Première circonscription de Nice
La première circonscription de Nice est l'une des circonscriptions législatives françaises en vigueur sous la Troisième République durant les périodes où l'élection des députés s'effectue selon le scrutin d'arrondissement. Nice désigne donc ici l'arrondissement de Nice.
La circonscription correspond essentiellement à la ville de Nice de sa création en 1875 jusqu'en 1910 et est alors appelée « Nice-ville ». Elle correspond entre 1910 et 1928 essentiellement à la partie de la ville de Nice située sur la rive droite du Paillon, puis à la partie ouest de Nice à partir de 1928. Deux personnalités républicaines modérées en sont longtemps les députés : Alfred Borriglione durant près de 10 ans de 1876 à 1885, et Flaminius Raiberti durant 29 ans de 1890 à 1919. C'est aussi la circonscription de Jean Médecin lorsqu'il a été député sous la IIIe République, entre 1932 et 1939.
Description géographique
modifierLe redécoupage des circonscriptions de 1875 découpe l'arrondissement de Nice en deux circonscriptions conformément à la loi organique du 30 novembre 1875. La première circonscription est alors composée des cantons de Nice-Est et de Nice-Ouest ce qui correspond à la totalité de la ville de Nice ainsi qu'aux communes de Saint-André, Falicon et La Trinité[1]. La circonscription est alors appelée « Nice-ville », par distinction avec la deuxième circonscription de Nice qui est qualifiée de « Nice-campagne »[2].
À partir des élections législatives de 1910, une troisième circonscription est attribuée à l'arrondissement de Nice ce qui conduit à revoir les délimitations des circonscriptions. La première circonscription de Nice correspond alors au seul canton de Nice-Ouest soit : la partie de la ville de Nice située sur la rive droite du Paillon, ainsi que les communes de Saint-André, Falicon et La Trinité[3],[4].
Le redécoupage des circonscriptions de 1927, entré en vigueur lors des élections législatives de 1928, modifie les limites de la première circonscription de Nice en lui attribuant le seul canton de Nice-4, créé en 1919[5]. Son territoire correspond alors à la partie de la ville de Nice située sur la rive droite du Paillon à l'ouest de la place Masséna, des avenues de la Victoire (actuelle avenue Jean-Médecin), Malausséna et Borriglione et du chemin de grande communication n°14 qui relie Nice à Aspremont[6]. La circonscription est alors réputée pour être celle des « beaux quartiers »[7].
À partir de 1958, lorsque des circonscriptions législatives sont à nouveau instaurées après leur absence sous le régime de Vichy et sous la Quatrième République, le territoire de l'ancienne première cironscription de Nice correspond à une partie de la deuxième circonscription des Alpes-Maritimes et à une partie de la troisième circonscription des Alpes-Maritimes.
