« Restaurant Champeaux » : différence entre les versions
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Fondé en [[1800]] et immortalisé dans des romans d'[[Émile Zola]], le '''''restaurant Champeaux''''' était un restaurant avec jardin de rosiers et d'[[Acacia|acacias]], situé au 13, [[place de la Bourse (Paris)|place de la Bourse]]<ref>''L'Argent'', par Émile Zola, édition de Philippe Hamon et Marie-France Azéma, dossier financier par Bernard Cieutat, Le livre de poche, {{p.}}27.</ref>, en plein centre de [[Paris]], à l'angle de la [[rue Vivienne]] et de la [[rue des Filles-Saint-Thomas]] qui servait de rendez-vous aux financiers, écrivains et journalistes.
== Histoire ==
Le restaurant, fondé un quart de siècle avant l'ouverture du [[Palais Brongniart]], était à quelques mètres du [[Couvent des Filles-Saint-Thomas]], détruit sous la [[Révolution française]], dont il hérite des caves. À partir de 1827, il a un nouveau voisin, le [[Théâtre des Nouveautés]], devenu ensuite le [[Théâtre du Vaudeville]]. Le {{nobr|vendredi 4 avril [[1831]]}}, treize littérateurs et chansonniers se réunirent chez le restaurateur pour relever l'institution du caveau, presque centenaire<ref>''La chanson de proximité : Caveaux, cabarets et autres petits lieux'', par Michel Trihorea, {{p.}}29 [http://books.google.fr/books?id=trvrb0J9PKkC&pg=PA29&dq=Champeaux+caveau+chansonniers&hl=fr&sa=X&ei=aTR1UrLHCqaJ0AW2hoGgDg&ved=0CDIQ6AEwAA#v=onepage&q=Champeaux%20caveau%20chansonniers&f=false].</ref>. Le {{nobr|7 mars 1834}}, les statuts d'une nouvelle société chantante, la [[Société lyrique Les Enfants du Caveau]], appelée aussi Les Enfants du Caveau, étaient signés par treize chansonniers, qui dura jusqu'en [[1837]]. L'autre institution de la place était juste en face : le [[Café Gobillard]], du nom du tenancier du ''Café du Théâtre des Nouveautés''<ref>''[[La Presse (France)|La Presse]]'' ({{nobr|vendredi 28 janvier 1836}}).</ref>, fréquenté par les écrivains et politiques, parmi lesquels [[Jean-Pierre de Montalivet]] et [[Alexandre Dumas]].
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