Montbrison-sur-Lez

commune française du département de la Drôme
(Redirigé depuis Montbrison (Drôme))

Montbrison-sur-Lez est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Montbrison-sur-Lez
Montbrison-sur-Lez
Prieuré de Montbrison-sur-Lez
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes Enclave des Papes-Pays de Grignan
Maire
Mandat
Patrice Mery
2020-2026
Code postal 26770
Code commune 26192
Démographie
Gentilé Montbrisonnais, Montbrisonnaises
Population
municipale
271 hab. (2021 en évolution de −6,87 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 26′ 16″ nord, 5° 01′ 13″ est
Altitude Min. 249 m
Max. 744 m
Superficie 12,83 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Valréas
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grignan
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Montbrison-sur-Lez
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Montbrison-sur-Lez

Géographie

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Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Localisation

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Montbrison-sur-Lez est situé à 11 km à l'est de Grignan (chef-lieu de canton), à 9 km au nord de Valréas, à 14 km au nord-ouest de Nyons qui est le chef-lieu d'arrondissement, à 17 km au sud de Dieulefit et à 31 km au sud-est de Montélimar.

Relief et géologie

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Sites particuliers[1] :

  • Combe Bache
  • Gramenon (341 m)
  • Gros Serre
  • la Viale (nord, 589 m)
  • la Viale (sud, 543 m)
  • le Grand Ubac (749 m)
  • Odoir (579 m)
  • Piégu (556 m)

Géologie

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Hydrographie

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La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

  • le Lez
  • le Rieu Sec
  • Ravin de Bruges
  • Ravin de Fontaine Pute
  • Ravin de Gros Serre
  • Ravin de l'Étang
  • Ravin des Pigières

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 905 mm, avec 6,6 jours de précipitations en janvier et 3,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Taulignan à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 842,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par les routes départementales 24, 538 et 551[1].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Montbrison-sur-Lez est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valréas, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (53,4 %), forêts (26,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,6 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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Quartiers, hameaux et lieux-dits

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Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Arron
  • Bel-Air
  • Beloure
  • Chauvet
  • Crochamp
  • la Caillonne
  • la Poterie
  • la Rivière
  • l'Aurou
  • le Château
  • le Châtelard
  • le Grangeon
  • le Long du Lez
  • le Peageon
  • le Rey
  • les Bories
  • les Chaux
  • les Clots
  • les Gailes
  • les Osières
  • les Picardes
  • les Plans
  • les Treilles
  • les Viras
  • l'Olivière
  • Petit Ubac
  • Peyrol
  • Pierre Lignier
  • Roussoullié
  • Suzaud

Logement

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Projets d'aménagement

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Risques naturels et technologiques

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Toponymie

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Attestations

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Dictionnaire topographique du département de la Drôme[13] :

  • 1284 : castrum de Monte Brissono (Valbonnais, II, 118).
  • 1509 : mention de l'église secondaire Saint-Michel : ecclesia baptismalis Sancti Michaelis Montis Brisonis (visites épiscopales).
  • 1521 : mention de la paroisse : cura Montis Brisoni (rôle de décimes).
  • XVIe siècle : mention du prieuré (dont l'église principale Saint-Blaise) : prioratus Sancti Blasii de Monte Brissono (pouillé de Die).
  • 1576 : Montbrizon (rôle de décimes).
  • 1891 : Montbrison, commune du canton de Grignan.

(non daté)[réf. nécessaire] : Montbrison-sur-Lez.

Étymologie

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Histoire

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Préhistoire

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Protohistoire

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Skyphos à décor pseudo-ionien (vers 525/450 avant notre ère).

La proximité de l'oppidum du Pègue (commune du Pègue) où la céramique pseudo-ionienne, provenant d'ateliers en relation avec Massalia, a été importante, permet de supposer dans la région environnante une consommation de vin entre le milieu du VIe siècle et le IVe siècle. La production d'œnochoés et de vases à vin (en pâte claire micacée, portant un décor peint, avec un registre allant de la bande ocre au développement de formes figuratives) sont majoritaires. Ces récipients ont gardé dans leurs formes de fortes influences gauloises (coupes carénées)[14].

Antiquité : les Gallo-romains

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Le territoire est rattaché à la tribu gauloise des Aletani. Sa capitale est la cité gallo-romaine d'Aletanum[réf. nécessaire].

Du Moyen Âge à la Révolution

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En 1281, les comtes de Lunel possèdent le château[15].

La seigneurie[13] :

  • Au point de vue féodal, Montbrison était une terre de la baronnie de Montauban.
  • 1316 : possession des Ancezune qui la cèdent alors aux dauphins en échange de celle de Chauvac.
  • 1334 : les dauphins la donnent aux Beaumont.
  • 1339 : les dauphins la donnent aux princes d'Orange.
  • 1380 : les Bellon avaient certains droits sur cette terre.
  • 1484 : les princes d'Orange l'apanagent à un bâtard.
  • 1501 : passe (par héritage) aux Poitiers d'Allan.
  • Recouvrée par les princes d'Orange qui l'incorporent dans leur principauté (Sur la section de Vaison de la carte de Cassini (XVIIIe siècle), Montbrison est encore noté comme dépendance de la principauté d'Orange, formant une enclave de celle-ci dans le Dauphiné, jouxtant le Comtat Venaissin).
  • 1702 : la principauté passe aux Bourbon-Conti.
  • 1724 : la terre de Montbrison est engagée aux Raymond-Modène, derniers seigneurs.

1789 (démographie) : 45 familles[13].

