Saint-Sulpice-des-Landes (Loire-Atlantique)
Saint-Sulpice-des-Landes est une ancienne commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire, devenue le , une commune déléguée de la commune nouvelle de Vallons-de-l'Erdre.
Saint-Sulpice-des-Landes | |||||
Château du Coudray. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | Châteaubriant-Ancenis | ||||
Commune | Vallons-de-l'Erdre | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du pays d'Ancenis | ||||
Statut | Commune déléguée | ||||
Maire délégué Mandat |
Catherine Hamon 2020-2026 |
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Code postal | 44540 | ||||
Code commune | 44191 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sulpiciens, Sulpiciennes ou Sulpiciens-Landois, Sulpiciennes-Landoises[1] | ||||
Population | 686 hab. (2015 ) | ||||
Densité | 22 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 34′ 32″ nord, 1° 12′ 17″ ouest | ||||
Altitude | Min. 44 m Max. 86 m |
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Superficie | 30,78 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Ancenis | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
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La commune se trouve dans la Bretagne historique, aux confins de l'Anjou et du pays de la Mée. Saint-Sulpice-des-Landes fait partie du pays d'Ancenis.
Géographie
modifierSituation
modifierSaint-Sulpice-des-Landes est située à 13 km à l'ouest de Candé (Maine-et-Loire), à 25 km au sud-est de Châteaubriant, à 47,5 kilomètres au nord-est de Nantes, à 50 kilomètres au nord-ouest d'Angers et à 68,9 kilomètres au sud de Rennes[2]. Les communes limitrophes sont Le Pin, La Chapelle-Glain, Petit-Auverné, Grand-Auverné, Riaillé, ainsi que trois communes déléguée de la commune nouvelle de Vallons-de-l'Erdre : Bonnœuvre et Saint-Mars-la-Jaille et Freigné.
Relief
modifierLa commune présente un léger vallonnement au nord et au sud, avec des collines orientées est-ouest. Entre les deux, au centre, s'étend une plaine plate[3].
Hydrographie
modifierLa commune est parcourue par quelques ruisseaux : au nord le ruisseau de l'étang de la Bourlière et le ruisseau du Mandit matérialisent la limite entre Saint-Sulpice et La Chapelle-Glain. À l'est le ruisseau de la Bourgeonneraie prend sa source à Saint-Sulpice avant de s'écouler vers Freigné. À l'ouest le ruisseau du Bardeau coule d'ouest en est à partir du Grand-Auverné pour rejoindre le ruisseau du Pas du Gué qui prend sa source dans la plaine centrale de Saint-Sulpice et coule en direction du sud-est vers l'étang de la Poitevinière (ceb) à Riaillé, et qui est grossi à Saint-Sulpice du ruisseau de la Fortune qui coule d'est en ouest à partir du Marchix, entre le bois de Haut-Pouillé et la forêt de Saint-Mars-la-Jaille. Saint-Sulpice-des-Landes est parsemée de quelques étangs[3].
