Gare de Toulouse-Roguet

gare ferroviaire française

La gare Roguet était une gare ferroviaire française, située dans le quartier Saint-Cyprien à Toulouse, dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Toulouse-Roguet
Image illustrative de l’article Gare de Toulouse-Roguet
L'actuelle cité Roguet,
construite en lieu et place de l'ancienne gare.
Localisation
Pays France
Commune Toulouse
Quartier Patte d'Oie
Saint-Cyprien
Adresse Avenue Étienne-Billières
Coordonnées géographiques 43° 35′ 44″ nord, 1° 25′ 39″ est
Caractéristiques
Ligne(s) Toulouse à Boulogne-sur-Gesse
Toulouse à Cadours
Toulouse à Sabarat
Altitude 143 m
Historique
Mise en service 1900
Fermeture

Carte

C'était une gare, mise en service en 1900 par la compagnie des chemins de fer du Sud-Ouest et fermée au trafic ferroviaire en 1949. Elle est par la suite brièvement devenue une gare routière dans les années 1950, avant d'être démolie pour être remplacée par une cité HLM[1].

Situation ferroviaire

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Établie à 143 mètres d'altitude, la gare Roguet était le point de départ de différentes lignes, à destination de Boulogne-sur-Gesse, Cadours, Sabarat, Sainte-Foy-de-Peyrolières, Lévignac[2],[3].

Histoire

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La gare a été mise en service en 1900 par la CFSO, puis fermée en 1949[1].

Patrimoine ferroviaire

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L'intégralité de la gare (bâtiments et diverses infrastructures) a été détruite, pour laisser place à une cité HLM[4].

Notes et références

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  1. a et b Mathieu Arnal, « Patrimoine. La gare Roguet, l’oubliée de Saint-Cyprien », Actu Toulouse,‎ (lire en ligne).
  2. « Toulouse Roguet », sur trainscfso.free.fr (consulté le ).
  3. « Liste des chemins de fer secondaires | FACS », sur www.facs-patrimoine-ferroviaire.fr (consulté le )
  4. « PSS - Gare Roguet (Toulouse, France) », sur pss-archi.eu (consulté le ).

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Mathieu Arnal, « Patrimoine. La gare Roguet, l'oubliée de Saint-Cyprien : Cette gare, située à l’emplacement de la cité éponyme, construite en 1900 et exploitée par la compagnie des Chemins de Fer du Sud-Ouest, resta en service jusqu’en 1949 », Actu Toulouse,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Articles connexes

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