Guilers

commune française du département du Finistère

Guilers
Guilers
L'église Saint-Valentin de Guilers.
Blason de Guilers
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Finistère
Arrondissement Brest
Intercommunalité Brest Métropole
Maire
Mandat
Pierre Ogor
2020-2026
Code postal 29820
Code commune 29069
Démographie
Gentilé Guilériens
Population
municipale
8 170 hab. (2021 en augmentation de 2,55 % par rapport à 2015)
Densité 430 hab./km2
Population
agglomération
210 117 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 25′ 31″ nord, 4° 33′ 24″ ouest
Altitude 90 m
Min. 6 m
Max. 96 m
Superficie 18,98 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Guilers
(ville isolée)
Aire d'attraction Brest
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brest-4
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Guilers
Liens
Site web Site officiel de la ville de Guilers

Guilers [gilɛʁ] est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France. Ses habitants sont appelés les Guilériens et les Guilériennes.

Petite commune de la périphérie brestoise, Guilers est membre de Brest Métropole. Guilers est reconnue pour son dynamisme associatif. Ainsi, la commune s'est dotée en 2002 d'un centre socio-culturel, l 'espace Jean Mobian ( autrefois l'agora), offrant ainsi des locaux adaptés aux activités de ses associations. De plus, l'école de musique de Guilers fête ses dix ans en 2006. Enfin, la commune accueille sur le site du manoir de Keroual, situé dans le bois de Keroual, depuis plus de dix ans maintenant, le festival Astropolis.

Géographie modifier

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Guilers
Milizac-Guipronvel
Saint-Renan Guilers Bohars
Plouzané Brest

La "Petite Russie" modifier

La région des sources actuelles de l'Aber Ildut, aux confins des communes de Plouzané, Guilers et Brest, est surnommée "Petite Russie" en raison de sa platitude, de ses marécages et de ses brouillards fréquents. La carrière de Bodonou, vaste de 140 hectares, exploite les sables et graviers pliocènes, avec une obligation de restauration en zone naturelle au fur et à mesure de l'exploitation[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Monts d'Arrée », avec des hivers froids, peu de chaleurs et de fortes pluies[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 080 mm, avec 17,1 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Guipavas à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 229,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Guilers est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Guilers, une unité urbaine monocommunale[12] de 7 981 habitants en 2017, constituant une ville isolée[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brest, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42 %), terres arables (24,3 %), zones urbanisées (16,3 %), forêts (3,9 %), mines, décharges et chantiers (3,4 %), prairies (3,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,7 %), eaux continentales[Note 3] (1,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Attesté sous la forme Guicler et Guider[18] en 1350.

Le nom breton de la commune est Gwiler-Leon[19].

Ce toponyme, à l'instar de Guilliers et Guiler-sur-Goyen, dérive du latin villare désignant des domaines ruraux gallo-romains de grande taille. Il a été adopté par l'ancien breton sous la forme Uuiler, avant d'évoluer vers Gwiler en breton moderne, francisé en Guilers. Le -s final de la forme française n'est pas étymologique et n'est apparu qu'au XIXe siècle. Concernant le breton, Leon fait référence au Pays de Léon et permet de distinguer la localité de ses deux homonymes précédemment cités (respectivement Gwiler-Porc'hoed et Gwiler-Kerne) ; dans le langage courant le village s'appelle simplement Gwiler[19].

Histoire modifier

Temps modernes modifier

Au XVIe siècle, Guilers faisait partie de la sénéchaussée de Brest et Saint-Renan[20].

Louise de Keroual (1649-1734), fille d'Hervé de Penancoët, seigneur de Keroual, fut la maîtresse du roi d'Angleterre Charles II et duchesse de Portsmouth. Sa sœur, Henriette Mauricette (1655-1728), fut comtesse de Pembroke et, en secondes noces, marquise de Tual. En 1680 la seigneurie de Keroual appartient à Guillaume de Penancoët, qui possédait aussi Menovalet, le Stiffel et Kerovalze.

En 1759, une ordonnance de Louis XV ordonne à la paroisse de Guillier [Guilers] et Bohars de fournir 22 hommes et de payer 144 livres tournois pour « la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne »[21].

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Guilers en 1778 :

« Guillœr ; à 11 lieues et demie au sud-ouest de Saint-Pol-de-Léon, son évêché ; à 47 lieues de Rennes et à 1 lieue et demie de Brest, sa subdélégation et son ressort Cette paroisse, dont la cure est présentée par l'évêque, relève du Roi et compte 1 000 communiants[Note 4], y compris ceux de Bohars, sa trève. Il s'y exerce trois basses-justices. Ce territoire, plein de vallons et de montagnes [sic] est fertile en froment et autres grains. Il est assez bien cultivé, et les landes y sont rares. On y cueille beaucoup de lin et de cidre. Les maisons nobles sont Traomeur et Ker-ouale[22]. »

