Villelongue-dels-Monts
Villelongue-dels-Monts [vil.lɔ̃ɡ dɛls mɔ̃ts] Écouter est une commune française située dans le sud-est du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Roussillon, une ancienne province du royaume de France, qui a existé de 1659 jusqu'en 1790 et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne.
Villelongue-dels-Monts | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Céret | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Albères, de la Côte Vermeille et de l'Illibéris | ||||
Maire Mandat |
Christian NIFOSI 2020-2026 |
||||
Code postal | 66740 | ||||
Code commune | 66225 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Villelonguais, Villelonguaises | ||||
Population municipale |
1 858 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 161 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 31′ 35″ nord, 2° 54′ 15″ est | ||||
Altitude | Min. 36 m Max. 1 030 m |
||||
Superficie | 11,55 km2 | ||||
Type | Petite ville | ||||
Unité urbaine | Saint-Cyprien (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Perpignan (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Vallespir-Albères | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
| |||||
Liens | |||||
Site web | http://www.villelongue-dels-monts.com | ||||
modifier |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Tech, le Tanyari et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« le Tech ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Villelongue-dels-Monts est une commune urbaine qui compte 1 858 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle est dans l'agglomération de Saint-Cyprien et fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Villelonguais ou Villelonguaises.
Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune de Villelongue-dels-Monts se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 19 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, et à 13 km de Céret[2], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Montesquieu-des-Albères (2,0 km), Laroque-des-Albères (2,3 km), Saint-Génis-des-Fontaines (2,4 km), Sorède (4,4 km), Brouilla (4,6 km), L'Albère (4,8 km), Banyuls-dels-Aspres (5,4 km), Le Boulou (6,0 km).
Sur le plan historique et culturel, Villelongue-dels-Monts fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790[4] et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[5].
Géologie et relief
modifierD'une superficie de 1 155 hectares, le territoire présente une forme à la fois très étroite et très longue (2 km d'est en ouest et 8 km du nord au sud)[7].
Il s'étire du Massif des Albères[8] au fleuve Tech au Nord et culmine au pic d'Aureille[9].
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[10].
Hydrographie et les eaux souterraines
modifierCours d'eau sur la commune ou à son aval :
Villelongue-dels-Monts dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 1800 équivalent-habitants[11].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[13].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 15,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 810 mm, avec 5,1 jours de précipitations en janvier et 3,4 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Perthus à 7 km à vol d'oiseau[14], est de 15,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 849,6 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].
Milieux naturels et biodiversité
modifierRéseau Natura 2000
modifierLe réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « le Tech »[19], d'une superficie de 1 467 ha, hébergeant le Barbeau méridional qui présente une très grande variabilité génétique dans tout le bassin versant du Tech. Le haut du bassin est en outre colonisé par le Desman des Pyrénées[20].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[21] : la « crête du pic d'Aureille » (270 ha), couvrant 4 communes du département[22] et la « vallée du Tech de Céret à Ortaffa » (611 ha), couvrant 10 communes du département[23] et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[21] :
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Villelongue-dels-Monts est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Cyprien[Note 5], une agglomération intra-départementale regroupant quatorze communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 6],[I 3],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 4],[I 5].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (49,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,7 %), cultures permanentes (26,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11 %), zones urbanisées (9,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,4 %)[26]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
modifierLa commune est traversée par trois voies structurantes : la RD618 vers Argeles-sur-Mer et Perpignan par la RN114, la RD11 permettant de rejoindre Montesquieu-des-Albères à l'ouest et Laroque-des-Albères puis Sorède à l'est et la RD11a selon un axe sud-nord vers la RD618.
Les lignes 550 (Céret - Argelès-sur-Mer) et 553 (Saint-Génis-des-Fontaines - Gare de Perpignan) du réseau régional liO assurent la desserte de la commune.
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Villelongue-dels-Monts est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[27],[28].
Risques naturels
modifierCertaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin du Tech[29].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs[30]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène[31].
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques inondations, mouvements de terrains et feux de forêts[32].
-
Carte des zones inondables.
-
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.
Risque particulier
modifierDans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Villelongue-dels-Monts est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[33].
Toponymie
modifierEn catalan, le nom de la commune est Vilallonga dels Monts[34].
Villelongue-dels-Monts, qui tient son nom du pic qui se dresse au-dessus du village, signifie « Villelongue-du-Mont ». Il en a été fait mention pour la première fois en 981. En effet, le monastère de Saint-Génis-des-Fontaines[35] possédait un alleu à "Villalonga". Le vocable "Castrum Sancti Christophori" apparaîtra en 1095 pour désigner la forteresse construite sur ce pic rocheux[36].
