Ryōichi Tsuji

écrivain japonais

Ryōichi Tsuji 辻 亮一; à Kondō-chō, Gokashō, district de Kanzaki, Ōmi (aujourd'hui Gokashō-Kondō, Higashiōmi), préfecture de Shiga - [1] est un écrivain japonais[2].

Ryōichi Tsuji
Biographie
Naissance
Décès
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Nom dans la langue maternelle
辻亮一Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
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Distinction

Biographie

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Tsuji est né dans un temple à Gokashō, cinquième fils de Ichizaemon Tsuji, un marchand Gofuku ( les tissus en soie ( pour les Kimonos), Tanmono). Il a appris le chant Yōkyoku (chant sur la scène de ) auprès de son père.

Diplômé en littérature française de l'université de Waseda en 1937. Alors qu'il est étudiant au lycée de Waseda, il fonde le magazine coterie Mokuji ( Revelation) avec Yoshinori Yagi, Yūkei Tada plus tard, auteur lauréat du prix Akutagawa, et Hachiro Nakamura et d'autres.

Avant la Guerre du Pacifique, comme un grand nombre de Japonais à l'époque, il s'est rendu en Mandchourie après avoir obtenu son diplôme universitaire, et a travaillé pour l'enterprise de chemins de fer de Mandchourie orientale. Il a été interné par l'armée communiste chinoise après la défaite de la guerre et a perdu sa femme.

Il rentre au Japon en 1948 et commence à travailler pour une enterprise (plus tard Mitsubishi Plastics) à Nagahama, Ōmi, la ville-château sur les rives du lac Biwa inaugurée par Hideyoshi. En 1949, il écrit Ihōjin ( 異邦人 L'Étranger), qui est couronné du prix Akutagawa en 1950.

Après sa retraite, il s'est consacré au bouddhisme et a rédigé des articles sur le sujet.

Son cousin est le peintre Kenzō Noguchi.

Ouvrages

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  • 1950 Ihōjin (異邦人) L'Étranger
  • 1960 Banka jojō (挽歌抒情)
  • 1950 Kogarashikoku nite (木枯国にて) Au pays des arbres morts ; nommé pour le prix Akutagawa.
  • Shūdōsha(修道者) Moine

Références

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  1. http://sankei.jp.msn.com/life/news/130306/art13030619060003-n1.htm « Copie archivée » (version du sur Internet Archive)
  2. (ja) « 辻亮一 », Kodansha (consulté le )

Source de la traduction

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