Historique des députations
modifierLégislature | Début de mandat | Fin de mandat | Député | Parti ou tendance |
Groupe parlementaire |
Observations | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Ire | Alfred Borriglione | Rép. opportunistes | Union républicaine | Conseiller général du canton de Sospel | |||
IIe | Alfred Borriglione | Rép. opportunistes | Union républicaine | Maire de Nice (à partir de janvier 1878), conseiller général du canton de Sospel | |||
IIIe | Alfred Borriglione | Rép. opportunistes | Maire de Nice, conseiller général du canton de Sospel | ||||
Durant la IVe législature, le scrutin d'arrondissement est supprimé conformément à la loi du . La 1re circonscription de Nice n'existe donc plus et le département des Alpes-Maritimes forme une circonscription unique dans laquelle les députés sont élus au scrutin de liste majoritaire. | |||||||
Ve | Raphaël Bischoffsheim | Rép. opportunistes | ULR | Son élection est invalidée pour corruption électorale. | |||
Flaminius Raiberti | Rép. indépendant | non-inscrit | |||||
VIe | Flaminius Raiberti | Rép. progressistes | non-inscrit | ||||
VIIe | Flaminius Raiberti | Rép. progressistes | non-inscrit | Conseiller général du canton de Contes (à partir de 1901) | |||
VIIIe | Flaminius Raiberti | Rép. progressistes | Rép. progressistes | Conseiller général du canton de Contes | |||
IXe | Flaminius Raiberti | Rép. progressistes | Rép. progressistes | Conseiller général du canton de Contes | |||
Xe | Flaminius Raiberti | Rép. progressistes puis Union républicaine |
Président du conseil général des Alpes-Maritimes (à partir de 1911) | ||||
XIe | Flaminius Raiberti | PRD puis ARD | Gauche démocratique | Président du conseil général des Alpes-Maritimes | |||
Durant les XIIe et XIIIe législatures, le scrutin d'arrondissement est supprimé pour les Alpes-Maritimes conformément à la loi du . La 1re circonscription de Nice n'existe donc plus et le département des Alpes-Maritimes forme une circonscription unique dans laquelle les députés sont élus au scrutin proportionnel plurinominal. | |||||||
XIVe | Édouard Grinda | AD | Républicains de gauche | Conseiller général du canton de Beausoleil (jusqu'en 1931), ministre du Travail et de la Prévoyance Sociale (du au ) | |||
XVe | Jean Médecin | IDG | Maire de Nice. | ||||
XVIe | Jean Médecin | non-inscrit | Maire de Nice. Il entre au Sénat le . | ||||
Jacques Bounin | PSF | app. RIAS puis PSF |
Historique des élections
modifierÉlections de 1876
modifierCandidat | Étiquette | Premier tour | |||
---|---|---|---|---|---|
Voix | % | ||||
Alfred Borriglione | Rép. opportunistes | 5 317 | 98,48 | ||
Autres[note 1] | 82 | 1,52 | |||
Inscrits | 12 657 | 100 | |||
Abstentions | 6 985 | 55,19 | |||
Votants | 5 672 | 44,81 | |||
Blancs et nuls | 273 | 4,81 | |||
Exprimés | 5 399 | 95,19 |
Alfred Borriglione, rallié à la République après avoir été séparatiste au début des années 1870, est seul candidat dans la circonscription. Il rassemble le parti républicain français et l'aile libérale du Comité niçois. Le fait que deux autres des quatre circonscriptions du département connaissent une candidature unique laisse penser à un arrangement entre les partis[9].
Élections de 1877
modifierCandidat | Étiquette | Premier tour | |||
---|---|---|---|---|---|
Voix | % | ||||
Alfred Borriglione | Union républicaine | 7 443 | 97,78 | ||
Divers | 118 | 1,55 | |||
Autres[note 2] | 51 | 0,67 | |||
Inscrits | 13 124 | 100 | |||
Abstentions | 5 310 | 40,46 | |||
Votants | 7 814 | 59,54 | |||
Blancs et nuls | 202 | 2,59 | |||
Exprimés | 7 612 | 97,41 |
Élections de 1881
modifierCandidat | Étiquette | Premier tour | |||
---|---|---|---|---|---|
Voix | % | ||||
Alfred Borriglione | Rép. opportunistes | 8 096 | 97,66 | ||
Autres[note 3] | 194 | 2,34 | |||
Inscrits | 13 979 | 100 | |||
Abstentions | 5 566 | 39,82 | |||
Votants | 8 413 | 60,18 | |||
Blancs et nuls | 123 | 1,46 | |||
Exprimés | 8 290 | 98,54 |
Élections de 1889
modifierCandidats | Étiquette | Premier tour | ||
---|---|---|---|---|
Voix | % | |||
Raphaël Bischoffsheim | Rép. opportunistes | 5 074 | 51,08 | |
Flaminius Raiberti | boulangiste | 4 413 | 44,43 | |
Grégoire Ricci | Rép. progressistes[13] | 447 | 4,50 | |
Inscrits | 14 558 | 100 | ||
Abstention | 4 345 | 29,85 | ||
Votants | 10 213 | 70,15 | ||
Blancs et nuls | 280 | 2,74 | ||
Exprimés | 9 933 | 97,26 |
La campagne électorale est essentiellement centrée autour de la question du boulangisme et de la révision des lois constitutionnelles de 1875[13]. Raphaël Bischoffsheim réussit à coaliser sur son nom les opposants au boulangiste et républicain révisionniste Flaminius Raiberti[13]. Il reçoit notamment le soutien, à contrecœur, de l'adjoint au maire de Nice Alexandre Médecin du « parti niçois national et indépendant », ainsi que du journal Le Petit Niçois[13].