Histoire
modifierEn 1202, fut construite au pied du château, une église est construite au pied du château, remplaçant celle qui se trouvait à l'intérieur du château. Cette seconde église, dédiée à Saint Etienne, fut l'église paroissiale du village[37].
En 1803, la commune absorbe sa voisine, Le Vilar[38].
Politique et administration
modifierCanton
modifierEn 1790, la commune de Villelongue-dels-Monts est incluse dans le canton d'Argelès au sein du district de Céret. Elle est rattachée au canton de Laroque en 1793 puis revient au canton d'Argelès en 1801, dont elle a fait partie depuis[39]. À compter de , la commune est incluse dans le nouveau canton de Vallespir-Albères.
Intercommunalité
modifierCommune membre de la Communauté de communes des Albères, de la Côte Vermeille et de l'Illibéris.
Tendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierBudget et fiscalité 2016
modifierEn 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[44] :
- total des produits de fonctionnement : 1 628 000 €, soit 975 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 1 016 000 €, soit 608 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 158 000 €, soit 95 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 201 000 €, soit 120 € par habitant ;
- endettement : 728 000 €, soit 436 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 8,32 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 12,40 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 41,90 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Population et société
modifierDémographie ancienne
modifierLa population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Notes :
- 1358 : pour Vilar ; * 1365 : dont 22 f pour Vilar ; * 1378 : pour Vilar ; * 1424 : pour Vilar ; * 1470 : dont 4 f pour Vilar ; * 1515 : dont 4 f pour Vilar ; * 1553 : pour Vilar ; * 1709 : dont 8 f pour Vilar.
Démographie contemporaine
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[46].
En 2021, la commune comptait 1 858 habitants[Note 8], en évolution de +13,02 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Orientales : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La démographie communale est marquée par une certaine stabilité entre 1851 et 1975, oscillant d'un minimum de population à 408 en 1968 à un maximum de 533 en 1891 et alternant entre période de croissance et période de baisse sans accident majeur. La commune est toutefois touchée par l’exode rural dans les années 1950 et 1960. Mais on constate, à partir de 1975, le début d’un essor démographique. Sa population a en effet plus que doublée en 30 ans, passant de 513 habitants en 1975 à 1367 en 2007 (soit un taux de croissance annuel moyen supérieur à 3 %).
L'amélioration notable du dynamisme naturel (de - 1,14 % entre 1968 et 1975 à - 0,27 % entre 1990 et 1999), certes encore négatif, explique tout de même en partie la croissance soutenue de la population communale, malgré la diminution du nombre de nouveaux arrivants par rapport à la période 1975-1982.
La commune connaît donc :
- d'une part une nouvelle attractivité à partir de 1975 et plus particulièrement à partir de 1990 avec le desserrement des premières couronnes de périurbanisation de Perpignan et la pression foncière et immobilière de ces dernières années ;
- d'autre part un quasi-équilibre entre le nombre de naissances et le nombre de décès laissant entrevoir une éventuelle amélioration du mouvement naturel.
selon la population municipale des années : | 1968[48] | 1975[48] | 1982[48] | 1990[48] | 1999[48] | 2006[49] | 2009[50] | 2013[51] |
Rang de la commune dans le département | 103 | 95 | 80 | 80 | 73 | 67 | 65 | 63 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Enseignement
modifierÉtablissements d'enseignements[52] :
- Écoles maternelle et primaire[53],
- Collèges à Saint-André, Elne, Argelès-sur-Mer,
- Lycée des métiers Alfred Sauvy[54].
Manifestations culturelles et festivités
modifierSanté
modifierProfessionnels et établissements de santé[56] :
- Médecins,
- Pharmacies à Laroque-des-Albères, Sorède,
- Hôpitaux à Elne, Argelès-sur-Mer,
- Ostéopathe[57].
Sports
modifierClubs locaux[58]:
- Tennis,
- Cyclo club et école V.T.T. de randonnée,
- Gymnastique féminine.
Cultes
modifier- Culte catholique, Communauté de paroisses des Albères, Diocèse de Perpignan-Elne[59].
Économie
modifierRevenus
modifierEn 2018, la commune compte 720 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 1 641 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 030 €[I 6] (19 350 € dans le département[I 7]).
Emploi
modifier2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 8] | 7,9 % | 9,8 % | 10,3 % |
Département[I 9] | 10,3 % | 12,9 % | 13,3 % |
France entière[I 10] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 973 personnes, parmi lesquelles on compte 71,2 % d'actifs (60,9 % ayant un emploi et 10,3 % de chômeurs) et 28,8 % d'inactifs[Note 10],[I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 11]. Elle compte 351 emplois en 2018, contre 328 en 2013 et 300 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 599, soit un indicateur de concentration d'emploi de 58,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,8 %[I 12].
Sur ces 599 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 141 travaillent dans la commune, soit 24 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 86,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,3 % les transports en commun, 5,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Activités
modifierRevenus de la population et fiscalité
modifierChiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 794 €[I 15].
