Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise

société d'histoire et d'archéologie locale

La Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise plus connue sous le nom de Société académique de l'Oise est une société savante français dont les objets sont l'étude et la diffusion des connaissances de l'histoire locale, ainsi que la conservation d'une bibliothèque et d'un musée. Elle a son siège à Beauvais

Société académique de l'Oise
Histoire
Fondation
Cadre
Zone d'activité
Type
Domaine d'activité
Siège
Pays
Langue
Organisation
Président
Roselyne Le Bourgeois
Affiliation
Site web

Historique

modifier

Le Comité local d’archéologie de Beauvais est créé en 1841, et rattaché à la Société des antiquaires de Picardie. En 1847, le comité est renommé Société académique d’archéologie, sciences et arts du département de l’Oise, qui réunit la Société linnéenne et l’Athénée du Beauvaisis et accède à une existence indépendante.

Objectifs et actions

modifier

La connaissance du passé

modifier

Le premier but de la société est d'effectuer des travaux de recherches historiques et archéologique pour la connaissance du passé et sa transmission au public. Avec la professionnalisation de l'archéologie, cette activité diminua au sein de la société[1].

La création d'un musée

modifier

Dès l'origine, le premier but de la société fut « la création d’un musée pour la conservation des œuvres d’art de nombreux monuments en ruines à la suite des événements de la Révolution ». Ce fut chose faite en 1912 date de la création du Musée départemental de l'Oise auquel la société fait de nombreux dons.

La transmission de la connaissance

modifier

La Société académique de l'Oise créa également une bibliothèque rassemblant 5 000 ouvrages et constitua ses propres archives sur les communes et personnages célèbres du département de l'Oise. Ces documents sont accessibles au public sur demande.

La Société académique de l'Oise organise régulièrement des conférences, des expositions et des visites de lieux et monuments[1].

Références

modifier
  1. a et b Le Parisien, Édition du vendredi 6 avril 2012.

Annexes

modifier

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier