11e régiment de chasseurs à cheval
Le 11e régiment de chasseurs (11e RCh), anciennement 11e régiment de chasseurs à cheval (11e RCC), est un régiment de la cavalerie française, aujourd'hui dissous.
11e régiment de chasseurs | |
Insigne du 11e chasseurs (4e modèle de 1987) | |
Création | 1762 |
---|---|
Dissolution | le |
Pays | France |
Branche | armée de terre |
Type | Régiment de chasseurs |
Rôle | Cavalerie légère |
Garnison | Berlin |
Ancienne dénomination | 11e régiment de chasseurs à cheval |
Devise | Sire, voilà les bons |
Inscriptions sur l’emblème |
Valmy 1792 Jemmapes 1792 Austerlitz 1805 Wagram 1809 Moskowa 1812 La Marne 1914-1918 Champagne 1915 Belgique 1918 |
Anniversaire | Saint-Georges |
Guerres | Guerres de la Révolution Guerres de l'Empire Conquête de l'Algérie Guerre de 1870 Première Guerre mondiale Seconde Guerre mondiale |
Fourragères | Aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918 |
Décorations | croix de guerre 1914-1918 (deux palmes) la flamme de la République fédérale d'Allemagne et celle de la ville de Berlin. |
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Ayant relevé des Forces françaises à Berlin, le 11e RCh y est stationné au Quartier-Napoléon avec le 46e régiment d'infanterie jusqu'au .
Création et différentes dénominations
modifier- 1762 : des volontaires étrangers, troupes mixtes de cavalerie et de fantassins, sont levés par le maréchal de Soubise (Volontaires étrangers de Würmser).
- 1762 : les Volontaires de Soubise forment une légion à quatre escadrons.
- 1766 : légion de Soubise.
- 1779 : 5e régiment de chasseurs.
- 1781 : régiment des chasseurs du Gévaudan.
- 1788 : sous l'impulsion du Comte de Brienne, les Chasseurs du Gévaudan prennent le titre de chasseurs de Normandie.
- 1791 : 11e régiment de chasseurs à cheval.
- 1815 : dissous.
- 1816 : régiment des chasseurs de l'Isère.
- 1825 : 11e régiment de chasseurs à cheval.
- 1831 : dissous.
- 1831 : 11e régiment de chasseurs à cheval.
- 1939 : dissous.
- 1944 : 11e régiment de chasseurs à cheval.
- 1947 : dissous.
- 1948 : 11e groupe d'autos-mitrailleuses.
- 1950 : 11e groupe de chars moyens[réf. nécessaire].
- 1954 : 11e régiment de chasseurs à cheval.
- 1963 : 11e régiment de chasseurs.
- 1994 : dissous.
Chefs de corps
modifier- 1761 : maréchal Prince Charles de Rohan-Soubise
- 1762 : baron de Würmser
- 1763 : comte de Wargemont
- 1770 : baron de Kinglin
- 1779 : comte de Grivel de Saint-Mauris
- 1784 : baron de Treva
- 1788 : baron d'Allonville d'Arnancourt (11e Chasseurs)
- 1791 : marquis d'Anglade
- 1791 : comte Joseph Théodore Lallemand de Waites
- 1792 : Henri de Granval de Fregeville
- 1793 : Nicolas
- 1794 : de La Cour
- 1794 : colonel Treillard
- 1799 : Defrance
- 1800 : baron Bertrand Bessières
- 1806 : baron Jacquinot
- 1809 : colonel baron Mathieu Désirat, tué à la bataille de la Moskova
- 1812 : colonel Jean Baptiste Nicolas (*)
- 1814 : colonel Deschamps
- 1815 : comte de Fontenille
- 1816 : colonel d'Espinay Saint-Luc
- 1824 : comte de Chasteignier
- 1831 : Rossignol-Dupré
- 1837 : vicomte de Boislecomte
- 1845 : lieutenant-Colonel Périchon de Kerversan
- 1849 : lieutenant-Colonel Ney de la Moskowa
- 1850 : lieutenant-Colonel Lentz
- 1850 : Baron Marion
- 1855 : colonel Campenet
- 1855 : colonel Legrand
- 1856 : colonel Bro