Élection partielle de 1890
modifierÀ la suite de l'invalidation par la Chambre des députés le de l'élection de Raphaël Bischoffsheim pour corruption et achats de voix, une élection législative partielle est organisée[14]. Le député Alfred Borriglione, élu dans la deuxième circonscription de Nice, démissionne de son mandat pour pouvoir se porter candidat[7].
Candidats | Étiquette | Premier tour | ||
---|---|---|---|---|
Voix | % | |||
Flaminius Raiberti | Rép. indépendant | 5 940 | 52,16 | |
Alfred Borriglione | Rép. opportunistes | 5 393 | 47,36 | |
Autres[note 4] | 54 | 0,47 | ||
Inscrits | 14 227 | 100 | ||
Abstention | 2 742 | 19,27 | ||
Votants | 11 485 | 80,73 | ||
Blancs et nuls | 98 | 0,85 | ||
Exprimés | 11 387 | 99,15 |
Lors de cette élection, Flaminius Raiberti abandonne le boulangisme pour rallier la camp républicain[16]. Il déclare soutenir le gouvernement Pierre Tirard II, qui s'appuie sur une large coalition entre les républicains opportunistes, les radicaux et l'extrême gauche face au boulangisme, et s'engage à siéger sur les bancs de la gauche[16]. Ce positionnement à gauche se confirme lorsqu'il affirme trouver Nice « trop centre-gauche[17] ». Il représente à cette élection le camp républicain indépendant face au parti républicain opportuniste représenté par Alfred Borriglione[18]. L'ancien maire de Nice Auguste Raynaud apporte son soutien à Flaminius Raiberti[19]. De leur côté, les partisans d'Alfred Borriglione accusent Raiberti de ne pas être sincère dans son ralliement à la République[20]. Lors de cette élection, les vieux quartiers soutiennent Flaminius Raiberti tandis que les nouveaux quartiers périphériques portent leur choix sur Alfred Borriglione[21].
Élections de 1893
modifierCandidats | Étiquette | Premier tour | ||
---|---|---|---|---|
Voix | % | |||
Flaminius Raiberti | Rép. progressistes | 5 504 | 98,83 | |
Autres[note 5] | 65 | 1,17 | ||
Inscrits | 15 150 | 100 | ||
Abstention | 6 928 | 45,73 | ||
Votants | 8 222 | 54,27 | ||
Blancs et nuls | 2 653 | 32,27 | ||
Exprimés | 5 569 | 67,73 |
Élections de 1898
modifierCandidats | Étiquette | Premier tour | ||
---|---|---|---|---|
Voix | % | |||
Flaminius Raiberti | Rép. progressistes | 9 248 | 86,25 | |
Louis Robini | Républicains[24] | 1 161 | 10,83 | |
Paul Martelli | socialiste[25] | 6 | 0,06 | |
Autres[note 6] | 307 | 2,86 | ||
Inscrits | 17 303 | 100 | ||
Abstention | 5 411 | 31,27 | ||
Votants | 11 892 | 68,73 | ||
Blancs et nuls | 1 170 | 9,84 | ||
Exprimés | 10 722 | 90,16 |
Élections de 1902
modifierCandidats | Étiquette | Premier tour | ||
---|---|---|---|---|
Voix | % | |||