Révolution française modifier

Le XIXe siècle modifier

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Guilers en 1843 :

« Guiler (sous l'invocation de saint Valentin) : commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom, moins sa trève Bohars, devenue commune ; aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : Coat-ty-Bescont, Keraudren, Kernoalet, Kerfily, Kervarziau, Styvel, Kérédern, Penfeld. Objets remarquables : forges de la Villeneuve, manoirs de Kermérien, de Kéroual, fort Penfield, chapelle Saint-Fiacre. Superficie totale 1 898 hectares, dont (...) terres labourables 1 210 ha, prés et pâturages 170 ha, bois 54 ha, canaux, étangs et marais 4 ha, landes et incultes 339 ha (...). Moulins 13 (Gouez, Tridour, Kerboronnès, de la Tour, de Penantraon). Le bourg de Guiler est situé au centre de la commune, et au point le plus élevé entre Brest et Saint-Renan. Il y a deux pardons à l'église paroissiale, l'un le 14 février, l'autre le 15 août : ce dernier est le plus fréquenté. L'agriculture est florissante dans cette commune v on y fait, entre autres, beaucoup de pommes de terre, qui sont exportées à Brest. Le bois, et surtout le bois de chêne, est rare ; l'orme est beaucoup plus répandu. La population de Guiler est en grande partie composée d'ouvriers qui travaillent à l'arsenal de Brest. Beaucoup de femmes exercent l'état de blanchisseuses, et leur industrie est alimentée par le voisinage de la même ville. On exporte quelques tourbes au voisinage des marais de Baudonnou. La route départementale n°10 du Finistère, dite de Brest à Saint-Renan, traverse cette commune du sud-ouest au nord-est. Géologie et minéralogie : constitution granitique ; gneiss au sud du bourg. Il y a quelques argiles} propres à la fabrication de la poterie ; eaux minérales ferrugineuses près de Keroualle. Il n'y a à parler français que ceux qui fréquentnt les marchés de Brest[23]. »

En 1892 Jean-Marie Trébaol[Note 5] rencontre sur le bateau transatlantique qui l'emmène aux États-Unis Jeanne de Kersauson[Note 6] qui émigre avec sa mère, 3 sœurs et un frère ; il l'épouse et devient professeur de français, s'installant à Hollywood, et le couple a 15 enfants. Après la mort de Jean-marie, Jeanne et ses enfants font de la figuration dans des films de cinéma ; la famille Trébaol détient, selon le Guinness Book, le record mondial de membres (treize !) d'une même famille dans un même film. Certains, notamment Édouard et Jean-Marie (junior) firent une assez belle carrière[24].

Le XXe siècle modifier

La Belle Époque modifier

Le recteur de Guilers refusait l'absolution aux parents qui mettaient leurs enfants à l'école publique[25].

Le , « des commissaires de police et des agents du fisc ont procédé ce matin aux inventaires [des biens d'église] dans les communes de Guilers, Milizac et Bohars. (...) Dans les trois communes les portes |de l'église] ont été enfoncées »[26].

De 1969 à 1972, le poète et chanteur Robert Joubin tint une auberge-cabaret, Ar Stivel, au vieux manoir, jadis relais de poste sur le chemin des diligences Recouvrance-St Renan.

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Le conseil municipal de Guilers est composé de 29 membres. À la suite des élections municipales de 2014, 24 de ses membres sont issus de la liste de droite « Continuons Guilers Autrement » conduite par Pierre Ogor (maire sortant), et 5 membres de la liste d'union de la gauche « Guilers avenir » conduite par Pascale Mahé (au moment de l'élection, vice-présidente du conseil général du Finistère).

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
av. 1929 ? ? M. Laudren    
1931 ? 1941 Goulven Kervennic PDP Cultivateur
1942 mars 1971 Charles Le Hir MRP  
mars 1971 juin 1995 Louis Ballard[27] (1925-2002) DVD Conseiller municipal (1966 → 1971)
Vice-président de la CUB (1974 → 1995)
juin 1995 avril 2006 Jean Mobian[28] (1937-2021) PS Électronicien à l'Arsenal de Brest
Conseiller général de Brest-Cavale-Blanche (1998 → 2004)
Conseiller municipal (1983 → 1995)
avril 2006 mars 2008 Michel Billet (1952- ) PS Ingénieur Thales
Député suppléant de Patricia Adam (2007 → 2012)
mars 2008 En cours
(au 23 mai 2020)
Pierre Ogor (1962- ) [29]
Réélu pour le mandat 2020-2026
SE puis DVD Artisan
Conseiller départemental de Brest-4 (2015 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

