Massimo Guerrera
Massimo Guerrera est un artiste multidisciplinaire québécois né à Rome, Italie, en 1967. Il vit et travaille à Montréal.
Cet article ne s'appuie pas, ou pas assez, sur des sources secondaires ou tertiaires ().
Pour améliorer la vérifiabilité de l'article ainsi que son intérêt encyclopédique, il est nécessaire, quand des sources primaires sont citées, de les associer à des analyses faites par des sources secondaires.
Cet article est une ébauche concernant un peintre québécois.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
| Naissance | |
|---|---|
| Nationalité | |
| Formation | |
| Activité |
artiste multidisciplinaire en art visuel pratiquant la performance, le dessin, la peinture, la sculpture, l'installation, la photographie, et l'écriture. |
Biographie modifier
Massimo Guerrera naît en 1967 à Rome[1]. Il fait ses études collégiales en graphisme aux Cégep Ahuntsic. En 1992, Guerrera obtient son Baccalauréat en arts visuels de l’Université du Québec à Montréal.
Massimo Guerrera utilise différents médiums, tels le dessin, l’écriture, la photographie, l’installation et la performance pour travailler sur l’espace fertile de la rencontre et ses mouvements. Entre la présence de l’être-ensemble et la solitude de l’atelier. C’est une démarche qui porte sur les oscillations sensibles de nos relations. Celles qui régissent les ouvertures et les fermetures de notre corps, de notre parole et de notre esprit, pour entrer en lien avec l’autre et nos environnements subtils. Sa démarche performative, s’articule depuis 1989, autour de ces rapports profonds qui régissent l’altérité et les phénomènes qui nous traversent. Ces questionnements se sont ancrés dans une pratique quotidienne, reliée et nourrit par une pratique méditative. Ils s’incarnent dans une série de projets de longue-durée, s’articulant autour de ces oscillations de la conscience et ses différents modes d’écritures. Il s’agit d’un travail attentif sur le processus de création, la présence et les différents états d’esprit qui s’y développent.
Prix et distinctions modifier
Expositions modifier
- Galerie Leonard & Bina Ellen, Université Concordia, Montréal, 1999[3].
- Kitchener-Waterloo Art Gallery, Kitchener, 2001.
- Musée national des beaux-arts du Québec, Québec, 2002[4].
- Mercer Union, Toronto, 2003[5].
- Galerie Yahouda, Montréal, février-mars 2004[6].
- Verge Gallery, Vancouver, 2004.
- Clint Roenisch Gallery, Toronto, 2004[7].
- CAPC-Musée d’art contemporain, Bordeaux, 2005.
- Dunlop Art Gallery, Régina, 2007.
- Fonderie Darling, Montréal, 2008[8].
- Biennale de Liverpool, Liverpool, 2010[9],[10].
- La Triennale québécoise, Musée d’art contemporain de Montréal, 2010[11],[10].
- Mois de la Photo de Montréal, 2011[12],[10].
- The Invisible Dog Art Center, New York, 2013[13].
- Les viscéraux - une esthétique de l'appétence, Orange, Centre Expression, Saint-Hyacinthe, 2015[14].
- Un moment donné (entre la galerie et la maison), Galerie Joyce Yahouda, Montréal, 2016[15].
Musées et collections publiques modifier
- Musée national des beaux-arts du Québec[16].
- Musée des beaux-arts de Montréal
- Musée d’art contemporain de Montréal
- Musée des beaux-arts du Canada, Ottawa[17]
- Banque d’œuvres d’art du Canada
- Collection de Loto-Québec
- Collection Giverny Capital
Références modifier
- Christiane Baillargeon, « Massimo Guerrera », sur viedesarts.com, (consulté le )
- Nathalie Petrowski, « Massimo Guerrera : un étrange rapport à l'art », sur lapresse.ca,
- Nicolas Mavrikakis, « Massimo Guerrera : L’eau à la bouche », sur Voir.ca (consulté le )
- « Massimo Guerrera Darboral », sur Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ) (consulté le )
- (en) « Mercer Union | PORUS » (consulté le )
- Hélène Brunet Neumann, « Fouilles relationnelles - Massimo Guerrera, "Porus (et quelques espaces-temps partageables)", Galerie Yahouda, Montréal, 7 février - 27 mars 2004 », Revue d'art contemporain ETC, n°67, septembre-novembre 2004, pp. 51-55
- (en-US) Kevin Temple, « The audience is art », sur NOW Magazine, (consulté le )
- « Fonderie Darling | Guerrera, Massimo », sur fonderiedarling.org (consulté le )
- « Liverpool Biennial [2010] | Manif d'art » (consulté le )
- Dictionnaire historique de la sculpture québécoise au XXe siècle, Massimo Guerrera
- « Entrevue avec Massimo Guerrera », sur MAC Montréal (consulté le )
- « Massimo Guerrera - Massimo Guerrera - Le Mois de la Photo à Montréal » (consulté le )
- Marie-Ève Charron, « Massimo Guerrera à The Invisible Dog Art center: Un autre pont jeté entre Montréal et Brooklyn », sur ledevoir.com, (consulté le )
- « Virage pour l’événement Orange », sur Le Devoir (consulté le )
- « Un moment donné (entre la galerie et la maison) - Galerie Joyce Yahouda », sur www.joyceyahoudagallery.com (consulté le )
- « Guerrera, Massimo », sur Collections | MNBAQ (consulté le )
- Musée des beaux-arts du Canada, Massimo Guerrera dans les collections
Annexes modifier
Bibliographie modifier
- Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains, Gründ, 2001, p. 522.
- Massimo Guerrera (échange avec Michaël La Chance), La réunion des pratiques suivi de Vingt façons de regarder un dessin, L'Œuvre de l'Autre, Centre d'exposition de l'UQAC, 2011.
- Bernard Lamarche, « Massimo Guerrera : une façon de voir l'être ensemble », Revue d'art contemporain ETC, n°96, juin-octobre 2012, pp. 30-34 (lire en ligne).
- Marie Fraser, « Massimo Guerrera », dans Le Travail Qui Nous Attend, Musée d'art contemporain de Montréal, , 498 p. (ISBN 9782551250745, présentation en ligne), p. 11
Liens externes modifier
- Ressources relatives aux beaux-arts :