Flaminius Raiberti | Rép. progr. (rép. antiministériel[28]) | 10 278 | 84,67 | |
Louis Robini | Républicains[29] | 1 342 | 11,06 | |
P. Bonnet | socialiste[28] | 224 | 1,85 | |
L. Cauvin[30],[31] | 213 | 1,75 | ||
Peguilhan[30],[31] | 75 | 0,62 | ||
Autres[note 7] | 7 | 0,06 | ||
Inscrits | 18 918 | 100 | ||
Abstention | 6 058 | 32,02 | ||
Votants | 12 860 | 67,98 | ||
Blancs et nuls | 721 | 5,61 | ||
Exprimés | 12 139 | 94,39 |
Élections de 1906
modifierCandidats | Étiquette | Premier tour | ||
---|---|---|---|---|
Voix | % | |||
Flaminius Raiberti | Rép. progr.[33] | 9 545 | 63,72 | |
Origet | Rad[34],[35] | 2 765 | 18,46 | |
Jules Sioly[33] | PRRRS[34],[35] | 2 431 | 16,23 | |
Robini | 163 | 1,09 | ||
Cauvin | 34 | 0,23 | ||
Gontard | 6 | 0,04 | ||
Travasa | 6 | 0,04 | ||
Nègre | 2 | 0,01 | ||
Israël | 1 | 0,01 | ||
Autres[note 8] | 27 | 0,18 | ||
Inscrits | 20 986 | 100 | ||
Abstention | 5 615 | 26,76 | ||
Votants | 15 371 | 73,24 | ||
Blancs et nuls | 391 | 2,54 | ||
Exprimés | 14 980 | 97,46 |
Le quotidien local radical Le Phare du Littoral note avec satisaction que Flaminius Raiberti, vainqueur de l'élection, a annoncé lors de la campagne qu'il soutiendrait le gouvernement mené par le radical-socialiste Ferdinand Sarrien, et que « cette légère mais franche orientation à gauche est plus qu'il ne faut exiger d'un député qui représente Nice »[35].
Élections de 1910
modifierCandidats | Étiquette | Premier tour | ||
---|---|---|---|---|
Voix | % | |||
Flaminius Raiberti | Rép. progr. | 8 532 | 95,87 | |
Frederick Stackelberg | SFIO | 296 | 3,33 | |
Denegri | 66 | 0,74 | ||
Gillot | 6 | 0,07 | ||
Inscrits | 15 527 | 100 | ||
Abstention | 5 823 | 37,50 | ||
Votants | 9 704 | 62,50 | ||
Blancs et nuls | 804 | 8,29 | ||
Exprimés | 8 900 | 91,71 |
Élections de 1914
modifierCandidats | Étiquette | Premier tour | ||
---|---|---|---|---|
Voix | % | |||
Flaminius Raiberti | PRD | 8 632 | 88,89 | |
Frederick Stackelberg | SFIO | 1 061 | 10,93 | |
Ausaldi | 18 | 0,19 | ||
Inscrits | 17 226 | 100 | ||
Abstention | 6 740 | 39,13 | ||
Votants | 10 486 | 60,87 | ||
Blancs et nuls | 775 | 7,39 | ||
Exprimés | 9 711 | 92,61 |
Élections de 1928
modifierCandidat | Parti | Premier tour | |||
---|---|---|---|---|---|
Voix | % | ||||
Édouard Grinda | AD (Rép. de g. ) | 5 667 | 50,73 | ||
Salvagniac | PRS | 2 034 | 18,21 | ||
Petitpas | Rad-ind[40] | 2 026 | 18,13 | ||
Nicolaï | Rad-ind | 587 | 5,25 | ||
Barthélemy Tavera | SFIO | 417 | 3,73 | ||
Claude Briday | BOP (PC-SFIC) | 417 | 3,73 | ||
Divers | 24 | 0,21 | |||
Inscrits | 13 985 | 100 | |||
Abstentions | 2 552 | 18,25 | |||
Votants | 11 433 | 81,75 | |||
Blancs et nuls | 261 | 2,28 | |||
