Trignac

commune française du département de la Loire-Atlantique
(Redirigé depuis Rugby Club Trignacais)

Trignac est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. La commune est créée en 1914 à partir d'un démembrement partiel de Montoir-de-Bretagne.

Trignac
Trignac
Poste et mairie de Trignac
Image illustrative de l’article Trignac
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Saint-Nazaire
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Région Nazairienne et de l'Estuaire
Maire
Mandat
M. Claude Aufort
2020-2026
Code postal 44570
Code commune 44210
Démographie
Gentilé Trignacais
Population
municipale
8 106 hab. (2021 en évolution de +6,16 % par rapport à 2015)
Densité 564 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 19′ 08″ nord, 2° 11′ 16″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 10 m
Superficie 14,38 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Saint-Nazaire
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Nazaire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Nazaire-2
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Trignac
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Trignac
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Trignac
Liens
Site web http://www.mairie-trignac.fr/

Géographie

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Localisation de Trignac dans le département de la Loire-Atlantique.
Situation

Trignac est située entre l'estuaire de la Loire et les marais de la Brière, au nord-est de Saint-Nazaire.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 739 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 792,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records ST NAZAIRE-MONTOIR (44) - alt : 3m, lat : 47°18'49"N, lon : 2°09'16"O
Records établis sur la période du 01-07-1957 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 3,7 3,4 5,1 6,6 9,8 12,5 14,1 13,9 11,4 9,5 6,1 4 8,3
Température moyenne (°C) 6,6 6,9 9,1 11,2 14,5 17,5 19,3 19,2 16,7 13,5 9,6 7,1 12,6
Température maximale moyenne (°C) 9,5 10,4 13,2 15,8 19,2 22,5 24,4 24,5 21,9 17,4 13,1 10,2 16,8
Record de froid (°C)
date du record
−13,8
16.01.1985
−13,7
10.02.1986
−9,4
01.03.05
−3
11.04.1973
−0,9
14.05.1995
2
02.06.1962
6,5
03.07.1968
4,7
31.08.1986
1,1
11.09.1972
−5,9
30.10.1997
−7,9
23.11.1988
−10,6
28.12.1962
−13,8
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,8
27.01.03
20,7
27.02.19
24
30.03.21
27,5
22.04.1984
31,2
26.05.17
37,7
27.06.19
41
18.07.22
38,4
09.08.03
33,4
12.09.22
29,4
08.10.23
20,9
01.11.15
16,9
07.12.00
41
2022
Ensoleillement (h) 728 102 1 487 1 745 2 068 2 329 2 331 2 339 1 977 1 279 898 724 18 926
Précipitations (mm) 87,7 68,3 58,6 56,6 54,9 40 38,6 44,1 63,4 87,7 95,4 96,7 792
Source : « Fiche 44103001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme

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Typologie

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Au , Trignac est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Nazaire[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 17 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Nazaire, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[9]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (66,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (53 %), zones urbanisées (22,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (14,7 %), zones humides intérieures (10,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et villages

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La commune comprend plusieurs lieux-dits dont les principaux sont Aucard, Bert, Certé, Trembly et Savine.

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Tiliniacum au xie siècle et Tyrriniacum au xiie siècle[13].

En gallo, le nom de la commune attesté localement est Trigna[14] et se prononce [triɲɑ̈][15].

La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Trinieg[13].

Histoire

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Au sein de la commune de Montoir, Trignac s'est comporté longtemps comme un petit bourg à part. A la fin du xixe siècle Trignac possède déjà son école et son facteur. Ce qui montre déjà un début d'autonomie. Au conseil municipal un certain nombre de conseillers habitants Trignac défendent ses intérêts. Un bureau de vote y est créé en 1894. Le le dossier de séparation est remis par le percepteur à la sous préfecture. Au départ un petit hameau d'à peine plus de 300 habitants la commune se développe à partir de la fin du XIXe siècle autour des Forges de Saint-Nazaire fondées par la « Société des Mines de Fer de l’Anjou » en 1879. La commune de Trignac fut créée le [16].

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, à cause de l'existence de la Poche de Saint-Nazaire, l'occupation allemande se prolongea à Trignac comme sur l'ensemble des localités voisines de l'estuaire durant 9 mois de plus (d'août 1944 au ), la reddition effective de la poche intervenant 3 jours après la capitulation de l'Allemagne.

