Projet:Musée des beaux-arts de Lyon/Coopération-2015 œuvres
On peut télécharger le fichier .doc suivant qui comportent les œuvres de l'exposition : [1]
Articles concernant aussi Rome antique
modifierLa Rhétorique à Herennius (faussement attribuée à Cicéron) : photo de l'édition lyonnaise à ajouter- Épigrammes (Martial), à traduire de l'italien, photo de l'édition lyonnaise à ajouter
- Histoire naturelle (Pline l'Ancien), photos des deux tomes de l'édition lyonnaise de Naturalis Historiae à ajouter
La Germanie de Tacite : photo de l'édition lyonnaise Commentaria Germaniae in pr. Cornelii Taciti à ajouter
⇒renonciation pour les illustrations ci-dessus, la couverture, non significative, étant seule visible dans l'exposition
- Table claudienne (avancement B) →
ce sera l'occasion de la photographier en détail et Reprendre plus nettement le détail d'écriture Épitaphe de Claudius Rufinus : correspond à CIL 13, 02104,- photo pour musée gallo-romain de Fourvière, § Épigraphie, stèles et autels
photo pour article Pierre Sala
- thermes romains : voir illustration possible par l'ouvrage de Guillaume du Choul De Bagni & essercitii antichi de Greci et de Romani + illustrer la bio de Guillaume du Choul
- Illustrer Marsyas avec photos de l'intaille et du sceau de Néron
compléter la trop brève description de l'image
œuvres exposées au musée, notice aux brouillons
modifierIllustrer l'article avec
*Vue de l'Antiquaille sur le plan scénographique de Lyon (détail à isoler ?)
- Épitaphe de Claudius Rufinus,
- La rencontre de Pierre Sala avec François Ier au pied de l'Antiquaille de Guillaume II Leroy + si possible photo du manuscrit Les Prouesses de plusieurs roys
- La Complainte de Nature à l’alchimiste errant
Moraulz dictz des philozophes
Combattant varié
modifierCombattant varié est une peinture de Pierre Eskrich réalisée vers 1548-1555 à l'Aquarelle, la gouache et l'encre noire, sur papier. Il a été publié dans Ornithologie de Jacques Dalechamps, et l'original est conservé à la Bibliothèque nationale de France[1]
Références : catalogue de l'exposition, p. 88
Pierre Aymeric
modifierPierre Aymeric est une toile du peintre de la renaissance Corneille de Lyon réalisée en 1534. Cette œuvre a une importance majeure pour la connaissance de son auteur car c'est elle qui en 1962 a permis de reconstituer son corpus d'œuvre de manière fiable.
Cette œuvre est réalisée à l'huile sur noyer. Elle fait 16,5 cm de haut, 14,2 cm de large pour 0,4 cm d'épaisseur. Elle est conservée à Paris au musée du Louvre, département des Peintures[2].
Références : catalogue de l'exposition, p. 144
Boiseries d’après les « Métamorphoses » de Bernard Salomon
modifierL'ensemble de boiseries d'après les « Métamorphoses » de Bernard Salomon est un groupe de de 35 panneaux octogonaux et 26 rectangulaires de marqueterie réalisé en France au XVIIe siècle.
Cet ensemble de décoration d'intérieur reprend les gravures de Bernard Salomon, graveur de la renaissance, qui a imposé un style graphique dans plusieurs arts décoratifs. Cette œuvre d'ébéniste reprend les gravures composées pour illustrer les Métamorphoses d'Ovide, publié par Jean de Tournes.
Cet ensemble est en noyer, sapin peint et doré ; chaque panneau fait 65,5 cm de hauteur et 32 cm de largeur. Il est conservé à Lyon, au musée des Arts décoratifs[3].
lien externe
modifierRéférences : catalogue de l'exposition, p. 336
Plan scénographique de Lyon (1550)
modifierLe plan scénographique de Lyon est une carte peinte de la ville de Lyon au milieu de la Renaissance d'un auteur inconnu et qui est la première carte de la cité connue.
Divisée en 25 feuillets d'environ 34 cm de haut par 44 cm de large, elle a été réalisé à la gravure au burin sur papier vergé. Une fois assemblées, la carte a pour dimension 170 cm de haut pour 220 cm de large.
L'original est conservé aux archives municipales de Lyon à la cote 2 SAT 3.
