Ness Lee
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Ness Lee est une artiste basée à Toronto (Canada), connue pour ses peintures murales et illustrations.
Biographie modifier
Ness Lee grandit dans une famille hakka dans la région de Scarborough-Markham en Ontario[1]. De culture hakka mais grandissant au Canada, Ness Lee peine à cerner son identité et utilise l’art pour s’évader[2]. Elle étudie l’illustration à l’université de l'École d'art et de design de l'Ontario, puis découvre l’art érotique japonais Shunga lorsqu’elle se voit offrir un livre sur le sujet, quelques années après son diplôme[3]. Elle s’inspire de ces corps aux parties gigantesques pour créer son propre style[4].
Œuvre modifier
Les œuvres de Ness Lee sont largement influencées par la culture japonaise[5]. La plupart de ses personnages sont dessinés sur un fond blanc, avec un physique qui rappelle les lutteurs de sumos[5]. Lee travaille en peinture et en céramique[6]. Ses corps nus et volupteux évoquent l’amour et la tendresse[5].
En 2017, elle réalise une peinture murale à Toronto représentant Poussey Washington, détenue fictive dans la série Netflix Orange Is the New Black, pour la promotion de la série[1].
Expositions modifier
- All You Can, galerie Letter Bet à Saint-Henri (Montréal), juillet-[7]
- How to Hold Yourself, Project Gallery, [4]
Publication modifier
- (en) Vivek Shraya (ill. Ness Lee), Death Threat, , 60 p. (ISBN 9781551527505, présentation en ligne)
Références modifier
- (en) Brian Trinh, « How Hakka-Chinese Canadian Artist Ness Lee Crafted Her Own Asian Identity », sur HuffPost Canada, (consulté le ).
- (en) Celeste Yim, « Ness Lee Isn’t Naked In Her Drawings », sur www.vice.com, (consulté le ).
- (en) « Ness Lee’s Tactile Illustrations Find Strength in Sadness and Vulnerability », sur Elephant, elephantmagazine, (consulté le ).
- (en) Sara Cunningham, « How Ness Lee Became Toronto's Go-to Diarist », sur Designlines Magazine, DesignlinesMag, (consulté le ).
- (en) Rebecca Fulleylove, « The joyously risqué work of Toronto-based illustrator Ness Lee », sur www.itsnicethat.com, (consulté le ).
- (en) « This artist is exploring sexuality and playfulness through ceramics », sur CBC, (consulté le ).
- Catherine Genest, « Les douces étreintes de Ness Lee », sur Voir.ca, (consulté le ).
Liens externes modifier
- (en) Site officiel