- 1856 : colonel Grandvalet
- 1864 : colonel Nerat
- 1869 : colonel Dastugue
- 1870 : colonel de Bailliencourt dit Courcol
- 1878 : colonel de Moucheron
- 1887 : colonel d'Esclaibes d'Hust
- 1892 : colonel Cabrol
- 1894 : colonel Jacques Louis Marie de La Chaise[Note 1]
- 1896 : colonel Gillain
- 1898 : colonel de Pontac
- 1901 : colonel Lescot
- 1905 : colonel Louvat
- 1908 : colonel Thierry d'Argenlieu
- 1913 : colonel Alexandre Durand
- 1917 : colonel Charles Henri Dodelier
- 1918 : lieutenant-Colonel Louis Audibert
- 1919 : colonel Dejussieu
- 1921 : colonel Maurice Meyer
- 1926 : colonel Compagnon
- 1933 : colonel Choderlos de Laclos
- 1934 : colonel Bizot-Espiard
- 1935 : colonel de Contenson
- 1939 : colonel de Saint-Didier
- 1945 : lieutenant-Colonel Salesse-Lavergne
- 1945 : colonel Huguet
- 1946 : lieutenant-Colonel Contaud de Coulange
- 1949 : lieutenant-Colonel de Bodman (11e GAM)
- 1951 : lieutenant-Colonel Buretel de Chassey (11e GECM)
- 1952 : lieutenant-Colonel Combourieu (11e GECM )
- 1954 : lieutenant-Colonel Piquart (11e GECM / 11e RCC)
- 1956 : lieutenant-Colonel Delegorgue
- 1958 : lieutenant-Colonel le Coat de Saint-Haoen
- 1960 : lieutenant-Colonel Touzet
- 1961 : lieutenant-Colonel Bondet de la Bernardie
- 1963 : colonel Mangin (11e RCH)
- 1965 : colonel Largy
- 1967 : lieutenant-Colonel Tréhu
- 1969 : lieutenant-Colonel Graillat
- 1971 : lieutenant-Colonel Pont
- 1973 : lieutenant-Colonel Bruno de Mollerat du Jeu
- 1975 : lieutenant-Colonel Ronan de Blois
- 1977 : lieutenant-Colonel Rilhac
- 1979 : lieutenant-Colonel Millot
- 1981 : colonel Clouet de Peruches
- 1983 : lieutenant-Colonel de Susbielle
- 1985 : colonel Jean-Louis Mourrut
- 1987 : colonel Dupla
- 1989 : colonel Bruno de Blignières
- 1991 : colonel Gérald Bigot
- 1993 : lieutenant-Colonel Patrick Chanoine (75e et dernier Chef de Corps du 11e Chasseurs)
Historique des combats et batailles
modifierCampagnes
modifier- 1762-1763 : Guerre de Sept Ans
- 1792-1793 : Armée du Nord
- 1794 : Armée des Ardennes
- 1796-1797 : Armée de Sambre-et-Meuse
- 1798-1799 : Armées de Mayence, de Batavie et du Danube
- 1800-1801 : Armée du Rhin
- 1805-1807 : Grande Armée
- 1809 : Allemagne
- 1810-1812 : Espagne et Portugal
- 1812 : Campagne de Russie
- 1813 : Allemagne
- 1814 : Campagne de France
- 1815 : Belgique
- 1864-1865 : Algérie
- 1870-1871 : France
- 1914-1918 : Grande Guerre
Ancien régime
modifierGuerres de la Révolution et de l'Empire
modifierDe 1791 à 1815 : le 11e Régiment de Chasseurs à Cheval participe presque sans interruptions à toutes les campagnes de la Révolution et de l'Empire[1].
- 1792 : il charge à Valmy et à Jemappes[1].
- 1793, Armée de Belgique: il est à Neerwinden, à Maubeuge et à Wattignies[1].
- 1794 : il contribue à la victoire de Fleurus[1].
- 1800 : le régiment dégage le bivouac du 46e régiment d'infanterie encerclé par les Uhlans[2] le 27 juin à Oberhausen. Le , emmené par son chef de corps, le colonel Bertrand Bessières, il charge quatre fois consécutives à la bataille de Hohenlinden et met hors de combat un bataillon hongrois[2].
- 1805 : il participe aux batailles d'Ulm[réf. souhaitée] et d'Austerlitz.
- 1806 : Campagne de Prusse et de Pologne. Il participe aux batailles d'Iéna[2] et de Lübeck. Il défile victorieusement le 22 novembre 1806 devant l'Empereur à Berlin[2].
