« Alain Delon » : différence entre les versions

Alain Delon se définit comme étant [[gaulliste]]<ref>{{Lien web|titre = Alain Delon aimerait ressusciter le Général de Gaulle|url = http://video.lefigaro.fr/figaro/video/alain-delon-aimerait-ressusciter-le-general-de-gaulle/2423621705001/|consulté le = 2015-05-25}}</ref> et explique avoir été {{citation|élevé dans l'esprit du [[Charles de Gaulle|général de Gaulle]]}}<ref>{{Lien web|titre=Trois signes de la proximité d'Alain Delon avec Jean-Marie Le Pen|url=http://www.francetvinfo.fr/politique/trois-signes-de-la-proximite-d-alain-delon-avec-jean-marie-le-pen_431214.html|consulté le=2015-05-25}}</ref>.

 

 

Dès la fin des années 1980, il fait état de son amitié et de sa sympathie pour [[Jean-Marie Le Pen]]<ref>{{Lien web|prénom1 = lefigaro.fr|nom1 = |titre = Alain Delon «approuve» la poussée du FN|url = http://www.lefigaro.fr/politique/2013/10/09/01002-20131009ARTFIG00494-alain-delon-approuve-la-poussee-du-fn.php|site = Le Figaro|consulté le = 2015-05-25}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|prénom1 = Closermag.fr|nom1 = |titre = Jean-Marie Le Pen parle de son amitié de longue date avec Alain Delon|url = http://www.closermag.fr/people/people-francais/jean-marie-le-penparle-de-son-amitie-de-longue-date-avec-alain-delon-218390|site = Closermag.fr|consulté le = 2015-05-25}}</ref>, tout en précisant que {{citation|des choses dans son programme [l]e satisfont et d'autres non}}. Il précise que l'extrême droite « c'est quand même la droite » et qu'elle « regroupe quelques millions de Français » dont il faut tenir compte<ref name="Le Point politique">{{Article|langue=fr-FR|prénom1=Marc|nom1=Fourny|titre=Delon-Le Pen : une vieille histoire|périodique=Le Point|date=2013-10-10|lire en ligne=http://www.lepoint.fr/ces-gens-la/delon-le-pen-une-vieille-histoire-10-10-2013-1741408_264.php|consulté le=2017-05-18}}</ref>. En octobre 2013, il salue la progression électorale du Front national : {{citation|Depuis des années, Le Pen [[Jean-Marie Le Pen|père]] et [[Marine Le Pen|fille]] se battent, mais ils se battent un peu seuls. Là, pour la première fois, ils ne sont plus seuls. Ils ont les Français avec eux. C'est important. Les Français ont connu une France différente sous [[Charles de Gaulle|de Gaulle]] ou même [[François Mitterrand|Mitterrand]]. […] Ça, je l'approuve, je le pousse et le comprends parfaitement bien.}}<ref>{{Lien web|titre=Alain Delon salue la progression du Front national|url=http://www.lemonde.fr/politique/article/2013/10/09/alain-delon-soutient-la-progression-du-front-national_3492655_823448.html|site=Le Monde|consulté le=9 octobre 2013|auteur=|en ligne le=9 octobre 2013}}</ref>{{,}}<ref>Émilie Cabot, [http://www.lejdd.fr/Culture/Alain-Delon-lache-par-les-siens-633329 « Alain Delon lâché par les siens »], in lejdd.fr, 10 octobre 2013.</ref>. Cette déclaration, dénoncée par le Comité [[Miss France]], provoque sa démission du statut de président à vie du jury ; il déclare alors : {{citation|Votre polémique est aussi absurde que narcissique et obsessionnelle. Votre attitude est un mépris à l'égard de votre public qui est en droit de voter pour qui il veut, un déni de réalité manifeste}}<ref>{{Lien web|titre = Propos sur le FN : Alain Delon claque la porte du comité Miss France|url = http://www.leparisien.fr/actualite-people-medias/propos-sur-le-fn-alain-delon-claque-la-porte-du-comite-miss-france-18-10-2013-3237987.php|consulté le = 2015-05-25}}</ref>{{,}}<ref>[http://www.leparisien.fr/actualite-people-medias/propos-sur-le-fn-alain-delon-claque-la-porte-du-comite-miss-france-18-10-2013-3237987.php « Propos sur le FN : Alain Delon claque la porte du comité Miss France »], in [[Le Parisien|leparisien.fr]], 18 octobre 2013.</ref>. Dans la perspective des [[élections européennes de 2014]], il exprime sa sympathie pour le mouvement Force Vie de [[Christine Boutin]]<ref>Thibaut Pézerat, [http://lelab.europe1.fr/L-alliance-improbable-de-Christine-Boutin-d-Alain-Delon-et-du-Premier-ministre-hongrois-Viktor-Orban-14591 « L'alliance improbable de Christine Boutin, d'Alain Delon, et du Premier ministre hongrois Viktor Orban »], europe1.fr, 17 mai 2014.</ref>.