Avant 1790, Montbrison était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Saint-Paul-Trois-Châteaux et du bailliage du Buis.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die qui avait une église secondaire sous le vocable de Saint-Michel mais dont la principale église, premièrement dédiée à saint Biaise et qui prit ensuite le vocable de Notre-Dame-des-Églises, était celle d'un prieuré de l'ordre de Cluny (dépendant de celui du Pont-Saint-Esprit). Les dîmes de cette paroisse appartenaient, partie au roi, partie au prieur, partie au curé[13].

De la Révolution à nos jours

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En 1790, cette commune est attribuée au canton de Taulignan. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans celui de Grignan[13].

Politique et administration

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Tendance politique et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 ?    
1989 1995 ?    
1995 2001 ?    
2001 2008 Josette Beraud    
2008 2014 Josette Beraud   maire sortante
2014 2020 Josette Beraud DVG maire sortante
2020 En cours
(au 29 novembre 2020)
Patrice Mery[16][source insuffisante]    

Rattachements administratifs et électoraux

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Politique environnementale

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Jumelages

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[18].

En 2021, la commune comptait 271 habitants[Note 2], en évolution de −6,87 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
274225282360349381430393412
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
450449454451424429402433403
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
364362375293271257232212223
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
210208198258266312310310304
2017 2021 - - - - - - -
281271-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements

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Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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  • Fête : premier dimanche de septembre[21].

Loisirs

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  • Baignade[21].
  • Pêche[21].
  • Randonnées (sentiers pédestres)[21].

Médias

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Économie

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Agriculture

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En 1992 : lavandins, vignes (vins AOC Côtes-du-Rhône et VDQS Haut-Comtat), aviculture, apiculture (miel), truffes[21].

  • Foire : le premier septembre[21].

Tourisme

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Revenus de la population et fiscalité

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Le Montbrison médiéval n'était pas le petit village de plaine d'aujourd'hui ; il se situait sur la Vialle. Un sentier de randonnée permet de s'y rendre (suivre la table d'orientation). Les ruines du village et du château se trouvent sur un promontoire adossé au flanc sud de la Montagne de la Lance[réf. nécessaire].
  • Pontaujard : maison forte médiévale restaurée au-dessus du pont sur le Lez[réf. nécessaire].
  • La Vialle : restes de l'enceinte du village fortifié médiéval avec tour circulaire[réf. nécessaire].
  • Chapelle du prieuré Notre-Dame (XIIe siècle) : pilier carolingien[21].
  • Église remaniée d'origine romane[21].
Église Saint-Blaise : consacrée en 1791, elle a été construite pour remplacer la chapelle du prieuré qui servait jusque-là d'église paroissiale mais qui était trop loin du village. La construction de Saint-Blaise fut ordonnée après une cinquantaine d'années de discussions. À la fin du XIXe siècle, la population demanda la construction d'un clocher pour y installer la cloche nouvellement acquise (du fondeur lyonnais Aimé Burdin), et baptisée en 1875 du nom de « Claire Immaculée ». Le clocher ne sera jamais édifié et la cloche se trouve encore dans la remise de l'église[22],[23].

Patrimoine culturel

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Patrimoine naturel

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Personnalités liées à la commune

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  • Marcel Descour (né en 1899 à Paris, mort en 1995 à Montbrison) : général d'armée, héros de la Résistance (dit « colonel Bayard »), commandant militaire dans le maquis du Vercors (1944), grand officier de la Légion d'honneur.
  • Pierre Simonet (né en 1921 à Hanoï, mort en 2020 à Toulon) : militaire français des FFL, héros de Bir Hakeim, compagnon de la Libération, inhumé dans la commune.
  • Jacques Descour dit « La Flèche » (né en 1925 à Sarrelouis (Allemagne), tué le à Vassieux-en-Vercors (Drôme)). Âgé de 19 ans, originaire de Montbrison-sur-Lez, fils aîné du général Marcel Descour, élève au Prytanée, Jacques Descour, aspirant, était candidat à Saint-Cyr. Il fit partie des soixante étudiants de la JEC qui venaient de Lyon pour recevoir une instruction militaire en vue de leur affectation ultérieure comme cadres du maquis. Le , sous la direction de Jean Mourgues, il commande un réseau d'une vingtaine d'agents de liaison, puis il rejoint le Vercors. Il est tué parmi les premiers au combat de Vassieux-en-Vercors le [24].
  • Jean Besson (né en 1948 à Valréas) : issu d’une famille de vignerons et de commerçants de Montbrison-sur-Lez, sénateur de la Drôme (1989-2014), chevalier de la Légion d'honneur[25].

Héraldique, logotype et devise

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Montbrison-sur-Lez possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références

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Notes et cartes

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Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d https://www.geoportail.gouv.fr/
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Montbrison-sur-Lez et Taulignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Taulignan », sur la commune de Taulignan - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Taulignan », sur la commune de Taulignan - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valréas », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b c d et e J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 225 (Montbrison).
  14. C. Lagrand, La céramique pseudo-ionienne dans la moyenne vallée du Rhône, Cahiers Rhodaniens, X, 1963.
  15. Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen-Âge en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 1286 p. (ISBN 2-86535-070-3).
  16. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. a b c d e f g h et i Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Montbrison-sur-Lez.
  22. Cloche Claire Immaculée
  23. Notice no IM26000147, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  24. « Descour jacques (« la flèche »), dit descour fils », sur maitron.fr (consulté le ).
  25. who's who in France 1994.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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