Exprimés | 11 172 | 97,72 |
Élections de 1932
modifierCandidat | Parti | Premier tour | |||
---|---|---|---|---|---|
Voix | % | ||||
Jean Médecin | rép. ind. (IDG) | 11 875 | 86,81 | ||
Jules Defaut | PC-SFIC | 1 092 | 7,98 | ||
Berthoux | ind. | 350 | 2,56 | ||
Donetti | SFIO | 327 | 2,39 | ||
Divers | 36 | 0,26 | |||
Inscrits | 18 037 | 100 | |||
Abstentions | 3 839 | 21,28 | |||
Votants | 14 198 | 78,72 | |||
Blancs et nuls | 518 | 3,65 | |||
Exprimés | 13 680 | 96,35 |
Élections de 1936
modifierCandidat | Parti | Premier tour | |||
---|---|---|---|---|---|
Voix | % | ||||
Jean Médecin | IDG | 10 837 | 60,78 | ||
Albert Robini | PC-SFIC | 4 430 | 24,84 | ||
Marcel Jeanjacquot | SFIO | 1 983 | 11,12 | ||
Pierre Elissague | royaliste | 569 | 3,19 | ||
Émile Béranger | 12 | 0,07 | |||
Pierre-Jean Barral | |||||
Pierre Thurotte | |||||
Joseph Rebroin | |||||
Inscrits | 21 620 | 100 | |||
Abstentions | 3 290 | 15,22 | |||
Votants | 18 330 | 84,78 | |||
Blancs et nuls | 499 | 2,72 | |||
Exprimés | 17 831 | 97,28 |
Élection partielle de 1939
modifierÀ la suite de l'élection au Sénat de Jean Médecin, une élection législative partielle est organisée pour le remplacer à la Chambre des députés. Celle-ci a lieu les 19 et 26 mars 1939.
Candidat | Parti | Premier tour | Second tour | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||||
Jacques Bounin | rép. ind. (PSF) | 3 734 | 22,48 | 8 000 | 47,90 | ||
Albert Robini | PC-SFIC | 3 696 | 22,25 | 4 843 | 28,99 | ||
Marcel Sableau | PRRRS | 3 143 | 18,92 | 3 727 | 22,31 | ||
Georges Bensa | PPF (FL) | 2 947 | 17,74 | Retrait | |||
Ciaudo | rép. de gauche (AD ind.) | 1 858 | 11,18 | ||||
Leca | SFIO | 963 | 5,80 | ||||
Charrier | divers Front populaire | 272 | 1,64 | 134 | 0,80 | ||
Inscrits | 21 940 | 100 | |||||
Abstentions | 5 044 | 22,99 | |||||
Votants | 16 896 | 77,01 | |||||
Blancs et nuls | 193 | 1,14 | |||||
Exprimés | 16 613 | 16 703 | 98,86 |
Jacques Bounin est soutenu par le sénateur-maire de Nice Jean Médecin et par le Parti social français (PSF)[49],[50]. Georges Bensa (PPF), soutenu au premier tour par la Fédération républicaine et par le Parti républicain national et social (PRNS) de Pierre Taittinger, se désiste au second tour en faveur de Jacques Bounin[49], de même que Ciaudo. Le socialiste Leca se désiste en faveur du communiste Albert Robini[48].
Notes et références
modifierNotes
modifier- Dans les résultats de l'élection publiés au Journal officiel de la République française, le nombre total des voix exprimées du seul candidat qui y est listé (Alfred Borriglione) est inférieur de 82 voix au nombre total des suffrages exprimés.
