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La campagne de 1814 vue par les peintres et illustrateurs français
modifierSites de mémoire de la Campagne de France de 1814
modifierLa campagne de France dans la littérature
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modifierArticles connexes
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Bibliographie
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modifierRéférences
modifierDe fait, les opérations militaires lancées par les Alliés se poursuivirent bien au-delà du 22 juin, date de la seconde abdication de Napoléon.
Le Congrès de Vienne et la Septième coalition
modifierTentatives de résistance royalistes
modifierDispositif et plans de campagne de Napoléon
modifierForces militaires en présence
modifierArmée française
modifierArmée du Royaume de Naples
modifierForces alliées
modifier- Armée anglo-hollandaise
- Prusse et états allemands
- Autriche et Russie
Déploiement des forces coalisées
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Campagne de Belgique (juin 1815)
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Le repli du Maréchal Grouchy
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L'invasion alliée
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Opérations en Alsace et en Lorraine
modifierCarl Philipp von Wrede : von Wrede, placé à la tête de l'armée bavaroise, avait franchi la Sarre, le 23 juin, pour envahir la Lorraine. Lorsque la bataille de Waterloo mit fin aux hostilités, Wrede établit son quartier-général à Auxerre, et occupa une partie des départements du centre de la France. Dans cette occupation, il faillit être assassiné d'un coup de feu par un jeune homme, auquel il laissa toutefois la vie.
Troisième siège de Huningue
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Opérations en Savoie et dans le Jura
modifierLouis-Gabriel Suchet :
Pendant les Cent-Jours, le maréchal se rendit à Paris, le , dix jours après l'arrivée de Napoléon Ier, pour recevoir de nouveaux ordres. Il reçut le 5 avril celui de se rendre à Lyon pour y rassembler une armée. Suchet reçoit le commandement de l’armée Française des Alpes le 15 juin[1]. Il est nommé, le 27 juin suivant, membre de la Chambre impériale des pairs.
À la tête de ces nouvelles troupes, il se porta vers les Alpes, battit les Piémontais, le 15 juin, et quelques jours après les Autrichiens à Conflans. L'arrivée de la grande armée autrichienne à Genève l'obligea de quitter la Savoie et de se replier sur Lyon.
Instruit, le 11 juillet, que la bataille de Waterloo[2] venait de replacer le sceptre dans la main des Bourbons, le duc d'Albuféra, pour éviter une guerre civile, conclut avec les Autrichiens une capitulation honorable qui, en sauvant sa ville natale, conserva à la France pour dix millions de matériel d'artillerie. Le même jour, 11 juillet, il envoya trois généraux pour annoncer au roi qu'il était reconnu par l'armée, dont le commandement lui fut continué.
Sous ses ordres : Philibert Jean-Baptiste Curial et Joseph Marie Dessaix
Bataille de l'Hôpital, 28 juin 1815.
modifierLe siège de Briançon
modifierBataille des Rousses
modifierLes soulèvements royalistes
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L'occupation alliée et la seconde Restauration
modifierLe retour de Louis XVIII
modifierL'armée de la Loire
modifierLe traité de Paris
modifierL'occupation alliée (1815-1818)
modifierLa guerre napolitaine et la fin du Royaume de Naples
modifierAprès la défaite et la première abdication de Napoléon en 1814, Murat conclut une entente avec l'Autriche et conserve le trône de Naples, malgré les efforts de lobbying de Ferdinand et de ses partisans. Cependant, la plupart des autres puissances, en particulier la Grande-Bretagne, lui sont hostiles. Murat dépend du soutien incertain de l'Autriche et la position de Murat devient de moins en moins sûre. Lorsque Napoléon revint en France pour les Cent-Jours en 1815, Murat se rallie à lui. Par la proclamation de Rimini il s'allie aux nationalistes italiens dans l'espoir de sauver son royaume. La guerre napolitaine qui suit entre Murat et les Autrichiens est courte durée, et se termine par une victoire décisive pour les forces autrichiennes à la bataille de Tolentino. Murat est forcé de fuir, et Ferdinand est en mesure de réunifier son royaume. Murat est capturé et exécuté par un peloton d'exécution à Pizzo, en Calabre. L'année suivante (1816), l'union formelle du Royaume de Naples avec le royaume de Sicile dans le nouveau royaume des Deux-Siciles est de nouveau constituée.
