Contes des mers du sud
Contes des mers du sud (titre original en anglais : South Sea Tales) est un recueil de huit nouvelles de Jack London paru en 1911.
Contes des mers du sud | |
Auteur | Jack London |
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Pays | États-Unis |
Genre | Recueil de nouvelles Aventure |
Version originale | |
Langue | Anglais |
Titre | South Sea Tales |
Éditeur | The Macmillan Co |
Lieu de parution | New York |
Date de parution | 1911 |
Version française | |
Traducteur | Paul Gruyer et Louis Postif |
Éditeur | Hachette |
Collection | Les Meilleurs romans étrangers |
Lieu de parution | Paris |
Date de parution | 1931 |
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Historique
modifierEn , Jack London part en croisière dans l'Océan Pacifique. Ces deux années passées dans les archipels lui fourniront la trame de nombreuses nouvelles réunies dans quatre recueils :
- Contes des mers du sud (South Sea Tales) en 1911
- L'Île des lépreux (The House of Pride & Other Tales of Hawaii) en 1912
- Fils du soleil (A Son of the Sun) en 1912
- Histoires des îles (On the Makaloa Mat) en 1919 (posthume)
Huit nouvelles
modifierL'édition publiée chez The Macmillan Co en comprend huit nouvelles[1] :
- La Maison de Mapuhi (The House of Mapuhi)
- La Dent du cachalot (The Whale Tooth, ou The Mission of John Starhurst)
- Maouki (Mauki)
- Yah ! Yah ! Yah ! ("Yah! Yah! Yah!")
- Le Païen (The Heathen)
- Les Terribilissimes Îles Salomon (The Terrible Solomons)
- L'Inévitable Blanc (The Inevitable White Man)
- La Graine de McCoy (The Seed of McCoy)
La Dent du cachalot
modifierHistorique
modifierLa nouvelle est publiée initialement en Grande Bretagne dans le Bournemouth Visitors' Directory en décembre 1907 sous le titre The Mission of John Starhurst, puis aux États-Unis dans le Sunset Magazine en avant d'être reprise dans le recueil Contes des mers du sud en .
Résumé
modifier« Dans les îles Fidji, lorsqu'une dent [de cachalot] comme celle-là apparaît quelque part, généralement, il arrive des choses. Car telle est la vertu de la dent de cachalot : celui qui l'accepte ne peut refuser la demande qui est susceptible d'accompagner ou de suivre le don[2].»
Parti porter la bonne parole au Buli de Gatoka, un chef redoutable, John Starhurst, le missionnaire, ne sait pas qu'il est suivi par Erirola, qui emporte avec lui une dent de cachalot. Chez « les mangeurs d'hommes aux cheveux crépus », quel sera le marché ?...
Traductions en français
modifier- La Dent du cachalot, traduit par Paul Gruyer et Louis Postif, in Contes des Mers du Sud, recueil, Hachette, 1931.
- La Dent de cachalot, traduit par Aurélie Guillain, Gallimard, 2016[3].
Yah ! Yah ! Yah !
modifierLa nouvelle est publiée initialement dans le périodiqueThe Columbian Magazine en décembre 1910, avant d'être reprise dans le recueil Contes des mers du sud en .
Traductions en français
modifier- Yah ! Yah ! Yah !, traduction de Paul Gruyer & Louis Postif, in le Masque, périodique, . puis in Contes des Mers du Sud, recueil, Paris, Hachette, 1931. Recueil réédité en 1982 chez 10/18 puis en 2001 chez Phébus.
Éditions
modifier- (en) South Sea Tales, un volume chez The Macmillan Co, New York, .
- Contes des mers du sud, traduction par Paul Gruyer et Louis Postif, Paris, Hachette, coll. « Les Meilleurs romans étrangers », .
Adaptation
modifier- Les Aventures des mers du Sud, série australienne en vingt-deux épisodes diffusée en 1998.
Notes et références
modifier- Bibliographie sur le site www.jack-london.fr
- Jack London
- Jack London, Romans, récits et nouvelles, tome II, édition publiée sous la direction de Philippe Jaworski, Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 2016 (ISBN 978207014648-2)
- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « La Dent du cachalot » (voir la liste des auteurs).
- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Yah ! Yah ! Yah ! » (voir la liste des auteurs).