Emploi
modifier- L'activité principale des habitants était la confection de produits sur la base de la végétation locale comme le micocoulier et le chêne liège issus des forêts denses du Massif des Albères.
Entreprises et commerces
modifier- Agriculture
- Élevage.
- Activité agricole.
- Tourisme
- Activité touristique liée au patrimoine naturel, les sentiers de randonnées...
- Restaurant, gîtes.
- Commerces et services
- Commerces et activités de proximité[60].
Culture locale et patrimoine
modifierMonuments et lieux touristiques
modifier- L'église Saint-Étienne de Villelongue-dels-Monts, église romane[61] ;
- Monument aux morts[62].
- L'Église Saint-Louis de la Granja ;
- Le prieuré Sainte-Marie du Vilar ;
- La chapelle Notre-Dame de Vilar[63].
- Le musée, carrer de les escoles[64] ;
-
L'église Saint-Étienne de Villelongue-dels-Monts.
-
L'avenue des Albères.
-
Chapelle Notre-Dame de Vilar.
-
Pic d'Aureille, Massif des Albères.
Personnalités liées à la commune
modifier- La famille de Çagarriga : Henri de Çagarriga possédait, en 1939, le château de La Grange[65].
Héraldique
modifierBlason | Fascé d'or et de sable. |
|
---|---|---|
Détails | Blason de la famille d'Oms, ces armes sont données par le sceau apposé à un acte en date de 1632 émanant du bailli et des consuls de Villelongue[66]. La seigneurie de Villelongue, de la baronnie de Montesquieu, appartient à la famille d'Oms de 1390 à 1666[67]. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Lucette Triadou, Prieuré Santa Maria del Vilar, Sauvetage & historique du villar de 1998 à 2005. Néolithique final à ce jour.., Arles-sur-Tech, Association prieuré Santa-Maria del Vilar, 136 p. (ISBN 2-9516585-5-9)
- Prieuré de Santa Maria del Vilar
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site Internet de la mairie de Villelongue dels Monts
- Villelongue-dels-Monts sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Occitanie]
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Cyprien comprend trois villes-centres (Argelès-sur-Mer, Elne et Saint-Cyprien) et onze communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Villelongue-dels-Monts ».
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Cyprien », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Villelongue-dels-Monts » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Villelongue-dels-Monts » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Villelongue-dels-Monts » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
Autres sources
modifier- Stephan Georg, « Distance entre Villelongue-dels-Monts et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Villelongue-dels-Monts et Céret », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Villelongue-dels-Monts », sur villorama.com (consulté le ).
- Carrere, J.B., Description de la Province de Roussillon, Paris, chez Lamy, , 438 p. (lire en ligne).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 222-225.
- Carte IGN sous Géoportail
- Rapport de présentation - PLU de Villelongue-dels-Monts
- Les Albères
- Crête du pic d'Aureille
- « Plan séisme » (consulté le ).
- Station d'épuration
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Villelongue-dels-Monts et Le Perthus », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Perthus » (commune du Le Perthus) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Perthus » (commune du Le Perthus) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Villelongue-dels-Monts », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101478 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Villelongue-dels-Monts », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « crête du pic d'Aureille » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée du Tech de Céret à Ortaffa » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif des Albères » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « rivière le Tech » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), chapitre 1 - Liste des risques par commune.
- « Les risques près de chez moi - commune de Villelongue-dels-Monts », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Plans de Préventions des Risques naturels - Base de données actualisée à septembre 2020 », sur georisques.gouv.fr/ (consulté le ).
- « cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- (ca + fr) Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
- Abbaye St Génis des fontaines
- Histoire de Villelongue dels Monts
- Seconde église, dédiée à Saint Etienne restaurée avec le soutien de la Fondation du patrimoine
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
- « Liste des maires », sur MairesGenWeb.
- Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
- [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur la-clau.net.
- Christian Nifosi est l'un des 500 élus ayant parrainé la candidature de José Bové à l'élection présidentielle de 2007, cf. Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République.
- Les comptes de la commune
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Établissements d'enseignements
- École maternelle et élémentaire
- Lycée des métiers Alfred Sauvy
- Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
- Professionnels et établissements de santé
- Ostéopathe
- Associations locales
- Communauté de paroisses des Albères
- Artisans et Commerces
- Clocher de l'église paroissiale Saint Etienne
- Liste des morts pour la France de la commune
- « Chapelle Notre-Dame de Vilar », notice no PA00104175, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Le musée, carrer de les escoles
- La famille de Çagarriga
- Sagarra : sigillografia catalana n° 1697, Enregistré par la commission héraldique des Pyrénées-Orientales.
- Ruscino, 1920, page 25