Jean-Baptiste Gondelier
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Jean-Baptiste Gondelier (né le à Dijon et mort le à Laon[1],[2]) est un auteur dramatique et librettiste français.
| Naissance | |
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| Décès |
(à 85 ans) Laon |
| Nationalité | |
| Activité |
| Archives conservées par |
Archives nationales (F/18/1770) |
|---|
Biographie
modifierGraveur et lithographe[3] au 110, passage du Caire dans le 2e arrondissement de Paris, Jean-Baptiste Gondelier obtient un brevet d'imprimeur en lettres le [4],[5]. Veuf en 1820 d'Anne-Françoise-Esther Morisset[6], il se remarie le avec Joséphine Foliot[7].
Éditeur, entre autres, du Constitutionnel et de la Gazette des théâtres, il cessera définitivement ses activités d'imprimeur-lithographe le [8]. Ses pièces ont été représentées au Théâtre du Vaudeville et au Théâtre des Variétés.
Œuvres
modifier- 1826 : Le Dilettante, ou le Siège de l'Opéra, folie-vaudeville en cinq petits actes, à propos du Siège de Corinthe, avec Emmanuel Théaulon et Théodore Anne, musique de Pierre-Louis Hus-Desforges, au théâtre du Vaudeville ()
- 1826 : La Mère au bal et la Fille à la maison, comédie-vaudeville en deux actes, avec Emmanuel Théaulon, au théâtre du Vaudeville ()
- 1826 : Paris et Bruxelles, ou le Chemin à la mode, comédie-vaudeville en deux actes, avec Emmanuel Théaulon et Étienne Crétu, au théâtre des Variétés ()
- 1827 : Le Courrier des théâtres, ou la Revue à franc-étrier, folie-vaudeville en cinq relais, avec Théodore Anne et Emmanuel Théaulon, au théâtre du Vaudeville ()
- 1827 : La Girafe, ou Une journée au jardin du Roi, tableau-à-propos en vaudevilles, avec Emmanuel Théaulon et Théodore Anne, au théâtre du Vaudeville ()
- 1827 : Faust, drame lyrique en trois actes d'après la tragédie de Goethe, paroles de Théaulon et Gondelier, musique de Philippe-Alexis Béancourt, au théâtre des Nouveautés ()
Notes et références
modifier- Acte de décès (avec âge et lieu de naissance) à Laon, no 370, vue 273/299.
- Fiche Gondelier Jean-Baptiste. Éditions en ligne de l'École des Chartes, Dictionnaire des imprimeurs-lithographes du XIXe siècle.
- La Bibliothèque nationale de France lui attribue deux lithographies éditées en 1821 représentant des caricatures d'anglais (Grotesque no 6 et Grotesque no 7).[1] Bibliothèque nationale, département des estampes. Inventaire du fonds français après 1800 par Jean Adhémar et Jacques Lethève, tome 9, p. 258, Paris, 1955, lire en ligne sur Gallica.
- Administration. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'imprimerie et de la librairie, XVIIe année, 1828, p. 750, lire en ligne sur Gallica.
- Gondelier cèdera son brevet à Pollet, 364, rue Saint-Denis, en 1837.[2] Annuaire de l'imprimerie de 1854, p. 37, lire en ligne sur Gallica.
- Inventaire après décès du 3 mars 1820. Archives nationales, salle des inventaires virtuelle, minutes et répertoires du notaire Jean Charles Ducorps.
- Fiche de mariage no 11/51. Fichier alphabétique de l'état-civil reconstitué de la Ville de Paris, année 1824. En troisièmes noces il épousera Marie-Rosine-Palmyre Blanvillain.
- Nominations d'imprimeurs-lithographes, etc. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'imprimerie et de la librairie, XLIe année, 1852, p. 435, lire en ligne sur Gallica.
Liens externes
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- Ressource relative au spectacle :
