Piula Faasalele

joueur samoan de rugby à XV
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Piula Faasalele, né le à Porirua (Nouvelle-Zélande), est un joueur international samoan d'origine néo-zélandaise de rugby à XV évoluant aux postes de troisième ligne aile ou de deuxième ligne au sein de l'effectif du Stade toulousain.

Piula Faasalele
Description de cette image, également commentée ci-après
Piula Faasalele en 2015.
Fiche d'identité
Naissance (36 ans)
Porirua (Nouvelle-Zélande)
Taille 1,96 m (6 5)
Poste Troisième ligne centre, troisième ligne aile, deuxième ligne
Carrière en senior
PériodeÉquipeM (Pts)a
2008-2009
2009-2012
2012-2016
2016-2019
2019-2023
2023-2024
Stade niortais
Stade rochelais
Castres olympique
Stade toulousain
USA Perpignan
Stade toulousain
9 (0)[1]
50 (40)[1]
79 (10)[1]
69 (25)[1]
70 (25)[1]
22 (5)[1]
Carrière en équipe nationale
PériodeÉquipeM (Pts)b
2013-2019 Samoa 21 (10)[2]

a Compétitions nationales et continentales officielles uniquement.
b Matchs officiels uniquement.
Dernière mise à jour le 6 juillet 2024.

Il remporte le championnat de France en 2013 avec le Castres olympique et en 2019 et 2024 avec le Stade toulousain.

Biographie

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Jeunesse

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Piula Faasalele est d'origine samonane, il naît à Porirua[2] et passe son enfance en Nouvelle-Zélande dans la ville d'Auckland[3]. Il joue au rugby à XIII et à XV à partir de 11 ans et réalise une année d'apprentissage de la psychologie[3].

Arrivée en France

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Après un passage en Fédérale 1 avec Niort, Piula Faasalele signe à La Rochelle en professionnel[4]. En 2010, le club est promu en Top 14 grâce à sa victoire sur le Lyon OU (32-26)[5]. Mais la saison suivante, le club redescend en deuxième division, Piula Faaselele aura disputé 16 rencontres et inscrits 4 essais[6].

Champion de France 2013 avec le Castres olympique

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Repéré grâce à de bonnes prestations en Top 14 par le Castres olympique, il y signe un contrat de deux ans à partir de 2012 jusqu'en 2014, puis prolonge son contrat de deux saisons supplémentaires, le liant avec le club tarnais jusqu'en 2016. Pour sa première saison au club, Castres est sacré champion de France en battant Toulon en finale (19-14)[7]. La saison suivante, Castres joue de nouveau la finale face aux Toulonnais, mais pour moins de réussite (10-18)[8]. Piula Faaselele dispute uniquement la finale en 2014[7],[8]. En , lors d'une rencontre contre le Stade toulousain, Piula Faaselele se fait une rupture du ligament croisé du genou droit, l'éloignant des terrains durant 8 mois[9].

En , il est sélectionné avec les Samoa, et il dispute son premier match international le face à l'Italie[10].

Champion de France 2019 avec le Stade toulousain

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En , le Stade toulousain annonce sa signature pour trois saisons. Après quelques rencontres disputés entre le mois d'août et celui d'octobre, Piula Faasalele se blesse à la voûte plantaire, l'empêchant de disputer les rencontres contre son ancien club de Castres et le match contre la France qui se déroulera à Toulouse[11]. Il qualifie alors ces deux rendez-vous manqués comme « une grosse déception »[11].

Fin de carrière

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En 2019, il quitte Toulouse après un nouveau titre de Champion de France et rejoint l'USA Perpignan, relégué en Pro D2.

Il est retenu par le sélectionneur Steve Jackson dans le groupe samoan pour disputer la Coupe du monde 2019 au Japon[12].

Il fait son retour au Stade toulousain en tant que joker Coupe du monde pour la saison 2023-2024, afin de pallier les nombreuses absences de joueurs internationaux[13],[14]. Il s'engage au Biarritz olympique en Pro D2 à l'issue de la saison 2023-2024[15].

Palmarès

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Statistiques en équipe nationale

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Style de jeu

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Piula Faasalele est un joueur polyvalent pouvant évoluer aux postes de troisième ligne (aile ou centre) ainsi que de seconde ligne[16]. Fabien Pelous, directeur sportif au Stade toulousain, explique avant l'arrivée du joueur à Toulouse que « c'est un joueur complet »[17] et qu'il est capable « d’être à la fois bon dans les airs, qui est un joueur pénétrant, un bon défenseur et qui est surtout un excellent gratteur »[18].

Vie privée

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Sa femme, Helen, est originaire des îles Cook[3]. Ils ont trois enfants, dont deux jumeaux (Teale, Yvez et Blake)[3]. Piula et sa famille sont chrétiens pratiquants[3].

Notes et références

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  1. Ne participe pas à la finale.

Références

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  1. a b c d e et f « Piula Faasalele », sur www.itsrugby.fr (consulté le ).
  2. a b et c (en) « Fiche de Piula Faasalele », sur ESPNscrum (consulté le ).
  3. a b c d et e « Piula Faasalele : «J'adore vivre en France» », sur ladepeche.fr, (consulté le )
  4. « CO : Laurent Labit explique sa gestion de groupe », sur lerugbynistere.fr, (consulté le )
  5. « EN DIRECT / LIVE. Lyon LOU - La Rochelle - Pro D2 - 23 mai 2010 », Rugbyrama,‎ (lire en ligne, consulté le )
  6. SARL It's rugby, « Rugby - Fiche joueur Faasalele Piula - Statistiques en club », sur www.itsrugby.fr (consulté le )
  7. a et b « Toulon - Castres », sur www.lequipe.fr (consulté le )
  8. a et b « Toulon - Castres », sur www.lequipe.fr (consulté le )
  9. « Castres : Faasalele absent huit mois », sur rugby365.fr, (consulté le )
  10. « EN DIRECT / LIVE. Samoa - Italie - Test Match - 15 juin 2013 », Rugbyrama,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. a et b « Stade Toulousain : Fa'asalele, phase II », sur ladepeche.fr, (consulté le )
  12. « Coupe du monde : neuf joueurs évoluant en France parmi les 31 Samoans sélectionnés », sur www.lequipe.fr, (consulté le ).
  13. « Le Stade Toulousain annonce six jokers Coupe du monde », sur lequipe.fr,
  14. « Stade Toulousain : Rynhardt Elstadt continue, Puila Faasalele de retour... Le club annonce la signature de six jokers Coupe du monde », sur ladepeche.fr,
  15. « Pro D2 : Faasalele (Toulouse) a signé à Biarritz », sur L'Équipe (consulté le )
  16. « Top 14: Avec le Castrais Faasalele, le Stade Toulousain tient sa cinquième recrue », 20minutes.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  17. « TOP 14 - Stade toulousain: Fabien Pelous donne son avis sur le recrutement », Rugbyrama,‎ (lire en ligne, consulté le )
  18. « Top 14 - ST : Fabien Pelous loue les (nombreuses) qualités de Faasalele - Tribune Sports », Tribune Sports,‎ (lire en ligne, consulté le )

Liens externes

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