- Dans les résultats de l'élection publiés au Journal officiel de la République française, le nombre total des voix exprimées des candidats qui y sont listés (Alfred Borriglione et les « Divers ») est inférieur de 51 voix au nombre total des suffrages exprimés.
- Dans les résultats de l'élection publiés au Journal officiel de la République française, le nombre des voix exprimées recueillies par le seul candidat à l'élection est inférieur de 194 voix au nombre total des suffrages exprimés.
- Dans les résultats de l'élection publiés au Journal officiel de la République française, le nombre total des voix exprimées des candidats qui y sont listés est inférieur de 54 voix au nombre total des suffrages exprimés.
- Dans les résultats de l'élection publiés au Journal officiel de la République française, le nombre des voix exprimées recueillies par le seul candidat à l'élection est inférieur de 65 voix au nombre total des suffrages exprimés.
- Dans les résultats de l'élection publiés au Journal officiel de la République française, le nombre total des voix exprimées des candidats qui y sont listés est inférieur de 307 voix au nombre total des suffrages exprimés.
- Dans les résultats de l'élection publiés au Journal officiel de la République française, le nombre total des voix exprimées des candidats qui y sont listés est inférieur de 7 voix au nombre total des suffrages exprimés.
- Dans les résultats de l'élection publiés au Journal officiel de la République française, le nombre total des voix exprimées des candidats qui y sont listés est inférieur de 27 voix au nombre total des suffrages exprimés.
Références
modifier- Gaudillère 1995, p. 108.
- Henri courrière, « Chapitre VII. Le moment Boulanger », dans Les Alpes-Maritimes et la République : Histoire politique d’un département modéré (1879-1898), Rennes, Presses universitaires de Rennes, coll. « Histoire », (ISBN 978-2-7535-8808-0, lire en ligne), p. 185-210.
- Gaudillère 1995, p. 109.
- « Chronique électorale », L'Éclaireur de Nice, no 114, , p. 5 (lire en ligne, consulté le ).
- « Loi du portant rétablissement du scrutin uninominal pour l'élection des députés - Tableau des circonscriptions électorales », Journal officiel de la République française, , p. 7549 (lire en ligne, consulté le ).
- « Loi du 7 février 1919 subdivisant en quatre cantons les cantons actuels de Nice Est et Nice Ouest », Journal officiel de la République française, , p. 1498 (lire en ligne, consulté le ).
- Christophe Bellon, « Au fondement d'une génération politique : le baron Flaminius Raiberti et le modèle républicain en terres maralpines (1890-1929) », Parlement(s) : revue d'histoire politique, no HS 7, , p. 55-74 (DOI 10.3917/parl.hs07.0055, lire en ligne, consulté le ).
- « Chambre des députés - Séance du », Journal officiel de la République française, , p. 38 (lire en ligne, consulté le ).
- Henri Courrière, « Une transition politique libérale en Méditerranée. L’avènement de la Troisième République dans les Alpes-Maritimes et la question du campanilisme (1860-1879) », Cahiers de la Méditerranée, no 98, , p. 195-211 (DOI https://doi.org/10.4000/cdlm.11559, lire en ligne, consulté le ).
- « Chambre des députés - Séance du », Journal officiel de la République française, , p. 7252 (lire en ligne, consulté le ).
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- « Chambre des députés - Séance du », Journal officiel de la République française, , p. 427 (lire en ligne, consulté le ).
- Patricia Prenant, « Raphaël Bischoffsheim, entre affairisme et philanthropie, une figure emblématique de la vie politique niçoise de la fin du XIXe siècle », Cahiers de la Méditerranée, , p. 171-183 (DOI https://doi.org/10.4000/cdlm.4381, lire en ligne, consulté le ).
- Courrière 2023, p. 200-201.
- « Chambre des députés - Séance du », Journal officiel de la République française, , p. 908 (lire en ligne, consulté le ).
