« Attaque chimique de Douma » : différence entre les versions

▲Dans la nuit du 13 au 14 avril, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France lancent une attaque aérienne sur quatre positions du gouvernement syrien, dont un centre de recherche, un complexe militaire stockant des armes chimiques près de [[Homs]] et un poste de commandement. Le secrétaire à la défense américaine [[James Mattis (général)|James Mattis]] la décrit comme étant une « frappe ponctuelle afin d'envoyer un message clair au président syrien Bachar el-Assad et ses lieutenants meurtriers », sans notification préalable à la partie russe, tout en évitant « au maximum » les positions russes et civiles afin de « ne pas accroître les tensions dans la région »<ref>{{Article|titre=Washington mène des frappes en Syrie, en coordination avec Paris et Londres|périodique=Le Monde|date=2018-04-14|consulté le=2018-04-14|lire en ligne=http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2018/04/14/donald-trump-annonce-des-frappes-contre-la-syrie-en-coordination-avec-paris-et-londres_5285332_3222.html}}</ref>{{,}}<ref>{{Article|titre=US, UK, France launch air strikes on Syria in response to chemical weapons attack|périodique=ABC News|date=2018-04-14|consulté le=2018-04-14|lire en ligne=http://www.abc.net.au/news/2018-04-14/us-to-strike-syria-in-response-to-chemical-weapons-attack/9658900}}</ref>. Toutefois, selon [[CNN]], qui allègue des sources proches du gouvernement américain, James Mattis a souligné, lors d'une réunion du 12 avril 2012, le manque de preuves solides en ce qui concerne l'attaque chimique et a mis le Président en garde contre une escalade militaire<ref>Kevin Liptak et Elise Labott, « Mattis warns Trump about Syria risks », CNN, 14 avril 2018, [https://edition.cnn.com/2018/04/13/politics/trump-mattis-syria-policy/index.html en ligne].</ref>.