Rougon

commune française du département des Alpes-de-Haute-Provence

Rougon
Rougon
Vue du village de Rougon.
Blason de Rougon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Castellane
Intercommunalité Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
Maire
Mandat
Jacques Jean Audibert
2020-2026
Code postal 04120
Code commune 04171
Démographie
Population
municipale
121 hab. (2021 en augmentation de 16,35 % par rapport à 2015)
Densité 3,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 47′ 57″ nord, 6° 24′ 10″ est
Altitude Min. 568 m
Max. 1 900 m
Superficie 35,83 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Castellane
Législatives Première circonscription
Localisation
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Rougon
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Rougon
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Rougon
Liens
Site web http://www.rougon.fr/

Rougon est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Le nom de ses habitants est Rougonnais[1].

Géographie modifier

Localisation modifier

Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
Rougon et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Rougon est une des 46 communes adhérentes du Parc naturel régional du Verdon.

Les communes limitrophes de Rougon sont Blieux, Castellane, Trigance (dans le département du Var) et La Palud-sur-Verdon.

Géologie et relief modifier

Ruines du château fort et les Traverses en arrière-plan (1 075 m).

Le village est perché à 930 m d’altitude[2], sur un éperon qui sert également de col, à proximité des gorges du Verdon.

Le belvédère du Point Sublime (site inscrit) est sur le territoire de la commune[3]. L’éperon sur lequel est situé le château est un site classé[3]. Le point culminant est le Mourre de Chanier (1 930 m), dans le massif du Montdenier.

On trouve des fossiles tithoniques sur la commune. L'essentiel du substrat est cependant composé des calcaires jurassiques, qui ont donné lieu à de nombreuses formations karstiques[3].

La commune est située dans le périmètre de protection de la Réserve naturelle géologique de Haute-Provence.

Hydrographie et les eaux souterraines modifier

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[4] :

  • rivière le Verdon ;
  • rivière le Jabron ;
  • rivière l'Artuby ;
  • rivière le Bau ;
  • ravins du Riu, de Passerin, de Patarasse, de Cabroulet, de Saint-joseph, de Réquiran, des Conhets ;
  • torrent de Praux ;
  • vallon le grand.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 966 mm, avec 7 jours de précipitations en janvier et 4,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castellane », sur la commune de Castellane à 11 km à vol d'oiseau[7], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 999,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −20,5 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Voies de communication et transports modifier

Voies routières modifier

La commune de Rougon est desservie par la route départementale RD 952 (ancienne route nationale 552), qui relie Castellane à Gréoux-les-Bains en empruntant la vallée du Verdon et le plateau de Valensole[12].

Services autocars modifier

Lignes régionales, réseau Zou ! modifier
  • Rougon est desservie par 1 ligne de PROXIMITÉ :
Ligne Tracé
450 Castellane ↔ Rougon ↔ Moustiers-Sainte-MarieRiez

Végétation modifier

La commune compte 980 ha de bois et forêts, soit 27 % de sa superficie[1].

Risques naturels et technologiques modifier

La commune de Rougon est également exposée à trois risques naturels[13] : les feux de forêt, les inondations et les mouvements de terrain.

La commune de Rougon est de plus exposée à deux risques d’origine technologique[14] :

  • celui de transport de matières dangereuses par route : la départementale RD 952 peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[15] ;
  • celui de rupture de barrage. Rougon fait partie de la zone d’inondation spécifique en cas de rupture du barrage de Castillon[16],[17]. Si cette rupture advenait, l’onde de submersion passerait en crête au-dessus de celui de Chaudanne[18], et atteindrait la clue de Chasteuil en 17 à 18 minutes (où elle entre dans la commune de Rougon)[19], progressant à une vitesse moyenne de 60 km/h. Ensuite, elle ralentirait pour arriver à hauteur du village au bout de 28 minutes, ne dépassant pas toutefois la cote des 670 m (soit une hausse du cours du Verdon de plus de 60 m)[20].

Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[14] mais le Dicrim existe depuis 2011[21].