- Courrière 2023, p. 201.
- Courrière 2023, p. 203.
- Courrière 2023, p. 203-206.
- Courrière 2023, p. 206.
- Courrière 2023, p. 205-206.
- Jacques Basso, « Le comté de Nice : un espace politique et social "à la Belle Époque" : Identité, intégration et particularisme : les Élites politiques en marche (1880-1914) », dans Jean-Marc Giaume, Le comté de Nice : de la Savoie à l'Europe : identité, mémoire et devenir ; actes du colloque de Nice [24-27 avril 2002 ; expositions du 15 avril au 15 mai 2002, Bibliothèque de l'université de Nice, Nice, Nice, Serre, (ISBN 9782864104674, lire en ligne), p. 64.
- « Chambre des députés - Séance du », Journal officiel de la République française, , p. 7 (lire en ligne, consulté le ).
- « Chambre des députés - Séance du », Journal officiel de la République française, , p. 1675 (lire en ligne, consulté le ).
- « Les élections - La guerre : La province », Le Matin, , p. 1 (lire en ligne, consulté le ).
- « Élections législatives de 1898 : Résultats », Le National, , p. 1 (lire en ligne, consulté le ).
- « Chambre des députés - Séance du », Journal officiel de la République française, , p. 1739 (lire en ligne, consulté le ).
- Tableau des élections à la Chambre des députés pendant la huitième législature du 27 avril 1902 au 17 décembre 1905 (date de la dernière convocation de collège électoral) dressé aux Archives de la Chambre des députés, Paris, Imprimerie de la Chambre des députés, (lire en ligne), p. 23.
- « Résultats des élections législatives : Départements », Le Matin, , p. 2 (lire en ligne, consulté le ).
- « Les élections - scrutin du 27 avril : Dans les départements », Le Figaro, , p. 2 (lire en ligne, consulté le ).
- « Première circonscription de Nice : M. Flaminius Raibertu réélu : 10 278 voix », L'Éclaireur de Nice, , p. 1 (lire en ligne, consulté le ).
- « Élections législatives du 27 avril 1942 : Nice - Ire circonscription - M. Raiberti, 10 278 voix, élu », Le Petit Niçois, (lire en ligne, consulté le ).
- « Chambre des députés - Séance du », Journal officiel de la République française, , p. 1852 (lire en ligne, consulté le ).
- « Résultats des élections législatives : Départements », Le Matin, , p. 1 (lire en ligne, consulté le ).
- « Les élections - scrutin du 6 mai : Dans les départements », Le Figaro, , p. 4 (lire en ligne, consulté le ).
- « Élections législatives du 6 mai : Le triomphe de nos candidats », Le Phare du Littoral, , p. 1 (lire en ligne, consulté le ).
- « Chambre des députés - Séance du », Journal officiel de la République française, , p. 1996 (lire en ligne, consulté le ).
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- Georges Lachapelle, Élections législatives des 26 avril et 10 mai 1914 : Résultats officiels, Paris, Librairie des publications officielles et des sciences économiques et sociales Georges Roustan, (lire en ligne), p. 46.
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- Georges Lachapelle, Élections législatives, 26 avril & mai, 1936, résultats officiels, Paris, Le Temps, (lire en ligne), p. 16.
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- Gilles Richard et Olivier Wieviorka, Histoire des droites en France : de 1815 à nos jours, Paris, Perrin, coll. « Collection Tempus », , 783 p. (ISBN 9782262105204), p. 283-284.
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Bernard Gaudillère, Atlas historique des circonscriptions électorales françaises, Paris, Champion, coll. « Hautes études médiévales et modernes », , 839 p. (ISBN 9782600000659, lire en ligne).
- Henri Courrière, Les Alpes-Maritimes et la République : Histoire politique d'un département modéré (1879-1898), Rennes, Presses universitaires de Rennes, (ISBN 9782753594166, lire en ligne).