Que de soleil, que de soleil :). Vous trouverez je pense l'anecdote comique, la jeunesse en question, que je croise sur d'autres canaux, m'a prise en affection. Un comble. Je reste courtoise, mais comme le dit le proverbe (où est-ce une phrase d'Obélix ?) Y'a des baffes qui se perdent. Bref. J'ai mis en place une nouveauté sur ma page utilisateur, dont j'espère que vous l'alimenterez de phrases drôles, sérieuses, sincères et différentes, histoire de lui donner un peu de vie. C'est une idée que j'avais mise en pratique il y a longtemps, par email d'ailleurs, et qui avait connu son heure de gloire. Voyons si je suis aussi assidue ici que je l'étais ailleurs. Pour plus d'informations, je vous prie de bien vouloir consulter le disclaimer. A très bientôt, Mie Hendaye

RL : pour les baffes, vous avez mon assentiment. Toutefois, mon souci d'équité m'incite à préciser que vous n'avez, que je sache, aucun grief à lui faire personnellement ; aussi, ne lui en donnez pas plus que ce qu'il mérite... ;-) Si je vous disais qu'il fut un temps où j'envoyais la « citation du jour » à mes amis... Que de souvenirs tout à coup ! Et quel regret que vous n'en fissiez pas partie...

Dicton du jour

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Grandiose. Je vous remercie de ces dictons cétacés qui ont illuminé ma journée. Vous l'aurez peut-être compris en lisant le dicton du jour, j'avais besoin de ça :). Je les distillerai au gré des vagues, euh, de mes humeurs. Mie

RL : heureux que cela vous plaise. Je me suis pris au jeu et en ai inventé une centaine : voulez-vous que je les ajoute ?

Allons-y pour le souk !!! Vu en plus l'énorme troll qui s'annonce et à qui j'ai osé donné à manger. On va rigoler :) Mie

RL : en fait, c'est plutôt triste : vous avez chaud (ça, ce n'est pas forcément une mauvaise chose ! Quoique j'ai cru comprendre que vous préfériez le froid... ;-), je me retrouve ridicule et à moitié pendu ; pour couronner le tout, vous êtes si loin : quelle épouvantable journée !
PS : ne croyez pas que j'aie oublié ou confondu le patronyme de Mie, mais je préfère Mie Toubo, d'une part parce que Mlle Toubo ne semble pas dépourvue de charme(s), d'autre part, parce que je crois que vous êtes un peu toutes les deux... ;-)

Chienkiinspire...

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...ou un truc du genre. Je ne sais plus. Ah très cher RL, comme votre scène de ménage m'a fait rire. J'aurais, cependant, dû réfréner mon envie de vous répondre, qui, d'une part n'était ni rimante, ni si drôle et qui de plus a empêché nos fauteurs-de-trouble habituels de faire un quelconque commentaire (j'ai la faiblesse de croire que mon statut, oui, qui est surfait, ce qui donne aux propos du concombre masqué une légitimité oui, qui fait peur). Je suis déçue du manque de réaction de nos tristes sires. Mie Hendaye

RL : nous sommes au moins deux à avoir ri et j'aurais tant aimé que ce fût ensemble ! La vie n'est-elle pas digne du théâtre, avec ses scènes de ménage, certes, mais aussi ses actes d'amour ! Je partage votre avis sur le côté prématuré de votre intervention : j'aurais bien voulu lire les commentaires des sinistres... ;-). Oui, qui de nous deux n'aurais pas aimé ?
PS : aviez-vous vu sur le Bistro (horreur ! ;-) le poème de notre concombre intitulé « Wiki ? Oui, papa ! » ? Aviez-vous lu mon article sur la grossine ? Et celui sur Jacob de Laffont ?

La grossine, oui, je m'en souviens, les autres ne me disent rien. J'essaie dans la mesure du possible de ne passer au bistrot que lorsque cela est nécessaire (ie. lorsque j'ai l'impression de ne plus rien savoir des ragots). J'ai donc certainement raté ces choses là. J'espère que vous ne m'en voudrez pas. Le hasard par ailleurs fait extrêmement bien les choses, il se trouve que je suis à Francfort et vous me parlez allemand. Pile dans le ton. :-) Mie Hendaye.