La commune a été l’objet de deux arrêtés de catastrophe naturelle pour des inondations et des coulées de boue en 1994 et 2011[13]. Le dernier tremblement de terre fortement ressenti dans la commune est celui de Chasteuil, le . Il a été ressenti avec une intensité macro-sismique de VI et demi sur l’échelle MSK[22],[23]. Celui du avait son épicentre dans la commune, et une intensité de 4[24].

Sismicité modifier

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Castellane auquel appartient Rougon est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[25], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[13].

Toponymie modifier

Le nom de la commune est ancien : outre villa Rovagonis 814, on connaît les formes Rovagonus (1056), de castro Rogone (1096), oppidi Ragonis (1114) et de Roagono (1200). Il fait l’objet de différentes interprétations :

  • selon Charles Rostaing, il est construit sur la racine *Rub-, désignant un rocher[26], et antérieure aux Gaulois[27] ;
  • selon Ernest Nègre, il est construit sur un nom propre préceltique, à l’origine et au sens incertains[28]. La commune se nomme Rogon en provençal selon la norme classique et Rougoun selon la norme mistralienne.

Histoire modifier

Sur la barre de Catalan (1333 m d’altitude), une enceinte, peut-être protohistorique a été repérée par prospection aérienne : elle était défendue par deux murs concentriques, épais d’environ 1,5 m[29],[30],[31].

La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 814, avec la mention de villa Rovagonis dans le polyptyque de Wadalde. Cette villa est le siège d’une vaste exploitation appartenant à l’abbaye Saint-Victor de Marseille. Elle a aussi de nombreuses fermes sous sa dépendance à Rougon et La Palud[32],[33]. Un château fut construit au XIe siècle[34],[35]. La paroisse relevait de l’évêque de Riez, qui, à partir de 1096, partagea les dîmes avec l’abbaye de Montmajour[32].

Les Templiers possédaient un bien à Rougon[36]. Il s’agit du Prieuré Saint-Maxime, en limite de la commune de Trigance[32],[37]. Comme tout bien des Templiers, il était exempté de redevance envers l’évêque de Riez, et donc toutes les dîmes et redevances allaient intégralement aux Templiers. Le prieuré est passé à l’ordre des Hospitaliers au XIVe siècle[32].

La seigneurie, d’abord aux Castellane (XIVe siècle), passe aux Glandevez (XVe siècle), puis aux Brun-Castellane (XVIe – XVIIe siècle) et est enfin achetée par l’abbaye de Lérins en 1732[38],[32]. Cette seigneurie comportait le château, les droits de justice et divers autres, le moulin banal, plusieurs bâtiments dont deux bastides, des terres, prés.

La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Le seigneur de Rougon, Guyard de La Garde, se rallie aux Angevins en 1385, après la mort de Louis Ier[39].

Durant la Révolution, la commune de Rougon compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[40].

La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1835 que le cadastre dit napoléonien de Rougon est achevé[41].

Comme de nombreuses communes du département, Rougon se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle compte déjà son école qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[42]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[43], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Rougon[44]. Ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles d’Allons sont régulièrement scolarisées.

Héraldique modifier

Blason de Rougon Blason
De gueules au château d'or ouvert de sable, le château et les tours ajourés de sable, le tout maçonné du même sur une terrasse du même[45],[46].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Mairie de Rougon[47].
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945 juillet 1945 Édouard Carbonnel[48]    
juillet 1945 avril 1995 Antoine Susini    
mars 1995 mars 2008 Jean-Pierre Clair    
2008 2014 Michel Facchin[49]    
2014 2020 Jean marie Audibert    
2020 En cours Jacques Jean Audibert[50]   Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité modifier

Rougon fait partie:

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Rougon est une commune rurale[Note 2],[51]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[52],[53]. La commune est en outre hors attraction des villes[54],[55].

La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[56].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (59,2 %), forêts (30,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (10,5 %)[57].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Budget et fiscalité 2016 modifier

En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[58] :

  • total des produits de fonctionnement : 228 000 , soit 2 212  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 190 000 , soit 1 849  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 124 000 , soit 1 203  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 171 000 , soit 1 660  par habitant.
  • endettement : 56 000 , soit 539  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 9,75 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 8,84 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,88 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 16,52 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014[59].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[61].

