Le Mesnilbus

ancienne commune française du département de la Manche

Le Mesnilbus est une ancienne commune française du département de la Manche et de la région Normandie, peuplée de 367 habitants[Note 1], devenue commune déléguée à partir du au sein de la commune nouvelle de Saint-Sauveur-Villages.

Le Mesnilbus
Le Mesnilbus
Église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Coutances
Intercommunalité Communauté de communes Coutances Mer et Bocage
Statut commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Sabrina Champvalont
2020-2026
Code postal 50490
Code commune 50308
Démographie
Population 367 hab. (2021)
Densité 74 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 08′ 03″ nord, 1° 20′ 54″ ouest
Altitude Min. 32 m
Max. 121 m
Superficie 4,98 km2
Élections
Départementales Agon-Coutainville
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Saint-Sauveur-Villages
Localisation
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Géographie

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La commune s'inscrit dans le parc naturel régional des marais du Cotentin et du Bessin.

Elle se compose d'un bourg principal (Mesnilbus) et de plusieurs hameaux : la Billardière, l'Hôtel ès Jeune, Village de la Sellerie, Village Camplain, Village du Bocage, l'Hôtel Bourguet, Village de la Roserie, l'Hôtel Vallerand, Village de la Vagerie, l'Hôtel Jouvet, la Vallée, la Cour de Mesnilbus, la Meslière, l'Angerie, le Val, l'Hôtel Couteur, la Clergerie, les Champs Benoist, l'Hôtel Hannot, l'Hôtel Vallée, l'Hôtel Périers, la Troudière, Village de la Vasselière.

Elle est bordée à l'ouest par le ruisseau de la Liotterie.

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous la forme Mesnillum-Buye sans date[1].

L'ancien nom, Mesnil Bos, voulait dire le « domaine de Bozo » (nom germanique).

Le gentilé est Mesnilbuais.

Micro-toponymie

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À l'origine, les hameaux en Y-ère/-erie désignaient la ferme de la famille Y, bâtie sur les nouvelles terres issues des grands défrichements (XIe – XIIIe siècle).

Les essarts prennent le nom des défricheurs, suivi de la désinence -erie ou -ière[2].

Les autres hameaux en Hôtel/Maison/Le Y sont des constructions plus « récentes », ils désignent la ferme de la famille Y.

Les noms de lieux-dits qui se déclinent en Hôtel suivi d'un nom de personne (formulation qui se retrouve de façon très importante dans le Centre-Manche, dans deux anciens cantons limitrophes du Calvados et de façon marginale dans l'Orne) correspondent vraisemblablement à des lieux issus du défrichement intense connu aux XIIIe et XIVe siècles[3].

Histoire

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L'histoire médiévale et jusqu'au milieu du XIXe siècle du Mesnilbus ainsi que des autres communes du canton de Saint-Sauveur-Lendelin, a été synthétisée dans l'Annuaire du département de la Manche[4].

La paroisse du Mesnilbus formait une baronnie dont-il existait des aveux à la Chambre des comptes de Normandie. On trouve des lettres patentes du roi, à la date de 1676, par lesquelles sa Majesté veut qu'à l'avenir les barons du Mesnilbus lui rendent aveu.

On trouve, en 1406, messire Guillaume de Vierville de Beuvron, chevalier, seigneur du Mesnilbus, de Monthuchon et de Creully. Après lui, Charles d'Harcourt, baron de Beaufou, Beuvron et du Mesnilbus. Il fut écuyer tranchant du roi Charles VIII, et combattit à la bataille de Ravenne. Il avait épousé, en 1497, Jacqueline de Vierville, dame de Creully ; c'est par ce mariage que la seigneurie du Mesnilbus, qui dépendait de celle de Creully, est entrée dans la famille d'Harcourt[5].

Vingt cinq fiefs roturiers existaient dans la paroisse[1].

En 1516, François d'Harcourt, baron de Beuvron, de Creully et du Mesnilbus, épousa Françoise de Gaillon, fille de Guillaume de Gaillon, baron de Macy, Croisy, etc., et d'Anne de Brunelli.

Guy d'Harcourt, baron de Beuvron et du Mesnilbus, figura dans les guerres de Religion, et mourut dans le mois de . Il avait épousé, en l'année 1546, Marie de Saint-Germain, dame de Saint-Laurent-en-Caux, fille de Michel de Saint-Germain-l'Angot, de la maison d'Argences, et de Stevenotte Leveneur.

Pierre d'Harcourt, marquis de Beuvron, baron de Creully et du Mesnilbus, épousa, en 1578, Gillone de Matignon, fille de Jacques Goyon de Matignon, maréchal de France, et de Françoise de Daillon du Lude. Ce fut lui qui vendit la terre seigneuriale et la baronnie du Mesnilbus à Jean Hellouin (1575-1644), secrétaire du roi et trésorier de ses finances en la généralité de Caen. Jean Hellouin prit les titres de seigneur, patron et baron du Mesnilbus. Mais, comme il n'en avait point informé la Cour des aides, il fut inquiété, et ce ne fut qu'en 1606 qu'il fut maintenu dans ses titres[6]. Ce dernier avait acheté en 1604, la charge de secrétaire du Roi (Henri IV)[7] qui est anoblissante, et gagne ainsi la noblesse de robe en ajoutant à son nom celui de sa terre ; c'est ainsi que nait la famille de Ménibus. En 1627, il est trésorier de France au bureau des finances de Caen.

