Saint-Vincent-de-Mercuze

commune française du département de l'Isère

Saint-Vincent-de-Mercuze est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes. Ville fleurie : 1 fleur.

Saint-Vincent-de-Mercuze
Saint-Vincent-de-Mercuze
Saint-Vincent-de-Mercuze en 1900
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté de communes Le Grésivaudan
Maire
Mandat
Philippe Baudain
2020-2026
Code postal 38660
Code commune 38466
Démographie
Gentilé Rutissons
Population
municipale
1 508 hab. (2021 en évolution de +1,82 % par rapport à 2015)
Densité 192 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 22′ 30″ nord, 5° 57′ 02″ est
Altitude 347 m
Min. 238 m
Max. 863 m
Superficie 7,85 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Le Touvet
(banlieue)
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Haut-Grésivaudan
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Saint-Vincent-de-Mercuze
Liens
Site web www.saint-vincent-de-mercuze.com

Sainte-Marie-du-Mont a été détachée de Saint-Vincent-de-Mercuze-Sainte-Marie-du-Mont en 1983.

Géographie

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Situation et description

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Positionnée dans la vallée du Grésivaudan, cette petite commune à l'aspect essentiellement rural est rattachée à la communauté de communes Le Grésivaudan.

Sites géologiques remarquables

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La banquette interglaciaire de Barraux et les vallées perchées du Grésivaudan sont un site géologique remarquable de 556,69 hectares qui se trouve sur les communes de Goncelin, Le Cheylas, La Flachère, Morêtel-de-Mailles, Sainte-Marie-d'Alloix et Saint-Vincent-de-Mercuze-Sainte-Marie-du-Mont. En 2014, ce site d'intérêt géomorphologique est classé « deux étoiles » à l'« Inventaire du patrimoine géologique »[1].

Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 19,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 240 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pipay_sapc », sur la commune de Theys à 9 km à vol d'oiseau[4] et à 1578m d'altitude (soit 1230m plus haut que le bourg de Saint-Vincent-de-Mercuze), est de 6,3 °C (soit une estimation d'approximativement 14 °C à 347m si l'ont ajoute le gradient vertical de température de 0,65°C par 100m) et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 545,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Hydrographie

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Le territoire communal est bordé, à l'est, par l'Isère.

Voies de communication

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Le territoire de la commune du Touvet est traversé par deux voies à grande circulation, l'autoroute A 41 et l'ancienne route nationale 90, selon un axe nord-sud.

Transport

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Située sur l'axe Grenoble-Chambery, la commune bénéficie d'une bonne accessibilité ferroviaire (gare de Goncelin) et routière (A41 - sortie Goncelin/LeTouvet, RD1090).

La RD9 traversant le village sert d'itinéraire de desserte aux communes de Sainte Marie du Mont et La Flachère.

Enfin, cinq lignes de bus desservent la commune (G50, SCO3G, SCO5L, SCO3E, SCO5H)[8].

Saint-Vincent-de-Mercuze était desservi par le Tramway Grenoble - Chapareillan de à , date à laquelle la ligne est limitée à Crolles[9].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Vincent-de-Mercuze est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Le Touvet[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (53,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42,1 %), forêts (30,3 %), zones urbanisées (13,1 %), terres arables (10,8 %), eaux continentales[Note 4] (2,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques

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Risques sismiques

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L'ensemble du territoire de la commune de Saint-Vincent-de-Mercuze est situé en zone de sismicité n°4, à l'instar de l'ensemble des territoires des communes du massif de la Chartreuse et de la vallée du Gréisvaudan[16].

Terminologie des zones sismiques[17]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 4 Sismicité moyenne accélération = 1,6 m/s2

Autres risques

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Lieux-dits et écarts

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La commune de Saint-Vincent-de-Mercuze se constitue par le regroupement de plusieurs hameaux le long des deux grandes axes routiers que constituent les deux routes départementales. : Les Rivoires, le Rochassin, le Monde-Vieux, le Petit-Saint-Vincent et le Montalieu.