- 1807 : il participe aux batailles d'Eylau[2] et de Friedland[2]. En mai, après de durs combats, le général Charles Lassalle, au cours d'une revue passée à Elbing par l'Empereur, présente le 11e régiment de chasseurs à cheval par cette phrase qui va devenir sa devise « Sire, voilà les bons »[2].
- 1809 : Campagne d'Allemagne et d'Autriche[2]
- 1810-1811 : Campagne d'Espagne[2]
- 1812 : Batailles de Smolensk[réf. souhaitée] et de la Moskova[2].
- 1813 : Campagne d'Allemagne. Il participe aux batailles de Leipzig[2] et de Hanau[2].
- 1814 : Lors de la Campagne de France, il participe à la Bataille de Vauchamps[3].
- 1815 : Il se bat lors de la bataille de Waterloo à Placenois[3] avant d'être dissous le [3].
1815-1870
modifierEn 1815, le régiment des chasseurs de l'Isère est recréé à partir du 17e dragons. Ce régiment devient le 11e régiment de chasseurs à cheval en 1825. Le , le 11e régiment de chasseurs à cheval devient le 6e régiment de chasseurs à cheval. Le même jour un nouveau 11e régiment de chasseurs à cheval est créé à partir du 16e régiment de chasseurs à cheval[3].
De 1861 à 1865, le 11e Régiment de Chasseurs à Cheval retrouve le chemin du combat et se bat en Algérie, à l'avant-garde des colonnes Martineau et Lapasset-Deligny[3].
Guerre franco-prussienne
modifierEn 1870, durant la guerre franco-allemande, il est affecté à la division de cavalerie du 1er corps de l'armée du Rhin. Il participe à la bataille de Wissembourg et à celle de Frœschwiller-Wœrth et échappe au désastre de Sedan. Le régiment bat en retraite, perd les trois quarts de son effectif et se rétablit à Avignon[3]. Reformé à Avignon, le régiment fait partie de l'Armée de la Loire et combat à Coulmiers et à Beaune-la-Rolande. Il fait ensuite partie de l'Armée de l'Est[3]. Le 31 octobre 1870, un escadron du 11e régiment de chasseurs à cheval, qui formait le 6e régiment mixte de cavalerie, fut engagé au combat d'Illiers en Eure-et-Loir[réf. souhaitée].
De 1871 à 1914
modifierDurant la Commune de Paris en 1871, le régiment participe avec l'armée versaillaise à la semaine sanglante. Il tient ensuite garnison à Meaux de 1872 à 1878 puis à Saint-Germain-en-Laye[4].
Première Guerre mondiale
modifierAffectations
modifierLe 31 juillet 1914, le régiment, affecté au 7e corps d'armée, est mobilisé[5]. Un groupe d'escadron est affecté à la 14e DI à Belfort et l'autre à la 41e DI à Remiremont[6].
1914
modifierDès le il est au contact de l'ennemi en Alsace. Les cavaliers du régiment entrent les premiers dans Mulhouse occupé[6],[7]. Fin août, les différents escadrons rejoignent la Somme[8] pour tenter d'arrêter les Allemands, en vain jusqu'à la bataille de la Marne[4].
1915
modifierEn 1915, alors que la guerre devient peu à peu une guerre de tranchées, le 11e chasseurs regroupé tente une attaque montée à Saint-Hilaire-le-Grand le dans une tentative de déborder le front. Les cinq charges sont repoussées mais le régiment est cité à l'ordre de l'armée[4],[9].
1916
modifierEn 1916, il combat à pied à Verdun et dans la Somme[4],[10].
1917
modifierEn 1917, les escadrons du régiment, chacun rattachés à une division, participent à l'offensive du chemin des Dames, le 1er escadron avec la 14e DI, le 2e avec la 128e DI, le 3e avec la 41e DI et le 4e à la 164e DI[11].
1918
modifierEn 1918, combattant en partie à pied et en partie à cheval, le régiment fait face à l'offensive du Printemps allemande. Le , le front allemand est percé par les Français[4]. Le régiment recevra en 1919 sa seconde citation à l'ordre de l'armée à la suite de ces combats[12].
Entre-deux-guerres
modifierEn 1919, à Aix-la-Chapelle qu'il occupe, le 11e régiment de chasseurs à cheval reçoit la fourragère aux couleurs de la Croix de Guerre. Il rejoint la garnison de Vesoul fin 1919[4].