Jean Hellouin (1607-1678), son fils, sieur de Saint-Michel, devint seigneur et patron, baron du Mesnilbus, et sera, en 1627, l'un des vingt-deux secrétaires de Louis XIII, puis président de la Cour des Aides de Normandie[8]. Il épousa Madeleine de la Mare.

Dans le cours des XVIe et XVIIe siècles, on continue à rencontrer comme seigneurs, patrons et barons du Mesnilbus, des membres de la famille Hellouin[Note 2].

Ancien Régime

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En 1676, la baronnie s’étendait sur les paroisses de Saint-Michel-de-la-Pierre avec les fiefs nobles de la Vauterie et de la Bigoterie[9], Saint-Aubin-du-Perron et Feugères et elle, en 1689, elle possédait trois moulins a eau et à blé, qui rapportaient au seigneur du lieu 800 livres de revenus[5].

Révolution française

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On trouve comme dame du Mesnilbus, en 1789, noble dame Françoise Renée de Carbonnel de Canisy, veuve de Louis de Busfille de Brancas, comte de Forcalquier.

Les habitants du Mesnilbus sont confrontés aux troubles de la Révolution française. À la suite d’un différend[10](voir page 33, note de bas de page du document cité en référence n°3) résultant de la conscription encore amplifiée pour lever des troupes en nombre suffisant pour lutter contre les troupes chouannes, le la population, armée de bâtons partit pour demander des comptes à Claude-Arduin-Tristan Brision, curé doyen constitutionnel de Saint-Sauveur-Lendelin. Ce dernier, fut mis à mal et traîné dans la boue, accusé d’avoir constitué une liste des conscrits à sa guise. Une centaine de soldats et deux canons sont envoyés sur place. Un commissaire spécial du district de Coutances procède au tirage au sort. Sur demande de Jean-Baptiste Le Carpentier, l’administration départementale décide la suppression de la commune du Mesnilbus, où l’on avait sonné le tocsin pour s’attaquer à Brision, et le partage de son territoire entre ses voisines (rétablie en 1823). Dix personnes furent arrêtées mais remises en liberté sous caution, sauf une qui resta prisonnier à Coutances jusqu’à l’arrêté d’élargissement du représentant Ledot du . La paroisse fut déclarée rebelle et rayée du nombre des paroisses de France.

L’église fermée par Le Carpentier fut dévastée, les cloches fondues ainsi que les cercueils de plomb des seigneurs des de Virville. Le territoire fut partagé entre les communes voisines : Montcuit, Saint-Aubin et Saint-Sauveur-Lendelin. Le très arriviste Brision ne poursuivit pas longtemps sa carrière de curé-jureur et s'orienta vers la carrière militaire où il atteint le grade d'adjudant-commandant (environ colonel) et la fonction de sous-inspecteur aux revues (intendance). Il obtint le titre de Chevalier d'Empire en 1813[11].

Période contemporaine

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En 1823, la commune est recréée, à partir de Saint-Aubin-du-Perron, mais amputée de la Frémondière, de la Liotterie et l'Hôtel Es Gens[8].

Première Guerre mondiale

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Vingt-huit habitants de la commune sont morts pour la France durant la Première Guerre mondiale[12].

Seconde Guerre mondiale

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Le , Robert Lee Duffy (1923-2011) pilote américain d'un P-47 Thunderbolt, s'écrase à la Scellerie. En 1992, on retrouva le moteur permettant l'identification du pilote[8].

XXIe siècle

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La commune nouvelle de Saint-Sauveur-Villages est créée le [13] après la fusion de Ancteville, Le Mesnilbus, La Ronde-Haye, Saint-Aubin-du-Perron, Saint-Michel-de-la-Pierre, Saint-Sauveur-Lendelin et Vaudrimesnil.

Héraldique

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Armes du Mesnilbus

Les armes de la commune de Le Mesnilbus se blasonnent ainsi :
D'azur au chevron d'or, accompagné de trois étoiles du même en chef et d'un fer de lance d'argent en pointe. [14]

