L'Histoire de Kyōto a commencé dans une vallée pas si loin de Nara à côté de la rivière Kamo-gawa.

Ancienne carte de Kyōto datant de 1696

Avant que l'empereur Jimmu décide de quitter son ancienne capitale, il avait déjà prévu la création d'un plan ad hoc de la ville nouvelle. Heian-kyo ou Kyoto deviendra la conséquence de cet aménagement géométrique.

Culture modifier

A l'époque Edo, l'univers des Maisons vertes était très important dans la peinture des ukiyo-e. A Kyoto, ces lieux de prostitution étaient installés depuis 1640 dans le quartier Shimabara (l'îlot aux roses). Tolérés par le shogunat, ces quartiers sont reconnus par des licences gouvernementales et constituent de véritables enclaves dans lesquels les distinctions sociales qui régissent la vie ordinaire n'ont plus cours. Le Musée national de Kyoto conserve un paravent du XVIIe siècle, à six volets en couleurs et or sur papier, qui représente Le Kabuki d'Okuni[1]. Ce théâtre très populaire à l'époque fut créé par Okuni, une prêtresse du sanctuaire d'Izumo. Les théâtres kabuki étaient généralement installés au sein des quartiers de prostitution et au début les actrices étaient des femmes prostituées[2].

Les listes modifier

Liste des monuments désignés par l'UNESCO à Kyōto modifier

C'est une liste des bâtiments ajoutés à la patrimoine mondial de l'UNESCO en 1994.

Liste de temples bouddhistes à Kyoto modifier

Liste des sanctuaires shintô à Kyōto modifier

Liste des ponts de Kyōto modifier

Les grands incendies modifier

Liste des tremblements de terre à Kyōto modifier

Notes et références modifier

  1. Paravent au Musée
  2. Hélène Prigent, « Images du Monde flottant », Le Petit Journal des grandes expositions, no 369,‎ , p. 7 (ISBN 2-7118-4852-3)

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Bibliographie modifier

Liens externes modifier