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* [[La Souterraine (salle)|La Souterraine]], salle située sous le siège de la [[Banque de France]] à [[Paris]], utilisée pour entreposer une partie des réserves d'or de la France.
;Autres
'''Anxiété''' 
 
a. Définition : 
 
Premièrement, la définition proposée par le dictionnaire Larusse est la suivante : ''« Inquiétude pénible, tension nerveuse, causée par l'incertitude, l'attente ; angoisse. Trouble émotionnel se traduisant par un sentiment indéfinissable d'insécurité. »'' ''source : Dictionnaire Larousse. [En ligne]. [Consulté le 04/04/2017]. Disponible sur le web : <nowiki>http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/anxiete/436917561</nowiki>)''
 
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b. Distinction entre anxiété et angoisse : 
 
Selon PICHOT (source : L’anxiété, 207 pages, Elsevier-Masson, 1987), anxiété et angoisse puisent leur origine dans la même racine du mot sanscrit ''ahmas'' signifiant : « étroitesse ». Néanmoins, la psychiatrie a longtemps distingué ces deux termes jusqu’au début du XXème siècle. LITTRÉ (1863) affirmait que l’anxiété désigne le traitement psychologique du cerveau : ''« une angoisse de l’esprit, état de trouble et d’agitation avec sentiment de gêne et de resserrement dans la  région  précordiale »'' et que l’angoisse correspond à ce qui se manifeste somatiquement (difficultés à respirer, douleur physique dans la poitrine, accélération de la fréquence respiratoire, etc.). 
 
De nos jours, angoisse et anxiété sont pratiquement devenus synonymes. Cependant, on utilisera plus le terme « anxiété » pour un diagnostic infirmier ou médical, et le terme « angoisse » pour la dimension psychanalytique et philosophique. 
 
Dans son traité Psychopathologie générale (1913), JASPERS indique : « La peur est dirigée vers quelque chose, l’angoisse est sans objet. » 
 
La peur est un phénomène psychologique qui accompagne la prise conscience d’un danger, réel ou imaginé. Ce qui différencie la peur de l’angoisse et de l’anxiété, c’est donc le caractère spécifique de la menace.
 
La détresse désigne quant à elle le sentiment d’abandon, de solitude et d’impuissance que l’on éprouve dans une situation difficile et angoissante. Ce sentiment serait donc en quelque sorte la conséquence émotionnelle d’une angoisse ou d’une anxiété qui nous dépasse. (source : <nowiki>http://www.cnrd.fr/L-anxiete-preoperatoire.html</nowiki>) 
 
B. L’anxiété au réveil en post-opératoire           
 
            Lorsque l’on parle d’anxiété en rapport avec une intervention chirurgicale, on pense souvent à l’anxiété préopératoire, qui peut être traitée à l’aide d’une prémédication adaptée (anxiolytiques, benzodiazépines, etc.). Mais il existe également l’anxiété au réveil. En effet 
 
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'''Confiance.'''
 
Une approche qui nous semble pertinente du concept de confiance serait de commencer par son étymologie. Le mot confiance est composé de ''cum'' qui nous vient du latin et qui signifie « avec », et de ''fidere'' : « croire, se fier ». Ainsi, cette première lecture nous indique que la confiance serait le fait de croire en quelqu’un ou quelque chose. 
 
Confiance (nom féminin) ''(latin confidentia, avec l'influence de l'ancien français fiance, foi) :'' ''« Sentiment de quelqu'un qui se fie entièrement à quelqu'un d'autre, à quelque chose. » (source : Dictionnaire Larousse. [En ligne]. [Consulté le 02/04/2017]. Disponible sur le web :  <nowiki>http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/confiance/18082?q=confiance#17971</nowiki>) ''  
 
On note que cette définition nous renseigne sur le lien étroit qui est établit entre confiance et foi. En effet, comme le fait remarquer SIMMEL ''« Celui qui sait tout n’a pas besoin de faire confiance, celui qui ne sait rien ne peut raisonnablement même pas faire confiance » (source :'' Georg Simmel, ''Sociologie'', Paris, 1999 pour la traduction française, p. 356.). La confiance sous-entend un manque de savoir ou d’information dont on sait qu’autrui – en l’occurrence la personne à qui on donne notre confiance – possède.   
 
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'''Communication.'''
 
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Étymologiquement, la communication vient du latin communicare qui signifie : « partager quelque chose, mettre en commun ». Ainsi, la communication serait présente chez tous les êtres vivants : dans le monde végétal et le monde animal, en passant par les micro-organismes, et bien entendu chez l’homme qui s’en est fait une spécificité par l’acquisition du langage. 
 
