Montbrison-sur-Lez
Montbrison-sur-Lez est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Montbrison-sur-Lez | |||||
Prieuré de Montbrison-sur-Lez | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Enclave des Papes-Pays de Grignan | ||||
Maire Mandat |
Patrice Mery 2020-2026 |
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Code postal | 26770 | ||||
Code commune | 26192 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montbrisonnais, Montbrisonnaises | ||||
Population municipale |
271 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 21 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 26′ 16″ nord, 5° 01′ 13″ est | ||||
Altitude | Min. 249 m Max. 744 m |
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Superficie | 12,83 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Valréas (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Grignan | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Géographie
modifierLocalisation
modifierMontbrison-sur-Lez est situé à 11 km à l'est de Grignan (chef-lieu de canton), à 9 km au nord de Valréas, à 14 km au nord-ouest de Nyons qui est le chef-lieu d'arrondissement, à 17 km au sud de Dieulefit et à 31 km au sud-est de Montélimar.
Taulignan Roche-Saint-Secret-Béconne |
Roche-Saint-Secret-Béconne | Roche-Saint-Secret-Béconne Le Pègue |
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Taulignan | N | Le Pègue | ||
O Montbrison-sur-Lez E | ||||
S | ||||
Valréas (Vaucluse) | Valréas (Vaucluse) | Rousset-les-Vignes |
Relief et géologie
modifierSites particuliers[1] :
- Combe Bache
- Gramenon (341 m)
- Gros Serre
- la Viale (nord, 589 m)
- la Viale (sud, 543 m)
- le Grand Ubac (749 m)
- Odoir (579 m)
- Piégu (556 m)
Géologie
modifierHydrographie
modifierLa commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :
- le Lez
- le Rieu Sec
- Ravin de Bruges
- Ravin de Fontaine Pute
- Ravin de Gros Serre
- Ravin de l'Étang
- Ravin des Pigières
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 905 mm, avec 6,6 jours de précipitations en janvier et 3,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Taulignan à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 842,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Voies de communication et transports
modifierLa commune est desservie par les routes départementales 24, 538 et 551[1].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Montbrison-sur-Lez est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valréas, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (53,4 %), forêts (26,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,6 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
modifierQuartiers, hameaux et lieux-dits
modifierSite Géoportail (carte IGN)[1] :
- Arron
- Bel-Air
- Beloure
- Chauvet
- Crochamp
- la Caillonne
- la Poterie
- la Rivière
- l'Aurou
- le Château
- le Châtelard
- le Grangeon
- le Long du Lez
- le Peageon
- le Rey
- les Bories
- les Chaux
- les Clots
- les Gailes
- les Osières
- les Picardes
- les Plans
- les Treilles
- les Viras
- l'Olivière
- Petit Ubac
- Peyrol
- Pierre Lignier
- Roussoullié
- Suzaud
Logement
modifierProjets d'aménagement
modifierRisques naturels et technologiques
modifierToponymie
modifierAttestations
modifierDictionnaire topographique du département de la Drôme[13] :
- 1284 : castrum de Monte Brissono (Valbonnais, II, 118).
- 1509 : mention de l'église secondaire Saint-Michel : ecclesia baptismalis Sancti Michaelis Montis Brisonis (visites épiscopales).
- 1521 : mention de la paroisse : cura Montis Brisoni (rôle de décimes).
- XVIe siècle : mention du prieuré (dont l'église principale Saint-Blaise) : prioratus Sancti Blasii de Monte Brissono (pouillé de Die).
- 1576 : Montbrizon (rôle de décimes).
- 1891 : Montbrison, commune du canton de Grignan.
(non daté)[réf. nécessaire] : Montbrison-sur-Lez.
Étymologie
modifierHistoire
modifierPréhistoire
modifierProtohistoire
modifierLa proximité de l'oppidum du Pègue (commune du Pègue) où la céramique pseudo-ionienne, provenant d'ateliers en relation avec Massalia, a été importante, permet de supposer dans la région environnante une consommation de vin entre le milieu du VIe siècle et le IVe siècle. La production d'œnochoés et de vases à vin (en pâte claire micacée, portant un décor peint, avec un registre allant de la bande ocre au développement de formes figuratives) sont majoritaires. Ces récipients ont gardé dans leurs formes de fortes influences gauloises (coupes carénées)[14].
Antiquité : les Gallo-romains
modifierLe territoire est rattaché à la tribu gauloise des Aletani. Sa capitale est la cité gallo-romaine d'Aletanum[réf. nécessaire].
Du Moyen Âge à la Révolution
modifierEn 1281, les comtes de Lunel possèdent le château[15].
La seigneurie[13] :
- Au point de vue féodal, Montbrison était une terre de la baronnie de Montauban.
- 1316 : possession des Ancezune qui la cèdent alors aux dauphins en échange de celle de Chauvac.
- 1334 : les dauphins la donnent aux Beaumont.
- 1339 : les dauphins la donnent aux princes d'Orange.
- 1380 : les Bellon avaient certains droits sur cette terre.
- 1484 : les princes d'Orange l'apanagent à un bâtard.
- 1501 : passe (par héritage) aux Poitiers d'Allan.
- Recouvrée par les princes d'Orange qui l'incorporent dans leur principauté (Sur la section de Vaison de la carte de Cassini (XVIIIe siècle), Montbrison est encore noté comme dépendance de la principauté d'Orange, formant une enclave de celle-ci dans le Dauphiné, jouxtant le Comtat Venaissin).
- 1702 : la principauté passe aux Bourbon-Conti.