Cette carte à été l'objet de plusieurs publications.
bibliographie
modifier- Le plan de Lyon vers 1550, Lyon, Archives municipales de Lyon, 1990,
- Max Bobichon, Uves Montmessin, En regardant le temps passer... à Lyon au XVIe siècle (d'après le plan scénographique de 1550), Association Lyon - cathédrale, 2011, (ISBN 979-10-91077-00-2)
liens externes
modifierPortrait de Sébastien Gryphe et marque au griffon
modifierLe Portrait de Sébastien Gryphe et marque au griffon est un gravure anonyme réalisée en 1556 au burin. Une signature existe, mais est non déchiffrable et fini par « Fec ».
Il a la forme d'une cuvette de hauteur 16 cm et de largeur 11 cm.
Lyon, musée de l’Imprimerie et de la Communication graphique, inv. 382
Claveau sculpté à l’emblème de Jean de Tournes : Aux deux vipères
modifierCette sculpture porte les armes de l'imprimeur Jean de Tournes.
La pierre est un calcaire à bryozoaires de Couzon avec traces de polychromie
H. 36 ; l. 43 ; pr. 35 cm
Lyon, musées Gadagne, inv. 39.282
La Marche des Hébreux
modifierLa Marche des Hébreux est une gravure sur bois de Pierre Eskrich. Elle a été réalisée entre 1560 et 1580.
Le Massacre des Innocents
modifierLe dessin Le Massacre des Innocents a été réalisé par Maître JG.
Il est réalisé à la plume, encre brune et lavis brun sur papier. Il existe une gravure au burin du même nom, également réalisée par Maître JG. Les deux document sont conservés à Paris, à la Bibliothèque Nationale de France, au département des Estampes et de la Photographie.
Une autre gravure au burin du même nom, réalisée par Maître CC est conservée au British Museum de Londres.
Léda debout
modifierLéda debout est une gravure au burin de Georges Reverdy datant de la Renaissance et probablement réalisée à Lyon. Elle est conservée à la Bibliothèque national de France au département des estampes et photographies.
Temple du Paradis
modifierLe dessin du Temple du Paradis a été réalisé par le graveur acquis à la cause protestante Jean Perrissin.
Il est réalisé à la plume et encre brune, lavis gris, sur traits à la mine de plomb.
Il est conservé aux Archives municipales de Lyon : GG 86, p. 1 (Inv. Chappe, vol. X, p. 624) Réserve
catalogue de l'expo : page 56
Vitraux de la chapelle "des Bourbons"
modifierLes vitraux de la chapelle du saint-Sacrement dite des Bourbons sont un ensemble de pièces de vitrail su trésor de la cathédrale Saint-Jean. Ces vitraux ont été exécutés avant 1508.
Bibliographie
modifier- Armand Macé, Une merveille de l’art gothique : la chapelle des Bourbons à la cathédrale Saint-Jean de Lyon, Lyon, M. Lescuyer, 1941.
- Lucien Bégule, Les vitraux du Moyen âge et de la Renaissance dans la région Lyonnaise, et spécialement dans l’ancien diocèse de Lyon, imprimerie A. Rey, Lyon, 1911, pl. VI et VII
- catalogue de l'expo : page 54-55
Portrait de Pierre sala
modifierLe portrait de Pierre sala a été peint par Jean Perréal vers 1500 au folio 17 d'un livre manuscrit dénommé Petit livre d'amour rédigé par Pierre Sala dédié à sa future épouse Marguerite Bullioud. Ce manuscrit est conservé à la British Library de Londres[4],[5].
Bibliographie
modifier- Voir l'article de Luisa Nieddu « L'hommage de Jean Perréal à son ami Pierre sala » dans Elsig 2014, p. 151 dans : Frédéric Elsig, Peindre à Lyon au XVIe siècle, Milan, Silvana Editoriale, coll. « biblioteca d'arte » (no 44), 2014, 192 p. (ISBN 8836627684), (BNF 43834242)
Rencontre de Pierre Sala avec François Ier au pied de l’Antiquaille
modifierCette miniature a été réalisée par Guillaume II Le Roy vers 1523 au sein du manuscrit Prouesses de plusieurs roys de Pierre Sala.