Climat
modifierAvec sa façade océanique orientée vers l'Ouest et un relief peu accentué, le climat de la Loire-Atlantique est de type tempéré océanique[4]. Les hivers y sont doux (5 °C en moyenne), les étés faiblement chauds (18 °C en moyenne). Les précipitations sont fréquentes (surtout en hiver et au printemps) mais rarement violentes. Les données concernant le climat de Saint-Sulpice-des-Landes qui suivent sont extraites d'une source basant le site de relevé des données météorologiques aux coordonnées 47°09'N - 1°37'O[5], ce qui correspond à la position de l'aéroport Nantes Atlantique situé sur la commune de Bouguenais.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,4 | 2,8 | 4 | 5,9 | 9 | 11,9 | 13,9 | 13,5 | 11,8 | 8,9 | 5,1 | 3 | 7,7 |
Température moyenne (°C) | 5,4 | 6,2 | 8,1 | 10,4 | 13,6 | 16,9 | 19,1 | 18,7 | 16,8 | 13,1 | 8,6 | 6 | 11,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,4 | 9,6 | 12,2 | 14,9 | 18,2 | 21,9 | 24,4 | 24 | 21,8 | 17,3 | 12 | 9 | 16,1 |
Ensoleillement (h) | 72 | 99 | 148 | 187 | 211 | 239 | 267 | 239 | 191 | 140 | 91 | 70 | 1 956 |
Précipitations (mm) | 86,6 | 70,2 | 69,1 | 49,9 | 64,1 | 45 | 46,4 | 44,8 | 62,2 | 79,2 | 86,9 | 84,1 | 788,5 |
Toponymie
modifierLe nom de saint Sulpice a été donné à l'église Sainte-Marie-des-Landes au XIIIe siècle par les moines qui en avaient la charge[6]. Les landes constituaient une partie suffisamment caractéristique de la paroisse pour qu'elles soient mentionnée dans le nom de la paroisse. En 1780, Jean Ogée dans son dictionnaire de la Bretagne signale d'ailleurs cette caractéristique du paysage de Saint-Sulpice[7].
Ce qui constitue aujourd'hui le bourg de Saint-Sulpice était autrefois connu sous le nom de hameau de La Barre-David, nom également porté par un château. En gallo, le nom de la commune qui a été relevé est Sint Sulpiç (écriture MOGA, prononcé /sɛ̃.syl.pis/) ou La Bârr (prononcé /la.bɑʁ/)[8].
Histoire
modifierIl n'a pas été relevé de traces de peuplement du territoire de la commune avant le Moyen Âge. Saint-Sulpice est située dans une région habitée par les Celtes puis les Gallo-romains, avant de devenir bretonne au IXe siècle. L'union à la France a lieu en 1532.
Le monastère Saint-Sulpice-des-Landes aurait été fondé par Robert d'Arbrissel ou un de ses disciples. La présence des moines de Marmoutier est attestée en 1151. Ils gèrent l'église Sainte-Marie-des-Landes. Cependant les religieux quittent la région peu après. C'est sans doute au XIIIe siècle que le nom de l'église devient Saint-Sulpice-des-Landes[6].
Le territoire est un fief de Jeanne de Pannecé en 1272, puis appartient à la famille de Rougé jusqu'en 1415. Il passe successivement entre les mains de la famille de Penhouët, puis de la famille de Rohan, puis de celle Robineau de Rochequairie en 1637. Après avoir dépendu de la paroisse du Pin à partir de 1497, Saint-Sulpice-des-Landes devient paroisse autonome en 1768. Celle-ci sert de base à la création de la commune lors de la Révolution[6].
Le Vieux-Bourg et son église sont restés le cœur de la commune et de la paroisse jusqu'au XIXe siècle, lorsque le village secondaire de la Barre-David est devenu plus important. Ce village est alors devenu le nouveau bourg de Saint-Sulpice.
Politique et administration
modifierSaint-Sulpice-des-Landes est située dans le canton de Saint-Mars-la-Jaille, arrondissement de Châteaubriant-Ancenis, dans le département de la Loire-Atlantique (région Pays de la Loire)[9]. Comme pour toutes les communes françaises comptant entre 500 et 1 500 habitants, le Conseil municipal est constitué de quinze membres en 2011[10].
Liste des maires
modifierIntercommunalité
modifierSaint-Sulpice-des-Landes est membre de la communauté de communes du pays d'Ancenis, qui est constituée de vingt-neuf communes regroupées autour d'Ancenis. La commune est représentée au conseil intercommunal par le maire et deux élus communautaires[11].
Population et société
modifierDémographie
modifierSelon le classement établi en 1999 par l’Insee, Saint-Sulpice-des-Landes était une commune rurale non polarisée[12].
Évolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[14].
