Plaine-et-Vallées
Plaine-et-Vallées est une commune nouvelle française résultant de la fusion — au — des communes de Brie, Oiron, Saint-Jouin-de-Marnes et Taizé-Maulais située dans le département des Deux-Sèvres, en région Nouvelle-Aquitaine.
Plaine-et-Vallées | |||||
Le bourg d'Oiron avec sa collégiale et son château. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Deux-Sèvres | ||||
Arrondissement | Bressuire | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Thouarsais | ||||
Maire Mandat |
Christiane Babin 2020-2026 |
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Code postal | 79100 et 79600 | ||||
Code commune | 79196 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
2 351 hab. (2021) | ||||
Densité | 25 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 57′ 07″ nord, 0° 04′ 49″ ouest | ||||
Altitude | Min. 47 m Max. 133 m |
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Superficie | 92,71 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Thouars (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Val de Thouet | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Deux-Sèvres
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | plaineetvallees.fr | ||||
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Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune de Plaine-et-Vallées est située dans la plaine de Thouars au nord-est du département des Deux-Sèvres et est limitrophe du département de la Vienne. Elle est traversée par la Dive, le Thouet et le Thouaret.
Elle fait partie du Thouarsais une région naturelle constituée par la plus grande partie de la plaine de Thouars et la partie moncontouroise du Loudunais. Les villes les plus proches sont Thouars, Loudun et Airvault à 15 km puis Chinon, Bressuire et Parthenay à 40 km.
Communes limitrophes
modifierThouars | Saint-Léger-de-Montbrun | Pas-de-Jeu | ||
Luzay | N | Martaizé | ||
O Plaine-et-Vallées E | ||||
S | ||||
Saint-Généroux Irais |
Airvault | Moncontour |
Hydrographie
modifierPlaine-et-Vallées est arrosée par la Dive et le Thouet qui sont des affluents de rive gauche de la Loire et par le Thouaret qui est un affluent du Thouet.
Climat
modifierHistoriquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 639 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Thouars à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 575,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Plaine-et-Vallées est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Thouars, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,6 %), prairies (30,7 %), zones agricoles hétérogènes (6,5 %), zones urbanisées (4,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,8 %), forêts (0,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Plaine-et-Vallées est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].
Risques naturels
modifierCertaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Sèvre Niortaise, le bief de Glande et le ruisseau la Grande Fraignée. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1995, 1999 et 2010[15],[13]. Le risque inondation a vocation à être pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du projet plan de prévention des risques inondation (PPRI) du « Marais poitevin ». Une première phase d'études techniques a consisté à réviser l'atlas des zones inondables des huit communes suivantes, Bessines, Magné, Coulon, Frontenay Rohan-Rohan, Sansais, Le Vanneau-Irleau, Arçais et Saint-Hilaire-la-Palud, qui datait de 1997[16]. Au regard des enjeux, un PPRI a été prescrit le sur le territoire des communes de Bessines, Coulon et Magné[17].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de terrains, notamment des tassements différentiels[18]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. 61,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[20].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[13].
Risque technologique
modifierLa commune est en outre située en aval du barrage de la Touche Poupard, un ouvrage de classe A[Note 3] mis en service en 1995 sur le cours d’eau le Chambon, affluent de la Sèvre Niortaise. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[22].
Toponymie
modifierSon nom provient de l'assemblage de plusieurs éléments majeurs de sa géographie que sont la Plaine de Thouars, la Vallée de la Dive et la Vallée du Thouet.
Le logo de Plaine-et-Vallées reprend un élément emblématique des quatre villages historiques de la commune nouvelle. Le château d'Oiron pour Oiron, les dolmens pour Taizé-Maulais, les peupliers pour Brie et l’abbatiale pour Saint Jouin de Marnes.
Histoire
modifierAvec neuf dolmens et un tumulus, la commune est le site mégalithique le plus important des Deux-Sèvres.
Au lieu-dit le fief de Boué, des constructions gallo-romaines ont été mises au jour[23].
En 1033, la butte de Moncoué fut le siège d'une bataille entre Angevins et Poitevins.
Politique et administration
modifierAdministration
modifier- Le , la commune de Maulais entre en fusion-association avec celle de Taizé (arrêté préfectoral du ).