Ce manuscrit est un in-folio de hauteur 33 cm et largeur 24 cm et épaisseur 7,5 cm. Il contient 144 folios et est conservé à Paris, à la Bibliothèque nationale de France[6].
L’origine et antiquité de la cité de Lyon
modifierL’origine et antiquité de la cité de Lyon est un manuscrit rédigé par Symphorien Champier vers 1505-1510 et enluminé par Guillaume II Le Roy. Il est conservé à Paris, Bibliothèque nationale de France, Bibliothèque de l’Arsenal, Ms. 5111.
Il est écrit sur parchemin, H. 21,5 ; l. 15 ; ép. 2 cm, 62 fos.
bibliographie
modifier- Symphorien Champier, L’origine et antiquité de la cité de Lyon. Et l’Histoire de Palanus : édition du ms. Paris, Arsenal, 5111, éd. Giovanni Palumbo, Paris, Classiques Garnier, 2011.
Moraulz dictz des philosophes
modifierMoraulz dictz des philosophes est un manuscrit sur parchemin réalisé vers 1515-1525 par Pierre Sala. Cette oeuvre est conservée à la Morgan Library and Museum de New York.
Traité des thermes et gymnase
modifierLe Traité des thermes et gymnase est un manuscrit sur vélin réalisé par Guillaume du Choul en 1555. Cette oeuvre est conservée à la Bibliothèque Nationale de France, au département des manuscrits, à Paris.
Des antiquités romaines
modifierDes antiquités romaines est un dessin réalisé par Guillaume du Choul à la plume, encre noire, avec rehauts de lavis gris-brun, d'aquarelle, de gouache et d'or sur vélin. Cette oeuvre est conservée à la Biblioteca Reale à Turin.
L'Origine et le antichità di Lione
modifierL'Origine et le antichità di Lione est un dessin de Gabriel Symeoni de 1559, réalisé à la plume et encre brune sur papier. Cette oeuvre est conservée aux Archivio di Stato à Turin.
Les dessins d'oiseaux de Pierre eskrich
modifierLes dessins d'oiseaux de Pierre Eskrich réalisés vers 1548-1555 sont une série d'aquarelles, encres et gouaches qui constituent le premier ensemble de dessin ornithologique d'Europe. Ils forment, avec des dessins d'autres auteurs « l’une des entreprises de recherche scientifique les plus complexes et les plus avancées menées au xvie siècle au sein des cercles humanistes de Lyon et de Genève »[7].
On y trouve :
- Guêpier d'Europe
- Ibis chauve
- Martin pêcheur d'Europe
- Pinson du nord
- Pic noir
- Mésange à longue queue
Mésange huppée
Jean Naze
modifierL'horloge astronomique et l'astrolabe de Jean Naze, vue la faiblesse de l'article lui-même, doivent être détaillés dans son article même.
Ce serait cool d'avoir des photos super-précises.
Les alarmes de Mars sur le voyage de Milan
modifierLes Alarmes de Mars sur le voyage de Milan, avec la conqueste et entree d’icelle est une enluminure sur un manuscrit attribuée à Jean d’Auton réalisée à Lyon vers 1500.
L'auteur (inconnu) est désigné simplement sous le terme de Maître des Alarmes de Mars.
L'œuvre est réalisée sur parchemin, et fait 30cm de haut et 21,5cm de large.
Elle est conservée à Paris, à la Bibliothèque nationale de France[8].
L'illustration représente Mars sur son char aux côtés de l’armée française aux couleurs de Louis XII.
Là, on est obligé de la faire, c'est l'affiche de l'expo quand même ^^
Portraits dits de Charles VIII et d'Anne de Bretagne
modifierLes Portraits dits de Charles VIII et d'Anne de Bretagne est un diptyque peint sur bois réalisé vers 1490-1495 par Jean Perréal. Cette oeuvre est conservée à la Bibliothèque Nationale de France à Paris.
Portrait d'échevin
modifierPortrait d'échevin est une huile sur bois réalisée en 1568 par Etienne de Martellange. Cette oeuvre est conservée aux musées Gadagne à Lyon.
L'Homme au bérets noirs tenant une paire de gants
modifierL'Homme au bérets noirs tenant une paire de gants est une peinture de Corneille de Lyon.