En 2021, la commune comptait 8 170 habitants[Note 7], en augmentation de 2,55 % par rapport à 2015 (Finistère : +1,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Le maximum de la population a été atteint en 2016 avec 8 010 habitants.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2001 1751 1841 2311 2811 4371 4511 5561 667
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7021 7511 8021 7341 7481 5942 1051 9101 821
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9172 2062 1881 9821 9962 0082 0531 9682 161
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 8461 8794 6786 6866 7856 9567 2307 4308 010
2021 - - - - - - - -
8 170--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (32,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,3 % la même année, alors qu'il est de 29,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 3 821 hommes pour 4 166 femmes, soit un taux de 52,16 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,0 
8,4 
75-89 ans
11,5 
15,5 
60-74 ans
17,4 
23,1 
45-59 ans
22,0 
17,3 
30-44 ans
15,9 
16,3 
15-29 ans
14,6 
19,0 
0-14 ans
17,6 
Pyramide des âges du département du Finistère en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
2,1 
7,6 
75-89 ans
11,5 
18,9 
60-74 ans
19,8 
20,9 
45-59 ans
19,8 
17,8 
30-44 ans
16,6 
17,1 
15-29 ans
14,8 
17,1 
0-14 ans
15,4 

Jumelages modifier

Drapeau de l'Irlande Ballyhaunis (Irlande)

Drapeau de l'Italie Baucina (Italie)

Personnalités liées à la commune modifier

Langue bretonne modifier

À la rentrée 2017, 53 élèves étaient scolarisés dans la filière bilingue catholique (soit 6,4 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire)[36].

Lieux et monuments modifier

Monument aux morts de 1914-1918.
  • Le bois de Keroual, magnifique parc de 48 hectares, composé de centaines d'essences locales et exotiques, lieu de promenade apprécié par les habitants de Brest et de sa communauté urbaine.
  • Le manoir de Keroual, dans le bois du même nom : belle bâtisse de la Renaissance ancienne résidence de Louise de Keroual et restauré après la Seconde Guerre mondiale (il était alors en ruine) par Albert Cortellari, architecte qui fut l'un des grands acteurs de la reconstruction de Brest et père de l'artiste peintre Jacques Cortellari. Le lieu sert désormais de résidence de création et héberge le festival de musique électronique Astropolis.
  • La ville possède un monument aux morts commémorant chaque année les disparus de la Première Guerre mondiale ainsi que l'anniversaire de la fin de la guerre d'Algérie[37].
  • L'église Saint-Valentin de Guilers.

Héraldique modifier

Blason de Guilers Blason
D'azur à la croix d'or chargée en coeur d'un lion morné de sable, cantonnée en chef de deux aigles et en pointe de six annelets, ordonnés 2 et 1 dans chaque canton, le tout d'argent.
Ornements extérieurs
L'écu est timbré d'une couronne ducale, soutenu de deux lévriers de sable au collier d'argent, posé sur un listel d'or chargé de la devise en lettres de sable : « Persévérance et hardiesse ».
Devise
« persévérance et hardiesse ».
Détails
Concepteur : Claude Fagnen, Directeur Départemental des Archives, puis nouvelle étude par Monsieur Schultz, peintre en lettres à Guilers.
Approuvé par le conseil municipal le 22 octobre 1987.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Personnes en âge de communier.
  5. Jean-Marie Trébaol, né le à Kermenguy en Guilers, décédé le à Valleio (Californie).
  6. Jeanne de Kersauson, née le à Brest, paroisse Saint-Louis, décédée le à Malibu (Californie).
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. http://www.lanildut.fr/histoire/LanSource003.html et http://www.echodestpierre.infini.fr/msp/msp177.htm
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Guilers et Guipavas », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Brest-Guipavas » (commune de Guipavas) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Brest-Guipavas » (commune de Guipavas) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Guilers », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Stéphane Gendron -Les noms des lieux en France: essai de toponymie - Page 131
  19. a et b Office public de la langue bretonne, « Kerofis ». .
  20. Jean Kerhervé, Anne-Françoise Pérès, Bernard Tanguy, Les biens de la Couronne dans la sénéchaussée de Brest et Saint-Renan, d'après le rentier de 1544, Institut culturel de Bretagne, 1984.
  21. "Ordonnance... portant imposition pour la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne", 1759, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k97412315/f8.image.r=Plovan
  22. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 2, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), page 175.
  23. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 1, Rennes, Molliex, (lire en ligne), page 331.
  24. Erwan Chartier-Le Floch, « Hollywood : des stars et des hermines », Journal Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, (ISBN 978-2-918135-37-1).
  26. Journal L'Intransigeant, n° du 23 novembre 1906, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7843372/f4.image.r=Milizac?rk=21459;2
  27. « Nécrologie. L. Ballard, ancien maire de Guilers », Le Télégramme,‎ (lire en ligne).
  28. Notice MOBIAN Jean par François Prigent, version mise en ligne le 2 septembre 2012, dernière modification le 2 septembre 2012
  29. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Guilers (29069) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Finistère (29) », (consulté le ).
  36. (br) EOLAS, « Enseignement - Ofis Publik ar Brezhoneg », sur opab-oplb.org (consulté le ).
  37. Mairie de Guilers

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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