Portail:Honduras/Lumière sur...

Lumière sur...

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Armoiries du Honduras modifier

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Armoiries du Honduras.

Les Armoiries du Honduras sont composées de symboles faisant référence à son territoire et à son histoire.

Dans sa partie supérieur figure un ensemble de flèches qui simbolise la population indigène du pays et deux "cornes d'abondance" contenant des fruits et des fleurs.

Dans la partie centrale, de forme ovale, apparaissent sous un ciel azur et sur l'eau de la mer, une pyramide et deux tours sur entre lesquelles figure un arc-en-ciel. Sous l'arc-en-ciel, un soleil se levant, symbole de l'espoir et un volcan entre les deux océans (Atlantique et Pacifique), qui représente le territoire hondurien. L'oval central est entouré par une bordure blanche sur laquelle figure écrit en lettres d'or: "República de Honduras. Libre, Soberana e Independiente. 15 de Septiembre de 1821".

Dans la partie inférieure sont représentés quelques arbres (Pins et Chênes), symboles des ressources naturelles du Honduras; des outils de mineurs et les mines d'où l'on extrayait l'or et l'argent.

Jusqu'à son indépendance, comme toutes les colonies espagnoles, on utilisait au Honduras les armoiries des rois d'Espagne (il n'exista pas d'armoiries nationales espagnoles avant 1868). Dionisio de Herrera, en tant que chef de l'État du Honduras, décreta la création d'un écu national le 3 octobre 1825.

La description et l'usage des armoiries honduriennes sont régulés par le décret numéro 16 et par l'article 142 établit par le Congrès National le 10 janvier 1935.


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Copán modifier

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Ruine d'un temple de Copán.

Copán est une ancienne ville maya qui a donné son nom à l'actuelle ville de Copán Ruinas, ainsi qu'à la capitale (Santa Rosa de Copán) du département de Copán, situé à l'extrémité ouest du Honduras. Son ancien nom semble avoir été Xukpi (prononcer «choukpi»), une combinaison des mots «xuk» (coin) et «pi» (paquet).

Cette ville, qui a connu son apogée au VIIe siècle ap. J.-C., a été abandonnée aux environs du Xe siècle. Elle a été inscrite sur la liste du patrimoine mondial culturel de l'Humanité de l'UNESCO en 1980.

Le site archéologique de Copán est situé en pleine jungle, dans la petite vallée d'un sous-affluent du fleuve Motagua, la rivière Copán, à une altitude de 600 mètres et à seulement 12km de la frontière guatémaltèque.


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Coup d'État de 2009 au Honduras modifier

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Manuel Zelaya, le président déposé par le coup d'État du

Le coup d’État au Honduras du voit l'armée soutenue par la Cour suprême et le Congrès arrêter et expulser le Président Manuel Zelaya (PL), au paroxysme d'un conflit institutionnel tournant autour de la mise en place d'une consultation populaire qui devait avoir lieu le jour même. La tentative du président de consulter le peuple pour provoquer la réunion d'une assemblée constituante avait été interdite par les autorités judiciaires et était perçue comme une tentative de violer la règle constitutionnelle interdisant au président de briguer un second mandat.

Le jour même, la Cour suprême valide le renversement du Président par l'armée. Le Parlement désigne un nouveau gouvernement, dirigé par Roberto Micheletti (PL), qui déclare le couvre-feu puis l'état d'urgence le 1er juillet. Zelaya bénéficie du soutien de la communauté internationale, dont l'ONU et l'OEA, ainsi que celui des États-Unis, du Venezuela et de la Colombie, qui condamne la rupture de la légalité, appelle à la restauration du président démis et suspend les concours financiers. Soutenu par une partie de la population qui manifeste de façon globalement pacifique, Manuel Zelaya parvient à rentrer dans son pays le 21 septembre, trouvant refuge à l'ambassade du Brésil. La Commission interaméricaine des droits de l'homme a dénoncé le un « usage disproportionné » de la force par le gouvernement de facto, ainsi que des arrestations arbitraires (entre 3 500 et 4 000 personnes, dans un pays d'environ huit millions d'habitants), l'usage arbitraire du couvre-feu, des traitements inhumains et dégradants, de mauvaises conditions de détention ainsi que la mort de 4 personnes et les blessures infligées à d'autres.

Selon les observateurs de la politique hondurienne, Manuel Zelaya, bien qu'élu issu du Parti Libéral, a mené une politique qui lui a aliéné les institutions et son parti, comme l'adhésion du Honduras à l'Alternative bolivarienne pour les Amériques (ALBA). Des élections ont eu lieu le 29 novembre 2009. Remportées par le candidat de droite, Porfirio Lobo Sosa (Parti national), ces élections, soutenues par Washington, n'ont pas été reconnues par le Mercosur et par bien d'autres pays.


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Guanaja modifier

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Image satellite de Guanaja.

Guanaja est l'une des îles, la seconde en superficie et la plus orientale, du département des Islas de la Bahía, au Honduras, située dans la mer des Caraïbes.

Longue de 17 km et d'une largeur maximale de 7 km, elle se trouve à environ 70 km de la côte nord du Honduras et 12 km à l'est de Roatán, la plus grande île de ce département.

La majorité des 10 000 îliens vit dans le chef-lieu, Bonacca, qui concentre également l'activité commerciale, situé sur la face sud-est, non pas sur le sol de l'île mais sur une paire de récifs coralliens. Les deux autres communes importantes sont Mangrove Bight et Savannah Bight, sises dans la partie nord.


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Francisco Morazán modifier

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Le Général José Francisco Morazán Quezada (Tegucigalpa, 3 octobre 1792-San José, 15 septembre 1842) est un caudillo d'Amérique centrale.

Il fut Président de la République Fédérale d'Amérique centrale (1830-1834 ; 1835-1839) ainsi que chef d'Etat du Honduras (1827-1830), du Guatemala (1829), du Salvador (1839-1840) et du Costa Rica (1840).

Il est considéré comme étant l'un des plus grands chefs militaires d'Amérique centrale et un personnage central de la vie politique centre-américaine du début du XIXe siècle en tant que leader du mouvement libéral.

Né à Tegucigalpa (Honduras) en 1792, d'un père créole venant des Antilles et originaire de Corse, il reçut une éducation visant une carrière politique et militaire. Il apprit le français et se familiarisa avec la pensée des Lumières et la révolution française; il s'intéressa aussi à l'histoire de l'Europe, à la guerre d'indépendance d'Espagne et à l'Antiquité grecque et romaine. Sa formation militaire théorique s'appuya sur les guerres napoléoniennes.


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