-
Commandant du 11e chasseurs au camp du Valdahon en 1926.
-
Cavalier du 11e chasseurs à Vesoul en 1936
-
Des Laffly 50 AM du 11e chasseurs vers 1938.
Seconde Guerre mondiale
modifierLe Groupement de Cavalerie est destiné à former à la mobilisation des groupes de reconnaissance[4]. Aussi, dès la déclaration de guerre, le 11e Régiment de chasseurs à cheval disparaît-il en tant que tel pour se répartir et donner naissance à quatre groupes de reconnaissance[13] :
- 9e groupe de reconnaissance de corps d'armée,
- 4e groupe de reconnaissance de division d'infanterie,
- 17e groupe de reconnaissance de division d'infanterie,
- 25e groupe de reconnaissance de division d'infanterie.
En 1944, au cours de la campagne de la Libération, il est remis sur pied, entre en Allemagne et occupe le Palatinat jusqu'au , où il est dissout[4].
De 1945 à 1994
modifierEn août 1949, le 11e groupe d'automitrailleuse est créé à Berlin-Ouest par le 11e régiment de chasseurs d'Afrique. Ce groupe reçoit la garde de l'étendard du 11e chasseurs à cheval. Le , le 11e régiment de chasseurs à cheval est recréé par changement de nom du 11e groupe d'automitrailleuses. Il retrouve son étendard et ses traditions. Il est renommé 11e régiment de chasseurs le [14].
Le régiment est l'unité blindée des Forces françaises à Berlin, formées également par le 46e RI, trois escadrons de gendarmerie, une compagnie de génie, une compagnie de transmission et les services[14]. Il est alors caserné au Quartier-Napoléon[15].
Le retrait des forces françaises de Berlin entraîne sa 5e dissolution le , son étendard rejoint le SHAT de Vincennes. Les objets de tradition du 11e Chasseurs sont transportées à Saint-Wendel et conservées par l’Escadron d’Éclairage de la 1re Division, jusque la dissolution du 2e Corps d'Armée en 1999, et depuis cette date confiées à l’École d’application de l’arme blindée cavalerie de Saumur.
Garnisons
modifier- 1761 : Le Quesnoy
- 1800-1803 : Chantilly
- 1804-1805 : 1er escadron à Amer[Où ?]
- 1804- 1805 : 2e escadron à Dannes
- 1804- 1805 : 3e escadron à Merlimont
- 1804-1805 : 4e escadron à Arras
- 1805 : Saint-Omer et 4e escadron à Valenciennes
- 1815-1831 : Nevers
- 1831-1844 : Pontoise
- 1844-1859 : Sarreguemines
- 1859-1864 : Sedan
- 1865 : Algérie-Mostaganem
- 1865-1870 : Libourne
- 1870-1872 : Avignon
- 1872- 1878 : Meaux
- 1878 -1887 : Saint-Germain en Laye
- 1887-1914 : Vesoul
- 1919-1939 : Vesoul
- 1944-1947 : Palatinat
- 1954-1994 : Berlin
Composition
modifierCe régiment était composé à Berlin comme suit :
- 1er escadron Semper Primus
- 2e escadron Duo Deorum
- 3e escadron
- 11e escadron - instruction
- ECR Escadron de commandement (et de reconnaissance (1990))
- Il était équipé au début de M.8 américaines, d'half-track M5, puis de chars Sherman M4, d'AMX 13-75 mm, d'AMX 13-90 mm et enfin de 41 chars AMX-30 B[16].
Étendard
modifierIl porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[17] :
Décorations
modifierSa cravate est décorée :
- La croix de guerre 1914-1918 avec deux citations à l'ordre de l'armée (palmes).
- En 1919, à Aix-la-Chapelle qu’il occupe, le 11e régiment de chasseurs reçoit la fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de Guerre 1914-1918.
- Et depuis les 26 et , il porte la flamme de la République fédérale d'Allemagne et celle de la ville de Berlin.