RL : j'ai inventé une centaine de dictons cétacés : voulez-vous que je les ajoute ? Voici le poème Wiki de notre ami le concombre maqué et mon Jacob de Laffont. Saluez les saucisses de ma part : vous pourriez faire un saut par chez moi pour regagner vos pénates, non ? ;-)

Tsk tsk

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"Si je suis encore actif sur Wikipédia". Pfffft. Bon...je reconnais que mon silence a pu vous déprimer, mais de là à penser, pour des histoires d'endives ou de chicons, de Château de Cul-de-Jatte et autres idioties, que vous pourriez quitter Wikipédia... c'est dans ces moments-là que nous avons le plus besoin de vous. Non mais. J'ai des choses à vous raconter, mais n'ai pas encore trouvé le courage de le faire. Je le rassemble, je le rassemble. Je pense à vous et vous embrasse. Mie 10 jun 2005 à 00:28 (CEST)

RL : comment voulez-vous que je ne veuille pas revenir après une telle invitation ? Mon impatience à vous lire n'a d'égal que le plaisir que j'ai eu à le faire il y a... il y a... diantre ! je crois bien que c'était au cours d'une autre vie ! Cela me semble si loin ! Pourtant, mon souvenir est si vivace et vos mots vibrent encore dans mes veines ! Comment pourrais-je oublier vos sérieuses espiègleries, vos délicieux délires... Ah non ! ça, c'est moi ! :) Vous voyez, je ne sais plus où j'en suis ! Ah ! Une vie sans vous vaut-elle la peine d'être vécue ? J'ai préparé une petite animation pour là où vous savez... Dites-moi quand nous pouvons nous y donner rendez-vous ;-). Biz...

C'est quand vous voulez. Je rôde dans les parages un peu tous les jours, et j'ai besoin d'un peu d'animation. Mie Hendaye

RL : houlà ! Où est passée votre alacrité naturelle ? Je n'aime pas vous savoir déprimée ; j'ose espérer n'y être pour rien... Que puis-je faire pour chasser ces vilains nuages ?

Mie and you

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Oui, la cuisine. J'étais (comme un peu trop souvent ces jours-ci), dans un mauvais jour. Peu importe. Avez-vous un remède contre la colère, celle-ci semble prendre le pas sur trop de choses ces jours-ci. Je ne sais si l'automne est à l'origine de tout cela, mais il semble flotter un parfum de feuilles mortes, malheureusement des plus morbides. (PS. réponse à l'endroit habituel, si réponse il y a)

RL : comment votre mot pourrait-il rester sans réponse ! Je mets sur le compte de votre déprime passagère cette pensée qui pourrait faire croire à un certain laxisme épistolaire de ma part... Mais l'essentiel n'est pas là : moi qui vous croyais sur un nuage... J'ignorais que ce fût un cumulo-nimbus ! Il serait dommage de ne pas ramasser les feuilles mortes à la pelle si elles portent les traces de votre plume... que je ne vois plus guère. Il est vrai que l'ambiance semble se dégrader, à tel point que je ne fréquente pratiquement plus le Bistro (je me rattrape sur l'Oracle !). Bien entendu, il suffirait que je susse vous y trouver pour m'y précipiter ! En attendant, vous pourrez toujours échapper à un monde de brutes en vous réfugiant ici. Que les journées s'amenuisent et les feuillages rougissent n'empêchera pas votre éclat d'illuminer cette page, qui est vôtre autant que mienne et dont je souhaiterais qu'elle restât à jamais la preuve de mon attachement à votre endroit.

Je me suis effectivement une ou deux fois perdue sur l'oracle et je dois avouer que l'ambiance y est toute autre que sur le bistrot. Vous dire, j'ai même pensé à changer de page d'accueil. Je suis toujours sur mon nuage, soyons clairs sur ce point :-), mais la météo sur ce site est un peu trop orageuse et déteint sur mon humeur. Mauvais. Bref, du coup, je prends des vacances de pages polémiques et j'écris des articles. Des petits, des pas très beaux, mais des articles quand même. Regarder Wikipédia avec l'œil de l'auteur plutôt que celui de l'administrateur/nettoyeur/polémiqueur permet de se poser et de réfléchir à de nombreuses choses. J'apprends. Je vous embrasse. Mie.

RL : écrivez, écrivez : il en restera toujours quelque chose ! Bises.

Nouveau message

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On est bien ici, non ? ;-) Delphine 25 octobre 2005 à 11:58 (CEST)Répondre

RL : j'aimerais mieux « On est bien ici ! Non ? » ;)

Il suffit de demander. « On est bien ici ! Non ? ». Et croyez-le ou non, je venais de me dire qu'il était temps de vous laisser un message. Chose faite. :-) notafish }<';> 29 novembre 2005 à 20:47 (CET)Répondre

RL : holà ! S'il suffit de demander... Méfiez-vous : il se pourrait que je vous demande une chose que vous ne seriez pas en mesure de tenir ; ou que vous ne voudriez pas ! Hum... Que faites-vous ce soir ? ;)

Mais non, ce n'est pas trop tard :) ! Il n'est jamais trop tard pour bien faire de toutes façons. Merci :-) notafish }<';> 4 décembre 2005 à 23:40 (CET)Répondre

Incapable

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Je suis bien incapable de faire d'aussi beaux dessins que celui que j'ai trouvé sur la page de mon autre moi. Il est magnifique. D'ailleurs, je l'ai mis sur ma page utilisatrice, histoire que le monde entier en profite. Je vous souhaite une excellente année, ein frohes neues Jahr et tout ce qui va bien avec. Je vous embrasse. Fort. Delphine 4 janvier 2006 à 16:17 (CET)Répondre

RL : allons, allons ! D'une part, je n'ai dessiné que le texte car je voulais que ce dauphin fût à votre image et non une malheureuse tentative d'art Ascii ; d'autre part, vous m'avez prouvé que vous êtiez capable de faire bien mieux, fût-ce dans un autre domaine. Danke sehr und 'wiederseh'n... vielleicht in Frankreich?

Détours

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Je pars d'ici, fais un détour par ici et même par là et finis, en revenant sur mes pas, ici. Je lis. Je souris. Je corrige. Par acquis de conscience, je zieute l'historique. Histoire de (en fait je voulais savoir si Valérie était passée par là). Je vous vois dans l'historique et ne peut m'empêcher de cliquer . Une intuition me direz-vous. Merci pour le sourire. J'en avais besoin. Myrtille 10 mars 2006 à 18:11 (CET)Répondre

RL : ravi de vous avoir fait sourire. Mais, en disant ça, vous m'inquiétez : les nuages sur lesquels vous étiez s'assombrissent-ils ?

Comme tous les nuages. Ils vont, ils viennent. Ils s'assombrissent, ils se dispersent. Avec le temps va, tout s'en va... Quelques changements. Je vieillis mon cher, je vieillis. A moins que ce ne soit je grandis ? notafish }<';> 12 mars 2006 à 18:56 (CET)Répondre

RL : refuser de vieillir, n'est-ce pas accepter de mourir avant l'heure ? Et mourir, c'est partir beaucoup... S'il vous plaît : restez encore un peu !

Je ne refuse pas. Mais comme la sagesse, la réalité fait parfois mal aux dents. J'apprends, cahotique et rusée, à vivre ma vie lentement. Patience et longueur de temps... notafish }<';> 14 mars 2006 à 21:45 (CET)Répondre

RL : l'important n'est pas de vivre vite, mais de vivre bien ; dût-on utiliser une paires de lunettes... ;)

En passant

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Ne me demandez point comment j'ai atterri ici. Je ne sais pas. Juste en passant, un bonjour teinté de soleil Outre Rhin et d'espresso nouveau. Be goude. notafish }<';> 1 avril 2007 à 17:28 (CEST)Répondre

RL : voudrais-je vous le demander que je ne le pourrais tant la surprise est grande ! Est-il nécessaire d'ajouter qu'elle est également bonne ? Guten Tag depuis l'autre côté du Rhin, où le soleil m'indiffère désormais...
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