Ben, elle est pas dans le DdG... Mais on est obligé, aussi ^^
L'incrédulité de saint Thomas
modifierL'incrédulité de saint Thomas est un tableau réalisé par Francesco Salviati dont il existe une étude préparatoire. Ces deux œuvres sont conservées au Louvre.
Li Tre libri dell’arte del vasaio
modifierLi Tre libri dell’arte del vasaio est un manuscrit de Cipriano Piccolpasso écrit entre 1556 et 1559.
Manuscrit, in-4o, H. 28 ; l. 23 cm
Londres, Victoria and Albert
Museum, National Art Library,
MSL/1861/7446
Ouvert au folio 58 : L’Atelier du potier,
vers 1557, plume et encre
réédition de 1857 numérisée par googlebook
Aaron changeant son bâton en serpent devant Pharaon
modifierAaron changeant son bâton en serpent devant Pharaon est une majolique réalisée par Gironimo Tomasi en 1582. Cette oeuvre est conservée au British Museum à Londres.
Le premier tome de l'architecture
modifierLe Premier tome de l’Architecture est un ouvrage écrit par Philibert de L’Orme publié à Paris chez F. Morel en 1567.
De format in-folio, il contient 283 folios, sans le folio 248, une épître dédicatoire et une table.
Contexte
modifierAprès plusieurs années passées au service de Henri II et de catherine de Médicis, il tombe en disgrâce et perd les commandes royales. Il finit alors sa vie à écrire des traités d'architecture dont une somme ambitieuse dont cet ouvrage est le premier tome, mais qu'il n'aura pas le temps de poursuivre.
gravures
modifierL'ouvrage contient un grand nombre de gravures dont l'Allégorie du bon architecte.
Bibliographie
modifierA. Ceccarelli Pellegrino, Le "bon architecte" de Philibert De L’Orme. Hypotextes et anticipations, Paris/Fassano, Schena/Nizet, 1996.
M. Morresi, « Philibert de l’Orme. Le patrie della lingua », in A. Blunt, Philibert de l’Orme, Milan, Electa, 1997, p. 159-193.
Y. Pauwels, « Philibert De L’Orme et Cesare Cesariano : le "piédestal dorique" du Premier Tome de l’Architecture », Revue de l’Art, 91, 1991, p. 39-43.
Y. Pauwels, « Les antiques romains dans les traités de Philibert De L’Orme et Jean Bullant », Mélanges de l’École française de Rome - Italie et Méditerranée, 106, 1994-2, p. 531-547.
Y. Pauwels, « Les Français à la recherche d’un langage. Les ordres hétérodoxes de Philibert De L’Orme et Pierre Lescot », Revue de l’Art, 112, 1996, p. 9-15.
Y. Pauwels, L’architecture au temps de la Pléiade, Paris, Monfort, 2002.
Y. Pauwels, Aux marges de la règle. Essai sur les ordres d’architecture à la Renaissance, Wavre, Mardaga, 2008.
Y. Pauwels, L’architecture et le livre en France à la Renaissance : « Une magnifique décadence » ?, Paris, Classiques Garnier, 2013, p. 123-127, 175-189, 221-238.
J.-M. Pérouse de Montclos, L’architecture à la française. Du milieu du XVe siècle à la fin du XVIIIe siècle, Paris, Picard, 2011 (1re éd. : Paris, 1982).
J.-M. Pérouse de Montclos, Introduction à Philibert De l’Orme, Traités d’architecture, Paris, Laget, 1988, p. 43-44.
J.-M. Pérouse de Montclos, « Les éditions des traités de Philibert De L’Orme au XVIIe siècle », J. Guillaume (éd.), Les traités d’architecture à la Renaissance, Paris, Picard, 1988, p. 355-366.
J.-M. Pérouse de Montclos, Philibert De l’Orme Architecte du roi (1514-1570), Paris, Mengès, 2000.
P. Potié, Philibert De L’Orme. Figures de la pensée constructive, Marseille, Parenthèses, 1996.
J. Sakarovitch, Épures d’architecture, de la coupe des pierres à la géométrie descriptive, XVIe_XIXe siècles, Bâle/Boston/Berlin, Birkhäuser, 1998.
Sesto libro d'architetura. Delle habitationi fuori e dentro delle città
modifierSesto libro d'architetura. Delle habitationi fuori e dentro delle città est un manuscrit sur vélin réalisé entre 1547 et 1550 par Sebastiano Serlio. Cette oeuvre est conservée à la Bayerische Staatsbibliothek München à Munich.