En 2021, la commune comptait 121 habitants[Note 3], en augmentation de 16,35 % par rapport à 2015 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
484539506497505496548558560
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
485500484487478406357349309
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
31731933126518018015012693
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006
90524140557785128135
2009 2014 2019 2021 - - - - -
104103121121-----
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[62] puis Insee à partir de 2006[63].)
Évolution démographique
1315 1471
54 feux16 feux
(Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[38].)

En 1906, la population comprend 21 ouvriers présents temporairement pour la construction d'une conduite maçonnée devant amener l'eau du Verdon de Castellane à l'usine hydro-électrique du Galetas, qui ne fut jamais achevée[64].

Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Santé modifier

Cultes modifier

Économie modifier

Entreprises et commerces modifier

Agriculture modifier

Tourisme modifier

Commerces modifier

Le café La Terrasse, qui porte le label Bistrot de Pays[65], adhère à une charte dont le but est de « contribuer à la conservation et à l’animation du tissu économique et social en milieu rural par le maintien d’un lieu de vie du village »[66].

Lieux et monuments modifier

Ruines du château fort accrochées au rocher.

Le patrimoine naturel, la faune et la flore modifier

  • Le site des gorges du Verdon traverse la commune, il est classé depuis 1990 et figure dans tous les guides touristiques consacrés à la région[3].
  • L'inventaire des espèces et infra-espèces sur la commune a permis de recenser 1 181 taxons terminaux[67]

Le patrimoine civil modifier

  • Le village est dominé par les ruines du château fort, perché sur une arête vertigineuse dominant l'entrée des gorges du Verdon[68]. Le site du château est lui aussi classé[3]). Une arche construite au-dessus d’une faille permettait d’agrandir la surface du château, accessible par un sentier malaisé. D’autres vestiges de fortifications sont visibles à la barre des Catelans[69]. Ce château défendait la route d’accès à Castellane[70].
  • La commune compte deux ponts anciens :
  • Les fontaines[75],[76],[77],[78], lavoirs[79],[80],[81], abreuvoirs[82],[83] et puits[84],[85].

Le patrimoine religieux modifier

Personnalités liées à la commune modifier

  • Le prêtre ouvrier Guy Gilbert (né en 1935) y possède une ferme dont il a fait un centre de rééducation, appelé La bergerie de Faucon.