Le territoire est bordé à l'est par l'Isère avec sa zone humide remarquable de l'étang de la Berche, au sud et au nord respectivement par les torrents du Bresson et de l'Alloix et leurs cascades, et enfin, à l'ouest par les contreforts de la Chartreuse avec le mont de Bellechambre.

Toponymie

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Le gentilé « rutisson » provient de l'ancien domaine romain présent sur le territoire.

Le nom de la commune dérive de « Sancti Vincenti de Malcusia ». « Malcusia » désignant un chemin de traverse, un passage difficile.

Histoire

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Le territoire a été marqué par l'industrie de la sidérurgie, qui se développe dans la vallée notamment aux XVIIe et XVIIIe siècles, la présence du vestige de hauts fourneaux en témoigne[18].

La commune de Saint-Vincent-de-Mercuze a été fusionnée, de 1973 à 1984, avec la commune voisine de Sainte-Marie-du-Mont.

Dans les années 1980 et 1990, la population double sous l'effet de la périurbanisation. Le rythme de croissance s'est depuis stabilisé.

Politique et administration

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Administration municipale

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La mairie de Saint-Vincent-de-Mercuze

Liste des maires

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Principaux maires de Saint-Vincent-de-Mercuze
Période Identité Étiquette Qualité
1947 1984 Aimé Paquet PPUS puis
CNIP puis
RI puis UDF-PR
Agriculteur
Député (1951-1973)
Secrétaire d'État (1973-1974)
1984 1990 Joseph Décheneaux   Receveur principal
Chevalier de l'ordre du mérite
1990 1996 Michel Bouverot    
1996 En cours Philippe Baudain SE Professeur de faculté, conseiller départemental depuis septembre 2024
Le rucher Monnet, à Montalieu, gagnant deux 1er prix au concours de Goncelin en 1909, et un 1er prix au concours de Touvet en 1911.

Jumelages

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En 2023, la commune n'est jumelée avec aucune autre localité.

Économie

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L'agriculture était l'activité principale du secteur. Au XVIIIe siècle les châtaigniers ont laissé la place aux noyers et la production des noix devint l'activité principale de beaucoup de communes de la vallée de l'Isère, du haut Grésivaudan et surtout du bas Grésivaudan (la région de Saint-Marcellin). Quelques producteurs locaux complétaient leurs revenus avec la production du miel, ou la polyculture[19]..

Le commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[20],[21].

La fermeture des entreprises historiques Alpstyl (2004), Sofaditex (2007) et ECOPLA (2017, en pleine campagne présidentielle et au terme d'un long feuilleton judiciaire) représente une page qui se tourne dans l'histoire économique de la commune. Symbole d'un nouveau chapitre, un des anciens sites de Sofaditex est reconverti en 2008 en pépinières d'entreprises. Projet pivot de la nouvelle zone économique intercommunal Eurekalp venue s'implanter à côté de la zone d'activité communale Tire Poix, qui bascule ainsi sous le giron de la communauté de communes en . Le second site Sofaditex a depuis été reconverti en atelier pour les services techniques de la communauté.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

En 2021, la commune comptait 1 508 habitants[Note 5], en évolution de +1,82 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
429508567531606605605608591
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
568582554763735730723676651
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
653622600500468417443447466
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
4474335728021 0601 3601 3831 3861 375
2017 2021 - - - - - - -
1 5191 508-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Médias

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La communauté catholique et l'église de Saint-Vincent-de-Mercuze (propriété de la commune) sont rattachées à la paroisse des Saints Apôtres et au doyenné du Haut-Grésivaudan qui sont, quant à eux, rattachés au diocèse de Grenoble[26].

Culture locale et patrimoine

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C'est en partie à Saint-Vincent-de-Mercuze qu'a été tourné le film Le Vieil Homme et l'Enfant.

Lieux et monuments

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Patrimoine religieux

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L'église.
  • L'église Saint-Vincent de Saint-Vincent-de-Mercuze du XIXe siècle[27]
  • L'ancienne église - Tombeau Doudart de Lagrée

Patrimoine civil

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Monument dédié à Ernest Doudart de Lagrée, situé non loin de l'église
  • Monument dédié à Ernest Doudart de Lagrée, et sa maison natale[27] ;
  • Le château de Langrée ou de la Combe, au hameau de Montalieu, du XVIIIe siècle[27] ;
  • Le château du Montalieu, du XVe siècle[27],[30] ;
  • La maison forte du chemin de la Source, du XIVe siècle[27].

Patrimoine naturel

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La commune fait partie du parc naturel régional de Chartreuse.

Espaces verts et fleurissement

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En , la commune confirme le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris, ce label récompense le fleurissement de la commune au titre de l'année 2016[31].

Personnalités liées à la commune

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Films tournés dans la commune

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  • De nombreuses scènes du film Le Vieil Homme et l'Enfant ont été tournées à Saint-Vincent-de-Mercuze ainsi qu'à Biviers et à La Terrasse, autres communes de la vallée de Grésivaudan.

Fêtes annuelles

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  • Fête de la Saint Vincent

Chaque année, en janvier, le village célèbre la Saint Vincent. Cet évènement est surtout marqué par la traversée du village de chars tirés par tracteur. 4 chars parcourent l'ensemble de la commune et se rejoignent à la salle des fêtes. Les habitants les suivent et habituellement, les enfants sont invités à monter dedans. Pour illuminer la soirée, des bougies sont disposées dans les jardins et façades des maisons. La soirée est ponctuée par un concert puis par un feux d'artifice tiré depuis un champ.

  • Metal Gresi Fest

En mai, se tient le festival de hard-rock Metal Gresi Fest[32].

  • Lâcher de peintres

Début juin, un concours pour peintres amateurs est organisé dans la commune par la MJC[33].

  • Fête des fours à pains

Courant juin, utilisation collective des différents fours à pain de la commune dans le cadre d'un grand déjeuner convivial sur la place de la Mairie.

  • GresiBlues Festival

Fin juin, c'est au tour du blues de présenter son festival sur la commune[34].

  • Fête de la fin de l'été

À la fin du mois d'août, le Comité des fêtes organise une fête à la piscine municipale à base de jeux aquatiques collectifs.

  • Forum des associations

Début septembre, les associations font leur rentrée.

Héraldique

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Saint-Vincent-de-Mercuze possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Le Touvet, il y a une ville-centre et deux communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Inventaire du patrimoine géologique : résultats, Ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer - DREAL Auvergne-Rhône-Alpes, 24 janvier 2014 (mis à jour le 31 mars 2015), accès le 23 septembre 2016.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Saint-Vincent-de-Mercuze et Theys », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pipay_sapc », sur la commune de Theys - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Pipay_sapc », sur la commune de Theys - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. TouGo - Grésivaudan, « Plans du réseau et des secteurs - TouGo - Grésivaudan », sur tougo.fr (consulté le ).
  9. Dominique Allemand et Patrice Bouillin, Le tramway de Grenoble à Chapareillan : T.G.C., Grenoble, Patrice Bouillin, , 191 p. (ISBN 2-905447-02-8).
  10. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 du Le Touvet », sur insee.fr (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Vincent-de-Mercuze ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Grenoble », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  17. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  18. Les archives du haut fourneau de Saint-Vincent-de-Mercuze sont conservées aux Archives départementales de l'Isère, archives.isere.fr, 16J, 1734-1884
  19. Claude Muller, L'Isère 1900-1920. Mémoire d'hier, éd. Gérard Tisserand, 2000, p. 24. (ISBN 2-84494-044-7).
  20. Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
  21. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Site cleophas.org, page sur l'organisation du le doyenné du Haut-Grésivaudan.
  27. a b c d e et f Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 523-526.
  28. « Ancien haut-fourneau », notice no PA00118111, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. Édifices labellisés "Patrimoine en Isère" : la "cuvée" 2019., culture.isere.fr, accès le 2 août 2019.
  30. Site du Château du Montalieu
  31. « Les villes et villages fleuris > Isère », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  32. « MetalGresiFest », sur Metalgresifest.com.
  33. « Lacher de Peintres ».
  34. « Gresiblues festival », sur gresiblues.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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