« Affaire des fiches (France) » : différence entre les versions
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m suite de l'affaire |
L'introduction était trop évasive et ne permettait pas de saisir les enjeux en un paragraphe. Si on ne mentionne pas que les catholiques étaient bloqués, on ne comprend pas le lien avec 1905... |
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{{à prouver}}
[[Fichier:Affaire des fiches (Fertom).jpg|vignette|''La dégoulinade des Fiches'', caricature [[Antimaçonnisme|antimaçonnique]] par Fertom (1904).]]
L’'''affaire des fiches''' (parfois appelée<ref>{{harv|Paul Naudon|1987|p=109}}.</ref> « affaire des casseroles<ref>Dans l'argot de la fin du {{sp-|XIX|e|et au début du|XX|e}} la « casserole » désignait celui qui ''cuisinait'' pour ''faire parler''. On disait également « remuer la casserole » pour ''dénoncer''. C'était devenu d'usage courant pour désigner les scandales qui poursuivent tel ou tel, ou encore la « cuisine électorale ». À l’époque de l’''affaire des fiches'', la « casserole » devient le symbole même du maçonnisme pour ses ennemis. Voir Charles Virmaître, ''Dictionnaire d'argot fin-de-siècle'', éd. A. Charles, {{p.|59}} et Francis Cévènes, ''La Franc-Maçonnerie à la Belle Époque par la carte postale'', éd. À l'Orient, 2008, [http://www.eiris.eu/eiris/index.php?option=com_content&task=view&id=187&Itemid=1 présentation en ligne].</ref> ») concerne une opération de fichage politique et religieux dans l'armée française
== Origines ==
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