« Histoire de l'électricité » : différence entre les versions

L'[[électricité]]Très existediscrète depuisla lesmajorité débutsdu detemps, l'[[universélectricité]]. Son histoire vue par les [[homme]]s remonte aux débuts de l'[[humanité]], car l'électricité est partout présente, très discrète la majorité du temps. Elle se manifeste parfois de manière très spectaculaire et brutale : par exemple sous forme d'[[Foudre|éclair]]s associés au [[tonnerre]] et à des destructions. SaL''''histoire [[Théorie|théorisation]]de etl'électricité''' sacommence [[compréhension]] sont relativement récentes, au regard de lapar trèsune longue période d'observations [[Application|applicationsempiriques]] et de tentatives pour [[empiriquescomprendre]] imaginéeset parcontrôler lesce transmetteur d'énergie et de hommesmessages.

L''''électricité''' et le [[magnétisme]] étaient deuxconsidérés comme des [[Phénomène physique|phénomènes physiques]] distincts avantjusqu'à leur association au {{s-|XIX}} avecdans la théorisation[[théorie]] de l'[[électromagnétisme]] au {{s-|XIX}}.

La naissance de la science expérimentale reproductible en dehors du raisonnement abstrait philosophique propre à l'Antiquité apparaît à la fin du [[Moyen Âge]] au {{s-|XIII}}, elle est associée à l'[[alchimie|alchimie opératoire]]. En Angleterre [[Robert Grossetête]] amorce cette voie par la géométrie et en France [[Roger Bacon]]{{Note|groupe=L24|nom=L24p14}} prône la nécessité de la mathématique ({{Pas clair|en plus de l'énumération, ces moines qui sont encore dans l'usage de la langue noble pour la pensée qu'est le latin font usage de la numération de la vie ordinaire de leur époque, un système devenu plus aisé que le système grec-romain|date=mars 2018}}).

Le {{s|XVI}}{{Note|groupe=extrait|nom=L9p44}} « [[époque moderne|temps des inventions]] » de la Renaissance avait été précédé{{Quand|date=mars 2018}} par une inventivité forte {{Pertinence détail|pour ce qui concernait la science de la [[histoire de la construction|construction]] qui avait expérimenté des méthodes pour lutter contre la [[pesanteur]].|date=mars 2018}}

Au cours des siècles précédents, en Occident, est imposé le [[conservatisme]] de la connaissance par l’[[Église chrétienne]] monothéiste, qui remplace les structures de l'[[Empire romain]]. Elle adopte la philosophie naturelle et la physique d'Aristote, l'astronomie et la géographie de Ptolémée, les deux principales synthèses scientifiques héritées de la culture hellénistique. Elle qualifie{{Note|groupe=L34|nom=L34sommaire2}} les ''pratiques et les savoirs'' par une normalisation du [[Surnaturel (christianisme)|surnaturel]]. La formalisation des ''phénomènes électriques et magnétiques'' par les [[érudit]]s, exprimant la nouvelle curiosité{{Quand|date=mars 2018}}, s'appuie sur une structuration de conception de l'univers qui « a horreur du vide ». La foudre avec sa lumière est à l'époque un « phénomène divin », c'est-à-dire « normal ».

L'utilité de la [[connaissance]], {{Pas clair|si elle prend son sens économique pour l'échange des matières et des fabrications}}, n'est pas, à l'époque naissante de la [[philosophie des Lumières]], du tout appliquée {{Pas clair|en prévision économique sur la connaissance de ce que sont les rapports entre ''force, énergie, mouvement''}}. L'aspect raisonnable ou [[Histoire de la logique#Période Classique|logique]] des phénomènes physiques que l'on veut reproduire est formalisé en appui sur la mathématique qui quitte la simple expression de la beauté harmonique dans le monde et son unicité fondamentale, donnée selon le concept de Dieu et ses créations, par les évolutions de la [[Histoire des nombres complexes#Les nombres complexes comme objet algébrique|numération]] et des [[calcul infinitésimal|calculs]] et pose la notion de continuité et de rupture dans un déterminisme total{{Note|groupe=La|nom=La13}}.

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