Bibliographie
modifierL'armée française pendant les Cent-Jours
modifier- Pierre Juhel : De l'île d'Elbe à Waterloo - La Garde Impériale en 1815 - Organisation, Habillement, Equipement et Armement de la dernière Garde de Napoléon, Éditions de la Revue Napoléon, 2008.
- Ronald Zins : 1815 L'Armee des Alpes
- (en) Ronald Pawly & Patrice : Napoleon’s Imperial Headquarters (2) - On campaign, collection Elite n° 116, décembre 2004, (ISBN 9781841767949)
« this title offers an intimate glimpse of the Emperor's entourage in the field. Centred on the Waterloo campaign in 1815, it draws comparisons with his earlier triumphs. From the testimony of his trusted servants, the text draws a vivid picture of his daily routines on the march. »
— Note de l'éditeur
Les armées alliées pendant les Cent-Jours
modifier- (en) Ronald Pawly & Patrice Courcelle : Wellington's Belgian Allies 1815, collection Men-at-Arms n° 355, juillet 2001 (ISBN 9781841761589).
- (en) Ronald Pawly & Patrice Courcelle : Wellington's Dutch Allies 1815, collection Men-at-Arms n° 371, juillet 2002, (ISBN 9781841763934).
- (en) Otto von Pivka & Michael Roffe : The Black Brunswickers collection Men-at-Arms n°7, juin 1973 (ISBN 9780850451467).
Campagnes et batailles
modifier- Gloire & Empire - Revue de l'Histoire Napoléonienne, n°38 (sept.-oct.2011) : Après Waterloo - La bataille de Paris, Édition Coprur.
- Gloire & Empire - Revue de l'Histoire Napoléonienne, n°23 (mars-avril 2009) : Le lendemain de Waterloo - L'agonie des Aigles, Édition Coprur.
- (en) David Hamilton-Williams : Waterloo: new perspectives : the great battle reappraised, John Wiley & Sons 1994, (ISBN 0471052256) (ISBN 9780471052258)
La résistance royaliste
modifier- Apollinaire-Antoine-Maurice comte d'Argout : Le général Gilly et la capitulation de la Palud (1815)
L'occupation alliée
modifier- Jean Breuillard : Héraclius de Polignac et quelques aspects de l'occupation russe de 1816 à 1818 en France in L'Influence française en Russie au XVIIIe siècle: actes du colloque international, Paris, 14 et 15 mars 2003 sous la direction de Jean-Pierre Poussou, Presses de l'Université de Paris Sorbonne (2004), pp.437-463.
- (en) Thomas D. Veve : Wellington and the Army of Occupation in France, 1815-1818, The International History Review, Vol. 11, No. 1 (Février 1989), pp. 98-108, Taylor & Francis, Ltd.
Articles connexes
modifierCampagnes et batailles
modifierPersonnalités militaires liées aux opérations de 1815
modifier- France
- Coalition
Royaume-Uni
Pays-Bas
Prusse et états allemands
Autriche
Liens externes
modifierLes armées en présence
modifierLa retraite de Grouchy après Waterloo
modifier- Henry Lachouque : Waterloo :le sauvetage de l'aile droite
- Cdt Forquin (École de Guerre ) : L’art glorieux de la retraite
L'invasion alliée et les derniers combats de l'armée française
modifierL'occupation alliée
modifierNotes et références
modifierNotes
modifierRéférences
modifier- Un nombre immense de soldats volontaires ou déserteurs de l'armée royale, pendant l'année qui venait de s'écouler, était accouru de toutes parts sous les drapeaux ; mais les arsenaux étaient vides, et il n'avait pas été possible d'armer plus de 10 000 hommes.
- À Sainte-Hélène, dans le Mémorial, Napoléon dira de lui : « Suchet était quelqu'un chez qui le caractère et l'esprit s'étaient accrus à surprendre… Si j'avais eu Suchet à la place de Grouchy, je n'aurais pas perdu Waterloo. »