- Le , les communes de Bilazais, Brie et Noizé entrent en fusion-association avec celle de Oiron (arrêté préfectoral du ).
- Le , Brie redevient indépendante (arrêté préfectoral du )[24]. Bilazais et Noizé conservent le statut de communes associées.
- Le , l'association de Bilazais et Noizé avec Oiron devient une fusion simple mettant ainsi fin au statut de commune associée.
- Le , l'association de Maulais avec Taizé devient une fusion simple mettant ainsi fin au statut de commune associée (arrêté préfectoral du ).
- Le , l'association pris le nom de Taizé-Maulais (arrêté pris le )[25].
- Le , Brie, Oiron, Taizé-Maulais et Saint-Jouin-de-Marnes fusionnent pour constituer la commune nouvelle de Plaine-et-Vallées dont le chef-lieu est situé à Oiron (arrêté préfectoral du )[26].
Élections Municipales
modifierListe des maires
modifierCommunes déléguées
modifierNom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (dernière pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
---|---|---|---|---|---|
Oiron (siège) |
79196 | CC du Thouarsais | 36,75 | 904 (2016) | 25 |
Brie | 79054 | CC du Thouarsais | 11,96 | 176 (2016) | 15 |
Saint-Jouin-de-Marnes | 79260 | CC du Thouarsais | 22,77 | 569 (2016) | 25 |
Taizé-Maulais | 79321 | CC du Thouarsais | 21,23 | 764 (2016) | 36 |
Jumelages
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2021, la commune comptait 2 351 habitants[Note 4].
Enseignement
modifierIl y a 3 écoles primaires sur la commune :
- Une école dans le village de Taizé qui accueille les élèves du RPI décentralisé de Taizé-Maulais/Missé[31].
- Une école dans le village d'Oiron qui accueille les élèves du RPI décentralisé d'Oiron/Brie/Pas-de-Jeu
- Une école dans le village de Saint-Jouin-de-Marnes qui accueille les élèves du RPI centralisé « les 5 villages » qui regroupe Availles-Thouarsais, Irais, Marnes, Saint-Généroux et Saint-Jouin-de-Marnes[32].
-
École primaire d'Oiron
-
École primaire de Taize
-
École primaire de Saint-Jouin-de-Marnes
Manifestations culturelles et festivités
modifierSports
modifierMédias
modifier- Deux quotidiens locaux départementaux : Le Courrier de l'Ouest et La Nouvelle République du Centre-Ouest.
Économie
modifier- Des sociétés de production de melon : les deux plus importants producteurs, le Rouge Gorge et Soldive, représentent à eux seuls plus de 20 % de la production nationale.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Un dolmen situé au sud du bourg, au lieu-dit la Pierre à Pineau, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [33].
-
Les quatre dolmens au...
-
Lieu-dit la Pierre levée...
-
...en bordure de la route...
-
...départementale 37.
Patrimoine civil
modifier- Le château d'Oiron, XVIe siècle, qui expose une collection d'œuvres contemporaines fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [34].
- Ruines du bâtiment appelé « Grand'maison » à Leugny
- Une maison noble au lieu-dit Auzay
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Façade du château d'Oiron
-
« Grand'maison » à Leugny.
-
Maison noble à Auzay.
Patrimoine culturel
modifier- Théâtre (T.R.A.C.) de Saint-Jouin-de-Marnes[35].
Patrimoine naturel
modifier- Le parc du château d'Oiron.
- La butte de Montcoué, butte-témoin qui fut le siège en 1033 d'une bataille entre Angevins et Poitevins. Sur place, trois croix témoignent de cet événement.
- Les rives du Thouet sont un tronçon du sentier de grande randonnée GR 36, en rive droite de Maranzais à Ligaine, puis en rive gauche au sud de Ligaine.
Patrimoine religieux
modifier- L'église abbatiale Saint-Jouin, classée monument historique depuis 1862[36].
- La collégiale Saint-Maurice d'Oiron, XVIe et XVIIe siècles, fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840[37]. Elle abrite, entre autres œuvres, quatre dalles funéraires, elles aussi classées monuments historiques.