(Source journal interne du 11e régiment de chasseurs, VLB Voila Les Bons)
Insigne
modifierHéraldique : Dès mars 1987, avant que le 3e escadron du 11e Chasseurs tire en manœuvre à BAUMHOLDER les derniers obus de 90 mm des AMX 13 tonnes de l’Arme Blindée Cavalerie, que les derniers AMX 30 tonnes arrivent à Berlin et vont équiper le 3e escadron, avant l’arrivée à Berlin du Chef de l’État pour le 750e anniversaire de la ville, sous le commandement du Colonel Jean-Louis Mourrut, suivant l’application des règles héraldiques et la concordance du symbolisme avec l’historique, le 11e Régiment de Chasseurs change l’insigne de 1955 en un nouvel insigne pour « régularisation » : (Berlin 1987- 1994) Ovale d’argent à l’orle de cramoisi, chargé en cœur d’un colback de sable, au plumet et à la flamme de cramoisi, à la jugulaire passant dans le grolier d’un cor de cramoisi encerclant le nombre 11° de sable. En orle du chef, partie de roue crénelée de sable chargée de la devise « Voila les bons » d’argent. Dos granulé inscription J BALME SAUMUR G 3398 en relief. Insigne homologué sous le numéro G 3398. Cuir noir en forme de languette. La couleur cramoisie surpris ceux qui s’étaient habitués au vert et au traditionnel ours berlinois, mais dans ce domaine, la tradition est reine. Et le cramoisi est propriété des Chasseurs depuis 1791… Ce nouvel et dernier insigne ressemble à l’insigne de Vesoul en 1936.[réf. nécessaire]
"Dans un écu de dame d'argent à orle de gueules surmonté d'une demi-couronne d'engrenage de sable chargée de la devise "VOILA LES BONS" en capitales d'argent, un colback de sinople à la flamme de gueules et au plumet du même surmonte un huchet de gueules chargé en abîme du chiffre "11" de même."
-
1er modèle (1936)
-
2e modèle (1949)
-
3e modèle (1955)
-
4e modèle (1987)
Devise
modifierPersonnalités ayant servi au 11e RCC
modifier- Eugène-François Vidocq, en 1791-1793
- Anne-François-Charles Trelliard, chef d'escadron (1793) puis chef de brigade (1794)
- Charles Angélique François Huchet de La Bédoyère (1786-1815), lieutenant en second au 11e RCC le
- Claude Hettier de Boislambert (1906-1986), compagnon de la Libération, chef de peloton en 1926
- Léonel de Moustier (1882-1945), compagnon de la Libération, engagé en 1939 au 11e chasseurs
Sources et bibliographies
modifier- Joseph Duchange, Historique du 11e régiment de chasseurs à cheval pendant la guerre 1914-1918 : campagne 1914-1918, Nancy, Berger-Levrault, 75 p., lire en ligne sur Gallica
- L'amicale des anciens du 11e régiment de chasseurs. Président : Monsieur Gilbert Blanc, maison du combattant, 26 rue Pierre de Coubertin 70014 Vesoul.
- Général de brigade Philippe Peress 31, rue Hoche 49400 Saumur.
- Musée des Blindés ou Association des Amis du Musée des Blindés 1043, route de Fontevraud, 49400 Saumur.
- Général Andolenko, Recueil d'historique de l'arme blindée et de la cavalerie, Paris, Eurimprim, 1968
- SIRPA Terre, Encyclopédie de l'armée de terre, vol. 6, t. L'arme blindée-cavalerie, l'aviation légère de l'armée de terre, Hachette, (ISBN 2-245-02611-X, 978-2-245-02611-3 et 2-245-02617-9, OCLC 463434779, lire en ligne), « 11e régiment de chasseurs », p. 85-104
Notes et références
modifierNotes
modifier- Jacques Louis Marie de La Chaise, fils de Edmond Marie Olivier de La Chaise et de Pauline Camille de Nully d'Hécourt est né le 13 janvier 1846 à Beauvais et mort le 15 mars 1907 à Paris 8e.
Références
modifier- SIRPA Terre 1991, p. 99.
- SIRPA Terre 1991, p. 100.
- SIRPA Terre 1991, p. 101.
- SIRPA Terre 1991, p. 102.
- Duchange, p. 5.
- Duchange, p. 6.
- Duchange, p. 17.
- Duchange, p. 19.
- Duchange, p. 25-26.
- Duchange, p. 28.
- Duchange, p. 30.
- Duchange, p. 57.
- 11e régiment de chasseurs à cheval sur atf40.fr
- SIRPA Terre 1991, p. 103.
- SIRPA Terre 1991, p. 98.
- David Delporte, « Ordre de bataille de l’armée de terre au », sur Armée française en 1989, (consulté le ).
- Décision no 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, no 27, 9 novembre 2007