Extraordinario Libro
modifierCet ouvrage publié à Lyon en 1551 par Sebastiano Serlio chez Jean de Tournes est un des premiers traités d'architecture.
Cet ouvrage porte de nombreuses gravures du Maître CC[9].
Sans avoir réalisé quoi que ce soit à Lyon, Sebastiano Serlio réside entre 1545 et 1550 dans la ville pour rédiger et publier plusieurs volumes de son traité d'architecture[au 1]. S'il ne participe à aucun chantier lyonnais lors de son séjour sur les bords de Saône, son ouvrage l’Extraordinario Libro publié chez Jean de Tournes en 1551[10] a une grande influence sur les choix des notables lyonnais durant les siècles suivants[au 2].
Bibliographie
modifier- Giuseppe Iacono et Salvatore Ennio Furone, Les marchands banquiers florentins et l'architecture à Lyon au seizième siècle, Paris, Publisud, , 285 p. (ISBN 9782866006839, OCLC 406439976)
- Iacono & Furone, 1999, p. 132
- Iacono & Furone, 1999, p. 137
- Sylvie Deswarte-Rosa (dir.), Sebastiano Serlio à Lyon. Architecture & Imprimerie. I. Le Traité d’architecture de Sebastiano Serlio. Une grande entreprise éditoriale au xvie siècle, Lyon, M. Chomarat, 2004.
Poignée d'épée au guerrier armé
modifierPoignée d'épée au guerrier armé est une gravure Pierre II Woeiriot de Bouzey réalisée au burin en 1555. Cette oeuvre est conservée au musée du Louvre à Paris.
La Sainte Bible
modifierLa Sainte Bible est un ensemble de trois volumes imprimés sur vélin, enluminés, probablement réalisés par Bernard Salomon entre 1557 et 1558. Ces volumes ont été imprimés à Lyon chez Jean de Tournes et comprennent 279 vignettes et 12 grandes planches enluminées. Ils sont conservés à la Bibliothèque Nationale de France, dans la Réserve des livres rares, à Paris.
La construction de l'arche de Noé
modifierLa construction de l'arche de Noé est une terre cuite émaillée réalisée par Masséot Abaquesne vers 1550-1560. Cette oeuvre est conservée au Musée national de la renaissance, au château d'Ecouen, à Ecouen.
Moïse et Jethro
modifierMoïse et Jethro est un email peint sur cuivre réalisé par Pierre Reymond. Cette oeuvre est conservée au musée des Beaux-Arts à Lyon.
Croquis de l'anonyme Fabriczy
modifierEnsemble de cinq vues de Lyon provenant d’un carnet d’esquisses exécutées peu avant 1570 à la plume et encre brune par un dessinateur alors anonyme désigné comme l’anonyme Fabriczy, du nom du découvreur du carnet. Récemment, Stijn Alsteen a proposé d’identifier l’artiste anonyme à Hendrik Gijsmans. Ce carnet de dessins est conservé à la Staatsgalerie de Stuttgart.
Parmi l'ensemble il y a plusieurs vues de Lyon.
Bernard Salomon
modifierLà, il va falloir voir s'il y a une œuvre ou un ensemble d'œuvres suffisamment marquants pour permettre la création d'un article dédié, sinon, on complète et développe l'article sur Bernard Salomon.
Deux éléments d'une tenture de lit
modifierDeux éléments d'une tenture de lit est une soie brodée réalisée par Maître IC vers 1560. Cette oeuvre est conservée au musée des tissus à Lyon.
notes
modifier- manuscrit, 365 fos. H. 44 ; l. 29 cm, fo 167. Mss., Latin 11858
- INV 1976-15
- inv. 3060.1 à 3060.35
- Stowe 955.
- Londres, British Library, Stowe 955
- Mss., Français 10420, fo 1 vo
- catalogue p. 88
- Ms. Français 5089
- catalogue p. 294
- consultable en ligne sur architectura.cesr.univ-tours.fr
catalogue de l'expo - modèle
modifier- Ludmila Virassamynaïken (dir.), Arts et humanisme; Lyon Renaissance, Lyon, Musée des Beaux-Arts de Lyon, Somogy éditions d'art, , 360 p. (ISBN 978-2-7572-0991-2)