- L'église Saint-Martin-les-Baillargeaux de Noizé, Xe et XIe siècles, fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [38]. Elle est isolée en pleins champs, à 500 mètres des premières habitations du bourg.
-
L'abbaye Saint-Jouin de Marnes
-
La collégiale Saint-Maurice.
-
Fronton ouest de la collégiale.
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Un des gisants à l'intérieur de la collégiale.
-
Vitrail central du chœur de la collégiale.
-
Église Saint-Martin-les-Baillargeaux de Noizé.
-
Église Saint-Martin-les-Baillargeaux de Noizé et son clocher.
- L'église de Brie dont les vitraux ont été refaits sous forme moderne, ce qui apporte une luminosité très particulière à l'intérieur de la nef.
- L'église Sainte-Radegonde de Bilazais, avec un chœur du XIIe siècle.
- L'église du bourg de Noizé, XIXe siècle.
- L'église Notre-Dame au bourg de Taizé.
- L'église Saint-Pierre de Maulais.
-
L'église de Brie
-
Nef de l'église(Brie)
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Église Sainte-Radegonde de Bilazais.
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Église du bourg de Noizé.
-
L'église Notre-Dame(Taizé)
-
L'église Saint Pierre de Maulais.
- L'ancienne Chapelle de Sazais.
- La Chapelle de Maranzais, au bord du Thouet.
-
L'ancienne chapelle de Sazais
-
La chapelle de Maranzais.
Personnalités liées à la commune
modifier- Louis Gouffier (1575-1642) duc de Roannais, marquis de Boisy, baron de Oiron et gouverneur de Poitiers, mort au Château d'Oiron
- Eugène Thomas né à Noizé, maire anti-clérical du Kremlin-Bicêtre
- Généroux (VIe siècle), romain d'origine, moine puis abbé à Saint-Jouin-de-Marnes ; saint chrétien fêté le 16 juillet en Occident et le 10 juillet en Orient.
- Aimery V (1095-1127), vicomte de Thouars fils de Geoffroy III, vicomte de Thouars et de Aurengarde de Mauléon, époux de Agnès Maude de Poitiers d'Aquitaine, mourut à Saint-Jouin-de-Marnes
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifier- Brie
- Oiron
- Taizé-Maulais
- Saint-Jouin-de-Marnes
- Liste des communes des Deux-Sèvres
- Liste des communes nouvelles créées en 2019
Liens externes
modifierNotes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[21].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Plaine-et-Vallées et Thouars », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Thouars-Stna » (commune de Thouars) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Thouars-Stna » (commune de Thouars) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Plaine-et-Vallées ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Thouars », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Plaine-et-Vallées », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « La révision des zones inondables du Marais poitevin dans les Deux-Sèvres », sur le site de la préfecture des Deux-Sèvres, (consulté le ).
- « Le Plan de Prévention des Risques inondation (PPRi) de Bessines, Coulon et Magné (en cours) », sur le site de la préfecture des Deux-Sèvres, (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Un des bassins du Site du Fief de Boué sur Wikisource
- Code officiel géographique - Fiche de la commune d'Oiron sur le site de l'Insee, consulté le 28 novembre 2010.
- ARRÊTÉ portant changement de nom de commune
- « Arrêté préfectoral portant création de la commune nouvelle de "Plaine-et-Vallées », sur Préfecture des Deux-Sèvres, (consulté le ).
- « Deux-Sèvres : la nouvelle commune de Plaine-et-Vallées écrit sa toute première page », La Nouvelle République, (lire en ligne).
- « COMITÉ DE JUMELAGE TAIZÉ-AVIN », sur journal-officiel.gouv.fr, .
- « Oiron s'enracine un peu plus en Alsace », La Nouvelle République du Centre Ouest, (lire en ligne)
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- http://sitesecoles.ac-poitiers.fr/taize-misse-rpi/
- http://sitesecoles.ac-poitiers.fr/rpi-les5villages/
- Notice no PA00101295, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00101294, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- http://www.tracsaintjouin.fr/
- « Classement de l'église de Saint-Jouin-de-Marnes à l'inventaire des monuments historiques », notice no PA00101340, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00101296, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00101297, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.