En 2015, la commune comptait 686 habitants[Note 1], en évolution de +7,86 % par rapport à 2009 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLes données suivantes concernent l'année 2013. La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22,9 %) est en effet supérieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[17],[18],[19]. Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (53,5 % contre 48,4 % au niveau national et 48,7 % au niveau départemental)[17],[18],[19].
Enseignement
modifierSaint-Sulpice-des-Landes dépend de l'académie de Nantes. La commune gère l'école primaire privée du Sacré-Cœur[20],[21]. Le collège le proche se trouve à Saint-Mars-la-Jaille, et les lycées se situent à Châteaubriant et Ancenis[22],[23],[24],[25],[26],[27].
Santé
modifierIl n'y a pas de médecin ni d'infirmiers à Saint-Sulpice-des-Landes, les plus proches sont situés à Saint-Mars-la-Jaille[28]. Des centres hospitaliers sont installés à Ancenis et Châteaubriant[29].
Économie
modifierRevenus de la population et fiscalité
modifierEn 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 13 681 €, ce qui plaçait Saint-Sulpice-des-Landes au 29 704e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[30].
Entreprises et commerces
modifierSaint-Sulpice-des-Landes est une commune agricole[31]. Si le nombre d'exploitations agricoles est passée, selon l'Insee, de 68 à 40 entre 1988 et 2000, la superficie cultivée s'est maintenue, passant de 2 214 à 2 018 hectares. L'activité avicole est en croissance en 2011[31], confirmant la progression entre 1988 et 2000, où le nombre de volailles est passé de 235 325 à 328 471. L'élevage bovin est en recul dans cette période (de 2 833 à 1 979 bêtes).
Au , l'Insee recense 104 entreprises dans la commune : treize dans l'agriculture, trois dans l'industrie, sept dans la construction, dix dans le commerces, le transport et les services, cinq dans l'administration. Élément remarquable pour une commune de cette taille démographique : deux entreprises emploient à elles seules 72 salariés sur les 104 en poste dans la commune. Il s'agit d'une entreprise de transport (45 salariés) et d'une industrie (27 salariés).
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierLa chapelle Saint-Clément est détruite au XVe siècle, puis reconstruite en 1758, et rénovée en 1914. Dès le Moyen Âge, elle est un lieu de pèlerinage, en particulier pour implorer des conditions climatiques favorables. Cette tradition a été reprise lors de la sécheresse de 1976[6].
L'église ou chapelle du Vieux-Bourg, construite au début du XVe siècle, renferme des peintures murales. Ces dernières furent découvertes en 1884 sous un badigeon de chaux posé durant la Révolution française. Elles représentent des scènes de l'Ancien et du Nouveau Testament, ainsi que de l'histoire ecclésiastique. L'église a été classée monument historique dans son intégralité en 1977. Elle appartient depuis 1979 au conseil départemental de la Loire-Atlantique qui a achevé sa restauration au début des années 1980[32]. Elle bénéficie du label Grand patrimoine de Loire-Atlantique[33].
Le château du Coudray est à l'origine une métairie. Un bail de 1729 le signale encore sous cette forme. La famille Legeard de La Diriays l'acquiert au XIXe siècle et la transforme au XXe siècle, faisant bâtir l'aile ouest. L'édifice se présente dès lors dans un style néorenaissance[Note 2]. Le parc recèle des arbres centenaires[34].
Personnalités liées à la commune
modifier- Mgr Amand Hubert (1900-1980), vicaire apostolique d'Héliopolis (Égypte)[35].
- Yves Le Goüais (1902-1962), maire de Saint-Sulpice-des-Landes de 1945 à 1962, président-fondateur de la Coopérative agricole de Saint-Mars-la-Jaille (), qui deviendra la CANA (Coopérative Agricole la Noëlle Ancenis), puis Terrena[36], l'un des plus grands groupes coopératifs agricoles français[37].
Héraldique
modifier
Au premier reparti d’argent et de gueules à la croix ancrée de l’un en l’autre, au chef aussi reparti de gueules et d'argent chargé de cinq besants ou tourteaux de l’un en l’autre ; au deuxième, d’argent au sapin de sinople ; le tout sous un chef d’hermine. Le premier parti évoque les armes des La Rochequairie, famille qui se réfugia dans la forêt d'Ancenis durant les persécutions religieuses. Au second parti, le sapin évoque Le Pin, paroisse principale jusqu'en 1768. Le chef d'hermine évoque le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. Blason conçu par l'héraldiste Michel Pressensé. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article..
- Jean-Luc Flohic (dir.) et Gilbert Massard, Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, vol. 2, Charenton-le-pont, Flohic éditions, , 1383 p. (ISBN 978-2-84234-040-7, LCCN 00357670), p. 1127-1129.
Articles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2018, millésimée 2015, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2017, date de référence statistique : 1er janvier 2015.
- La source utilise les termes style Renaissance, sans doute par erreur.
Références
modifier- « Services publics Saint-Sulpice-des-Landes », sur habitants.fr (consulté le ).
- « Saint-Sulpice-des-Landes », sur Localisation interactive, orthodromie et navigation (consulté le ).
- « Carte IGN de Saint-Sulpice-des-Landes » sur Géoportail.
- « Carte France - Climat », sur CartesFrance.fr (consulté le ).
- « Normale et records - Nantes, Loire-Atlantique (44), 26 m - 1961-1990 », sur Infoclimat, (consulté le ).
- Flohic et Massard 1999, p. 1134.
- Jean Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la Bretagne, vol. 2, (1re éd. 1780), 1004 p., p. 892.
- ChubEndret, Saint-Sulpice-des-Landes.
- « Fiche de la commune de Saint-Sulpice-des-Landes », sur insee.fr (consulté le ).
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales
- « Saint-Sulpice-des-Landes », sur Communauté de communes du pays d'Ancenis (consulté le ).
- « Carte thématique » [archive du ], sur Insee (consulté le ) ; cheminement : sur la petite carte de France, onglet Départements, puis choisir le département, puis menu déroulant Couches d'aide à la sélection
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et 2015.
- « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Saint-Sulpice-des-Landes - POP T0-T3 - Population par sexe et âge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population française - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
- « Bienvenue à Saint-Sulpice », sur École du Sacré-Cœur (consulté le ).
- « Les écoles de l'académie », sur Académie de Nantes (consulté le ).
- « Les collèges publics de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
- « Les collèges privés de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
- « Les lycées publics de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
- « Les lycées privés de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
- « Les lycées publics professionnels publics de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
- « Les lycées professionnels privés de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
- « Recherche », sur Les pages jaunes (consulté le ).
- « Liste des hôpitaux et cliniques de la Loire-Atlantique », sur Annuaire sanitaire et social (consulté le ).
- « CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Saint-Sulpice-des-Landes », sur communauté de communes du Pays d'Ancenis (consulté le ).
- « Église du Vieux-Bourg à Saint-Sulpice - grand-patrimoine.loire-atlantique.fr », sur grand-patrimoine.loire-atlantique.fr (consulté le ).
- Christian Davy, Eglise de Saint-Sulpice-des-Landes, Nantes, Département Loire-Atlantique, , 59 p. (ISBN 979-10-95263-00-5)
- Flohic et Massard 1999, p. 1136.
- Bibliographie : Joseph Chevalier, Monseigneur Amand Hubert, un évêque originaire de Saint-Sulpice-des-Landes (44), missionnaire au Pays des Pyramides, 1996.
- « Terrena », sur terrena.fr (consulté le ).
- Terrena est né du regroupement des coopératives CANA, CAVAL et GCA. Bibliographie : Marie-Roberte Bédès, Terres de l'Ouest - Histoire d'une coopérative agricole LA CANA, 1989 ; Marie-France Boullet-Le Goüais et Bertrand Boquien, Yves Le Goüais, pionnier de l'agriculture moderne et fondateur de la CANA, 2005.