Politique et administration

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Selon le découpage de la Bretagne fait par Erwan Vallerie, Trignac fait partie du pays traditionnel de la Brière et du pays historique du Pays Nantais.

Administrativement, Trignac fait partie de la Communauté d'agglomération de la Région Nazairienne et de l'Estuaire (CARENE).

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
octobre 1947 mars 1965 André Hazo SFIO Ajusteur
mars 1965 mars 1971 Pierre Glotin SFIO  
mars 1971 mars 1977 Augustine Bihan app. PCF  
mars 1977 mars 2008 Jean-Louis Le Corre PCF Ajusteur ; secrétaire du syndicat CGT Sud-Aviation Saint-Nazaire (1964-1971)
conseiller général du canton de Montoir-de-Bretagne (1973-1982 et 1994-2008)
mars 2008 mars 2014 Sabine Mahé PCF employée
mars 2014 mai 2017 David Pelon DVD responsable fonction publique
28 mai 2017 En cours Claude Aufort[17] PS Directeur général de Enfance et Famille 2000-2013[18]

Héraldique, logotype et devise

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Sur le logo de Trignac sont représentés ses anciennes forges, deux roseaux de Brière croisés et un canard colvert.

Population et société

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Démographie

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Selon le classement établi par l'Insee en 2010, Trignac est une commune urbaine, une des 11 communes de l'unité urbaine de Saint-Nazaire, qui s'étend de Donges au Croisic[19] ; elle fait donc partie de l'aire urbaine de Saint-Nazaire[20] et de l'espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire[21].

Évolution démographique

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La commune est créée en 1914 à partir d'un démembrement partiel de Montoir-de-Bretagne et compte en 2018 plus de 8 000 habitants.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1921. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].

En 2021, la commune comptait 8 106 habitants[Note 4], en évolution de +6,16 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
5 6795 9375 6715 3363 9476 2236 9177 0767 253
1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2021
7 1807 0206 9527 0927 2307 1927 4427 9838 106
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,6 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 3 895 hommes pour 4 031 femmes, soit un taux de 50,86 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,6 
5,8 
75-89 ans
9,2 
16,3 
60-74 ans
17,9 
21,0 
45-59 ans
19,0 
19,1 
30-44 ans
18,0 
18,0 
15-29 ans
16,2 
19,4 
0-14 ans
18,2 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2021 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,8 
75-89 ans
8,6 
15,1 
60-74 ans
16,4 
19,4 
45-59 ans
18,8 
20,1 
30-44 ans
19,3 
19,2 
15-29 ans
17,4 
19,5 
0-14 ans
17,6 

La ville est connue pour son club de Rugby, le Rugby Club de Trignac (br) (RCT)[28], fondé en 1912. Celui-ci fut, d'ailleurs la première école de Rugby de France[29].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Les Forges de Trignac, fondées au XIXe siècle, ont laissé quelques vestiges visibles. Le reste du site est réaménagé en zone industrielle[30].

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Nazaire comprend une ville-centre et 16 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Trignac et Montoir-de-Bretagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. « Unité urbaine 2020 de Saint-Nazaire », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Trignac ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Nazaire », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
  14. « Liste des communes de Haute-Bretagne »
  15. « ChubEndret », Chubri
  16. Histoire de Trignac sur le site officiel de la commune. « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  17. « Trignac. Claude Aufort élu maire par le conseil municipal », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. « Création en 1928... », sur Enfance & Famille (consulté le ).
  19. « Unité urbaine 2010 de Saint-Nazaire (44601) », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
  20. « Zonage en aires urbaines 2010 de Saint-Nazaire (046) », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
  21. « Carte thématique » [archive du ], sur statistiques-locales.insee.fr, Insee (consulté le ) ; cheminement : sur la petite carte de France, onglet Départements, puis choisir le département, puis menu déroulant Couches d'aide à la sélection.
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Trignac (44210) », (consulté le ).
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
  28. Rugby Club de Trignac
  29. Christophe Turgis, « Trignac : la centenaire rouge s'offre un maire UMP », sur france3.fr, France 3 Pays de la Loire, (consulté le ).
  30. travail pédagogique sur le site de l'académie de Nantes