Communication : ''Action de communiquer avec quelqu'un, d'être en rapport avec autrui, en général par le langage ; échange verbal entre un locuteur et un interlocuteur dont il sollicite une réponse. (source : Dictionnaire Larousse. [En ligne]. [Consulté le 04/04/2017]. Disponible sur le web : <nowiki>http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/communication/17561</nowiki>)''
 
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Paul Watzlawick a élaboré 5 axiomes sur la communication : 
 
On ne peut pas ne pas communiquer : Notre comportement, nos actes et nos attitudes véhiculent constamment un message, y compris l’indifférence. Que notre langage soit verbal ou non verbal, nous sommes toujours en communication avec notre environnement.
 
Toute communication présente deux aspects : le contenu et la relation, tels que le second englobe le premier et par suite est une métacommunication.
 
La nature d’une relation dépend de la ponctuation des séquences de communication entre les partenaires
 
La communication humaine utilise simultanément deux modes de communication : digital et analogique
 
La communication est soit symétrique, soit complémentaire . 
 
b. Le modèle de la communication de Shanon et Weaver
 
Shanon et Weaver ont modélisés ce qu’ils appellent le modèle de la communication. Ce modèle est composé :
 
-         D’un émetteur qui va envoyer un message codé ;
 
-         D’un récepteur du message qui a la particularité de pouvoir décoder le message
 
-         De bruit, qui sont des interférences qui vont parasiter le message (un peu comme le grésillement sur un poste de radio). 
 
Ainsi par exemple, l’infirmier qui souhaite rassurer le patient lors d’un réveil en post-opératoire va délivrer un message (à la fois verbal et non verbal) que le patient va recevoir. Ce message peut être parasité par de plusieurs interférences : l’état de conscience du patient, le choix des mots utilisés afin de faciliter la compréhension, l’attitude du soignant, etc. 
 
c. le modèle de Lasswell
 
Le modèle de Harold Dwight Lasswell conçoit la communication comme un processus d'influence et de persuasion, semblable à la publicité. 
 
Le modèle de Shannon et Weaver consiste à décrire une action de communication en répondant à cinq questions : Qui dit Quoi, par Quel canal, A qui et avec Quel effet ? 
 
    Qui : se rapporte à l'étude sociologique du ou des milieux et organismes émetteurs
 
    Dit quoi : correspond à l'énoncé du contenu du message et à son analyse
 
    Par quel canal : description et évaluation des techniques utilisées pour diffuser l'information à un instant donné vers une cible donnée
 
    A qui : vise l'auditoire, ou audience. Soit la définition, la mesure, la localisation des publics récepteurs
 
    Avec quel effet : prend en compte l'analyse des influences qualitatives et quantitatives du message sur le public visé  
 
a. le langage verbal et non verbal                
 
<nowiki>http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/anxiete</nowiki>              
 
Suite IDE1 :
 
Je trouve que c’est un problème parce que ça ne solutionne pas les difficultés. Quand ils sont perturbés et qu’ils sont encore attaché, c’est souvent, c’est encore pire ça les énerve encore plus. Alors des fois ça aide à passer un cap. Dans ce cas-là oui.
 
-         Quels sont pour vous les mots clés lors d’une prise en charge relationnelle d’un réveil d’un patient intubé et contentionné ?
 
Alors les mots clés, ça va être des mots rassurants, on leur explique… alors c’est aps des mots clés… Que l’intervention est finie. Moi c’est la première chose que je leur dis. Je leur dis où ils sont, parce que quand ils sont dans des services de réa, enfin du SSP… enfin ils ne connaissent pas la chambre avant. Donc je leur explique où ils sont, je me présente, je leur dis que je suis l’infirmière, et puis je leur explique ce qu’il va se passer sur le court terme. Qu’ils sont intubés, enfin on ne dit pas intubé, je dis « Vous avez encore le tuyau qui vous fait respirer… Quand vous serez bien conscients, on vous extubera… » Et puis on fait des tests, pour être sûrs qu’ils sont bien décurarisés. Il existe des petits-appareils électroniques pour savoir s’ils sont encore curarisés. En salle de réveil ils s’en servent, nous ici on s’en sert très très rarement. C’est pas… pas très agréables (rires). Et puis, nous on leur fait serrer la main… Et qu’ils sont capables de lever la tête. En fait c’est ça… Lever la tête. Mettez votre menton sur votre poitrine… Là en principe ils sont décurarisés. Donc là en principe on les met un petit peu sous ventilation spontanée avec la sonde d’intubation et puis après on les extube. Les mots clés c’est ça : c’est surtout pour rassurer.
* [[La Souterraine (label)|La Souterraine]], un label discographique.
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