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Roger Brunet, « Canton de Castellane », Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013.
  2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7).
  3. a b c d et e Direction régionale de l'environnement, « Les gorges du Verdon », Inventaire départemental des sites classés, DIREN, publié en octobre 2003, consulté le 4 août 2012.
  4. L'eau dans la commune
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Rougon et Castellane », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Castellane », sur la commune de Castellane - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Castellane », sur la commune de Castellane - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  12. Carte de Rougon sur le site Géoportail de l'IGN (consulté le 3 novembre 2016).
  13. a b et c Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale « Copie archivée » (version du sur Internet Archive) sur la base de données Gaspar, mise à jour le 22 novembre 2011, consultée le 13 août 2012.
  14. a et b Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97.
  15. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80.
  16. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 88.
  17. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Plan particulier d'intervention des barrages de Castillon et Chaudanne « Copie archivée » (version du sur Internet Archive), version du 4 juillet 2012, p. 14.
  18. DREAL, « Cartographie de l’onde de submersion des grands barrages », Région PACA, consulté le 9 août 2012.
  19. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, PPI de Castillon-Chaudanne, p. 19.
  20. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, PPI de Castillon-Chaudanne, p. 20.
  21. Document, base Dicrim, consultée le 13 août 2012.
  22. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Rougon », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 13 août 2012.
  23. BRGM, « fiche 40099 », Sisfrance, consultée le 13 août 2012.
  24. BRGM, « fiche 40103 », Sisfrance, consultée le 13 août 2012.
  25. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39.
  26. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 237
  27. Charles Rostaing, « Toponymie d’origine pré-gauloise » in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 11 et commentaire
  28. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Volume I : Formations préceltiques, celtiques, romanes. Notice 1176, p 56
  29. Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p. 397.
  30. Marc Gauthier, « Provence-Alpes-Côte-d'Azur », Gallia, Tome 43, no 2, 1985. p. 534.
  31. « mégalithe », notice no IA04001922, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  32. a b c d e f g et h Daniel Thiery, « Rougon », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 13 août 2012.
  33. Jean-François Boué, « Implantation des ordres réguliers au Moyen Âge », CG 06.
  34. « village », notice no IA04001957, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  35. « bourg castral de Rougon », notice no IA04001951, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  36. « présentation de la commune de Rougon », notice no IA04001958, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  37. a et b Joseph-Antoine Durbec (préf. Jacques Juillet), Templiers et Hospitaliers en Provence et dans les Alpes-Maritimes, Grenoble, Le Mercure Dauphinois, , 430 p. (ISBN 978-2-9138-2613-7, présentation en ligne), p. 109-110.
  38. a b et c Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 193.
  39. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 412 (note 55).
  40. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298.
  41. Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe – XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
  42. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
  43. Labadie, op. cit., p. 16.
  44. Labadie, op. cit., p. 18.
  45. « Banque du Blason »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  46. Dominique Cureau, « Moyen Verdon 2 : Rougon », sur vexil.prov.free.fr.
  47. Notice no IM04002254, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture horloge de la mairie
  48. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
  49. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Puimoisson à Saint-Julien-du Verdon (liste 6), consulté le 6 mars 2013.
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  57. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
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  59. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
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  63. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  64. Allain Collomp, La découverte des gorges du Verdon : histoire du tourisme et des travaux hydrauliques, Édisud, 2002, (ISBN 2-7449-0322-1), p. 49
  65. La charte Bistrot de Pays
  66. L'implantation des Bistrots de pays en France métropolitaine en 2010
  67. Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
  68. Un nid d’aigle à Rougon
  69. Raymond Collier, op. cit., p 273
  70. Raymond Collier, op. cit., p 316
  71. « pont du Tusset », notice no IA04001637, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  72. Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 107
  73. « pont de Carajuan », notice no IA04001638, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  74. Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 106
  75. « fontaine-lavoir », notice no IA04001939, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  76. « fontaine », notice no IA04001940, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  77. « fontaine du T.C.F. », notice no IA04001935, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  78. « Fontaine Mantagière (la) », notice no IA04001934, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  79. « lavoir Sences (les) », notice no IA04001937, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  80. Le lavoir du jardinier
  81. La fontaine de Rougon
  82. « abreuvoir dit La Gourgette », notice no IA04001938, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  83. La gourgette des moutons
  84. « Puits lieu-dit Entreverges », notice no IA04001942, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  85. « Puits Entreverges », notice no IA04001941, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  86. « prieuré et église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption », notice no IA04001844, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  87. « chapelle Saint-Christophe », notice no IA04001843, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  88. La chapelle des voyageurs
  89. Raymond Collier, op. cit., p. 224
  90. Raymond Collier, op. cit., p. 486
  91. Raymond Collier, op. cit., p. 513
  92. Arrêté du 8 janvier 1975, notice de la Base Palissy, consultée le 7 décembre 2008
  93. La bastide Saint-Maxime qui dépendait pour la période templière de la commanderie du Ruou.
  94. Le membre de Saint-Maime qui dépendait de la commanderie de Comps au sein du grand prieuré de Saint-Gilles.
  95. « oratoire Sainte-Rose », notice no IA04001946, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  96. « oratoire Sainte-Hélène », notice no IA04001945, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  97. « oratoire Sainte-Anne », notice no IA04001948, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  98. « oratoire Saint-Lucien », notice no IA04001947, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  99. « oratoire Saint-Antoine », notice no IA04001944, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  100. « oratoire Saint-Joseph », notice no IA04001943, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  101. Six oratoires au pays des vaubourg
  102. « monument aux morts de la guerre de 1914-1918 », notice no IA04001924, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  103. Monument aux morts : Historique
  104. Edmond Audibert