- 1724 : la terre de Montbrison est engagée aux Raymond-Modène, derniers seigneurs.
1789 (démographie) : 45 familles[13].
Avant 1790, Montbrison était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Saint-Paul-Trois-Châteaux et du bailliage du Buis.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die qui avait une église secondaire sous le vocable de Saint-Michel mais dont la principale église, premièrement dédiée à saint Biaise et qui prit ensuite le vocable de Notre-Dame-des-Églises, était celle d'un prieuré de l'ordre de Cluny (dépendant de celui du Pont-Saint-Esprit). Les dîmes de cette paroisse appartenaient, partie au roi, partie au prieur, partie au curé[13].
De la Révolution à nos jours
modifierEn 1790, cette commune est attribuée au canton de Taulignan. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans celui de Grignan[13].
Politique et administration
modifierTendance politique et résultats
modifierAdministration municipale
modifierListe des maires
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierPolitique environnementale
modifierJumelages
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[18].
En 2021, la commune comptait 271 habitants[Note 2], en évolution de −6,87 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Services et équipements
modifierEnseignement
modifierSanté
modifierManifestations culturelles et festivités
modifier- Fête : premier dimanche de septembre[21].
Loisirs
modifierSports
modifierMédias
modifier- L'Agriculture Drômoise est un journal d'informations agricoles et rurales, couvrant l'ensemble du département de la Drôme.
- Le Dauphiné libéré, quotidien régional.
- France Bleu, radio.
Cultes
modifierÉconomie
modifierAgriculture
modifierEn 1992 : lavandins, vignes (vins AOC Côtes-du-Rhône et VDQS Haut-Comtat), aviculture, apiculture (miel), truffes[21].
- Foire : le premier septembre[21].
Tourisme
modifier- Cyclotourisme[21].
Revenus de la population et fiscalité
modifierEmploi
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Le Montbrison médiéval n'était pas le petit village de plaine d'aujourd'hui ; il se situait sur la Vialle. Un sentier de randonnée permet de s'y rendre (suivre la table d'orientation). Les ruines du village et du château se trouvent sur un promontoire adossé au flanc sud de la Montagne de la Lance[réf. nécessaire].
- Pontaujard : maison forte médiévale restaurée au-dessus du pont sur le Lez[réf. nécessaire].
- La Vialle : restes de l'enceinte du village fortifié médiéval avec tour circulaire[réf. nécessaire].
- Chapelle du prieuré Notre-Dame (XIIe siècle) : pilier carolingien[21].
- Église remaniée d'origine romane[21].
- Église Saint-Blaise : consacrée en 1791, elle a été construite pour remplacer la chapelle du prieuré qui servait jusque-là d'église paroissiale mais qui était trop loin du village. La construction de Saint-Blaise fut ordonnée après une cinquantaine d'années de discussions. À la fin du XIXe siècle, la population demanda la construction d'un clocher pour y installer la cloche nouvellement acquise (du fondeur lyonnais Aimé Burdin), et baptisée en 1875 du nom de « Claire Immaculée ». Le clocher ne sera jamais édifié et la cloche se trouve encore dans la remise de l'église[22],[23].
-
Église Saint-Blaise de Montbrison-sur-Lez.
-
Cloche « Claire Immaculée » de l'église Saint-Blaise.
Patrimoine culturel
modifierPatrimoine naturel
modifierPersonnalités liées à la commune
modifier- Marcel Descour (né en 1899 à Paris, mort en 1995 à Montbrison) : général d'armée, héros de la Résistance (dit « colonel Bayard »), commandant militaire dans le maquis du Vercors (1944), grand officier de la Légion d'honneur.
- Pierre Simonet (né en 1921 à Hanoï, mort en 2020 à Toulon) : militaire français des FFL, héros de Bir Hakeim, compagnon de la Libération, inhumé dans la commune.
- Jacques Descour dit « La Flèche » (né en 1925 à Sarrelouis (Allemagne), tué le à Vassieux-en-Vercors (Drôme)). Âgé de 19 ans, originaire de Montbrison-sur-Lez, fils aîné du général Marcel Descour, élève au Prytanée, Jacques Descour, aspirant, était candidat à Saint-Cyr. Il fit partie des soixante étudiants de la JEC qui venaient de Lyon pour recevoir une instruction militaire en vue de leur affectation ultérieure comme cadres du maquis. Le , sous la direction de Jean Mourgues, il commande un réseau d'une vingtaine d'agents de liaison, puis il rejoint le Vercors. Il est tué parmi les premiers au combat de Vassieux-en-Vercors le [24].
- Jean Besson (né en 1948 à Valréas) : issu d’une famille de vignerons et de commerçants de Montbrison-sur-Lez, sénateur de la Drôme (1989-2014), chevalier de la Légion d'honneur[25].
Héraldique, logotype et devise
modifierMontbrison-sur-Lez possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- https://www.geoportail.gouv.fr/
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Montbrison-sur-Lez et Taulignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Taulignan », sur la commune de Taulignan - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Taulignan », sur la commune de Taulignan - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valréas », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 225 (Montbrison).
- C. Lagrand, La céramique pseudo-ionienne dans la moyenne vallée du Rhône, Cahiers Rhodaniens, X, 1963.
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen-Âge en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 1286 p. (ISBN 2-86535-070-3).
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Montbrison-sur-Lez.
- Cloche Claire Immaculée
- Notice no IM26000147, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Descour jacques (« la flèche »), dit descour fils », sur maitron.fr (consulté le ).
- who's who in France 1994.
Voir aussi
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Montbrison sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2011.
- Petit journal de Montbrison sur lez