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1823 1825[15] Pierre Campain    
1825 1831 Jean Campain    
1831 1855 Jean Baptiste Poutrel    
1855 1860 Pierre Depériers    
1860 1870 Pierre Campain    
1870 1878 Pierre Marie    
1878 1881 Jean Baptiste Campain    
1881 1883[16] Jean Lecocq    
1884 1892 Laurent Frémond    
1892 1919 Jules Campain   Agriculteur,
conseiller général (1913 à 1936)
1919 1925 Pierre Robin    
1925 1935 Jules Campain
(1855-1936)
  Agriculteur
conseiller général (1913 à 1936)
1935 1945 Albert Frémond    
1945 1965 Alexandre Lamy    
1965 1977 Maurice Rihouey    
1977 1994 Jacques Monthulé    
1994 mars 2008 Serge Lamy SE  
mars 2008 décembre 2018 Hubert Rihouey[17] SE Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Le , par arrêté préfectoral du , Le Mesnilbus devient une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Saint-Sauveur-Villages. À l'issue des élections municipales de 2020, Saint-Sauveur-Villages sera représentée par vingt-neuf conseillers municipaux, répartis au prorata du nombre d’habitants, soit : douze pour Saint-Sauveur-Lendelin, quatre pour Vaudrimesnil, trois pour Le Mesnilbus, La Rondehaye et Ancteville, et deux pour Saint-Michel-de-la-Pierre et Saint-Aubin-du-Perron.

Liste des maires Délégués
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2019 juillet 2020 Hubert Rihouey SE Agriculteur
juillet 2020[18] En cours Sabrina Champvalont SE Ouvrière
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1831. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 367 habitants, en évolution de +10,21 % par rapport à 2015 (Manche : +0,44 %, France hors Mayotte : +2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872
9909611 007966998900902867851
1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
857741706651583557505480412
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
415420417409419392329275271
1990 1999 2004 2009 2014 2019 2021 - -
266261259275324349367--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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  • Église Notre-Dame de l'Assomption des XIIe – XVIIe siècles. D'origine romane, dont la nef a conservé des pierres placées en épis. Fenêtres refaites, abside circulaire, crypte et baptistère pré-roman. Elle abrite un maître-autel du XVIIIe, une chaire à prêcher du XVIIIe, une sainte femme tenant un livre du XVIe et saint Cénéric du XIXe imploré pour les maladies de peau[8].
  • La Chaire du Diable : pierre à légendes. Pierre en diorite dite de Coutances qui affleure en grande quantité dans les champs de la commune.
  • Ancien presbytère du XVIIIe siècle.
  • Croix de cimetière du XVIIe siècle.
  • Ancienne cuve baptismale médiévale et calvaire du XXe siècle.
  • Croix de chemin dite Croix Campain du XXe siècle.
  • Oratoire avec Vierge à l'Enfant du XXe siècle.
  • Stèle constituée du moteur de l'avion (Thunderbolt P-47) de Robert Lee Duffy (1923-2011), qui s'est écrasé dans un pré le , et qu'il a inauguré en 1994.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Cette famille, qui fut anoblie en 1574, dans la personne de Jean Hellouin, nommé secrétaire du roi, porte : d'azur, au chevron d'or, accompagné en chef de deux étoiles de même et d'un fer de lance d'argent en pointe
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références

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Altitudes, superficie : IGN[23].
  1. a et b Delattre, 2002, p. 136.
  2. Histoire de la Normandie#Bilan de la période ducale.
  3. Lechanteur Fernand, « Principaux types toponymiques de la Normandie », Annales de Normandie, vol. 4, no 1,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. Jean-Michel Renault 1856, p. 17-20.
  5. a et b Jean-Michel Renault 1856, p. 19.
  6. Jean-Michel Renault 1856, p. 20.
  7. « Généalogie de Jean Hellouin », sur Geneanet (consulté le ).
  8. a b c et d Gautier 2014, p. 327.
  9. Gautier 2014, p. 581.
  10. Ojouault, « Rapport sur le siège de Granville par Jean-Baptiste Le Carpentier (Granville, novembre 1793) », sur webcache.googleusercontent.com (consulté le ).
  11. Émile Campardon, Liste des membres de la noblesse impériale : dressée d'après les registres de lettres patentes conservés aux Archives nationales, (lire en ligne).
  12. (en) Éric Blanchais, « MémorialGenWeb Tableau des morts de la commune », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
  13. Jean-Marc Sabathé, « Arrêté n° 17-18-ASJ du 26 décembre 2018 portant création de la commune nouvelle de Saint-Sauveur-Villages », Recueil des actes administratifs spécial n°50-2018-94,‎ (lire en ligne [PDF]).
  14. Élie Guénée (dir.), Tout sur le département de la Manche, Coutances, Manche-Tourisme, Archives dép. Manche, 1987, p. 81.
  15. Décédé en exercice le .
  16. décédé en exercice le 6 juin 1883
  17. Réélection 2014 : « Le Mesnilbus (50490) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  18. Saint-Sauveur-Villages. Conseil : installation des maires délégués.
  19. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
  23. Répertoire géographique des communes (http://professionnels.ign.fr/42/produits-gratuits/produits-gratuits-a-telecharger.htm).

Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 136.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 327.
  • Jean-Michel Renault, « Revue monumentale et historique de l'arrondissement de Coutances : Canton de Saint-Sauveur-Lendelin », Annuaire du département de la Manche, Julien-Gilles Travers,‎ 28e année - 1856, p. 17-20 (lire en ligne).

Articles connexes

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Liens externes

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